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Obama: les USA ne seront « jamais en guerre contre l’islam »

11092010

**Les Etats-Unis ne sont et ne seront « jamais en guerre contre l’islam », a assuré samedi le président Barack Obama, appelant ses compatriotes à la « tolérance » lors d’une cérémonie marquant le neuvième anniversaire des attentats du 11-Septembre près de Washington. 

«Nous appelons peut-être Dieu par des noms différents, mais nous demeurons une nation», a déclaré Barack Obama vendredi. 

 

*Les Etats-Unis ne sont et ne seront « jamais en guerre contre l’islam », a assuré samedi le président Barack Obama, appelant ses compatriotes à la « tolérance » lors d’une cérémonie marquant le neuvième anniversaire des attentats du 11-Septembre près de Washington.
Après la polémique entourant le projet d’un pasteur extrémiste de brûler des exemplaires du Coran, M. Obama a répété que les instigateurs du 11-Septembre « peuvent bien essayer de nous séparer, mais nous ne céderons pas à leur haine et à leurs préjugés ».
« Les Ecritures nous enseignent d’abandonner amertume, ressentiment et colère, bagarre et insulte, et toute autre forme de méchanceté », a encore dit le président lors d’une courte cérémonie près du Pentagone, sur lequel les pirates de l’air d’Al-Qaïda avaient dirigé l’un des quatre avions détournés il y a neuf ans.
« Ils peuvent bien essayer de provoquer des conflits entre nos croyances, mais en tant qu’Américains, nous ne sommes pas et ne serons jamais en guerre contre l’islam. Ce n’est pas une religion qui nous a attaqués en ce jour de septembre. C’était Al-Qaïda. Un groupe pitoyable d’hommes qui pervertissent la religion », a encore dit M. Obama.
« Et tout comme nous condamnons l’intolérance et l’extrémisme à l’étranger, nous respectons notre essence de pays de diversité et de tolérance », a développé le président, qui avant de se rendre au Pentagone, dans la banlieue sud de Washington, s’était recueilli à la Maison Blanche, à l’heure précise (08H46, 12H46 GMT) à laquelle un des avions avait frappé la première tour du World Trade Center à New York.
De son côté, l’épouse de M. Obama, Michelle, a exprimé son « admiration pour l’héroïsme » d’Américains ordinaires il y a neuf ans, lors d’une cérémonie à Shanksville, à 200 km au nord-ouest de Washington.
C’est dans un champ de cette petite localité rurale de Pennsylvanie (est) que s’était écrasé le vol 93 d’United Airlines, quatrième avion détourné par Al-Qaïda après ceux qui avaient percuté le World Trade Center et le Pentagone, tuant ses 40 passagers.
Les passagers, informés par téléphone des attentats de New York, avaient tenté de reprendre le contrôle du Boeing 757. L’objectif précis du détournement du vol 93 reste à ce jour inconnu, tout comme les circonstances exactes de la catastrophe.
Les enquêteurs estiment qu’Al-Qaïda voulait faire s’écraser l’appareil dans la capitale fédérale, sur la Maison Blanche ou plus vraisemblablement le Capitole (siège du Sénat et de la Chambre des représentants).
Sur les lieux d’un monument à la mémoire des victimes qui sera géré par le service des parcs nationaux, Mme Obama a affirmé que les passagers « savaient qu’il y avait 98% de risques de ne pas s’en sortir », mais qu’ils avaient décidé de sauver d’autres vies.
« Les hommes et les femmes dans cet avion n’avaient jamais rencontré les personnes dont ils allaient sauver la vie, mais ils ont volontairement fait ce sacrifice », a-t-elle dit, précédée au micro par l’ancienne Première dame des Etats-Unis Laura Bush. (AFP-11.09.2010.)

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« Carla, une vie secrète » : la bio explosive qui agace l’Elysée

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«J’ai une certitude : la Carla que les Français voient n’est pas la vraie.» Auteur de Carla, une vie secrète (à paraître mercredi aux éditions Flammarion), Besma Lahouri promet des révélations explosives. Journaliste, elle a mené durant dix-huit mois une enquête sans concessions sur la première dame de France. Sa jeunesse, ses amis, ses amours… Tout y passe. N’ayant cependant pas pu rencontrer Carla Bruni-Sarkozy, elle livre à l’arrivée une biographie non autorisée qui agace passablement l’Elysée.

Selon Le Parisien, l’entourage du chef de l’Etat a longtemps cherché à se procurer le livre avant sa sortie en librairie. «Sans préciser par quel biais, les conseillers du président y sont finalement parvenus en fin de semaine et l’ont décortiqué pour savoir s’ils allaient lui donner une suite judiciaire ou pas. A priori, ce ne sera pas le cas, mais la question restait ouverte vendredi soir. C’est dire l’inquiétude que l’ouvrage a suscitée.» Besma Lahouri assure d’ailleurs que Pierre Charon, proche conseiller de Nicolas Sarkozy, a tenté de la dissuader de poursuivre ses investigations pour écrire le livre.

«Politiquement, elle devient une gêne pour son mari»
Goût exacerbé pour l’argent, obsession du paraître, conquêtes amoureuses multiples, vacuité de sa fondation humanitaire… Si l’on en croit les quelques fuites publiées ici et là, c’est peu dire que le portrait dressé par Besma Lahouri est peu flatteur pour la première dame. «Carla est quelqu’un qui vit dans le XVIe arrondissement de Paris, entourée de personnel. Elle n’a aucun contact avec la réalité et vit dans une bulle dorée, juge la journaliste. Elle n’est pas proche des Français et s’intéresse surtout à son image qu’elle cherche à maîtriser par tous les moyens. Elle se dit de gauche, mais on ne l’entend plus sur aucun sujet d’actualité. Politiquement, elle devient une gêne pour son mari.»

Pour étayer son ouvrage, Besma Lahouri assure avoir rencontré des dizaines de ses proches, des photographes de mode aux stylistes, en passant par des parlementaires français. «C’est une enquête journalistique et 80% des personnes que j’ai interrogées sont nommément citées», assure-t-elle.

Echos peu flatteurs à l’étranger

UK_TT.jpgTout en se défendant d’«avoir voulu écrire un livre sulfureux sur la vie privée de Carla Bruni», Besma Lahouri justifie sa biographie en soulignant qu’«aucun travail d’enquête n’a été fait sur elle depuis qu’elle est devenue l’épouse du président». «Tout ce qui s’écrit à son sujet est toujours très sympathique, jamais critique», poursuit-elle dans l’hebdomadaire Marianne. Simple hasard ou symbole des liens étroits entre people et politique – nous plaiderons évidemment pour la seconde option -, c’est d’ailleurs Marianne (et non Paris-Match, Voici ou Gala) qui publie les «bonnes feuilles» de la biographie «que l’Elysée veut étouffer».

L’éditeur Flammarion, qui a longuement fait relire l’ouvrage à ses avocats afin d’éviter tout ennui judiciaire, assure qu’«il s’agit d’une enquête sans connivence, ni parti pris». Selon Le Parisien, l’ouvrage a été tiré à 25.000 exemplaires et reçoit déjà des coups de fil de la presse internationale. Les premiers échos ne sont pas flatteurs. Outre-Manche, le Telegraph et le Daily Mail ont notamment retenu que «Carla Bruni a humilié son mari en invitant trois de ses ex durant les vacances». «Fidèle en amitié et inconstante en amour», a écrit samedi le très sérieux Times à propos de la première dame de France, tout en titrant à sa une : «Les secrets de Carla Bruni : le livre qui secoue la France».

9782354170721.jpgJeudi, un autre livre, Carla et les ambitieux, paraîtra aux Editions du Moment. Ecrit par les journalistes Michaël Darmon (service politique de France 2) et Yves Derai (journaliste indépendant), celui-là a reçu l’aval de l’Elysée, puisque la première dame a accordé plusieurs heures d’interview aux auteurs. Ces dernières semaines, des rumeurs, démenties par les auteurs, affirmaient que cet ouvrage avait été purement et simplement commandé par l’Elysée comme un contre-feu à la sortie peut-être plus embarrassante, du livre de Besma Lahouri. (Blog-Le Figaro-11.09.2010.) 

**La barbe de Sarkozy choque le Daily Mail

sarkozybarbe.JPGNicolas Sarkozy a peut-être lu dans L’Express que 60% des femmes étaient plus attirées par les barbus que par les hommes rasés de près, il n’empêche que sa pilosité vacancière ne plaît guère à nos voisins britanniques. Dans un article richement illustré, le Daily Mail insiste longuement sur le contraste entre «l’élégance» de la première dame de France et le «laisser-aller» de son mari, grisonnant, mal rasé et transpirant.

«Vêtu de jeans, Nicolas Sarkozy semble avoir eu un peu chaud sous la chemise», écrit, mi-amusé mi-offusqué, Chris Johnson. Et le Daily Mail de souligner l’important bronzage du président français, décidément très éloigné de son look élégant. «Carla a également été photographiée en train d’éclater de rire. Peut-être pour une plaisanterie de sa moitié. Ou peut-être parce qu’elle était en train de se moquer de sa barbe.» Et toc ! Pour le Daily Mail, vacances ou pas, «French President Sarkozy» n’a qu’à bien se raser ! Quand on vous dit que la politique, c’est aussi une affaire de style…

**Midnight in Paris, brèves de tournage

XTC103.jpgVingt-quatre heures après l’apparition publique de Carla Bruni-Sarkozy sur le plateau de Midnight in Paris, la dernière comédie de Woody Allen, les langues se délient sur la performance de la première dame. Difficile de se faire une opinion. Les avis divergent sensiblement si on lit le magazine américain People ou le tabloïd anglais le Daily Mail.

People préfère se concentrer sur la bonne humeur régnant entre Carla Bruni-Sarkozy et l’équipe de Midnight in Paris. Un observateur assure que «Carla et Woody se sont très bien entendus, ils ont constamment parlé et ri entre les prises». De même l’ex-mannequin a discuté avec animation avec l’acteur américain Owen Wilson. Selon cette source, Carla est restée cinq heures à tourner dans le quartier du Panthéon. Elle a filmé à plusieurs reprises la même scène, à priori sans dialogue : baguette à la main, elle rentre dans une épicerie du bas de la rue Mouffetard.

Pour People le nombre de prises nécessaires lors de la scène de l’épicerie se sont montées à 32. Pour le Daily Mail à 35. «Elle semblait avoir du mal à ne pas fixer la caméra, ce qui n’a pas fait bonne impression sur Woody Allen», explique le tabloïd qui cite un badaud. «Cette scène de la baguette n’aurait pu être plus simple mais Carla en faisait une grande affaire. C’est pour ça qu’on a dû la filmer encore et encore, Woody Allen discutait avec elle, mais avec beaucoup de respect… Carla était entourée de vigiles», poursuit le journal. Lors d’une autre séquence, nocturne cette fois, la première dame a reçu la visite de Nicolas Sarkozy.

XTC108.jpg Étant une novice, Carla Bruni-Sarkozy avait anticipé ses éventuelles lacunes en tant que comédienne. «Je ne suis pas une actrice, je serai peut-être nulle mais je ne peux rater la chance de ma vie. Quand je serai grand-mère, j’aimerais pouvoir dire «j’ai fait un film avec Woody Allen», expliquait-elle à Canal+ en novembre dernier.

La chanteuse, qui joue le rôle d’une directrice de musée, devait encore tourner mercredi, cette fois au côté de Marion Cotillard, qui interprète son assistante. Ensuite, elle partira en vacances avec le chef de l’État dans sa propriété du Cap Nègre.**Silence Woody tourne…

Aucune photo n’a encore filtré mais les paparazzis peuvent affuter leurs objectifs. La chasse est ouverte : Woody Allen a commencé ce matin le tournage de Midnight in Paris, sa comédie romantique réunissant Owen Wilson, Rachel McAdams, Marion Cotillard, Adrien Brody et Carla Bruni-Sarkozy. Selon l’AFP, des premières scènes avec Marion Cotillard ont été filmées «dans une petite rue discrète d’un quartier populaire de Paris sur la rive droite dans un immeuble haussmannien».

Des nombreuses célébrités qui doivent apparaître dans le long métrage, commerçants et habitants du quartier n’ont, pour le moment, vu «personne». A leur grand regret. Les fenêtres de l’appartement utilisé ont été obstruées par des tentures noires. Au pied de l’immeuble, deux camions de régie, une poignée de figurants et des techniciens munis de talkie-walkies trahissaient la présence du tournage qui est entouré du plus grand mystère.

woody allen 1er juillet.jpgSelon RTL, les plateaux seront interdits à la presse, à l’exception de quelques journalistes américains triés sur le volet. Interrogés sur les acteurs et le type de scène tournés lundi, les membres du staff technique et de la production sont restés muets. Seule révélation de ce premier jour de travail, le cadre de Midnight in Paris. L’histoire de cette famille qui se rend en France pour affaires se déroule dans les années 20.

Carla-Bruni-Sarkozy, qui interprète la directrice d’un musée, devrait tourner ses scènes au Bristol début août. Le tournage de ce «Woody Allen Summer Project» est prévu pour durer jusqu’au 18 août.

**Nicolas Sarkozy, « amant rêvé des Françaises »

Lorsque j’ai eu vent de ce sondage, ce week-end, je n’ai pas attendu la fin du match pour aller acheter le dernier Grazia. Un euro et cinquante centimes pour ce titre en Une : «Sarkozy, l’amant rêvé des Françaises !». Et surtout, pour les trois pages intérieures consacrées à ce sondage «exclusif» réalisé par le CSA* pour le «meilleur nouveau magazine de l’année» (puisque c’est écrit en une).

Le chapeau de l’article est prometteur : «Quel politique dans leur lit ? Et dans leur vie ? Moins futile qu’il n’y paraît, ce sondage en dit long sur ce que les Françaises attendent des grands fauves qui nous gouvernent». La suite n’est pas moins décevante : «Les Françaises attendent [des hommes politiques] qu’ils soient des hommes, avec toutes leurs complexités et facettes qu’implique un tel statut : à la fois copain, confident, mari et père de leurs enfants».

IMG_0517.jpgA ce petit jeu-là, Nicolas Sarkozy est élu «meilleur amant» avec 11% des suffrages, devant Dominique de Villepin (8%) et Arnaud Montebourg (3%). «C’est l’effet Carla qui semble jouer ici. Car prendre comme amant le tombeur de l’ex-croqueuse d’hommes, n’est-ce pas réaliser un fantasme vieux comme la nuit des temps et se mettre, l’espace de quelques heures, dans la peau de la Princesse au petit pois ?», analyse Grazia.

François Fillon, lui, remporte la palme du «meilleur mari» avec 12% des voix, devant Olivier Besancenot (10%) et Dominique Strauss-Kahn (3%). Besancenot, justement, est présenté comme le «grand gagnant» du sondage, en terminant «meilleur papa» (12%), «meilleur confident» (12%) et 2e «meilleur mari» (10%). Quant à Jean-Louis Borloo, sa caricature d’aimable alcoolique et de boute-en-train notoire aux Guignols de l’Info lui permet de caracoler en tête dans la catégorie «meilleur pote de fête» (17%), devant Daniel Cohn-Bendit.

40% des femmes ont préféré ne pas répondre

Il y a à mon sens deux choses intéressantes à retenir de cet «article». D’abord, que les détails qui filtrent ici et là de la vie privée des politiques – en bien comme en mal – semblent avoir quelque influence (même infime) sur la perception que les Français(e)s ont de ces mêmes politiques. Fillon et son image de premier de la classe, sérieux et réservé (meilleur mari) ; Borloo et son image de mec bien sous tous rapports (meilleur pote) ; Sarkozy et sa réputation bling-bling (meilleur amant)…

Ensuite – et c’est peut-être là l’enseignement principal à retenir de ce sondage CSA/Grazia, bien peu mis en valeur par l’hebdomadaire (et on le comprend) -, contrairement à ce que l’on veut souvent faire croire, ce genre de sondage ne passionne absolument pas les Français(e)s. Pour preuve, «quasiment 40% des femmes (interrogées) ont préféré ne pas répondre» aux questions.

*Sondage CSA pour Grazia réalisé par téléphone les 26 et 27 mai 2010. Echantillon national représentatif de 1.057 femmes âgées de 18 ans et plus. Méthode des quotas. **Carla, «l’atout charme de la réconciliation franco-chinoise»

Préparées par de longs mois de tractations diplomatiques, les retrouvailles franco-chinoises connaissent un éclat particulier avec la présence de Carla Bruni-Sarkozy au côté de son mari. Les Chinois ont été particulièrement séduits par l’élégance et la bonne humeur de la première dame, raconte Arnaud de la Grange correspondant du Figaro en Chine. Un glamour qui rejaillit sur l’image de Nicolas Sarkozy.

Carla Bruni chine hu jintao.jpg

Comment les Chinois perçoivent la venue de Carla Bruni-Sarkozy ?

ARNAUD DE LA GRANGE – C’est un grand honneur. Sa venue a été confirmée au dernier moment et les Chinois ont noté qu’elle n’accompagne pas le président de la République à chaque déplacement. Les Chinois remarquent aussi que la première dame se prête très bien au jeu, sourit, parle aux gardes du corps. Ses déclarations leur ont beaucoup plu, notamment lorsqu’elle indiquait que c’était la première fois qu’elle se rendait en Chine et qu’elle y trouvait éblouissant ce qu’on lui présentait.

Physiquement, elle est impressionnante. Hier au grand palais du peuple elle faisait 20 cm de plus que tout le monde ! En Chine, il y a une grande curiosité pour les célébrités. La presse rappelle son passé de mannequin, son audace, son look… Lors du dîner d’Etat, dans sa robe noire sans manche et avec une fine ceinture, elle est parue très élégante. Cela fait forte impression sur les Chinois qui sont fascinés par la beauté et le glamour occidentaux et dont les dirigeants se montrent peu en public avec leurs épouses.

En veut-on à Carla Bruni-Sarkozy d’avoir rencontré le dalaï-lama en août 2008 ?

Les internautes en parlent. Ils se demandent si elle a de la sympathie pour lui mais sont rassurés par le fait qu’elle soit venue, ce dont ils n’étaient pas certains. Cependant, on ne lui reproche pas la chose puisqu’elle donne l’impression d’être contente d’être là. C’est ce qui compte pour les Chinois.

Sa présence a-t-elle contribué à rendre Nicolas Sarkozy plus populaire ?

La pente était très dure à remonter, le glamour a aidé. Les relations franco-chinoises ont été marquées jusque là par un antagonisme très fort et personnalisé. La colère des Chinois s’est focalisée sur le chef de l’Etat après son entrevue avec le dalaï-lama. Carla est un atout charme majeur dans la visite de Nicolas Sarkozy et dans le rabibochage entre Pékin et Paris.

Certains blogueurs chinois s’amusent aussi du parallèle entre Carla et une belle chanteuse chinoise, Peng Liyuan, qui est la femme de celui qui sera sans doute le futur président chinois en 2012, Xi Jinping. Ils se disent que Nicolas Sarkozy et Xi Jinping auront un point commun féminin dans l’avenir.**Rendez-vous de minuit pour Carla Sarkozy

Carla Bruni aux USA 2010.jpgCarla Bruni-Sarkozy aura bien rendez-vous avec les cinéphiles. Mettant fin à des mois de spéculation, Woody Allen a confirmé la présence de la première dame dans son prochain film. Annoncée l’année dernière, cette collaboration avait semblé un temps menacée par les obligations officielles de l’ancienne mannequin.

Woody Allen en a aussi profité pour donner le titre de sa comédie : Midnight in Paris. Le tournage commencera cet été dans la capitale et réunira Owen Wilson, Kathy Bates, Michael Sheen, Marion Cotillard et Rachel McAdams. Cette comédie suivra une famille se rendant à Paris pour affaire. Parmi les voyageurs se trouve un jeune couple récemment fiancé qui découvrira que l’herbe n’est pas forcément plus verte de ce côté ci de l’Atlantique.

Ce sera le premier vrai rôle d’actrice de Carla Bruni-Sarkozy qui jusqu’à présent s’était contentée de jouer son propre rôle comme dans Prêt-à-porter de Robert Altman en 1994.

Le père de Sarkozy défavorable à une candidature en 2012

Abaca_156466_08.jpgEt de deux. Après Carla Bruni, c’est autour du père de Nicolas Sarkozy de se montrer réservé sur un second mandat de Nicolas Sarkozy à l’Elysée. «C’est lui qui décidera, mais, personnellement, je pense qu’il aura une vie beaucoup plus tranquille et beaucoup plus confortable s’il ne se représente pas» en 2012, estime Pàl Sarkozy dans un entretien au Parisien. «C’est une opinion de père qui aime son fils et qui aimerait le voir heureux», détaille l’octogénaire, qui sort ses mémoires. «Je peux imaginer le poids des soucis qu’il porte : entre la crise économique, le chômage, les gens dans la rue…». Une préoccupation qui recoupe celle exprimée à plusieurs reprises par Carla Bruni. Dans un entretien à paraître samedi dans le Figaro Madame, la première dame affirme ne pas que son mari se représente. «Peut-être ai-je peur qu’il y laisse sa santé, peut-être ai-je envie de vivre ce qui nous reste à vivre dans une certaine paix ?» se défend-t-elle.

D’ailleurs pour Pàl, son fils a fait du mieux qu’il a pu dans une situation difficile. «Il n’a pas eu de chance». «La crise mondiale est arrivée peu de temps après son élection, il a su y faire face avec beaucoup de courage». Pour autant la politique n’est pas un sujet qu’abordent les deux hommes. «C’est tabou, surtout en famille. En revanche, lorsqu’il m’arrive de le voir en tête-à-tête à l’Elysée, il me parle de sa vie…», même s’il reste «très discret» sur les difficultés de sa fonction, confie-t-il.

«Au début, Nicolas n’était pas très chaud»

Avec la sortie de son autobiographie Tant de vie, Pàl Sarkozy est devenu un incontournable des plateaux. Il est apparu dans Vie Privée, vie publique, le Grand Journal, l’Express et Le Figaro ont publié aujourd’hui des extraits et le 9 avril il sera l’invité de Grosses Têtes. L’ancien publicitaire devenu peintre explique au Parisien avoir décidé de coucher ses souvenirs sur papiers pour répondre aux «fausses accusations» de nombreux ouvrages, consacrés au chef de l’Etat, qui l’accusaient parfois d’avoir délaissé ses enfants. «Contrairement à la légende, je ne les ai jamais abandonnés, physiquement ou financièrement mais il est exact que ce sont leurs mères qui ont pris en charge leur éducation», assure-t-il dans son livre.

Plus jeune, Nicolas Sarkozy était « très volontaire, travailleur et parfois coléreux », se souvient Pàl Sarkozy dans son interview. Le père du chef de l’Etat confirme avoir demandé l’autorisation de Nicolas Sarkozy avant d’entamer la rédaction de ses mémoires. « Au début, il n’était pas très chaud mais je l’ai tout de même fait, en lui transmettant mes écrits à chaque fois que je terminais 50 pages », explique-t-il. Selon lui, le président « n’a jamais proposé la moindre correction ». Dans Tant de vie, Pàl Sarkozy revient sur son enfance en Hongrie, son arrivée en France après avoir fui les communistes, sa vie de famille comme son goût immodéré pour les femmes. «L’amour est une solution aux états d’âme. Mes amours furent autant de délicieux foutoirs que de réels engagements», professe-t-il dans ses mémoires.

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Les débuts sur grand écran de Carla Bruni menacés ?

carla bruni espagne ap.jpgSon agenda de première dame empêchera-t-il Carla Bruni-Sarkozy de faire ses premiers pas au cinéma ? L’épouse du chef de l’Etat avait annoncé fin novembre avoir dit oui avec enthousiasme à Woody Allen pour participer à la comédie qu’il tournera cet été à Paris. Mais c’était peut-être compter sans les contingences logistiques. Invité de la radio télévision suisse, le réalisateur américain s’est montré circonspect sur la présence de l’ex-mannequin au générique.

«J’espère qu’elle acceptera d’être une des actrices du film», a confié le réalisateur de Tout le monde dit I love you. «Carla Bruni n’est pas une dame qui gagne sa vie en tant que comédienne. C’est la première dame du pays. A tout moment, elle peut être prise par d’autres obligations, un déplacement dans un pays étranger, une crise politique…» a-t-il observé.«Avec une actrice on fait un contrat. Avec Carla, il faut tenir compte des risques qu’il peut y avoir, des événements de dernière minute».

Saluant à nouveau le charisme de la première dame, Woody Allen a donné quelques précisions sur le personnage qu’il lui réservait. L’interprète de Quelqu’un m’a dit ne jouera pas son propre rôle, comme elle l’avait fait par le passé, ni un premier rôle. «C’est trop compliqué dans le temps», remarque le cinéaste. «Mais ce serait intéressant de la voir dans un rôle distrayant et amusant qui aurait un véritable impact sur le film».

*La poitrine de Carla Bruni-Sarkozy émeut la presse internationale

FRANCE-RUSSIA-SARKOZY-ME-20100302-203148[1].jpgEn France, peu de médias – en dehors de la presse people – se sont attardés à la tenue que portait Carla Bruni-Sarkozy mardi soir à l’Elysée, à l’occasion d’un dîner officiel donné en l’honneur de Dimitri Medvedev. Mais à l’étranger, la robe très ajustée de la première dame a beaucoup fait parler. Signée par le créateur Roland Mouret, la tenue turquoise laissait en effet apparaître que Carla Bruni-Sarkozy ne portait ce soir-là pas de soutien-gorge.

« En laissant apparaître sa poitrine, Carla ne fait que s’inscire dans une lignée de consorts françaises qui ont présenté leur poitrine pour suggérer des prouesses physiques et politiques », écrit Sarah Vine dans le Times, citant Agnès Sorel, Diane de Poitiers ou Gabrielle d’Estrées. Et la journaliste de voir dans cette tenue « un signe de jeunesse et de mainmise provocante sur le pouvoir ».

Tous les médias britanniques n’ont pas eu cette analyse « peopolitique ». « Oh là là, où est son soutien-gorge ? », s’est ému le Sun jeudi à propos de « l’état de déshabillage » de la première dame. « Audacieusement moulante » pour le Daily Mail, laissant « peu de place à l’imagination » pour le Telegraph, « ébouissante ou audacieuse » pour USA Today… La robe de Carla n’a, en tout cas, laissé personne indifférent. (Blog.Le Figaro-11.09.2010.)

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