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Mécontente de sa coiffure, une Suédoise mord son coiffeur

5092009

Mécontente de sa coiffure, une Suédoise mord son coiffeur

Une Suédoise, prise de fureur lorsqu’elle a vu sa nouvelle coupe dans le miroir, a violemment mordu son coiffeur au pouce, a annoncé samedi la radio SR de la ville suédoise de Jönköping.

Cela n’a cependant pas suffi à apaiser sa colère car elle s’en est ensuite prise au mobilier du salon de coiffure. Quelques mois après son explosion de colère, elle a comparu devant le tribunal de Jönköping. Elle a été condamnée à payer 9.000 couronnes (880 euros) de dommages à son coiffeur et 15.000 couronnes pour les dégâts matériels qu’elle a causé. Elle a également été condamnée à une peine de prison avec sursis pour coups et blessures.(05.09.09.)

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*Un « Spiderman » français arrive en haut des tours de Kuala Lumpur à mains nues

Mécontente de sa coiffure, une Suédoise mord son coiffeur spiderman  

Alain Robert est parvenu au sommet de l’immeuble de 88 étages et de 452 m de haut à l’aube avant d’être accueilli par des responsables de la sécurité, a indiqué le chef de la police de Kuala Lumpur. « Nous l’avons emmené au poste de police pour vérifier son passeport. Il pourrait faire l’objet de poursuites« , a-t-il ajouté. Le Français de 46 ans, aux cheveux longs, célèbre pour ses ascensions illégales d’édifices urbains, avait tenté une première fois en mars 1997 d’escalader les tours puis de nouveau en 2007 avant d’être interpellé puis relâché. Terminées en 1998, les tours jumelles Petronas ont longtemps été les plus hautes du monde avant d’être détrônées en 2004 par la tour Taipei 101 à Taïwan, haute de 508 m puis par le Burj Dubaï (688 m).  Le premier « vrai » gratte-ciel gravi par Alain Robert remonte à 1994. Il était alors monté en haut de la tour de la CityBank à Chicago.

Depuis, il a escaladé une centaine d’édifices dans le monde. Ses ascensions lui sont souvent « commandées » par des entreprises ou des associations.

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*Virée parce qu’elle écrivait ses mails en majuscules

Son nom est Vicki Walker. Cette comptable d’Auckland en Nouvelle-Zélande, a été licenciée en décembre 2007, après deux ans de bons et loyaux services.

A-t-elle été virée pour une faute grave ? Pas du tout : la raison invoquée par son patron est d’avoir « troublé l’harmonie des bureaux en utilisant des majuscules, des caractères gras et du texte en rouge dans ses emails ».La jeune femme a porté plainte pour licenciement abusif (on la comprend) et le tribunal a donné raison  à Vicki. Il a condamné l’entreprise ProCare à lui verser 8000 euro. Mais la comptable n’est pas satisfaite : elle déclare vouloir plus. Ce qui a motivé le tribunal dans sa décision, c’est que la société jugée a apporté comme seule preuve un email dans lequel Vicki donnait à son équipe des instructions sur la manière de remplir un certain type de formulaire. Dans celui-ci, elle avait utilisé du gras et de la couleur…







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