Les USA face aux accusations de non-respect des Droits de l’Homme
6112010*Peine de mort et non-ratification des traités internationaux
Les USA épinglés par le Conseil des droits de l’homme
L’Examen périodique universel (EPU) est né en 2006 des cendres de la Commission des droits de l’homme décriée pour son incapacité à faire respecter les valeurs fondamentales de l’ONU.
Washington a été passé au crible par le Conseil des droits de l’Homme de l’ONU, hier à Genève. Sous une pluie de critiques portant notamment sur le centre de détention de Guantanamo, la peine de mort ou la non-ratification de traités internationaux, la délégation américaine a reconnu ne pas être satisfaite de la situation. «Nous ne sommes pas satisfaits du statu quo et nous continuerons à améliorer nos lois», a assuré le secrétaire d’Etat adjoint américain pour les droits de l’Homme, Michael Posner. Aux détracteurs invoquant des violations des droits de l’Homme dans les guerres en Irak et en Afghanistan, le conseiller juridique du Département d’Etat américain, Harold Koh, a rétorqué : «Qu’il n’y ait aucun doute là-dessus, les Etats-Unis ne pratiquent pas la torture et ne la pratiqueront pas».
Le débat à l’ONU intervient alors que le Washington Post a révélé jeudi que l’ancien président américain, George W. Bushj, avouait dans ses mémoires avoir personnellement donné son aval aux agents de la CIA pour soumettre le cerveau des attentats du 11 septembre, Khaled Cheikh Mohammed, à la simulation de noyade. La secrétaire d’Etat adjointe américaine auprès des organisations internationales, Esther Brimmer, a déclaré que cet Examen périodique universel (EPU) que passe pour la première fois son pays devant ses pairs «représente une étape dans notre long engagement pour promouvoir les droits de l’Homme».
L’EPU est une innovation majeure du Conseil, née en 2006 des cendres de la Commission des droits de l’homme décriée pour son incapacité à faire respecter les valeurs fondamentales de l’ONU. Il permet l’examen systématique et régulier de la situation des droits de l’Homme dans chacun des 192 pays membres de l’ONU, pour éviter l’accusation de sélectivité. Premier sur une liste de 87 orateurs, Cuba a demandé aux Etats-Unis de mettre fin à l’embargo américain contre l’île, décrit comme «un génocide» et de libérer cinq militants cubains aux Etats-Unis considérés par La Havane comme des «prisonniers de guerre».
Autre ennemi juré des Etats-Unis, l’Iran a estimé que «malheureusement, les Etats-Unis ont été et continuent d’être ceux qui violent le plus systématiquement les droits de l’Homme». Plusieurs pays occidentaux dont la Grande-Bretagne et l’Australie ont pour leur part demandé un moratoire ou l’abolition de la peine de mort. La France a «salué l’engagement pris par le président Obama de fermer le centre de détention de Guantanamo». «Il importe que cette promesse soit honorée», a déclaré l’ambassadeur français, Jean-Baptiste Mattei. Près de 300 organisations non gouvernementales américaines ont livré pour l’occasion un rapport de 400 pages détaillant «les insuffisances criantes» en matière de droits de l’Homme aux Etats-Unis, dont les discriminations raciales dans le système judiciaire et le traitement des immigrés.
Les Etats-Unis, qui avaient refusé de faire partie du Conseil en 2006, ont rejoint l’organisme onusien avec l’arrivée aux affaires du président Barack Obama. Washington a rejoint officiellement le Conseil en mai 2009. (El Watan-06.11.2010.)
**Les USA face aux accusations de non-respect des Droits de l’Homme
**Les Etats-Unis ont vigoureusement défendu vendredi leur bilan en matière des droits de l’Homme, passé au crible par le Conseil des droits de l’Homme de l’ONU, un exercice inédit qui a mobilisé à Genève les critiques de tous bords.
Sous une pluie de reproches à propos notamment du centre de détention de Guantanamo, la peine de mort ou la non ratification de traités internationaux, la délégation américaine a reconnu ne pas être satisfaite de la situation.
« Nous ne sommes pas satisfaits du statu quo et nous continuerons à améliorer nos lois », a assuré le Secrétaire d’Etat adjoint américain pour les droits de l’Homme, Michael Posner, qui a néammoins qualifié le débat de « salutaire ».
Aux détracteurs invoquant des violations des droits de l’Homme dans les guerres en Irak et en Afghanistan, le conseiller juridique du Département d’Etat américain Harold Koh a rétorqué: « Qu’il n’y ait aucun doute là dessus, les Etats-Unis ne pratiquent pas la torture et ne la pratiqueront pas ».
« Cette administration (Obama) a tourné la page dès son arrivée et en s’assurant sans équivoque d’un traitement humain de tous les individus sous garde américaine dans les conflits armés » a-t-il ajouté.
Premier sur une liste de 87 orateurs, Cuba a demandé aux Etats-Unis de mettre fin à l’embargo américain contre l’île, décrit comme « un génocide ».
Autre ennemi juré des Etats-Unis, l’Iran a estimé que « malheureusement les Etats-Unis ont été et continuent d’être ceux qui violent le plus systématiquement les droits de l’Homme ».
Plusieurs pays arabes ont évoqué leur préoccupation quant l’ »islamophobie » des Etats-Unis et Michael Posner a reconnu que les communautés musulmanes américaines avaient fait part « d’un climat d’intolérance et de discrimanation » à leur égard.
« Nous sommes déterminés à lutter contre cela, a dit le haut responsable américain et nous prenons des mesures dans ce sens ».
Plusieurs pays occidentaux dont la Grande-Bretagne et l’Australie ont pour leur part demandé un moratoire ou l’abolition de la peine de mort.
La France a « salué l’engagement pris par le Président Obama de fermer le centre de détention de Guantanamo ». « Il importe que cette promesse soit honorée », a déclaré l’ambassadeur français Jean-Baptiste Mattei.
M. Koh a répliqué que « la tâche demeure complexe même si l’engagement de l’administration demeure. Le président Obama ne peut le faire tout seul », insistant sur l’aide nécessaire du Congrès, des tribunaux américains et des pays alliés prêts à accueillir des ex-détenus.
La Secrétaire d’Etat adjointe américaine auprès des organisations internationales, Esther Brimmer a estimé quant à elle que les débats de cet Examen périodique universel (EPU) que passe pour la première fois son pays devant ses pairs ont constitué un « dialogue positif et utile ».
L’EPU est une innovation majeure du Conseil, né en 2006 des cendres de la Commission des droits de l’homme décriée pour son incapacité à faire respecter les valeurs fondamentales de l’ONU.
Il permet l’examen systématique et régulier de la situation des droits de l’Homme dans chacun des 192 pays membres de l’ONU, pour éviter l’accusation de sélectivité.
Les représentants de quelque 300 organisations non gouvernementales américaines qui ont fait le voyage de Genève ont d’ores et déja qualifié la rencontre d’ »échec total ».
« Ce que nous avons entendu, c’est la défense éloquente du caractère exceptionnel des Etats-Unis », a déclaré Ajamu Baraka, directeur de US Human Rights Network. « Si l’objectif de la délégation américaine était de reprendre le flambeau d’un leadership des Etats-Unis ans le domaine des droits de l’homme, ils ont échoué lamentablement », a-t-il dit. (AFP-05.11.2010.)
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*Tragique exode sahraoui
Fuyant la répression marocaine dans les territoires occupés, 20 000 Sahraouis campent dans le désert, encerclés par l’armée.
Depuis le 10 octobre, des milliers de Sahraouis ont fui la ville de Laayoune, chef-lieu du Sahara occidental occupé illégalement par le Maroc depuis 1975, pour s’installer à une vingtaine de kilomètres de là, dans l’hostilité du désert. Ils seraient actuellement 20 000 à protester, dans un camp de fortune, contre la répression menée par les autorités marocaines. D’autres Sahraouis des villes de Semara et de Boujdour s’apprêteraient à prendre le chemin de l’exode, faute de pouvoir librement exprimer leur droit à l’autodétermination, comme le préconise l’ONU.
«L’expression de leur message est pacifique», déclare une observatrice française, sous couvert d’anonymat. «C’est hallucinant, l’armée a encerclé le camp et construit un mur tout autour pour contrôler le seul accès qui permet de ravitailler les populations», précise-t-elle. Façon pour Rabat d’étouffer cette nouvelle vague de protestation. Dimanche, les militaires ont ouvert le feu sur un véhicule, tuant un garçon de quatorze ans, et blessant gravement plusieurs autres personnes. Le jeune homme aurait été enterré à l’insu de sa famille.
Cet acte perpétré contre des civils est un grave précédent, à un mois de la reprise des pourparlers entre Rabat et le Front Polisario (mouvement de libération du Sahara occidental). En visite dans la zone, l’envoyé spécial de l’ONU pour la région, Christopher Ross, n’a pas soufflé mot sur ces événements.(L’Humanité)
*réactions d’internautes de l’Humanité
la verité fait mal
merci beaucoup Cathy Ceibe pour votre article qui dévoile une realité récente, une souffrance d’un peuple qui n’arrete de grandir… le maroc a toujours démenti les manifestations pacifiques des sahraouis et leur droits au referendume libre sous l’ONU.
merci de devoiler la souffrance que vit les manifestants sahraouis dans ces jours sous le siege militaire et policier du maroc, le pire est que les buldozer creusent une ceinture tout autour de ce camp pour interdir les sorties et les entrées des sahraouis qui amenent les vivres et l eau pour aider les manifestants a persister.
le pire est que des militaires marocains bien entrainés, tirent avec un sang froid et a la maitraillette et tuent un jeune petit enfant de 14 ans, quelle honte.
je vis au canada et je me demande si le meme evenement s’est passé ici, toutes les medias vont se bosculer pour diffuser des reportages en direct et les le gouvernement va faire un grosse enquette sur le sujet et punir les fautifs severement. alors qu au maroc c’est totalement l’inverse: tolerance zero pour la presence des medias, interdit l accés pour les journalistes etrangers, il ne reste que bombarder ce camps et eradiquer ces manifestants et ce sera fini toute cette histoire.
honte au maroc comme regime et comme colonialiste.
vive les sahraouis libres et independants
oui pour l independance inconditionnelle et totale.
a bas le regime monarchiste marocain
*ce malheureux peuple sahraoui est oublié par tous dans ce monde , car ils n’ont rien a offrir , ils sont laissés seule face à un Etat connu pour son impitoyable systeme de persucution…
**Deux journalistes espagnols agressés par des agents marocains
Deux journalistes espagnols ont été agressés dans l’après-midi du vendredi 05 novembre dans la salle du tribunal de Aïn Sebaâ, à Casablanca, durant le procès des sept militants sahraouis des droits de l’Homme.
Le procès de ces militants des droits de l’homme, accusés, pour rappel d’«atteinte à la sûreté de l’Etat », a été reporté au 17 décembre après que la première audience eut été marquée par des incidents très graves.
Cette agression fait déjà la une des pages web de tous les journaux électroniques espagnols. Les flashs des radios et des télévisions du pays voisin passent l’information en boucle depuis cet après-midi.
Tous rappellent que cette agression, œuvre selon le quotidien ABC d’agents camouflés, intervient quelques jours après la charge du ministre marocain des affaires étrangères marocain, Taïb Fassi Fihri, contre la presse espagnole mercredi dernier à Madrid. C’est la première fois qu’on s’en prend violement à des journalistes étrangers au Maroc.
»Plusieurs personnes nous ont agressés au moment où on a commencé à prendre des photos. Des membres de la police marocaine sont ensuite intervenus, nous ont conduits à l’extérieur et nous ont demandé poliment d’effacer les photos », temoigne un journaliste de l’AFP.
Des détenus sahraouis qui se trouvaient dans la salle d’audience onté été également agressés, selon une source contacté à Casablanca.
Le report du procès des militants sahraouis des droits de l’homme a été qualifié par le représentant du Font Polisario en France d’ »autre injustice » à l’encontre de « personnes innocentes ». « Faute d’arguments, la justice marocaine n’a trouvé d’autre solution que d’opter pour l’ajournement pour maintenir injustement ces militants des droits de l’homme en prison », a indiqué M. Omar Mansour. C’est la deuxième fois que le procès de ces militants sahraouis est reporté sous prétexte d’altercations entre Sahraouis et Marocains à l’extérieur et à l’intérieur du tribunal de Casablanca.
Le 14 octobre dernier, un premier report avait été décidé pour les mêmes motifs. Selon M.Mansour, il s’agit cette fois-ci d’agression de Sahraouis et d’observateurs espagnols avant même le début de l’audience. Affirmant s’appuyer sur des témoignages communiqués au téléphone, il a indiqué que des « familles de détenus et trois journalistes espagnols ont été enfermés dans une salle adjacente au tribunal et ont été tabassés par des policiers en civil », déplorant une quinzaine de blessés parmi les familles sahraouies et un blessé grave du côté des observateurs étrangers.
« La situation n’en est pas restée là puisque les quatre Sahraouis en liberté provisoire ont été agressés par des énergumènes dans l’enceinte même du tribunal et une observatrice française a connu le même sort en voulant s’interposer », a ajouté M.Mansour.
Plusieurs associations et militants des droits de l’homme avaient appelé à la libération de ces détenus dont quatre ont bénéficié de la liberté provisoire. Amnesty international avait appelé vendredi les autorités marocaines à libérer les trois personnes encore dans les prisons marocaines. Accusés d’ »atteinte à la sécurité du Maroc », les militants sahraouis avaient été arrêtés en octobre 2009 à lÆaéroport de Casablanca à leur retour des camps de réfugiés de Tindouf. (El Watan-05.11.2010.)
**Le procès de sept militants sahraouis une nouvelle fois reporté
Le procès de sept militants sahraouis, prévu vendredi 05 novembre à Casablanca, a été reporté au 17 décembre après que la première audience eut été marquée par des incidents très graves.
Les militants sahraouis avaient été arrêtés en octobre 2009 à l’aéroport de Casablanca à leur retour des camps des réfugiés sahraouis, à Tindouf.
Ils sont accusés « d’atteinte à la sécurité intérieure » du Maroc. Trois sont en détention et quatre –dont une femme, Dakcha Lachguer– comparaissaient libres, après avoir bénéficié d’une mesure de liberté provisoire en mai dernier.
«Les conditions de la tenue du procès n’ont pas été réunies en raison de ces altercations», a indiqué Abdelaziz Nouaydi, le président de l’association Adala (Justice), présent au tribunal.
Selon un journaliste de l’AFP, «des altercations ont opposé, à l’intérieur du tribunal, des Sahraouis et un groupe d’avocats pro-marocains».
Selon la même source, les militants sahraouis scandaient «vive le peuple sahraoui», «vive l’autodétermination», alors que les avocats criaient «Sahara marocain».
Selon notre source contactée à Casablanca, «une foule d’avocats pro-marocains, vêtus de leurs robes, ont pénétré dans la salle d’audience avant même l’arrivée des détenus en scandant des slogans anti-sahraouis, notamment + Sahara marocains +, +vous êtes des traîtres+, +des mercenaires des généraux algériens+».
Les avocats ont « osé frapper les détenus qui se trouvaient à l’intérieur de l’audience, notamment Salah Loubihi, Yahdidh Farouzi et le secrétaire général de CODESA», a ajouté notre source, précisant que les avocats étaient venus spécialement « pour semer la terreur » à l’intérieur de la salle d’audience.
Amnesty International a appelé vendredi « les autorités marocaines à libérer les trois activistes sahraouis encore en détention au Maroc ».
Il faut rappeller qu’ un tribunal militaire a poursuivi les militants « pour espionnage », mais celui ci s’est déclaré le 25 septembre incompétent. Le dossier a été transféré devant la chambre correctionnelle du tribunal de Casablanca. (El Watan-05.11.2010.)
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**lire par ailleurs:Une autre civilisation est en gestation
la mobilisation en France sur les retraites traduit « une exaspération globale ».
« Pas de demi-mesures, l’heure est à la radicalité concrète »
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**Le PNUD classe l’Algérie parmi les pays à « développement humain élevé »
Le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) a classé l’Algérie parmi les pays à « développement humain élevé » sur la base de plusieurs critères socio-économiques qui composent l’Indice de développement humain (IDH).
Dans son rapport sur le développement humain 2010 publié vendredi 5 novembre 2010, cette organisation onusienne relève non seulement des progrès dans bien des aspects du développement humain en Algérie mais aussi la cadence avec laquelle les progrès pour l’amélioration des conditions sociales dans le pays ont été réalisés.
L’Indice de développement humain mesure le niveau moyen atteint dans trois aspects du développement humain: santé et longévité, accès à l’éducation et niveau de vie décent.
Le rapport a classé les pays en quatre groupes: les pays à développement humain très élevé (42 pays), les pays à développement humain élevé (43 dont l’Algérie), ceux à développement humain moyen (42) et faible (42). Sur la base de ce critère, l’IDH de l’Algérie a été évaluée à 0,6777, sachant que le meilleur IDH au monde en 2010 a été réalisé par la Norvège avec un indice de 0,938, la note parfaite étant 1.
A la lecture de ce rapport, il est constaté que l’IDH de l’Algérie est supérieur à l’IDH moyen de l’ensemble des pays arabes qui est de 0,590, ainsi que l’IDH moyen mondial évalué à 0,624, classant l’Algérie à la 84e place sur 169 pays.
Par ailleurs, le PNUD observe que sur la base du rythme avec lequel l’amélioration de l’indice de développement humain a évolué entre 1980 et 2010, l’Algérie est parmi les dix premiers pays les plus rapides. En effet, note le rapport, l’IDH de l’Algérie est passé de 0,443 en 1980 à 0,537 en 1990 et à 0,602 en 2000 avant de s’établir à 0,6777 en 2010.
Allant dans les détails des critères pour calculer l’Indice de développement humain, le PNUD indique que l’Algérie consacre 4,3 % de son PIB à l’éducation, 3,6 % à la santé et 0,1 % à la Recherche et Développement, le PIB étant de 276 milliards de dollars à raison de 4.854 dollars par habitant.
Parmi les multiples paramètres ayant servi de base de calcul de l’IDH du pays, le rapport cite aussi l’espérance de vie qui est passé à 73 ans, le taux de mortalité des enfants de moins de 5 ans qui est de 41/1.000 naissances vivantes, les naissances assistées par un personnel médical étant de 95 %, et la population sans électricité qui est de seulement 0,6 %. (El Watan-05.11.2010.)
***Lire aussi…
*Important trafic de bagages à l’aéroport d’Alger
Mandat de dépôt pour neuf douaniers
cliquer ici…infos d’Algérie
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** Ces fleurs venues d’ailleurs…importées par l’Algérie
L’Algérie a importé durant les huit premiers mois de l’année 2010 15,58 quintaux de fleurs naturelles pour une valeur de 45 121 dollars .Les fleurs, en majorité des roses et des œillets, sont issues principalement du Maroc, de France, des Pays-Bas, du Kenya, de Chine et du Pakistan. **lire aussi… dites-le avec des fleurs
**Les milliardaires algériens investissent dans le commerce du luxe
* lire aussi…*Le dernier roi d’Alger
**foot…Algérie .2 Allemagne.1 en Espagne 1982 vidéo…cliquer ici: http://www.youtube.com/watch?v=Hskgnoi0cxQ&feature=player_embedded
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*Afghanistan : Six soldats de l’OTAN tués
Six soldats de l’Otan ont été tués en Afghanistan, et cinq civils ont péri, hier, dans un attentat suicide visant un responsable local, selon la police.
Cet attentat porte ainsi à 622 le nombre de militaires étrangers tués en 2010, selon la force internationale. Sur un marché bondé de la province de Faryab, dans le nord, un homme portant une ceinture d’explosifs a tenté de s’approcher de Rahmatullah Turkistani, président du conseil provincial, a expliqué à l’AFP par téléphone Abdul Khalil Andarabi, chef de la police de Faryab. Selon lui, la bombe a tué cinq civils et blessé 21 personnes, dont M.Turkistani, dont l’état de santé n’a pas été précisé.
Par ailleurs, dans des communiqués, la force internationale de l’Otan en Afghanistan (Isaf) a annoncé la mort, jeudi et vendredi, de six de ses soldats, sans préciser leur nationalité, dans des combats contre les talibans et l’explosion de bombes artisanales dans le sud et l’est. Ces décès portent à 622 le nombre de militaires étrangers tués en 2010, déjà l’année la plus meurtrière en neuf ans de guerre pour les forces internationales en Afghanistan, lesquelles comptent plus de 150 000 hommes, dont les deux tiers des soldats américains. L’année 2009, avec 521 morts, avait déjà été, de très loin, la plus sanglante pour les militaires étrangers, confrontés à une insurrection des talibans et leurs alliés qui s’intensifie considérablement depuis trois ans.(El Watan-06.11.2010.)
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