Pays-Bas – Espagne, une finale pour l’Histoire
11072010**Pays-Bas - Espagne à 19H30 à Johannesburg
*Une finale de Coupe du Monde n’est jamais un match comme les autres.
Plus historique que jamais
Qui des Pays-Bas ou de l’Espagne sera sacré champion du Monde ?
Une finale de Coupe du Monde n’est jamais un match comme les autres. Ce sera encore plus vrai pour cette édition 2010 puisque les Pays-Bas et l’Espagne n’ont encore jamais été sacrés.
Les échos de la rencontre :
Il était dit que cette Coupe du Monde en Afrique du Sud serait unique. Première sur le sol africain, première fois que les deux finalistes de la dernière édition et le pays organisateur ne passent pas le stade de la phase de groupes, et première victoire pour un pays européen en dehors des frontières du Vieux Continent. Pays-Bas ? Espagne ? Là aussi, quelque soit le lauréat dimanche soir dans le flamboyant Soccer City de Johannesburg, il s’agira d’une grande première pour ces deux nations souvent attendues mais jusque-là jamais à l’arrivée dans la reine des compétitions. Les Bataves ont bien eu leurs chances dans des temps que les moins que 30 ans ne peuvent pas connaître, mais par deux fois (1974 et 1978), ils ont échoué sur la dernière marche. La mode orange était alors au football total. Un football que Johan Cruyff a ensuite exporté… en Espagne en tant que joueur, puis entraîneur du FC Barcelone. Et c’est un peu de cet héritage que l’on retrouve dans la Roja d’aujourd’hui. «Je suis Néerlandais, mais je défends le football que pratique l’Espagne», a d’ailleurs déclaré le légendaire n°14 dernièrement.
Ce jeu tout en mouvement et en passes courtes qui fait que depuis deux ans, l’Espagne plane sur le football mondial. Sacrés champions d’Europe en 2008, les hommes de Vicente Del Bosque rêvent de réaliser un doublé unique dans ce sens depuis celui de l’Allemagne 1972-1974. Un rêve assurément à leur portée. Avec un Casillas redevenu «San Iker», un Puyol qui, en plus de ne rien lâcher derrière, se met à marquer des buts décisifs, un duo Xavi-Iniesta qui n’a pas son pareil pour distribuer les caviars, et un Villa en course pour le titre de meilleur buteur de la compétition (5 buts), les Espagnols partent même avec un léger avantage sur des Oranje, certes tout aussi impressionnants devant avec le quatuor Sneijder (5 buts également), Robben, Kuyt, Van Persie, mais peut-être plus fragiles derrière. Mais attention, car les Pays-Bas ne s’en cachent pas, ils privilégient désormais l’efficacité au beau jeu. Et jusque-là (14 victoires de suite éliminatoires et phase finale compris), cela leur a plutôt souri…
Les compositions probables :
Pays-Bas :
Stekelenburg – Van der Wiel (ou Boulahrouz), Mathijsen, Heitinga, Van Bronckhorst (cap.) – Van Bommel, De Jong – Kuyt, Sneijder, Robben – Van Persie.
Espagne :
Casillas (cap.) – Ramos, Puyol, Piqué, Capdevilla – Busquets, Xabi Alonso, Xavi, Iniesta – Pedro (ou Torres), Villa.
Ils ont dit…
Auteur d’un but sensationnel contre l’Uruguay en demies (3-2), Giovanni Van Bronckhorst prendra sa retraite sportive après cette finale. A 35 ans, le capitaine néerlandais espère partir en héros. «C’est notre tournoi. J’ai parfois le sentiment que nous ne pouvons pas perdre. Nous ne jouons pas toujours très bien, mais nous marquons aux bons moments. Je n’ai pas encore eu le sentiment que j’avais eu il y a deux ans lors de ces fantastiques matches contre la France (4-1) et l’Italie (3-0) à l’Euro 2008. Ce serait beau si cela se produisait en finale, car devenir champion du monde pour son tout dernier match, c’est quelque chose de rare.»
Pour Carles Puyol, lui aussi buteur contre l’Allemagne en demi-finales (1-0), l’Espagne arrive sur la dernière marche lancée à plein régime. «Au début du Mondial, on nous donnait favori. On a perdu le premier match (contre la Suisse, 0-1) et ça a été vécu comme un désastre. On a commencé avec ce mauvais résultat, même si on n’avait pas mal joué. Après, on a passé des épreuves et chaque fois engrangé de la confiance, et on a fini par faire notre meilleur match (contre l’Allemagne). On aborde cette finale avec beaucoup d’envie et de respect. L’Espagne et les Pays-Bas essaient de produire un jeu attractif avec des joueurs de qualité, les deux méritent d’être là.» (Le Figaro-11.07.2010.
Historique des confrontations :
Contrairement à ce que l’on pourrait penser, les Pays-Bas et l’Espagne ne se sont pas affrontés si souvent que cela. Le match au sommet de dimanche soir ne sera que la 10e confrontation entre les deux pays, qui comptent pour l’instant 4 victoires chacun (pour un match nul). Il s’agira même de la toute première en phase finale d’un grand tournoi international.
27/03/2002 : Pays-Bas-Espagne 1-0 (amical)
15/11/2000 : Espagne-Pays-Bas 2-1 (amical)
21/01/1987 : Espagne-Pays-Bas 1-1 (amical)
16/11/1983 : Pays-Bas-Espagne 2-1 (Eliminatoires Euro 1984)
16/02/1983 : Espagne-Pays-Bas 1-0 (Eliminatoires Euro 1984)
Leurs cinq derniers matches :
Uruguay-Pays-Bas 2-3 (CM 2010, 1/2 finales)
Pays-Bas-Brésil 2-1 (CM 2010, 1/4 finales)
Pays-Bas-Slovaquie 2-1 (CM 2010 (1/8 finales)
Cameroun-Pays-Bas 1-2 (CM 2010, Gr. E)
Pays-Bas-Japon 1-0 (CM 2010, Gr. E)
Allemagne-Espagne 0-1 (CM 2010, 1/2 finales)
Paraguay-Espagne 0-1 (CM 2010, 1/4 finales)
Espagne-Portugal 1-0 (CM 2010 (1/8 finales)
Chili-Espagne 1-2 (CM 2010, Gr. H)
Espagne-Honduras 2-0 (CM 2010, Gr. H)
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*JOHANNESBURG (AFP) – Historique! Un pays européen sera pour la première fois champion du monde hors du vieux continent à l’issue de la finale entre Pays-Bas et Espagne, sommet rêvé pour les deux meilleurs buteurs du tournoi Sneijder et Villa (5 buts) dimanche à Johannesburg (20h30, 18h30 GMT).Qui soulèvera la Coupe dans un magnifique Soccer City vibrant du bourdonnement des vuvuzelas ? Deux pays, jamais sacrés depuis la création du Mondial en 1930, attendent dans la ferveur le dénouement de la première Coupe du monde sur le sol africain.
L’Espagne, championne d’Europe en 2008, n’avait jamais accédé à la finale d’un Mondial. Régionalisme et rivalité Barça/Real sont rangées au placard en attendant la reprise de la Liga et 46,6 millions d’Espagnols, dingues de ballon rond, rêvent d’imiter l’Allemagne pour doublé Euro-Mondial (1972-1974). La France l’avait réalisé dans l’autre sens, Mondial-Euro (1998-2000).Les Pays-Bas, petite nation de 16,5 millions d’habitants mais grande terre de football, accèdent pour la troisième fois à la finale d’un Mondial après les échecs de 1974 contre l’Allemagne et de 1978 contre l’Argentine. Arjen Robben et Wesley Sneijder réussiront-ils là où Johan Cruyff, l’incarnation du football total, a échoué en 1974 ?La légende vivante hollandaise — absente au Mondial-1978 — rend pour l’heure les Oranje amers, assénant dans sa chronique au journal El Periodico: “Pour qui suis-je ? Je suis Néerlandais mais je défends le football que pratique l’Espagne”.L’ancien numéro 14, astre du grand Ajax et du Barça, ne peut que se reconnaître dans le jeu de passes à une touche de l’Espagne, ce “toque” si chatoyant et si efficace dans les pieds des orfèvres Xavi et Iniesta. Façonné par un Luis Aragones qui avait su tirer les leçons d’un 8e de finale désastreux face à la France au Mondial-2006 (3-1), ce football flamboyant avait crevé l’écran à l’Euro-2008.Etre dépositaire du label “beau jeu” est un fardeau bien lourd à porter mais Vicente Del Bosque, qui a pris la succession d’Aragones après l’Euro, s’est acquitté de la tâche sans ciller, dans une Espagne qui n’aurait pas compris que sa Furia Roja n’aille pas au bout de la compétitionLa défaite inaugurale dans ce Mondial contre la Suisse (1-0) a été retentissante mais les rois du beau jeu n’ont pas vacillé sur leur trône.David Villa, la “Maravilla”, “merveille” en espagnol, a conclu les mouvements ciselés par le duo Xavi-Iniesta, ses futurs partenaires au Barça, pour guider sa sélection vers la finale et prendre la tête du classement des buteurs, avec 5 réalisations, à égalité avec Wesley Sneijder. Il sera donc question de buteurs dans la “Calebasse” de Soccer City. Villa, déjà sacré meilleur buteur de l’Euro-2008 (4 buts), connaîtra-t-il une nouvelle consécration collective et individuelle ?Sneijder s’approchera-t-il encore un peu plus du Ballon d’or après son triplé Ligue des champions-championnat-Coupe d’Italie avec l’Inter Milan cette saison ?Le petit meneur (1,70 m) a déjà envoyé le Brésil en enfer en quart de finale (2-1). Mais cette fois, il y aura en face de lui Iker Casillas, redevenu “San Iker” dans les buts.Fernando Torres, fantomatique dans les rangs espagnols, se réveillera-t-il ? C’est lui qui avait marqué le but de la victoire lors de la finale de l’Euro contre l’Allemagne (1-0). Après un tournoi en demi-teinte, le “Kid” de Liverpool avait sorti “Le” grand match. Juan Carlos, roi d’Espagne, en avait esquissé un pas de danse en tribunes.(10.07.2010.) La nuit du mercredi 7 au jeudi 8 juillet 2010, a été longue en Espagne où tout un peuple a hurlé sa joie après la victoire sur l’Allemagne (1-0) qui qualifiait «la Roja» pour sa première finale de Coupe du monde. Verdict ce dimanche
Mardi 6 juillet 2010, à Rotterdam, aux Pays-Bas, les supporters ont célébré dans la liesse et jusqu’au petit matin la qualification de leur équipe pour la finale de la Coupe du monde de football après leur victoire 3-2 contre l’Uruguay.
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**vidéo…ici: Le sorcier poulpe du foot
+ Plus fort que Paul le poulpe, Mani le perroquet ?
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*rire avec L’humoriste Abdelkader Secteur
**AbdelKader Secteur et le foot
*Les préhinscriptions commenceront à partir du 12 juillet 2010 dans les universités algériennes….cliquer ici: Que faire après le bac ? (Inscriptions)
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*L’Allemagne termine en beauté et occupe la 3ème place
Pour la quatrième fois de son histoire, et comme en 2006, l’Allemagne termine troisième d’une Coupe du monde (1934, 1970, 2006) grâce à sa victoire (3-2) face à l’Uruguay dans la petite finale. (Photo Presse-Sports)
L’Allemagne va forcément quitter l’Afrique du Sud avec quelques regrets. Notamment celui d’avoir été trop timide contre l’Espagne en demi-finale (0-1). Son dernier succès, ce samedi soir à Port Elizabeth au stade Nelson Mandela face à l’Uruguay (3-2), ne la consolera pas complètement. C’est certain. Mais il prouve que cette équipe fait bel et bien partie des meilleures équipes du monde, aussi bien techniquement que mentalement. Le manque d’expérience de cette Nationalmannschaft, la plus jeune en Coupe du monde depuis 1934, n’a pas pardonné face aux champions d’Europe espagnols en demies. Face à l’Uruguay, cela n’a pas été un handicap tant son mental a encore été à la hauteur. Menée 2-1 à quarante minutes de la fin, la bande à Joachim Löw n’a pas baissé la tête, revenant vite au score grâce à Jansen, bien aidé par la sortie hasardeuse de Muslera (56e). Avant de faire plier la forteresse uruguayenne sur un corner mal dégagé par la défense, dont Khedira a bien profité (82e).
Klose ne dépassera pas Ronaldo cette année
L’Allemagne ne sera pourtant pas championne du monde, un titre après lequel elle court depuis 1990. Son rêve depuis qu’elle a battu l’Angleterre (4-1) en quart de finale puis l’Argentine en demie (4-0). Elle ne gagnera pas non plus son premier titre depuis 1996 et l’Euro organisé sur son sol. Et Miroslav Klose, apparemment blessé au dos et donc remplaçant ce samedi soir, ne deviendra pas, en tout cas pas tout de suite, le meilleur buteur de l’histoire de la Coupe du monde. Son compteur reste bloqué à 14 unités avant le prochain Mondial qui se déroulera sur ses terres d’origine, en Pologne. A 32 ans, il fait d’ailleurs partie des rares joueurs de cette équipe à ne pas être sûr de rejouer une telle compétition. Il quitte donc lui aussi l’Afrique du Sud avec un goût d’inachevé dans la bouche. Logique.
*Forlan et Müller reviennent sur Villa avec cinq buts
Alors finalement, seuls les Uruguayens, même s’ils sont passés tout près d’un exploit énorme contre les Pays-Bas en demie (2-3), peuvent s’estimer heureux de finir dans le dernier carré. D’une part parce qu’avant le tournoi, personne ou presque n’aurait misé un centime sur eux. Mais aussi parce que sans la main miraculeuse de Suarez sur sa ligne à la 120e minute du quart de finale contre le Ghana (1-1, 4-2 aux tab), ils n’auraient sans doute jamais franchi les quarts. Diego Forlan, lui, a vraiment frôlé l’exploit. Auteur d’une volée magnifique à la 51e minute, il termine avec cinq buts au compteur et aurait pu passer devant David Villa et Thomas Müller, premier buteur du soir (19e) et auteur de trois passes décisives dans le tournoi, au classement des buteurs. Mais son coup franc à la dernière seconde a fracassé le haut de la barre de Butt. Personne ne lui en voudra, tant son Mondial fut énorme. Pas plus qu’à l’Allemagne, que les amateurs de beau jeu ont envie de retrouver au plus vite. (France Football-10.07.2010.)
**L’Allemagne a eu le dernier mot
La joie des Allemands autour du buteur Thomas Müller
Au terme d’une rencontre très agréable et à rebondissements, l’Allemagne a pris la troisième place de cette Coupe du Monde 2010 en dominant l’Uruguay (3-2).
Uruguay-Allemagne 2-3
Uruguay : Cavani (28e), Forlan (52e)
Allemagne : Müller (19e), Jansen (57e), Khedira (82e)
Comme en 2006, l’Allemagne finit le Mondial au pied du podium après ce succès arraché face une courageuse équipe uruguayenne. Si la première alerte était signée Forlan sur coup franc (8e), c’est l’Allemagne qui occupait le camp adverse avec un jeu plus posé. Après une sérieuse alerte provoquée par Friedrich, qui touchait du bois sur corner (11e), la Mannschaft débloquait le score grâce à un essai surpuissant de Schweinsteiger qui obligeait Muslera à repousser sur Müller, buteur opportuniste (0-1, 19e). Mais se reposant sur ce maigre acquis, la bande à Löw s’endormait alors et laissait venir des Uruguayens plus mordants. La preuve ? Une récupération rageuse de Perez dans les pieds de Schweinsteiger permettait à Suarez de pouvoir servir Cavani qui ne manquait pas son face-à-face avec Butt (1-1, 28e). Une égalisation méritée pour des Sud-Américains plus concernés. Et tout près de prendre l’avantage par Suarez (42e, 49e).
Mais la lumière allait venir de Forlan qui récompensait les meilleures dispositions de la Celeste en étant l’auteur d’une superbe volée qui surprenait totalement Butt (2-1, 52e). Mieux dans le jeu, l’Uruguay avait cependant un point faible : son gardien. Muslera commettait en effet une bourde en étant devancé par Jansen sur un centre pourtant anodin de Boateng (2-2, 57e). Un fait de match qui équilibrait la rencontre et la débridait complètement. Les occasions défilaient alors, Cacau et Ozil gâchant un contre (59e), Suarez (63e) et Forlan (66e) sollicitant Butt de l’autre côté ou encore Kiessling, fraîchement entré, obligeant Muslera à être vigilant (77e). Les hommes de Löw finissaient plus fort devant des Uruguayens plus émoussés et qui cédaient dans les dernières minutes suite à un corner où aucun n’a pu empêcher Khedira de pouvoir ajuster Muslera (2-3, 82e). Triste dénouement pour une Celeste méritante et qui touchait même du bois dans les ultimes secondes sur un coup franc de Forlan (93e). L’Allemagne a eu le dernier mot…
Tactique et coaching
4-4-2 à plat aligné par Tabarez au coup d’envoi mais qui pouvait se muer en dispositif en losange avec Forlan pour mener le jeu derrière Cavani et Suarez. Cela a quelque peu troublé la défense allemande régulièrement prise en défaut. Pour apporter plus de fraîcheur, Abreu et Gargano sont entrés, ce dernier remplaçant un Diego Perez ayant réussi sa Coupe du Monde. Côté allemand, Löw a aligné un 4-5-1 habituel en alignant un couloir gauche inédit (Jansen-Aogo) qui a pas mal souffert. Klose, blessé, n’a pas pu entrer en jeu et en restera à 14 buts en Coupe du Monde. Cela a notamment profité à Kiessling, qui s’est signalé d’entrée par deux grosses occasions.
La performance du gardien uruguayen, Fernando Muslera. Le portier de la Lazio n’a jamais été rassurant sur les balles aériennes. Passé près de la correctionnelle à plusieurs reprises, il a fini par commettre la bourde de trop en encaissant ce deuxième but malheureux. Cela a remis l’Allemagne dans le coup qui a mieux terminé cette partie. Au grand dam de la Celeste si fringante jusque-là… (Le Figaro-10.07.2010.)
***Lire par ailleurs: L’Algérie compte 35,6 millions d’habitants
*info générale : Algérie: séisme de 3,9 à Sétif
AFP
11/07/2010 |
Une secousse tellurique d’une magnitude de 3,9 a été enregistrée ce matin à Bir Haddada près de Sétif à 300 km à l’Est d’Alger, a indiqué le Centre de recherche en astronomie, astrophysique et géophysique (CRAAG).
L’épicentre de la secousse, qui a été ressentie à 10h26, a été localisé à 17 km au sud de Sétif, précise le CRAAG, cité par l’agence APS. Aucun dégat ni victime n’ont été signalés.
L’Algérie enregistre en moyenne 60 secousses telluriques par mois de magnitude faible à modérée qui ne provoquent pas de dégâts, ponctuées par des séismes de magnitude comprise entre 4 et 5, selon le CRAAG.
Le 7 juillet, un tremblement de terre d’une magnitude de 3,4 avait été enregistré près de Bordj Bou Arreridj, à quelque 240 km au Sud-Est d’Alger. Trois personnes avaient été tuées et plus de 80 blessées le 14 mai à Beni Ilmène, près de M’sila (250 km au Sud-est d’Alger), dans un séisme de 5,2 de magnitude, selon un bilan officiel.
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