La soeur de la femme de Tony Blair se convertit à l’Islam
25102010Lauren Booth, journaliste dans une chaine de TV, (soeur de la femme de Tony Blair, ex-Premier ministre britannique) s’est convertie récemment à l’Islam, après une visite effectuée en Iran, et après avoir découvert le bien-fondé et la justesse de l’Islam.
*Lauren Booth speaks on Press TV, an Iranian associated TV news channel Tony Blair‘s sister-in-law has converted to Islam after having what she describes as a « holy experience » during a visit to Iran.Journalist and broadcaster Lauren Booth, 43 – Cherie Blair’s sister – now wears a hijab whenever she leaves her home, prays five times a day and visits her local mosque whenever she can.She decided to become a Muslim six weeks ago after visiting the shrine of Fatima al-Masumeh in the city of Qom.« It was a Tuesday evening and I sat down and felt this shot of spiritual morphine, just absolute bliss and joy, » she said in an interview today.When she returned to Britain, she decided to convert immediately.Booth – who works for Press TV, the English-language Iranian news channel – has stopped eating pork and reads the Qur’an every day. She is currently on page 60.Booth has stopped drinking alcohol and says she has not wanted to drink since converting.Before her spiritual awakening in Iran, she had been « sympathetic » to Islam and has spent considerable time working in Palestine, she said, adding that she hoped her conversion would help Blair change his presumptions about Islam. (Guardian-Sunday 24 October 2010)
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**Prévisions du FMI pour 2010-2011
Les importations algériennes atteindront 57,6 milliards de dollars Le rapport du Fonds monétaire international (FMI) sur les perspectives de la région du Moyen-Orient-Afrique du Nord prévoit une amélioration du taux de croissance pour l’Algérie durant 2010 et 2011.
Toutefois, le rapport note que le solde budgétaire va demeurer négatif. Le taux de croissance pour 2010 sera de 3,8%, en 2011 il est prévu qu’il s’établisse à 4% contre 2,4% en 2009.Le rapport note une aggravation du déficit du solde budgétaire (déficit budgétaire primaire hors pétrole) avec -9,9% du PIB en 2010 et à -8,4% en 2011.En 2009, le solde était de -6,7%. Le PIB de l’Algérie va encore augmenter en 2010 à 159 milliards de dollars contre 139,8 milliards de dollars en 2009. Les prévisions pour 2011 donnent un PIB de 171,6 milliards de dollars. L’Algérie est le pays le moins endetté de la région avec une dette extérieure qui représente 2,9% du PIB en 2010 et qui passera à 2,2% en 2011.
Concernant l’inflation, le rapport du FMI note un léger recul pour 2010 avec un taux de 5,5% contre 5,7% en 2009. En 2011, le taux d’inflation sera de 5,2%. A propos de la balance commerciale extérieure, le FMI prévoit un excédent pour 2010 avec un montant de 7,8 milliards de dollars. Selon le rapport du FMI, cet excédent est dû au fait que les exportations algériennes pour l’année 2010 seront de 61,8 milliards de dollars et les importations de 54 milliards de dollars. Une remarque s’impose sur ce chapitre, si l’on compare les prévisions du FMI aux chiffres communiqués par les Douanes algériennes pour les 8 premiers mois de l’année.
En effet, les exportations d’hydrocarbures qui représentent 96,72% de la valeur globale ont atteint 35,88 milliards de dollars à la fin août 2010, soit une hausse de 35,06%, selon le Centre national de l’informatique et des statistiques des douanes (CNIS). Les exportations globales de l’Algérie durant les huit premiers mois 2010 ont atteint 37,10 milliards de dollars, selon le CNIS.
Les importations ont atteint un volume global de 25,87 milliards de dollars.La balance commerciale s’est traduite déjà par un excédent de 11,223 milliards de dollars contre un déficit de 376 millions de dollars en 2009.
Ainsi, les prévisions du FMI ne cadrent pas du tout avec les statistiques des Douanes algériennes. Et on voit mal comment l’Algérie va exporter pour 24,7 milliards de dollars durant les 4 derniers mois de l’année avec les prix actuels du pétrole et la baisse des exportations gazières.
A l’APN, récemment encore, le ministre de l’Energie et des Mines, Youcef Yousfi, a indiqué que les exportations des hydrocarbures avaient atteint 41 milliards de dollars durant les 9 premiers mois de l’année. C’est aussi valable pour les importations. On voit mal, comment avec les mesures prises par le gouvernement, les importations atteindre 25,33 milliards de dollars durant les 4 derniers mois de l’année 2010. De janvier à août, elles avaient atteint déjà 25,87 milliards de dollars. Les prévisions du FMI sur ce plan semblent être déconnectées de la réalité.
Pour 2011, le rapport du FMI estime que les exportations seront de 67,1 milliards de dollars et les importations de 57,6 milliards de dollars avec un excédent commercial de 9,5 milliards de dollars. Pour le solde des transactions extérieures courantes, le rapport du FMI estime qu’il restera positif avec +3,4 pc du PIB en 2010 pour un montant de 5,4 milliards de dollars, et à +3,6% en 2011 pour 6,2 milliards de dollars. En 2009, il avait été de +0,3% en 2009 avec 0,4 milliard de dollars. (El watan-25.10.2010.)
***Sonatrach 5ème exportateur de gaz naturel dans le monde
Les réserves de gaz naturel de l’Algérie sont importantes, elles sont de l’ordre de 159,1 TCF (Trillion Cubic Feet) ou 4455 milliards de mètres cubes. Elles représentent 2,4% des réserves mondiales de gaz naturel.
Avec ce potentiel, l’Algérie se classe à la 10e place dans le monde.
A titre d’exemple, le pays qui recèle les plus grandes réserves de gaz naturel dans le monde est la Russie avec 43 879 milliards de mètres cubes. Le Qatar possède des réserves de gaz naturel estimées à 25 082 milliards de mètres cubes.
Plus près de l’Algérie, le Nigeria possède des réserves de gaz naturel estimées à 5191 milliards de mètres cubes. Grâce à ces réserves, Sonatrach est la sixième compagnie mondiale en matière de gaz naturel pour les réserves et la production.Durant l’année 2008, la production de gaz naturel a été estimée à 154 milliards de mètres cubes, soit 66% de la production totale d’hydrocarbures. Ce niveau de production a augmenté depuis la fin des années 1990, où il était d’environ 139 milliards de mètres cubes pour être aux environs de 150 milliards de mètres cubes en moyenne grâce à l’entrée en production de nouveaux gisements développés en partenariat à la fin des années 1990 et au début des années 2000.On peut citer les champs de gaz de Hamra et de Tin Fouyé Tabenkort développés en partenariat avec le groupe français Total et Repsol en plus pour le gisement de TFT, les gisements de In Salah et In Amenas développés avec BP (et Statoil qui l’a rejoint par la suite) et le gisement de l’Ohanet avec BHP Biliton.Le gisement géant de Hassi R’mel représente à lui seul 72% de la production, soit environ 100 milliards de mètres cubes.
La part de la production commercialisée en 2008, année des dernières statistiques publiées, a été d’environ 88 milliards de mètres cubes, dont près de 65 milliards de mètres cubes destinés à l’exportation.Les volumes vendus sur le marché national sont estimés à environ 21 milliards de mètres cubes. L’autre partie de la production est utilisée dans la réinjection dans les puits de production de pétrole pour maintenir la pression et le niveau de production. Les exportations à travers les deux gazoducs qui relient l’Algérie à l’Europe se sont chiffrées à environ 39 milliards de mètres cubes en 2008. Les quantités restantes, soit environ 26 milliards de mètres cubes, sont transformées dans 4 complexes à Skikda et Arzew et exportées sous forme de GNL par tankers. Actuellement, Sonatrach est classée 4e exportateur de GNL et 5e exportateur de gaz naturel dans le monde.A l’exportation, Sonatrach a 13 clients dans 10 pays. Pour acheminer le gaz des champs jusqu’à ses clients au niveau national ou à l’export, Sonatrach dispose d’un réseau de 13 gazoducs qui couvrent une distance de 7300 km. L’Algérie est l’un des principaux fournisseurs de gaz naturel de l’Europe. Elle figure à la deuxième place avec 29% de parts du marché, après la Russie (41%) et devant la Norvège (25%).Durant l’année 2008, l’Algérie a exporté près de 65 milliards de mètres cubes de gaz, dont plus de 97% des volumes vers l’Europe.
En plus du gazoduc Enrico Mattei, entré en service en 1983 et qui passe par la Tunisie pour relier par voie sous-marine la Sicile et le gazoduc Pedro Duran Farrel, entré en service en 1996 et qui passe par le Maroc pour relier par voie sous-marine le sud de l’Espagne, l’Algérie compte encore renforcer son rôle de principal fournisseur de gaz à l’Europe. Le Medgaz qui relie directement l’Algérie à l’Espagne est déjà achevé et prêt à être utilisé. Le Galsi qui doit relier l’Algérie à l’Italie via la Sardaigne est en phase de préparation pour le démarrage de sa réalisation. (El Watan-20.10.2010.)
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**à lire dans …
échos des médias *Le quotidien El Khabar souffle sa 20e bougie Sale temps pour les médias égyptiens
**La mise à mort du journal d’opposition égyptien El Doustour
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*auusi…
Le New York Times a plus de lecteurs sur Twitter que d’exemplaires papier
Les journalistes ont le droit de protéger leurs sources
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*Les plus belles montées d’adrénaline
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*Oran…140 exposants attendus au Salon du Bâtiment
du 25 au 30 novembre 2010 au palais des Expositions d’Oran
Pas moins de 140 exposants dont une trentaine d’entreprises étrangères ont confirmé leur participation au Salon international du Bâtiment «Oran LOGIBAT 2010» qui se tiendra au palais des Expositions d’Oran, du 25 au 30 novembre prochains. Placée sous le haut patronage du ministre de l’Habitat et de l’Urbanisme, cette édition spéciale consacrée au secteur de l’habitat, de l’immobilier et des matériaux de construction se veut «une tradition pour relever le grand défi des deux millions de logements et construire l’Algérie de demain», a noté M. Ouali, manager de Sogexpo, société organisatrice de l’évènement, avant d’ajouter: «nous voulons mettre en exergue toutes les nouveautés introduites dans le domaine de l’habitat. Ainsi, ce carrefour incontournable dédié aux professionnels, va permettre de s’enquérir des expériences étrangères, à l’exemple des sociétés italiennes qui viendront en force avec la participation de huit exposants dans le secteur du bâtiment, polonais, tunisiens, français et des entreprises algéro-allemandes». En mesurant ce que représente le marché algérien en termes d’opportunités d’affaires et sachant que seul le volet de la construction vaut tous les détours ainsi que l’esprit de la compétition qui anime tous les exposants, ce salon dédié à l’habitat vient relever, encore une fois, le défi du secteur, a souligné, d’autre part, notre interlocuteur. «Chaque exposant va tenter, à sa manière, de démontrer la validité du rapport qualité/prix qui caractérise ses produits», ajoute M.Ouali. Autant d’opportunités seront offertes durant cette édition en matière d’innovation et d’avancées technologiques, a affirmé le même responsable, soulignant que des journées d’études vont sanctionner cet évènement international. Outre la participation étrangère, les exposants nationaux vont faire part de leur savoir-faire notamment dans l’habitat et les matériaux de construction où plusieurs expériences seront apportées dans le cadre de cette manifestation. Ceux-ci pourront développer la coopération avec leurs homologues étrangers et tisser des relations commerciales en échangeant les différentes expériences. (Quotidien d’Oran-25.10.2010.)
**Spéculation, marché du crédit inadapté
Les prix des logements hors de portée
L’accès à l’offre immobilière est verrouillé, alors que le marché souffre d’un flagrant déséquilibre entre l’offre et la demande. À la lecture du dernier recensement démographique 2010, l’Algérie ne souffrirait d’aucune crise du logement, alors que la demande est étonnamment grandissante.
La nouvelle formule d’accès au logement, par voie de crédit bancaire à taux bonifiés, continue de semer la confusion parmi les ménages, alors que l’autre formule dite de particulier à particulier souffre de multiples handicaps. Premier obstacle soulevé par les professionnels du secteur : «Les prix des logements pratiqués actuellement sur le marché se situent bien au-dessus des prêts accordés par les banques», dira Hassan Djebar, président de la Fédération nationale des agences immobilières.
Second désavantage : les prêts bancaires sont inaccessibles aux bourses moyennes, puisque l’éligibilité aux prêts à taux d’intérêts bonifiés fixés à 1% est réservée aux revenus allant de 1 à 6 fois le SNMG, et à 3% pour les revenus représentant 7 à 12 fois le SNMG. S’agit-il d’un leurre ? La question s’impose, surtout lorsqu’on sait que l’offre du marché «est insuffisante, voire dérisoire», alors que la formule d’accès aux crédits immobiliers à taux bonifiés est venue codifier davantage l’offre éligible au soutien de l’Etat. La vente de particulier à particulier d’un logement individuel est exclue par cette formule. «Même cette option de vente traditionnellement usitée risque d’être verrouillée à l’avenir puisque les banques exigent désormais des contrats de promesse de vente certifiés par les notaires», laisse entendre notre interlocuteur.
Seuls les logements neufs, collectifs, contractés auprès d’un promoteur immobilier public et privé sont éligibles au soutien de l’Etat. Sont concernés également par cette nouvelle formule les constructions rurales et les contrats d’achat de VSP (vente sur plan) conclu avec un promoteur immobilier public ou privé, adhérent au Fonds de garantie et de caution mutuelle de la promotion immobilière (FGCMP). L’accès à l’offre immobilière est ainsi verrouillé, alors que le marché souffre d’un flagrant déséquilibre entre l’offre et la demande.
En temps normal, le concours des banques à l’achat de logement ne dépasse pas le 0,5%, alors que la demande est de plus en plus croissante, selon un constat établi par la Fédération nationale des agences immobilières que préside Hassan Djebar.
**Un F3 de surface moyenne à 9 millions de dinars
L’évolution de la courbe des prix démontre aussi une situation de plus en plus incompréhensible du marché qui, d’après Hassan Djebar, échappe carrément au contrôle des pouvoirs publics. Les prix du logement ont évolué de manière «hermétique», atteignant ces dernières années des sommes vertigineuses, inaccessibles aux bourses moyennes, prises en tenaille entre des salaires plombés par le pouvoir d’achat galopant et le coût d’un logement dont le seuil inférieur se situe au-dessus des 7 millions de dinars. Pour un logement F3 de surface moyenne (80 à 90 m2), les tarifs se situaient entre 1 à 1,5 million de dinars au commencement des années 1990. Début des années 2000, les prix ont doublé pour le même produit, se situant entre 2,5 et 3,5 millions de dinars pour atteindre en 2010 les 9 millions de dinars, dépassant tout entendement. Face à cette situation, l’Etat a choisi de taire la spéculation par le recours à des formules obscures, souvent inaccessibles aux bourses moyennes. La hausse des prix du logement est estimée cette année à 10%, voire même à 15%, d’après Hassan Djebar, très au fait de la tendance des prix sur le marché.
Contactés par nos soins afin d’élucider cette situation dans laquelle se rabat le marché, les services du ministère de l’Habitat n’ont pas accédé à notre demande. Le président de la Fédération nationale des agences immobilières estime que la situation est due, en grande partie, aux jeux spéculatifs auxquels s’adonnent les acteurs du marché ainsi qu’au choix des pouvoirs publics de s’ériger en simples observateurs. «Le marché échappe carrément au contrôle des autorités et souffre d’un important déséquilibre entre l’offre et la demande. A cela s’ajoute l’absence d’une banque de données censée asseoir les paramètres d’un marché en manque de régulation». Selon notre interlocuteur, il y aurait 800 000 logements inoccupés en Algérie. «Nous avons proposé l’institution d’une taxe pour ces logements inoccupés afin d’encourager l’émergence d’un marché de location et absorber quelque peu la demande, mais les pouvoirs publics n’ont pas jugé utile de prendre en considération notre requête», fera savoir Hassan Djebar. Autre incohérence : à la lecture du dernier recensement démographique 2010, il apparaît que l’Algérie ne souffre aucunement d’une crise de logement, alors que la demande est étonnamment grandissante. (El Watan-25.10.2010.)
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**Dans… *idées,débats,opinions …à lire… *sur les propos tenus par Mr. Ghozali *Comment les soi-disant droits de l’Homme ne fonctionnent qu’au profit des occidentaux et singulièrement au profit des juifs
*Tout ce beau monde n’a à la bouche et à la pensée que cette belle déclaration d’un de leur porte-parole : «tous les jours que Dieu fait, je me demande ce que je peux faire pour Israël». Et c’est un ministre français qui parle, s’il vous plaît ! Et aucune réaction sérieuse «des Français» !
* Les parlementaires européens sont-ils déjà unanimement acquis au Lobby sioniste?
*Pourquoi Israël refuse d’appliquer les résolutions de l’ONU et refuse le contrôle de l’Agence internationale de l’énergie atomique et que vous, MM Bonet et Vidal-Quadras, ne disent rien à ce sujet???
*En vérité, les gouvernants occidentaux sont inféodés aux sionistes car seule la cause d’Israël leur semble défendable.
*Que l’armée sioniste bombarde les populations de Ghaza au su de tous ne les dérange pas, au contraire les médias sont là pour tromper l’opinion. L’agressé devient l’agresseur !
Un enfant palestinien maltraité par l’armée israélienne à Beit Omar, près d’Hebron, en Cisjordanie.
*Israël n’est pas une démocratie comme on veut bien nous le présenter et nous le faire croire, mais bien une théocratie souverainement hautaine et fermée, le seul pays au monde où le Religieux dicte indubitablement sa loi…excluant toute ouverture aux autres peuples et autres religions. De cela les «intellecto» occidentaux ne disent mot …
*Il est écrit (Protocoles) que tout juif qui fait la paix avec les Arabes doit être tué. Itzhak Rabin en a fait les frais.
*«Nous devons tuer tous les Palestiniens à moins qu’ils ne soient résignés à vivre en tant qu’esclaves». Président Heilbrun, du comité pour la réélection du général Shlomo Lehat, maire de Tel-Aviv, octobre 1987.
*le monde a changé… l’Amérique malgré son arsenal, la France malgré les gesticulations de son Président qui veut régenter l’Europe… tout cela au fond, ne pèsent plus du même poids dans l’équilibre du monde.
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*à lire par ailleurs…..France *INTIFADA des BANLIEUES
cliquer ici… France…le spectre de mai 68(images)
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