Médicaments génériques, partenariat entre Sanofi-Aventis et Saidal
20092010*Une nouvelle usine de production en partenariat entre Sanofi-Aventis et Saidal
Le nouveau complexe de production des médicaments génériques que compte réaliser en Algérie le groupe pharmaceutique, Sanofi-Aventis, a eu l’accord des autorités algériennes. Ainsi, le groupe français vient de bénéficier d’une assiette située loin de la capitale, apprend-on de sources bien informées. A noter que c’est le 14e dossier portant sur l’investissement des compagnies françaises en Algérie, qui vient d’être validé par le gouvernement.
« Sanofi-Aventis active en Algérie depuis 12 ans, elle connaît bien le marché algérien ; en ce qui concerne le projet relatif à la réalisation d’un complexe de médicaments génériques, il est le bien venu », a répondu le gouvernement algérien aux demandes d’explication formulée par Paris.
Selon les mêmes sources, le gouvernement algérien a présenté plusieurs propositions, ajoutant que les deux parties se sont convenues à aplanir toutes les difficultés rencontrées par les compagnies intéressées dans la production des médicaments génériques en Algérie, sachant que la filiale de Sanofi-Aventis a augmenté son capital social afin de disposer des ressources financières pour élargir son domaine de production.
Il y a lieu de noter que le budget alloué pour la réalisation du complexe de production des médicaments génériques, qui sera crée en partenariat entre Saidal et Sanofi-Aventis Algérie, est estimé à plus de 75 millions d’euros. Sanofi-Aventis détient 18% des parts du marché algérien des médicaments. (El Khabar-20.09.2010.)
**La secrétaire d’État français au commerce extérieur hier à Alger
“Nous voulons investir sur le long terme en Algérie”
Mme Anne-Marie Idrac a rappelé que le président Nicolas Sarkozy est venu à deux reprises en Algérie et que “son projet est de construire une relation durable et de confiance”.
“Nous voulons investir en Algérie. Nous voulons investir sur le long terme”, c’est le message que la secrétaire d’État français, chargée du Commerce extérieur, Mme Anne-Marie Idrac, arrivée hier à Alger pour une visite de deux jours, veut véhiculer aux autorités algériennes. Invitée à l’École supérieure des affaires d’Alger, pour parler des priorités de la présidence française G20-G8, Mme Anne-Marie Idrac a indiqué que les projets des entreprises françaises qui l’accompagnent, “sont tout à fait en écho” de ce que dit le gouvernement. Mme Idrac est accompagnée d’une importante délégation économique composée du président de la Chambre de commerce et d’industrie de Paris, d’un représentant du Medef et des responsables des sociétés Total, Lafarge, saint-Gobain, Cristal Union, Sanofi-Aventis et Alstom. “Nos amis du gouvernement algérien nous disent qu’ils veulent diversifier leur économie, réduire la dépendance du marché algérien vis-à-vis des produits importés. C’est tout à fait normal. C’est tout à fait légitime. Quel meilleur moyen de réduire les importations que de développer sur place les industries de ciment, de pharmaceutique, de matériel de transport, de sucrières, de l’emballage pour les produits agroalimentaire”, souligne la secrétaire d’État français, chargée du Commerce extérieur. “Ce sont des projets sur lesquels nous pensons que nous pouvons faire du gagnant-gagnant”, a estimé Mme Anne-Marie Idrac. “Nous pensons que c’est intéressant de développer un tissu industriel et de profiter, le plus vite possible, des transferts technologiques”, a ajouté Mme Idrac. La secrétaire d’État français, chargée du Commerce extérieur, a rappelé que le président Nicolas Sarkozy est venu à deux reprises en Algérie. “Son projet est de construire une relation durable et de confiance. Il y a de nombreux partenariats, l’idée est de les faire vivre de manière pragmatique”, a-t-elle affirmé. Mme Anne-Marie Idrac a évoqué aussi les nombreux accords signés par les administrations des finances des deux pays. “Il est question de créer une école du Trésor. Nous avons des coopérations dans le domaine des ports”, a-t-elle indiqué, parlant de la coopération institutionnelle. Sur le plan économique, la secrétaire d’État français chargée du Commerce extérieur a souligné que la France est le premier investisseur hors hydrocarbures en Algérie. La ministre s’est félicitée qu’“environ 400 entreprises françaises activent en Algérie. Et que 35 000 emplois directs et environ 100 000 emplois indirects ont été créés”. Mme Anne-Marie Idrac annonce qu’elle rencontrera aujourd’hui le premier ministre pour évoquer avec lui des projets d’investissements dans différents secteurs. La secrétaire d’État français chargée du Commerce extérieur a indiqué avoir rencontré les entreprises françaises implantées en Algérie, qui ont exprimé leur souhait d’élargir leurs investissements en Algérie. Mme Anne-Marie Idrac se réjouit aussi de l’engagement de l’Algérie, réitéré par le ministre du commerce, d’adhérer à l’OMC.
Le ministre du Commerce, Mustapha Benbada, qui a demandé, dans ce cadre, le soutien de l’UE, en particulier la France. La secrétaire d’État français chargée du Commerce extérieur a, dans la foulée, annoncé la tenue, durant le 1er semestre 2011, d’un forum algéro-français.
Questionnée sur les mesures de la loi de finances complémentaire 2009, confirmées dans la loi de finances 2010, Mme Anne-Marie Idrac a répondu qu’elle n’est pas là “pour apprécier la politique économique du gouvernement algérien”. (Liberté-20.09.2010.)
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*AGENCE INTERNATIONALE DE L’ÉNERGIE ATOMIQUE
**ils encouragent l’Etat hébreux à demeurer au-dessus des lois internationales
Les Occidentaux s’opposent à un projet de résolution contre Israël
L’Occident continue de faire barrage pour qu’Israël, seul pays refusant de signer le Tnp et absous du contrôle de l’Aiea, demeure au-dessus des lois internationales.
Un bras de fer opposant les puissances occidentales aux pays arabes sur l’arsenal nucléaire présumé d’Israël dominera l’assemblée générale annuelle des 151 Etats membres de l’Agence internationale de l’énergie atomique, qui se tiendra à partir d’aujourd’hui à Vienne. Malgré d’intenses efforts diplomatiques, les Etats-Unis, activement soutenus par l’UE, se sont vu opposer une fin de non-recevoir, les pays arabes continuant à demander un vote sur une résolution exigeant d’Israël d’apposer sa signature au bas du traité de non-prolifération des armes nucléaires (TNP). Ce bras de fer serait des plus symboliques, la résolution à l’encontre d’Israël, seul pays du Proche-Orient supposé disposer de l’arme nucléaire, n’étant pas contraignante, si, en toile de fond, le débat ne se déroulait pas à l’aune de la forte controverse sur la nature réelle du programme nucléaire iranien: purement civil, comme l’affirme le régime islamique au pouvoir à Téhéran, ou avec l’objectif d’accéder à l’arme atomique, comme le soupçonnent les puissances occidentales. L’affaire tient tellement à coeur à Washington que le président Barack Obama a dépêché à Vienne son principal conseiller sur la question du nucléaire, Gary Samore, pour faire pression sur les pays arabes dès la réunion du conseil des gouverneurs de l’Aiea, qui a eu lieu avant l’assemblée générale, du 13 au 17 septembre.
Lors de la précédente assemblée générale de l’Aiea, en 2009, le groupe des 22 pays arabes adhérents à l’agence avait marqué un point en faisant adopter pour la première fois, mais à une courte majorité, une résolution demandant à Israël de signer le TNP. Cette fois, les Etats-Unis et leurs alliés occidentaux espèrent inverser la tendance: leur argument essentiel consiste à invoquer les négociations de paix israélo-palestiniennes en cours, sous l’égide de Washington, et la perspective de la tenue d’une conférence en 2012 pour dénucléariser la région du Proche-Orient. Selon eux, une résolution de l’Aiea contre Israël serait «contre-productive» pour les négociations de paix et risquerait de compromettre l’organisation de la conférence de dénucléarisation de la région, alors que la récente conférence de suivi du TNP à New York s’était conclue sur un rare consensus pour la tenue de cette conférence. «Isoler un pays (…) ne favorisera pas une bonne atmosphère lors de la conférence générale et pourrait empêcher l’Aiea de contribuer de manière positive à l’établissement d’une zone sans arme de destruction massive» au Proche-Orient, avait argumenté devant le conseil des gouverneurs l’ambassadeur belge, Frank Recker. (L’Expression-20.09.2010.)
**Une logique à deux vitesses!
Les 151 membres de l’Agence internationale de l’énergie atomique (Aiea) se réunissent, à partir d’aujourd’hui, à Vienne en assemblée générale avec, notamment, à l’ordre du jour, le cas d’Israël. Seul Etat, il convient de le souligner, qui n’adhère ni à l’organisation onusienne de sûreté nucléaire, ni n’a paraphé le Traité de non-prolifération nucléaire (TNP). L’Etat hébreu est également le seul à professer l’ambiguïté sur ses capacités nucléaires quand la règle est que chaque pays doit montrer «patte blanche» dans ce secteur si sensible. Or, il se trouve que cette loi, sinon consensuelle, du moins admise – en l’état actuel des choses – s’applique à tous, sauf à Israël, de toute évidence non concerné par cette pratique du droit international, par définition applicable à tous les pays. Il se trouve que les Occidentaux, qui mènent depuis huit ans un dur combat contre l’Iran et son programme nucléaire – Téhéran est soupçonné de vouloir acquérir le know-how nucléaire – estiment qu’Israël n’a ni à dire en quoi consiste son programme nucléaire, ni à adhérer au TNP. C’est justement ce point, la signature du TNP par l’Etat hébreu, qu’aura à examiner la réunion et fait l’objet d’une résolution parrainée par les 22 pays arabes. Résolution, rappelle-t-on, adoptée à une courte majorité, lors de la précédente assemblée générale de l’Aiea en 2009. Américains et Européens en tête, les Occidentaux font bloc derrière Israël, pays pourtant en transgression avec les textes de loi de l’ONU et de l’Aiea en matière de nucléaire. Les mêmes, qui exigent la transparence du programme nucléaire iranien, ne sont pas intéressés par les tenants et aboutissants du programme nucléaire israélien. Plus, pour justifier cette aberration – ce qui est obligatoire pour l’Iran, ne l’est plus pour Israël, pourtant placés dans la même situation quant à l’objet de leur programme nucléaire – avancent des arguments spécieux, dénués de tout fondement si ce n’est la loi du plus fort. C’est comme ça et pas autrement. On l’a vu avec l’Iran, durement sanctionné par l’Occident qui, dans le même temps, s’oppose à ce que l’on fasse seulement mine d’évoquer le nucléaire israélien. Forts de cette logique, les Occidentaux contestent aux pays arabes la présentation au vote (le 23 septembre) d’une résolution exigeant la signature du TNP par l’Etat hébreu. Tout est alors bon pour ces Occidentaux qui, ne s’embarrassant guère de raison, estiment qu’une résolution de l’Aiea contre Israël serait «contre-productive» pour les négociations de paix et risquerait de compromettre l’organisation de la conférence de dénucléarisation de la région (prévue en 2012). Qu’est-ce que l’obligation pour Israël d’adhérer au TNP (à l’instar des 191 autres pays du monde) a-t-elle à voir avec les négociations entre Israël et les Palestiniens? A moins que ce soit là une forme de chantage! Par ailleurs, il faut avoir une dose de culot certaine pour prétendre, comme le fait l’ambassadeur américain auprès de l’Aiea, que la conférence de 2012 ne se réalisera pas en «matraquant» un pays participant. Comment ambitionner d’organiser une conférence de «dénucléarisation» du Proche-Orient tout en faisant l’impasse sur le seul pays de la région doté d’un arsenal nucléaire estimé entre 250 à 300 bombes nucléaires? Ou cette «dénucléarisation» ne concernerait que les pays arabes? Il faut alors le dire clairement. De même, les Occidentaux qui ont sanctionné l’Iran, seulement suspecté de vouloir acquérir la bombe nucléaire, s’offusquent que l’on veuille «isoler» un pays (Israël, puissance nucléaire comme en témoignent les experts de ce même Occident) pour le contraindre à se mettre en conformité avec le droit international qui gouverne le nucléaire. Une logique à deux vitesses qui reste en tout état de cause inacceptable. (L’Expression-20.09.2010.)
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*Intervention mauritanienne au Mali: situation « maîtrisée »
La situation dans le nord du Mali où l’armée mauritanienne est intervenue pendant trois jours contre des unités d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), est « maîtrisée », a affirmé lundi à l’AFP une source militaire haut placée à Nouakchott.
« La situation militaire et sécuritaire sur le terrain où notre armée traque les terroristes armés est maitrisée », a déclaré cette source. « La situation est sous contrôle et notre armée a accompli un bon travail de nature à assurer la sécurité de notre pays et de notre sous-région », a-t-elle ajouté.
Cette source a affirmé que « les terroristes manquent de tout, ravitaillement, soutien, base arrière et dépôts de munitions, du moins dans toute cette zone à l’ouest de Tombouctou, limitrophe des frontières de la Mauritanie où nous avons mené des opérations contre eux ».
L’armée mauritanienne avait entamé vendredi une opération militaire contre Aqmi en territoire malien, dans la région de Tombouctou, près de la frontière mauritanienne.
Jusqu’à samedi, des combats l’ont opposée à des unités de la branche maghrébine d’Al-Qaïda, et selon un bilan officiel mauritnien publié samedi, ces combats ont fait 12 morts et un nombre indéterminé de blessés dans le camp d’Aqmi, six morts et huit blessés dans les rangs de l’armée.
Dimanche, l’armée mauritanienne a fait intervenir un avion pour bombarder une colonne de véhicules qui, selon elle, transportaient des membres d’Aqmi.
Mais des témoins au Mali ont affirmé que des civils avaient été tués (deux femmes) et blessés (quatre hommes) lors de ce bombardement. Une source sécuritaire malienne a parlé de « bavure », ce qu’a catégoriquement démenti Nouakchott, reconnaissant la mort d’une femme, « épouse d’un terroriste ».
La Mauritanie ne fait aucun lien entre l’affaires des sept otages (5 français et 2 Africains) enlevés jeudi au Niger et son offensive au Mali voisin, assurant s’être engagée dans ces affrontements pour « anticiper des intentions criminelles » d’Aqmi.
Les otages ont été transférés au Mali et la France mène depuis Niamey des opérations aériennes de reconnaissance pour tenter de les repérer.
(AFP-19.09.2010.)
**Les otages au Niger auraient été victimes d’une « trahison »PARIS (Reuters)20.09.2010. – Les ravisseurs de sept personnes, dont cinq Français, au Niger visaient initialement un convoi et ont bénéficié d’une « trahison » au sein d’Areva, selon un conseiller sécurité de l’entreprise.
L’opération des activistes visait au départ « une mission d’information qui venait de France et de l’étranger » et qui devait arriver à Arlit, dans le nord du Niger, en provenance de Niamey, a expliqué le colonel Jacques Hogard lundi sur RTL.
Le convoi serait toutefois parti plus tôt que prévu pour des raisons d’escorte et de météo.
« Mais ils avaient cette information pour essayer de les enlever. Ils ont raté en fait la cible initialement prévue », a dit Jacques Hogard, expliquant que les ravisseurs auraient alors choisi de prendre d’autres otages à Arlit.
Selon lui, les ravisseurs « ont bénéficié d’une excellente information au sein du groupe Areva ».
« On peut même appeler ça une trahison », a-t-il assuré.
Areva avait auparavant reconnu par la voix de son porte-parole que des défaillances, voire des complicités, avaient pu favoriser l’enlèvement.
Le groupe nucléaire français a cependant assuré ne jamais avoir refusé d’aide des autorités nigériennes en matière de sécurité, comme l’avait suggéré un responsable nigérien.
Lundi en fin de journée, Paris n’avait reçu aucune nouvelle des sept personnes enlevées, ni aucune revendication des ravisseurs qui opèrent dans la « zone rouge » formée par le Niger, le Mali et la Mauritanie.
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**menace d’un attentat suicide à Paris
Une patrouille, gare de Marseille.
Jeudi dernier, le ministère de l’Intérieur a été informé de l’éventualité d’un attentat suicide à Paris. Les autorités sont depuis en alerte maximale.
Jeudi en fin d’après-midi, en visite sous la Tour Eiffel après une fausse alerte à la bombe mardi soir, Brice Hortefeux a fait état d’une «menace terroriste élevée» et précisait que le risque s’était renforcé le jour même. Et pour cause: dans la nuit de mercredi à jeudi, le ministère de l’Intérieur a été informé de l’éventualité d’un attentat suicide dans la capitale.
Selon Europe 1, l’information émanait des services de renseignements algériens: une femme kamikaze de nationalité algérienne aurait décidé de passer à l’acte. Les services français ont été immédiatement mobilisés pour explorer cette piste et le plan Vigipirate a été renforcé.
Lundi, la menace terroriste est toujours d’actualité. En déplacement en Seine-et-Marne Brice Hortefeux a affirmé que «la menace est réelle» et que «notre vigilance est renforcée». Une source proche du ministère de l’Intérieur affirme que le risque d’un attentat s’est renforcé en France depuis jeudi, notamment sur les transports, sans donner plus de précision. Si place Beauvau, on se garde de faire un lien direct avec l’épisode de la femme kamikaze, on précise que le renforcement de la menace a été enregistré «à compter de jeudi 5h». Heure à laquelle les services français sont susceptibles d’avoir été avertis par leurs homologues algériens. Plus généralement, les responsables de la lutte antiterroriste s’inquiètent du récent retour en France de jeunes volontaires européens partis s’entraîner et combattre dans la zone pakistano-afghane et en Irak.
La menace d’un attentat suicide n’est pas la seule crainte des services français, qui semblent aussi redouter une action ciblée contre une personnalité symbolique. Le recteur de la Grande Mosquée de Paris, Dalil Boubakeur, fait ainsi l’objet d’une protection rapprochée depuis jeudi soir. Trois personnes relevant du Service de protection des hautes personnalités (SPHP) sont chargées de sa sécurité, pour une durée qui n’a pas été précisée. Selon une source proche du ministère de l’Intérieur, cette mesure «n’est pas liée au renforcement de la menace, mais tout le monde se souvient que la série des attentats de 1995 a débuté avec l’assassinat de l’imam Sahraoui». Le 11 juillet 1995, Abdelbaki Sahraoui, imam modéré de la mosquée de la rue Myrha, dans le XVIIIe de Paris, était tué par balles en compagnie de son secrétaire particulier, par deux hommes qui n’ont jamais été identifiés.
Dimanche, le porte-parole du gouvernement, Luc Chatel, a lui assuré que la période actuelle «justifiait une vigilance renforcée» en matière de sécurité, au moment où le chef de la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI) Bernard Squarcini a évoqué dans Le Monde «une menace terroriste majeure». Selon lui, «tous les clignotants sont au rouge». Outre la proximité de l’anniversaire des attentats du 11 septembre 2001 aux Etats-Unis et la poursuite de l’engagement militaire français en Afghanistan, l’adoption mardi dernier au Sénat de l’interdiction totale du port du voile intégral est susceptible de renforcer la menace terroriste. L’annonce de cette mesure quasi unique en Europe avait entraîné des menaces de dirigeants de groupes islamistes radicaux contre la France. A commencer par al-Qaida au Maghreb islamique (Aqmi), suspecté d’avoir enlevé cinq Français au Niger la semaine dernière, et qui a promis de se venger après le raid franco-mauritanien pour la libération de Michel Germaneau. (Le Figaro-20.09.2010.)
*Réactions d’internautes du Figaro
lefl bientôt il va nous sortir des lois d’exception , menace terroriste oblige : interdiction de manifester, couvre feu, une seule agence de presse, les partis d’opposition interdits…
charose …Oui et alors ? nous sommes en proie à d’autres menaces bien plus inquiétantes et nous restons « zen » ! basta les manipulations !
Canard-déchaîné Il faut faire confiance aux services de sécurité qui mettent en échec de tels ennemis. En revanche, il faut les laisser travailler secrètement. Tant de publicité laisse suspecter le gouvernement qui s’y livre d’une tentative de diversion de l’opinion pour lui faire oublier les difficultés de son quotidien. Il suffirait qu’un attentat survienne pour qu’il soit soupçonné en plus d’avoir laissé faire. Le racket (au sens propre « faire du bruit ») était à Chicago cette méthode qui consistait à vendre cher une assurance contre des malfaisants qui étaient en fait sous le contrôle de l’assureur et frappaient les gens pas assez naïfs pour l’acheter.
CONCOMBREMASQU … encore un bon coup de Brice pour rouler les francais dans la farine…et les empecher de penser à leurs immenses problemes.
celuikidikiyé ….Le problème avec ce gouvernement, c’est que ça fait 3 ans qu’il essaye de nous fait avaler des couleuvres de plus en plus grosses. Du coup, impossible de le croire quand bien même cela s’avérerait vrai. Je conseille toutefois à MAM d’aller arrêter tout de suite Julien Coupat, et de le faire mettre en détention préventive, au cas ou.
Droal …Le gouvernement de ce pays ne sais gouverner que par la peur. C’est tout ce qui lui reste. Il n’a plus rien d’autre à proposer. Il réussit seulement à provoquer des plaisantins qui ennuient tout le monde avec leurs plaisanteries. Lorsqu’il y aura un RER sur 10 qui explosera chaque jour, on pourra PEUT-ETRE essayer d’avoir peur. C’est vrai que ce pays en train de mourir. D’ennui.
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*Lire par ailleurs:
Réduire la place de la voiture en ville
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* Secret des sources, plainte déposée par Le Monde*Le quotidien avait annoncé que le contre-espionnage français avait enquêté à la demande de l’Elysée pour connaître l’origine des fuites dans l’affaire Bettencourt.**C’est la base de notre métier qui est touchée”
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*France: Pour la moitié des jeunes, l’avenir n’augure rien de bon
*les Français et leurs grigris
cliquer ici: Dis-moi quelle est ta tribu je te dirai qui tu es
**Des soldats US accusés d’avoir assassiné des civils afghans …uniquement pour s’amuser…cliquer ici:*Massacres de masse en Irak et en Afghanistan*****************
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