• Accueil
  • > Archives pour le Dimanche 19 septembre 2010

Complot terroriste contre le pape à Londres…encore un mensonge des médias

19092010

*hier, on disait des Algériens, aujourd’hui, on parle d’hommes interpellés…finalement rien de vrai dans ces menaces ! 

le complot terroriste était une fausse alerte

lefigaro.
19/09/2010 |…
Les six hommes interpellés vendredi à Londres et soupçonnés d’ »actes de terrorisme » au cours de la visite du pape Benoît XVI ont été libérés sans qu’aucune charge n’ait été retenue contre eux, a annoncé Scotland Yard ce matin de dimanche.
Agés de 26 à 50 ans, les six hommes sont employés de la société Veolia Environmental Services, appartenant au groupe français Veolia, chargée du nettoyage de la voierie pour le compte du Westminster City Council, autorité locale du quartier londonien de Westminster. Après 36 heures d’interrogatoires à la brigade anti-terroriste, ils sont donc ressortis libres.Samedi, Scoland Yard s’était refusée au moindre commentaire sur la nature des « actes de terrorisme » ou la nationalité des suspects se contentant d’indiquer n’avoir découvert ni armes, ni explosifs pour accréditer un projet d’attentat. « Il est probable que la police a agi rapidement, à titre de précaution », avait confié au Times l’ancien directeur-adjoint des opérations spéciales de Scotland Yard, Andy Hayman, exprimant à haute voix une opinion formulée sous couvert de l’anonymat par plusieurs responsables des services de sécurité. (Le Figaro-19.09.2010.) 

**Manifestation contre le Pape et les positions de l’Eglise

Complot terroriste contre le pape à Londres...encore un mensonge des médias 96b77866-c365-11df-bd1d-2d5211f1748d
Plusieurs milliers de manifestants  ont défilé dans les rues de Londres pour protester contre la visite du Pape au Royaume-Uni et les valeurs «rétrogrades» du Vatican.

coeur-La visite du Pape au Royaume-Uni n’était pas du goût de tous les Britanniques. Plusieurs milliers de manifestants, dont beaucoup coiffés de «mitres» roses ou portant des préservatifs gonflés comme des ballons, ont ainsi défilé samedi dans le centre de Londres contre Benoît XVI et les positions «rétrogrades» du Vatican. Avec des panneaux proclamant «le Pape est le patron du plus grand gang de pédophiles» ou «arrêtez le pape», quelque 2.000 à 3.000 manifestants, selon la police, 10.000 selon les organisateurs, ont marché en un long cortège de Hyde Park à Downing Street, la résidence du Premier ministre.

«Pope go home» («Pape, rentre chez toi») et «Honte au Pape» ont scandé des contestaires. «Nous voulons envoyer au Pape le message que beaucoup de Britanniques sont en désaccord avec tout ou partie son enseignement, sur les droits des femmes, les homosexuels ou l’usage du préservatif» (…) «Je pense que le gouvernement a eu tort de l’inviter, je ne le considère pas comme un chef d’Etat»…(…) Des activistes étaient nombreux dans le cortège bruyant et coloré, aux côtés d’athéistes déclarés, d’humanistes, mais aussi de catholiques en désaccord avec les dogmes de l’Eglise.

Une londonienne de 36 ans, Tara Griffin, critique le fait que les contribuables britanniques aient dû payer pour la visite d’Etat : «pourquoi les catholiques ne paient-ils pas pour la visite du Pape, alors que l’on doit subir tant de coupes budgétaires en ce moment?» Pat Brown, porte-parole de l’organisation pour l’Ordination des femmes catholiques – condamnée comme «un crime contre la foi» par le Pape – estime ainsi que les règles actuelles de l’Eglise «éloignent beaucoup de gens de dieu». «Nous voulons une Eglise plus tolérante, qui inclue les divorcés, les homosexuels, les femmes prêtres», explique-t-elle en faisant la grimace devant un panneau qui représente le Pape sous la forme d’un squelette en flammes.

Jason, un jeune-homme blond de 18 ans, est venu pour manifester contre le veto de l’Eglise à l’utilisation des préservatifs et distribue tracts et préservatifs à côté du cortège. «Des milliers de personnes meurent chaque jour parce que le Vatican interdit l’usage des préservatifs», proteste-t-il. Les manifestants ne sont pas amadoués par le qualificatif d’«innommable» utilisé par le Pape pour dénoncer les abus des prêtres pédophiles, lors d’une messe en la cathédrale de Westminster, samedi matin. Barbara Dorris, venue de Saint Louis aux Etats-Unis, porte une bannière avec une photo d’elle âgée de dix ans lors de sa première communion. Elle dit avoir été la victime d’un prêtre pédophile. «Nous avons déjà entendu des excuses de la part du Pape, mais il n’a pris aucune mesure», dit-elle.

A mesure qu’ils progressaient, les manifestants ont croisé des catholiques se dirigeant vers Hyde Park pour assister à une veillée de prière autour du souverain pontife. …Certains ont échangé des invectives. (Le Figaro-18.09.2010.)

**************

*Ligue des champions d’Afrique

Les Kabyles confirment leur invincibilité

jsk3.jpg  

La JSKabylie a réalisé un parcours sans faute lors de la phase des poules de la Ligue des champions d’Afrique

Les canaris, qui se sont déjà qualifiés depuis leur quatrième match contre Al Ahly d’Egypte au Caire, n’ont rien voulu lâcher dans cette compétition en allant ce samedi le 19 septembre accrocher la formation Nigériane de Heartland sur le score de parité d’un but partout (1-1).

Ce résultat confirme ainsi l’invincibilité des Lions du Djurdjura dans cette compétition africaine de la Ligue des Champions.

Leader de son groupe avec 14 points, l’équipe phase de Djurdjura affrontera au début du mois d’octobre le tenant du titre, la formation Congolaise du TP Mazembe, en demi-finale.(El Watan-19.09.2010.)

***************** 

19 septembre1959, création du Gouvernement Provisoire de la République Algérienne (GPRA)   

*Abdelhamid Mehri : « Le‬ 19 septembre devrait constituer une fête nationale»

L’ancien secrétaire général du Front de libération nationale estime que le pays a connu des polémiques et des questions restées sans réponse jusqu’à ce jour. Abdelhamid Mehri préconise de retenir la date de l’annonce du Gouvernement Provisoire de la République Algérienne (GPRA)  le 19 septembre1959 comme la date anniversaire de l’avènement  de l’État algérien moderne. Il  appellera à cette occasion  la reconsidération de la plupart des concepts liés à la lutte de Libération nationale.

Il soulignera également la nécessité d’une saine lecture  de l’histoire diplomatique du pays. Mehri estime que le pays est traversé par des polémiques et des questions restées sans réponse à ce jour.  Intervenant au cours du forum du quotidien El Moudjahid tenu à l’occasion de la célébration du 51ème anniversaire du Gouvernement Provisoire de la République Algérienne (GPRA), l’ancien ministre considère que le 19 septembre 1959 est une date qu’il convient de commémorer à l’instar des « accords d’Evian».  

 Ce gouvernement a réussi à obtenir en un temps record une reconnaissance officielle de la part de 37 États, y compris une superpuissance. De même qu’il a réussi à signer également des accords et des traités avec plusieurs pays étrangers. D’après Mehri, l’avènement du GPRA résulte d’une décision prise lors du Congrès de la Soummam.

Le but de cette décision historique était de faire revivre les institutions de l’État algérien détruites par le colonialisme et de proclamer à la face du monde le désir d’émancipation du peuple algérien. D’après Mehri, il convenait d’apporter une réponse aux manœuvres du  général De Gaule et son annonce du 16 septembre 1959 où il reconnaissait au peuple algérien le droit à l’autodétermination.

L’ancien secrétaire général du Front de libération nationale pense que De Gaulle avait pour but derrière sa sortie de mettre devant le fait accompli les dirigeants de la Révolution algérienne et leur couper l’herbe sous les pieds. Cette annonce se voulait comme un test préalable à un référendum sur l’autodétermination. De Gaule voulait, d’après lui,  éviter une reconnaissance internationale du mouvement national  et neutraliser, par la même occasion, l’ONU. Le GPRA a réussi selon lui à mettre en échec les velléités de De Gaule qu’elles soient avouées ou  inavouées. (Echorouk-18.09.2010.)  

***********

**Ahmadinejad  en escale à Alger

 iranalg.jpg

Le président iranien Mahmoud Ahmadinejad s’est entretenu samedi à Alger avec le président Abdelaziz Bouteflika, lors d’une escale sur le chemin de New York, où il doit participer à l’Assemblée Générale de l’ONU.
Selon un photographe de l’AFP, l’avion du président iranien s’est posé à la mi-journée à l’aéroport d’Alger, en provenance de Damas.
Il a été accueilli avec tous les honneurs militaires par M. Bouteflika accompagné du chef du gouvernement algérien Ahmed Ouyahia et du ministre des Affaires étrangères Mourad Medelci.
MM. Ahmadinejad et Bouteflika se sont rendus dans le bâtiment réservé aux invités de marque de l’aéroport, selon le photographe de l’AFP.
L’agence algérienne d’informations APS a précisé que le M. Ouyahia, M. Medelci et le président de l’Assemblée populaire nationale (APN) Abdelaziz Ziari ont assisté à l’entretien, ainsi que le ministre iranien des Affaires étrangères Manouchehr Mottaki.
M. Ahmadinejad, qui arrivait de Syrie où il s’était entretenu avec le président Bachar al-Assad, a effectué une « escale technique » en route pour New York, a indiqué une porte-parole de la présidence algérienne.
Le président iranien a quitté le territoire algérien à bord de son Boeing 747 après une escale de deux heures et demi, a indiqué l’APS en précisant qu’il a été raccompagné à son avion par son hôte algérien.
Avant son départ de Téhéran, M. Ahmadinejad avait qualifié les relations irano-algériennes de « très bonnes et en plein développement ».
MM. Bouteflika et Ahmadinejad se sont rencontrés plusieurs fois, notamment à l’occasion d’une visite officielle en Algérie du chef d’Etat iranien en janvier 2009.
La presse algérienne évoquait en août dernier des discussions à Téhéran entre l’ambassadeur d’Algérie Soufiane Mimouni et le ministre iranien du Commerce Mehdi Qazanfari, dont le pays souhaiterait le développement des relations commerciales et même un accord de libre-échange, en dépit des sanctions imposées par l’Occident à l’Iran en raison de son programme nucléaire.
(AFP -18.09.2010.)

**DES DÉLÉGATIONS D’HOMMES D’AFFAIRES DÉFILENT
Un eldorado nommé Algérie
 
+*Le soleil d’Algérie pour éclairer le monde
 
-cliquer ici: 9.L’Algérie, un énorme chantier

 *aussi: Premier salon international des énergies renouvelables…du 11 au 15 octobre prochain à Alger…cliquer ici: 10.Eco-finances

**Hommage à Mohammed Arkoun

par Ursula Gunther

26.Un homme,une oeuvre,une histoire

****************

*Il n’a pas versé un sou aux impôts pendant 5 ans.

Après avoir tiré des bénéfices colossaux et bénéficié de gros avantages

Naguib Sawiris s’attaque à l’Algérie

Naguib Sawiris, patron du groupe égyptien Orascom Telecom Holding, crache dans la soupe algérienne. Après avoir bénéficié de grosses largesses depuis son introduction dans le marché algérien de téléphonie mobile, Sawiris se défoule contre les autorités algériennes, les accusant d’avoir volontairement voulu nuire à sa filiale locale, qui exploite la marque commerciale Djezzy.

«Nous avons atteint une part de marché de plus de 70% dans les télécoms, où il y a trois acteurs. Nous sommes les plus grands et ils ont commencé à exercer des pressions sur nous pour la simple raison que nous étions très rentables et que nous avons réussi», a rapporté jeudi dernier l’agence britannique Reuter, citant l’intervention de Naguib Sawiris, au sommet des marchés émergents organisé par le quotidien économique The Economist, à Londres, en Grande-Bretagne. L’Algérie jalouse-t-elle la succes story de Sawiris ? Ce dernier n’en pense pas moins.En totale disgrâce depuis 2008 pour avoir cédé, sans l’aval d’Alger, deux cimenteries au groupe français Lafarge, le magnat égyptien des télécoms pousse le bouchon plus loin, en estimant que «la faiblesse de l’Etat de droit le dissuade d’investir dans des marchés émergents comme l’Algérie».

Sur le climat des affaires en Algérie, il dira : «Vous devez vous rappeler que vous êtes dans un environnement non démocratique. Dans aucun pays, vous  ne pouvez investir sans la bénédiction du numéro 1. Si vous ne pouvez pas l’obtenir, vous ne devriez pas être là», s’est-il exprimé, en égratignant au passage les pays du Nord africain et ceux du Moyen-Orient, peu favorables aux investissements. Cette tonitruante sortie médiatique du boss égyptien risque de donner davantage de grain à moudre au gouvernement algérien. A vrai dire, le patron d’OTH ne dit rien de nouveau, il se présente tout juste dans la peau de la victime dans son bras de fer avec l’Algérie dans le dossier de la vente de Djezzy. Mais pourquoi n’a-t-il pas soufflé mot sur ces «difficultés d’investir» ou sur cette «faiblesse de l’Etat de droit» du temps où Djezzy prospérait sur le marché algérien ? Avant ses déboires, on s’en souvient d’ailleurs, il tenait souvent des discours élogieux à l’endroit des hauts responsables du pays et pressentait l’Algérie comme l’eldorado à conquérir. Logique prédatrice, diront d’aucuns, puisque ses affaires allaient bon train.

Et Djezzy, poule aux œufs d’or, environ 40% du chiffre d’affaires du groupe, assurait à Sawiris de gros bénéfices, lui qui a tiré profit des avantages mis à sa disponibilité. Particulièrement, lors de son arrivée sur le marché en 2002, des indiscrétions évoquant un coup de pouce du président Bouteflika, et même après, des années durant ; comme cet autre avantage de ne pas verser un sou aux impôts pendant 5 ans. Plus maintenant, puisque ses parrains en haut lieu l’ont lâché. Et c’est à ce moment-là qu’il a pris le soin de déverser son fiel.
Ceci dit, l’opération d’évaluation des actifs de Djezzy, confiée à un expert algérien, lui-même, secondé par des bureaux d’expertise étrangère, sera achevée d’ici la fin de l’année. Et ce n’est qu’après que les négociations sur son rachat par les autorités algériennes, en vertu du droit de préemption, pourraient avoir lieu. Sawiris réclame quelque 7 milliards de dollars alors que la Deutch Bank l’évaluait, en août dernier, à 3,6 milliards de dollars.  (El Watan-18.09.2010.)

******************

*combats meurtriers entre l’armée mauritanienne et Al-Qaïda

Les combats meurtriers qui opposaient l’armée mauritanienne et Al-Qaïda au Maghreb islamique se sont achevés samedi après-midi dans le nord du Mali où seraient par ailleurs détenus sept otages – cinq Français et deux Africains – enlevés au Niger.
Deux mois après un raid franco-mauritanien contre une base d’Aqmi dans le désert malien, la France s’est défendue d’avoir participé à ces nouvelles opérations militaires.
Paris a affirmé que ces combats étaient « indépendants » de l’affaire des sept otages enlevés au Niger le 16 septembre, pour laquelle elle soupçonne « la mouvance d’Aqmi » au Mali.
Les affrontements, qui ont débuté vendredi en début de soirée s’étaient interrompus dans la nuit avant de reprendre samedi matin à Raz-El-Ma, à 235 km à l’ouest de Tombouctou, selon des sources maliennes concordantes.
« Les combats sont terminés. C’est ce que nous avons constaté sur le terrain. Les avions de combat mauritaniens qui ont survolé la zone ont fait, à un moment reculer les assaillants », a déclaré à l’AFP une source malienne, samedi en fin d’après-midi.
Aucun bilan n’a pu être établi de source indépendante.
Un haut responsable militaire mauritanien à Nouakchott a affirmé à l’AFP que l’armée mauritanienne « a tué 12 terroristes armés et en a blessé des dizaines ». Il a ajouté que cinq militaires mauritaniens avaient été tués et neuf blessés.
De son côté, une source sécuritaire algérienne dans la région a soutenu que le « nombre de (soldats mauritaniens) morts s’élève à au moins 15″.
Un civil, Hamine Ould Mohamed Aly, joint par téléphone satellitaire, a déclaré à l’AFP qu’il venait de « Raz-el-Ma » où il a vu « six véhicules de l’armée mauritanienne calcinés à côté d’un puits ».
Selon un élu du nord du Mali, c’est « un lieutenant de l’islamiste algérien Abdelamid Abou Zeid, Yahya Abou Hamame, qui dirigeait les opérations d’Aqmi contre l’armée mauritanienne ».
Abou Zeid est l’un des « émirs » d’Aqmi les plus redoutés dans le nord Mali, à la tête du groupe de djihadiste qui aurait assassiné en mai 2009 l’otage britannique Edwin Dyer et laissé mourir ou exécuté l’otage français Michel Germaneau en juillet 2010.
Les nouveaux affrontements se sont déroulés près de deux mois après un raid franco-mauritanien contre une base des islamistes armés dans le désert malien, au cours duquel sept membres d’Aqmi avaient été tués.
Cette opération menée le 22 juillet visait, selon Paris, à libérer un otage français Michel Germaneau. Aqmi avait ensuite annoncé, le 25 juillet, avoir exécuté M. Germaneau pour venger la mort de ses membres.
Des sources au Mali s’interrogeaient toujours, samedi, sur une éventuelle implication française dans la nouvelle opération.
Un porte-parole du ministère français des Affaires étrangères a assuré qu’il n’y avait « pas de forces françaises sur le terrain ».
L’armée malienne, elle, n’a pas participé à l’opération contre Aqmi sur son propre territoire. « Nous avons permis à tous les pays riverains de faire des poursuites ici », a souligné le président Amadou Toumani Touré dans un entretien enregistré vendredi, et diffusé dimanche.
M. Touré n’a pas voulu confirmer que les otages se trouvaient en territoire malien, comme annoncé par des sources régionales. « Ils se promènent dans toute la bande sahélo-saharienne, aujourd’hui ils sont là, demain dans un autre pays », a assuré le président, au sujet des ravisseurs ou de leurs otages.
A Arlit (1.000 km au nord-est de Niamey), site d’extraction d’uranium où a eu lieu l’enlèvement de jeudi, les groupes français Areva et Vinci poursuivaient samedi l’évacuation de leurs employés français.(AFP-18.09.2010.) 

**Trois soldats de l’Otan tués en Afghanistan…( 512 militaires étrangers en 2010.)

Trois soldat des forces internationales sont morts samedi dans le sud et l’est de l’Afghanistan, portant à 512 le nombre de militaires étrangers tués depuis le début de 2010 en passe de devenir l’année la plus meurtrière pour les forces internationales.
Un soldat, dont la nationalité n’a pas été dévoilée, a péri dans l’explosion d’une bombe artisanale, l’arme de prédilection des talibans, a annoncé la Force internationale d’assistance à la sécurité de l’Otan (Isaf) dans un communiqué, sans plus de précision.
Le commandement de l’Otan a ensuite annoncé la mort d’un second soldat toujours dans le sud. Ce soldat n’est pas mort au combat mais a été blessé dans un incident « non lié à des combats », une formule désignant tout autant un suicide ou un accident domestique.
Un 3e soldat a ensuite péri dans une attaque des insurgés dans l’est.
Malgré de récents renforts qui ont porté leurs effectifs à quelque 150.000 hommes –américains pour plus des deux tiers–, les forces internationales essuient des pertes de plus en plus lourdes face à une insurrection des talibans qui gagne considérablement en intensité depuis trois ans.
Au total, depuis le début de l’année, 512 soldats étrangers ont péri en Afghanistan, dont 333 Américains, selon un décompte de l’AFP basé sur les statistiques du site internet indépendant icasualties.org.
Or, 2009 avait déjà été, de très loin, l’année la plus meurtrière pour les forces internationales depuis le début de la guerre fin 2001, avec 521 morts mais sur 12 mois. (AFP-18.09.2010.)

 *************

*Lire par ailleurs: La population de tortues a chuté de 60% en Algérie

 tortuemoresq.jpg

cliquer ici: *Environnement

* aussi: *L’image de la France s’est dégradée à l’étranger, selon 71% des Français

 cliquer ici: *La France sous le règne de Sarkosy

*******************

*Norvège: Les ministres devront refuser les cadeaux offerts par des dignitaires étrangers

 Le gouvernement veut instaurer un peu d’éthique auprès de ses membres…

Finies les petites gâteries diplomatiques. Le gouvernement norvégien a annoncé récemment un durcissement des règles éthiques qui interdisent désormais à ses membres de conserver les cadeaux officiels offerts par des dignitaires étrangers.

Cette nouvelle réglementation a conduit notamment le ministre des Affaires étrangères, Jonas Gahr Stoere, à annoncer dans la soirée qu’il restituait les cinq tapis afghans que lui avaient offerts le président Hamid Karzaï et d’autres responsables afghans lors de ses visites dans ce pays.

Considéré comme un dauphin du Premier ministre travailliste, Jens Stoltenberg, Jonas Gahr Stoere avait pourtant dûment payé des impôts sur les cinq tapis, dont la valeur totale estimée est comprise entre 16.000 et 19.000 couronnes (entre 2.000 et 2.400 euros).

Mais les tabloïds se sont offusqués que les membres du gouvernement puissent conserver à des fins privées des cadeaux reçus dans le cadre de leurs fonctions officielles, contrairement aux fonctionnaires à qui le règlement interdit de garder toute gratification.

«Je suis triste que des questions soient posées quant à mes motivations»

«Je n’ai pas l’intention de dire que je regrette mais je suis triste que des questions soient posées quant à mes motivations», a déclaré le ministre des Affaires étrangères à l’agence norvégienne NTB. Les ministres devront désormais décliner les cadeaux officiels ou, dans les cas où cela s’avère diplomatiquement délicat, les remettre à leur ministère.

L’ancien ministre de la Défense, Anne-Grete Stroem-Erichsen, était également dans le collimateur de la presse pour avoir aussi accepté des tapis afghans ainsi qu’une montre de la part de son collègue helvète. (20Minutes Avec AFP )







évasion |
Généalogies |
vivreavec1handicap |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | ANTI CORRIDA
| dartagnan
| Actualité de la Politique d...