Avec un discours haineux,le Maroc s’en prend toujours à l’Algérie.3
*Relent de haine hystérique et déclarations d’hostilité marocaines à l’égard de l’Algérie
**Voir d’autres articles sur le même sujet ici
*et ici: Avec un discours haineux, le Maroc s’en prend toujours à l’Algérie-suite
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*Diversion et manipulation, le Makhzen marocain toujours dans sa logique de fuite en avant
Le patron du contre-terrorisme marocain, Abdelhak Khiam, a affirmé que les huit pistolets récupérés lors du démantèlement d’une cellule de sept membres de Daech au Maroc ont été acheminés via la frontière algéro-marocaine.
En revenant sur les détails du démantèlement d’une cellule terroriste au Maroc, le chef du contre-terrorisme marocain, Abdelhak Khiam, commence par pointer le doigt vers l’Algérie, «sans entrer dans les détails du voisin hostile ou non». Lors d’une conférence de presse animée dimanche dernier, il affirme tout simplement que les armes saisies (huit pistolets dont un mitrailleur, deux gilets dotés de ceintures explosives et des munitions) par les éléments du Bureau central des investigations judiciaires (BCIJ), qu’il dirige, «ont été introduites au Maroc, comme cela a été le cas pour les affaires précédentes, via sa frontière avec l’Algérie», après avoir été «infiltrées en coordination avec le groupe dit Etat islamique (EI), opérant en Irak, Syrie et en Libye».
Abdelhak Khiam détaille les conclusions de l’enquête préliminaire sur les sept présumés terroristes, membres de Daech, arrêtés à El Jadida, Salé, El Gara, Boulaâouane (province d’El Jadida) et au douar Maâtallah (province de Taza), dont le chef vient juste de boucler ses 20 ans. S’il ne fait pas rire, le récit de son itinéraire par le patron du contre-terrorisme marocain laisse perplexe.
«Il a pris attache via internet et les réseaux sociaux avec l’un des chefs du groupe terroriste Jund Al Khilafah en Algérie, un converti, pour intégrer ses rangs, mais il a essuyé un refus. Il a ensuite pris contact, par les mêmes moyens, avec les responsables de l’organisation terroriste Etat islamique en Irak et en Syrie, qui lui ont conseillé de passer d’abord à l’action au Maroc. Ils lui ont assuré toute l’aide nécessaire pour la création d’une cellule de l’organisation Etat islamique au Maroc.
Ils l’ont dirigé vers des éléments de Daech en Libye qui lui ont procuré de l’argent pour l’achat de l’armement, mais aussi pour le recrutement de quelques éléments dont certains sont encore en fuite. Il a loué un appartement (…) qui sert de refuge grâce à l’argent transféré par le canal bancaire (…) de Libye. Jusqu’à présent, l’enquête a révélé que les armes récupérées ont été introduites au Maroc, via la frontière algérienne, au sud-ouest du pays, qui reste une région assez vaste, difficile à contrôler.»
Peut-on croire à un tel scénario ? Difficile, même pour les plus naïfs. Le patron du contre-terrorisme marocain oublie que l’Algérie a été le premier pays à attirer l’attention du royaume sur le déplacement de dizaines, voire de centaines de ses sujets en Libye pour renforcer les rangs de Daech. Ils étaient pris en charge par une agence de voyage située à Tripoli, qui se chargeait du transport aérien du Maroc jusqu’en Libye en transitant par Alger. Rabat a même fait la sourde oreille en refusant de mettre un terme à ces déplacements sans retour suspicieux.
Il a fallu que les plus hautes autorités du pays décident de renvoyer tous ces Marocains à destination de Tripoli, en leur assurant le transport aérien jusqu’à Casablanca. Une telle décision ne sert-elle pas la sécurité du Maroc, dont au moins 1500 sujets sont déjà dans les rangs de Daech en Irak et en Syrie et au moins 500 autres en Libye ? Ces chiffres restent en deçà de la réalité, puisqu’ils ne prennent pas en compte les Marocains ayant une double nationalité.
Seulement hier, les autorités du Québec, au Canada, ont identifié un Marocain parmi les auteurs de la fusillade qui a fait au moins 6 morts dans une mosquée, alors que depuis des années, aucun nom d’Algérien n’a été cité parmi les terroristes à l’étranger et que leur nombre est insignifiant dans les rangs de Daech en Irak, en Syrie, ou en Libye, le pays voisin. Comment peut-on faire croire que l’Algérie, qui mobilise des moyens colossaux et ses forces armées tout le long des frontières avec le Mali, la Libye et la Tunisie, contre la menace terroriste, puisse être à l’origine du passage au Maroc de… huit pistolets, dont un mitrailleur ? Qui veut-on tromper avec cette saisie d’armes ?
Il est important de rappeler les coups fourrés du makhzen contre la sécurité de l’Algérie : l’hébergement de groupes terroristes du GIA qui bénéficiaient de camps d’entraînement non loin de la frontière algérienne ; le refuge octroyé à leur émir Abdelhak Layada en 1993, qui a suscité de longues tractations avec Alger avant qu’il ne soit extradé ; l’accusation de l’Algérie de l’attentat terroriste contre un hôtel à Marrakech en 1994, suivie par l’expulsion manu militari, en pleine nuit, de centaines de familles algériennes. Autant de coups fourrés qui ont porté sérieusement atteinte à la sécurité de l’Algérie.
Il est aussi important de rappeler que l’Algérie consacre des moyens colossaux pour faire barrage aux narcotrafiquants du makhzen et les réseaux de trafic d’armes auxquels ils recourent pour assurer le convoyage de leur poison vers l’Algérie. Le dispositif mis en place par les forces de l’ANP le long de la frontière ouest et les moyens technologiques ont permis de déjouer de nombreuses opérations d’acheminement de centaines de kilos de drogue et la saisie d’un véritable arsenal de guerre, comme des kalachnikovs, des lance-roquettes, des lance-grenades, des mortiers, pour ne citer que ces types d’armes.
Les plus initiés savent très bien que toute cette logistique mise en place par l’Algérie pour assurer la sécurité de ses frontières assure également celle de ses voisins, à commencer par le Maroc, dont les sujets enrôlés au sein des organisations terroristes risquent à tout moment de retourner au pays et d’en faire un champ de bataille. Mais une telle situation d’instabilité n’a jamais été souhaitée par l’Algérie, parce que consciente des dangers qu’elle peut avoir sur sa sécurité intérieure.
Visiblement, la sortie du patron du contre-terrorisme marocain, Abdelhak Khiam, avait d’autres objectifs que de rassurer les Marocains sur leur sécurité. Peut-être voulait-il détourner leur attention de l’échec de leurs autorités à rompre l’isolement du royaume sur plan international en raison de son occupation du territoire sahraoui et surtout son admission au sein de l’Union africaine, où le Sahara occidental est membre fondateur, qu’il sera sommé de reconnaître en tant que tel. *Salima Tlemçani / el watan / mardi 31 janvier 2017
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*Ces Marocains qui cherchent à nuire à l’Algérie par tous les moyens
*les initiateurs de pages racistes contre les réfugies subsahariens sur Facebook, agissent depuis le Maroc.
«Les individus ayant appelé sur le réseau social Facebook au dénigrement des réfugiés subsahariens étaient des Marocains ayant agi en créant des comptes, des pages et des groupes avec de faux noms», rapporte le site Algérie Scoop citant une source de la section de lutte contre la cybercriminalité qui a indiqué que les exécutants de cette campagne ont appelé les Algériens à perpétrer les pires violences contre leurs frères africains.
La même source explique que des images, fabriquées de toutes pièces, montrant des campagnes de lynchage contre ces subsahariens et les appels à la violence, publiées sur Facebook, ont été récupérées par des parties obscures servant les desseins du Makhzen pour salir l’image de l’Algérie, dans le cadre d’une stratégie menée depuis plusieurs années par les autorités marocaines pour se rapprocher des pays africains, notamment d’Afrique de l’Ouest.
Il convient de rappeler que plusieurs pages, prônant la xénophobie et la haine du Subsaharien, sont apparues en grand nombre sur Facebook. Elles appellent à rien de moins qu’à la purification ethnique. Préoccupés par l’ampleur du phénomène, les services de sécurité ont décidé de déclencher une enquête pour identifier les responsables.*algerie-focus./ mardi 27 juin 2017
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*Forum de Crans Montana au Sahara occidentale
*Le Makhzen marocain aime à prendre plaisir dans la douleur
Le pouvoir marocain redouble de déclarations agressives vis-à-vis de l’Algérie tout en se gargarisant de l’échec pourtant annoncé de la tenue du Forum de Crans Montana à Dakhla occupée. L’Union européenne, la Grande-Bretagne, l’Unesco, l’Union africaine…ont annoncé leur boycott de cette rencontre. Restent les habitués des courbettes et du baisemain, le souverain marocain les comptera sur les doigts d’une seule main.
Le Makhzen aime à prendre plaisir dans la douleur. Le masochisme est un des traits qui le caractérisent. Les échecs successifs de sa diplomatie ne lui laissent pratiquement plus de marge de manoeuvre pour se faire une place au soleil.
L’Algérie lui ayant fait de l’ombre à travers l’accord de paix inter-malien négocié et signé à Alger et la tenue du dialogue inter-libyen supervisé par la Mission d’appui de l’ONU en Libye (Unsmil) que doit accueillir «Al Mahroussa» à partir de demain. Après avoir été La Mecque des révolutionnaires, la capitale algérienne s’est taillé, un statut à la mesure de son histoire: la résolution des conflits à travers le dialogue. «Alger, capitale de la paix» tandis que le Maroc traîne comme un boulet de canon le rang de dernier pays colonisateur d’Afrique. Une bien triste «qualité» à laquelle il s’accroche à travers l’annexion du Sahara occidental. Un territoire qu’il occupe depuis quarante ans. Un dossier à travers lequel il respire même s’il lui arrive d’avoir des crises au point d’étouffer. La question du Sahara occidental demeure malgré tout son oxygène, sa cuisine. Un tajine qu’il met au feu à chaque fois qu’il se retrouve à court d’idées de recettes. Cela lui permet de se faire les crocs… C’est le cas en ce moment.
Le pouvoir marocain redouble de déclarations agressives vis-à-vis de l’Algérie tout en se gargarisant de l’échec pourtant annoncé de la tenue du Forum de Crans Montana à Dakhla occupée.
Le Plan d’autonomie au Sahara, sous souveraineté marocaine, est «l’expression d’un engagement sérieux et d’une volonté authentique du Royaume d’oeuvrer avec les Nations unies en vue de trouver un règlement définitif» au conflit du Sahara, aurait déclaré l’ambassadeur du Maroc aux Etats-Unis, Rachad Bouhlal, au quotidien américain New York Times, rapporte le journal arabophone marocain
Al Ittihad Al Ichtiraki.
Le diplomate marocain n’a bien entendu pas omis de donner un coup de griffes à l’Algérie et aux Sahraouis… «Le Polisario et ses soutiens algériens demeurent l’obstacle majeur à la solution politique voulue par l’ONU à cause de leur refus de négocier un compromis, de conduire un recensement dans les camps de Tindouf et de leur menace de reprendre la guerre» a-t-il accusé. Quant à la tenue du Forum de Crans Montana prévue en territoire sahraoui occupé (Dakhla), le Maroc l’agite en épouvantail pour tenter d’influencer le Conseil de sécurité de l’ONU qui doit adopter une nouvelle résolution pour prolonger la mission de la Minurso, Mission des Nations unies pour l’organisation d’un référendum au Sahara occidental. *Par Mohamed TOUATI - Lundi 09 Mars 2015/ L’Expression
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*Provocations marocaines
Le palais royal marocain, tout comme le makhzen, ne ratent jamais une occasion de susciter diversion et provocation, surtout quand ils sont mis en difficulté tant au plan intérieur qu’à l’étranger. Il n’y a qu’à voir l’exploitation politico-médiatique des derniers incidents survenus à la frontière algéro-marocaine entre des contrebandiers marocains et des éléments des garde-frontières algériens (GGF).
Il n’en fallait pas plus, en effet, pour que le palais royal rameute tout ce qu’il compte de serviteurs hostiles à la politique de bon voisinage et de fraternité avec l’Algérie. Le procédé n’est pas nouveau, des faits similaires se sont déroulés il y a quelque mois, déclenchant de manière inattendue des réactions et des propos inamicaux pour le moins, prenant une tournure agressive inexpliquée, démesurée par rapport à l’événement en lui-même.
Samedi, le Maroc a donc «dénoncé» les tirs de sommation des GGF algériens, allant jusqu’à y voir un «grave incident» justifiant la convocation de l’ambassadeur algérien par le palais royal pour exiger des explications. Les exemples de ce genre de provocations du côté marocain ne se comptent plus. On a vu qu’au plus fort du conflit syrien, les autorités du royaume n’ont pas hésité à exploiter le drame de réfugiés qu’ils ont refoulés manu militari vers l’Algérie sous l’argument fallacieux qu’ils auraient transité par notre pays avant d’entrer au Maroc.
Et ce, au mépris du droit d’asile et d’accueil humanitaire de ressortissants de pays en guerre universellement admis. Mais Rabat sait ne pas s’embarrasser de ce genre de considérations quand il s’agit d’exprimer son ressentiment envers l’Algérie. Plus grave, l’agression du consulat algérien à Casablanca l’an dernier, à la veille du 1er novembre, suivi de la dégradation de l’emblème national sont resté impunis ; les autorités ont fait preuve d’un certain laxisme envers les auteurs de cet acte inamical.
Tandis que depuis samedi dernier, les appels répétés à la traduction en justice des auteurs des tirs de sommation du côté algérien, relayés par une interprétation fallacieuse des faits, selon le ministère algérien des Affaires étrangères, cachent mal la provocation et la diversion, au lendemain de la décision marocaine de ne pas abriter la Coupe d’Afrique des nations qui doit s’y dérouler au début de l’année prochaine, sous prétexte d’épidémie d’Ebola, ou encore le camouflet que vient d’administrer l’organisation Human Rights Watch, dénonçant le mensonge marocain d’une prétendue séquestration des populations de réfugiés sahraouis dans les camps de Tindouf alors qu’il n’en est rien.
Bien au contraire, cette ONG se joint à d’autres organisations pour appeler le Conseil de sécurité des Nations unies à élargir le mandat de la Minurso à la surveillance des violations des droits de l’homme dans les territoires sahraouis occupés par le Maroc. Des voix qui dérangent une quiétude de façade que veut entretenir le palais royal, alors que le mécontentement gronde dans le pays profond.*ELWatan-/20/10/2014
****jets de pierres de contrebandiers marocains contre les gardes-frontières algériens
L’Algérie a rejeté la présentation « fallacieuse » faite par la partie marocaine de la réaction des gardes-frontières algériens, sujets de provocation par un groupe de contrebandiers marocains, ainsi que son exploitation politico-médiatique « abusive ».
« Le ministère des Affaires étrangères rejette catégoriquement la présentation fallacieuse d’un incident survenu, le 18 octobre 2014, à la frontière algéro-marocaine ainsi que l’exploitation politico-médiatique abusive qui en est faite par la partie marocaine », précise un communiqué du ministère.
Le ministère a rappelé que « la réalité est qu’une patrouille de gardes-frontières qui a été ciblée, ce jour-là, par des jets de pierres lancés par un groupe de contrebandiers marocains a réagi d’une manière professionnelle, comme d’habitude, par deux tirs de sommation en l’air qui ne peuvent, en aucune manière, provoquer des blessures à l’une quelconque des personnes engagées dans l’acte de provocation ».
« La manipulation des faits et l’escalade dans le discours des autorités marocaines à des fins, pour le moins inavouables, témoignent d’une attitude irresponsable qui ne sied point aux valeurs de fraternité et de bon voisinage qui lient les deux peuples », poursuit le ministère.
« L’Algérie, qui déplore la propension de certains dirigeants marocains à travestir la vérité, rejette, encore une fois, le recours à ces méthodes provocatrices au moment où le contexte international et régional exige une relation sereine et constructive ainsi que de la retenue dans les actes comme dans les propos », a-t-on souligné de même source.
« Cette inclination de la partie marocaine à détériorer délibérément le climat des relations bilatérales ne sert ni ses intérêts bien compris ni ceux des peuples de la région », déplore le ministère des Affaires étrangères.*APS–Dimanche 19 Octobre 2014
*Le régime marocain, en perte de vitesse, s’attaque à l’Algérie encore une fois
**Réaction de bête blessée
Sans doute agacé par les échecs de son appareil diplomatique, le Maroc recourt à l’insulte. Acculé par l’opinion publique de son pays, le ministre marocain des Affaires étrangères, Salaheddine Mezouar, s’est violemment attaqué à l’Algérie à propos notamment du conflit au Sahara occidental.
«L’Algérie utilise tous les moyens financiers et logistiques pour contrecarrer les efforts du Maroc visant à trouver une résolution» à cette question, a déclaré M. Mezouar lors d’une audition publique devant une commission parlementaire, rapporte l’AFP. «La dernière chose a été (la désignation de) cet envoyé spécial de l’Union africaine (…). Quand on voit les tentatives du régime algérien pour contrer nos efforts, nous constatons que les méthodes utilisées sont vraiment minables», a-t-il enchaîné.
Pis, perdant visiblement son sang-froid, pourtant de rigueur chez les chefs de la diplomatie, le ministre marocain ajoute : «Notre conflit aujourd’hui n’est pas avec le Polisario mais avec l’Algérie.» Une déclaration qui tranche pourtant avec les résolutions des Nations unies et de tous les accords internationaux qui indiquent que le conflit concerne le Maroc et le Polisario.
Pour comprendre ces attaques marocaines, un bref rappel des faits s’impose. Il y a quelques jours, l’Union africaine a annoncé la désignation de Joachim Chissano, ancien président du Mozambique, comme envoyé spécial au Sahara occidental. Le royaume du Maroc, qui ne fait plus partie de l’organisation panafricaine depuis 1984 à cause de l’entrée de la République arabe sahraouie démocratique, crie au scandale et cherche un coupable vite désigné : l’Algérie. Or, Alger, qui a certainement une réputation à défendre au sein de l’Union africaine, n’est qu’un membre dans une organisation qui compte 53 pays africains.
A cela, il faut ajouter le contexte. Pour sortir de son isolement diplomatique qui ne se limite plus au continent africain, le Maroc tente de jouer dans le périmètre du Sahel. Rabat voulait se déployer dans cette région et se trouver un nouveau rôle de médiateur dans le conflit malien. Pour ce faire, le roi du Maroc, qui préfère d’habitude les virées touristiques aux très contraignantes visites diplomatiques, effectue une tournée régionale qui l’a mené dans six pays africains.
Mohammed VI voulait profiter d’une absence momentanée de l’Algérie, alors occupée par l’élection présidentielle, et invite chez lui les responsables du mouvement Azawad. A peine l’élection présidentielle terminée, Ramtane Lamamra reprend son bâton de pèlerin. Il effectue une grande tournée africaine qui s’est conclue par la reprise en main de l’Algérie du dossier du Sahel. Les plans de Mohammed VI tombent comme château de carte. Il envoie son ministre des Affaires étrangères à Bamako pour tenter d’effacer le passage de Lamamra.
En vain. Mezouar revient bredouille et les parties en conflit au Mali se rendent à Alger malgré l’organisation d’une rencontre à Rabat sur la question. Et pour ne rien arranger à ses affaires, le royaume du Maroc, qui patauge dans une crise économique sans précédent, perd un allié de taille : la France. Les relations entre Rabat et Paris ne sont plus au beau fixe depuis la signature, par l’ancien Premier ministre français, Jean-Marc Ayrault, d’un mémorandum mentionnant le «droit du peuple sahraoui à l’autodétermination». Ce texte, signé lors de la visite du dirigeant français à Alger en décembre 2013, s’ajoute aux confidences d’un ancien diplomate français qui a qualifié le Maroc de «maîtresse avec laquelle on dort toutes les nuits, dont on n’est pas particulièrement amoureux mais qu’on doit défendre».
La déclaration a été tellement mal perçue que le célèbre écrivain marocain, Tahar Benjelloun, a interpellé publiquement le président français François Hollande : «Pouvez-vous traiter l’Algérie de maîtresse ?», sachant qu’une telle éventualité est inenvisageable. A cela, il faut ajouter les organisations des droits de l’homme qui accablent régulièrement le Maroc pour des faits de torture avérés, notamment au Sahara occidental. C’est donc la réaction d’une bête blessée ?*Ali Boukhlef*El Watan-12.07.2014
***Grosse panique au makhzen
Quand le makhzen dégaine contre l’Algérie c’est qu’il est forcément acculé sur la scène diplomatique. C‘est un réflexe quasi Pavlovien pour un royaume chancelant qui tente, tant bien que mal, de ressouder les pauvres marocains autour du Trône en pratiquant son sport favori : casser de l’Algérie.
La dernière campagne virulente ponctuée par une accusation infondée de prétendus tirs par l’armée algérienne contre des marocains à la frontière, en est la parfaite illustration.
C’est comme cela à l’approche de chaque moi d’avril, date de l’examen annuel de la question sahraouie au Conseil de sécurité et du débat inévitable sur l’allongement du mandat de la MINURSO aux droits de l’homme, Rabat joue la vierge effarouchée.
Cette fois, le royaume perd son sang froid suite à la nomination de Mme Kim Bolduc (Canada), comme nouvelle Représentante spéciale du Secrétaire général, et chef de la MINURSO qui succèdera à l’Allemand Wolfgang Weisbrod-Weber, dont le mandat s’est achevé le 31 juillet dernier.
Une diplomate que le makhzen ne connaît pas et dont il soupçonne une volonté de faire correctement son travail à Lâayoun occupée. Rabat tente en vain d’obtenir des «classifications» mais surtout des «garanties» que son mandat ne nuirait pas à son agenda diplomatique consistant à bloquer toute issue des négociation de paix au Sahara occidental.
Pour l’heure, Rabat s’entête à ne pas vouloir l’accueillir au même titre que M. Ross qui souhaite effectuer une nouvelle tournée dans la région.
Le briefing décisif de Ross
Et la veille du briefing de Christopher Ross, envoyé personnel de Ban Ki-moon, devant le Conseil de sécurité, prévu lundi 27 octobre 2014, Rabat s’affaire et s’agite auprès de la France et des Etats-Unis pour gêner la feuille de route de M. Ross accusé par Rabat de «double langage».
Le Makhzen souhaite ainsi que la France et les Etats-Unis lui apportent leur soutien lors de la réunion de lundi prochain.
Rien n’est acquis pour autant puisque des fuites médiatiques rapportent que le sous-secrétaire adjoint pour les Affaires du Proche-Orient au département d’Etat, John Desrocher, a déclaré à Rabat lors de sa visite la semaine dernière que «la dynamique doit se poursuivre» et qu’il fallait «éviter de geler le processus». Autrement dit, Ross et sa nouvelle collaboratrice Mme Bolduc ont reçu un appui de Washington.
Les USA en ont marre…
Du coup, la monarchie voit rouge. Surtout que John Desrocher aurait déclaré aux officiels marocains ne pas comprendre «le refus permanent» du Maroc d’accueillir Mme Bolduck et de continuer à surseoir à la visite de M. Christopher Ross.
Il est évident que le royaume qui est habitué à choisir presque les diplomates onusiens qui s’occupent du dossier sahraoui, est mis hors jeu. Le fait est que Christopher Ross est définitivement acquis à l’idée que le Sahara occidental est un «territoire non autonome» conformément au droit international et aux résolutions des Nations unis.
Et c’est le sacro-saint principe de la prétendue «marocanité» du Sahara occidental qui tombe à l’eau à l’ONU. Une perspective très dangereuse pour Rabat qui a longtemps berné le monde en s’achetant des soutiens occidentaux grâce au chéquier de sa majesté et le lobby sioniste. Le temps de la Realpolitik est peut être arrivé. La menace terroriste dans le Sahel et la Libye dicte aux puissants du monde la nécessité de changer leur fusil d’épaule dans ce conflit qui traîne depuis plus de 30 ans.* 25/10/2014 |*algerie1.com/
*Un Snowden marocain dévoile plusieurs informations sensibles sur le Makhzen marocain
Algéria Times est un site contrôlé par les services secrets du royaume
Il est marocain et il se fait appeler Chris Coleman. Il donne des sueurs froides aux autorités marocaines qui essaient de le faire taire sur les réseaux sociaux en particulier sur Twitter (https://twitter.com/chris_coleman24) qui a fermé dans un premier temps son compte avant de le réouvrir en donnant un avis favorable à son recours.
Chris Coleman a donc dévoilé plusieurs informations sensibles sur le Makhzen marocain, mails, ordre de virement, diverses correspondances concernant en particulier les activités de la DGED (Direction Générale des Études et de la Documentation) qui est un service de renseignements et de contre-espionnage au Maroc. Ce service est rattaché directement au Palais royal. Depuis 2005, la DGED est dirigée par Mohamed Yassine Mansouri, mis en cause à plusieurs reprises par Chris Coleman.
Les documents dévoilées par Chris Coleman portent sur des virements de grosses sommes d’argent en dollars au profit d’un patron de presse, au Think Tank Républicain Center for the National Interest. 10 000 dollars pour une insertion publicitaire au profit d’une ONG spécialisée dans la résolution pacifique des conflits, 25 000 pour le think tank FPRI et des sommes aussi importantes au profit de titres de presse américains et britanniques.
Chris Coleman a en outre posté un avis de virement de 60.000 dollars au profit du journaliste Richard Miniter du New York Post accusé de commettre des articles anti-algériens et de faire un supposé lien entre le Front Polisario et Al Qaida. (http://nypost.com/2010/11/02/letting-another-qaeda-bastion-grow/).
On apprendra ainsi un peu plus sur les méthodes de la DGED pour corrompre les journalistes internationaux et surtout leur implication dans la création d’un site internet d’informations générales appelé ALGERIA TIMES.
Le document -émail- ci-dessous, s’il est authentifié démontre l’implication des services secrets de sa majesté dans la politique de déstabilisation à l’encontre de l’Algérie.*Par Lila Ghali | 22/10/2014 *algerie1.com/
——— Message transféré ———-
De : raamc <raamc@menara.ma>
Date : 13 septembre 2010 15:06
Objet : L’arrêt des activités du journal électronique ALGERIA TIMES.
À : BELLAHRACH Mohamed <m.bellahrach@gmail.com>
Casablanca, le 13 septembre 2010
A
Monsieur le Directeur Général
S/C du Directeur
du Cabinet
Rabat
Objet : L’arrêt des activités du journal électronique ALGERIA TIMES…
Monsieur le Directeur Général,
J’ai le regret de vous annoncer que le journal électronique ALGERIA TIMES cesserait ses activités médiatiques et politiques à partir du 25 septembre 2010, selon les superviseurs basés aux USA. Depuis la rupture définitive avec Anouar Malek, il y a un an, selon vos instructions, le journal est devenu Marocain à 100%. Son staff est constitué du personnel suivant :
1- Fadel Mustapha, Coordonnateur général USA, chargé des affaires administratives et financières.
2- Abderrahmane Mekkaoui, Responsable des affaires politiques et porte parole du journal, Alias Ben-Younes Télémçani.
3- Abouferras Jalil, Chargé de la programmation et les affaires techniques (entretien,…)
4- Fadile Noureddine, Journaliste basé à Casablanca
5- Yassine Kerdoudi, Journaliste basé à Casablanca
Toutes les personnes indiquées travaillent dans l’anonymat et le secret absolu et portent des surnoms.
Ce journal se classe actuellement le quatrième dans la presse écrite arabe et francophone en Algérie. Il est devenu le porte parole de toute l’opposition algérienne toutes tendances confondues (islamiste, laïc, nationaliste, officiers libres, etc..).
C’est une véritable arme politico-médiatique contre les ennemis du Maroc. Sa popularité dans toutes les couches sociales dépasse les pays du Maghreb, du Sahel, de l’Europe et de l’Amérique du Nord : 1,5 millions visiteurs/jour et 3000 commentaires/jour. Il a pu tenir pendant deux ans sans financement ni mécène malgré les offres alléchantes venues du DRS sous forme de sociétés de communication basées à Doubai ou à Paris (sa valeur marchande dans le marché des médias électroniques est 1.5 million $ !!).
Etant donné la sensibilité d’autres informations concernant ce sujet qui relève de la sécurité nationale, je vous demande de bien vouloir donner vos instructions à votre Chef de Secrétariat de prendre contact avec nous avant l’écroulement de ce dispositif précieux, qui sert notre CAUSE NATIONALE et notre COMBAT contre l’hégémonie et le séparatisme, Combat qui se situe au niveau du verbe et de l’image. Ce journal est un véritable fer de lance de la mobilisation de la société civile et de la diplomatie populaire mené par Sa Majesté le Roi que Dieu le Glorifie.
Veuillez agréer, Monsieur le Directeur Général, l’assurance de ma très haute considération.
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*Le MAE dément l’«intox» marocaine
L’Algérie a démenti jeudi, par la voix du porte-parole du ministère des Affaires étrangères (MAE), Amar Belani, avoir refoulé des ressortissants syriens qui se trouvent sur son territoire.
La réaction du représentant du MAE fait suite à une information rapportée, ce jeudi, par un site marocain, atlasinfo (voir photo), et dans laquelle on pouvait lire que « 27 réfugiés syriens refoulés par les autorités algériennes vers le territoire » marocain « à travers un point frontalier sis à 600 mètres du poste frontière « Zouj Bghal », à la commune rurale Ahl Angad (préfecture Oujda Angad) »
«Je démens catégoriquement cette information mensongère et j’insiste sur le fait qu’il ne faut accorder aucun crédit aux allégations malveillantes déversées, quotidiennement, par ces pseudos magazines électroniques d’un pays voisin qui se sont spécialisés dans le clapotis nauséabond du marécage médiatique anti-algérien », a indiqué Amar Belani dans une déclaration à l’APS.
La porte parole du MAE a également indiqué que « l’Algérie ne refoule pas les ressortissants syriens qui se trouvent sur son sol car, comme le soulignait encore récemment le ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, ces derniers ont été accueillis dans un élan spontané de solidarité et de fraternité en Algérie, que nous leur souhaitons un bon séjour dans la dignité parmi nous et un retour dans les meilleurs délais dans leur pays, dès que les conditions sécuritaires seront réunies ».
Le nombre de ressortissants syriens qui se sont réfugiés en Algérie serait d’environ 12 000 personnes.*Rédaction WEB/ LIBERTÉ-Jeudi, 23 Janvier 2014
*Réactions des internautes:
#21numide–ça continue, toutes ces attaques venant du maroc, bourré de mensonge et de propagande. Les refugiers Syrien sont bien traité et bien accueillie en Algerie.
Ce pays ( le maroc ) avec ce regime pro sioniste ou seul les touristes du sexe sont respecté, la population est mise au banc
.#13kamel–la video sur youtube concernant les refugiés c’est un montage comme d’hab du makhzen car premierement ses gens la sont sur le territoire marocain et deuxiement et ce qui m’a intrigué le plus la dame voilée avec le gosse quand elle parle ces levres ne bougent pas syncro avec les mots quand elle dis que les autorité algerienne nous ont expulsé donc elle a du dire autre chose que ça donc c’est un pure montage comme celui du TF1 ou FR2 reveillez vous citoyens marocain vous etes endoctriné et programmes comme des m… par votre maghzen
#11Amara—S’il y a un pays qui n’a pas participé à l’exaspération du conflit syrien, c’est bien l’Algérie. Le souci premier des Algériens était le bien être de la population syrienne et l’Algérie voulait éviter que le conflit produise des millions de réfugiés. Ce n’est pas le cas du Maroc qui est partie prenante du conflit sur l’instigation de ses maîtres. L’Algérie n’a jamais expulsé personne de son territoire et les Africains de Maghnia peuvent en témoigner, raison de plus pour nos frères syriens. Le Maroc a expulsé des Africains vers l’Algérie. Arrêtez vos salades !
* il est facile de trouver des personnes et leur faire jouer un rôle.
Vous êtes les rois de la désinformation et des coups fourrés , vous êtes d’une lâcheté qui dépasse l’entendement humain. C’est dans votre habitude cette haine
*BELGOUMIDI—J’ai été au Maroc récemment j’ ai discuter avec bon nombre de marocains, et croyez moi ils voudraient être a notre plocainsace et ils nous envient même .A la question que pensez vous de la politique de votre roi ils sont unanimes, au diable le roi et ses acolytes, ces Mar veulent la réconciliation avec l Algérie . Ces marocains ne sont pas dupes et savent que le Sahara occidental ne leur appartient pas et puis c est la source de tous leurs problèmes.Ils craignent même une confrontation militaire directe avec l’ Algérie et la ils auront beaucoups a perdre.
*SIDI MAKHLOUF—Tout les moyens sont bons, pour dénigrer l’Algérie. C’est la fermeture dela frontière qui fait courir le Roitelet et son maghzen. Cette frontière ne sera rouverte que lorsque toutes les raisons de sa fermeture,auront été levées
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*affaire du général marocain hospitalisé au Val-de-Grâce
Le Maroc fait porter le chapeau à l’Algérie
Selon la presse marocaine, les services algériens seraient derrière la tentative d’un ex-capitaine de l’armée marocaine qui a essayé de remettre une lettre d’ «insultes» à un haut responsable marocain soigné au Val-de-Grâce.
*Mustapha Adib
Les services marocains font mieux que le FBI, la CIA, la DST, Scotland Yard, le Mossad… réunis. En moins de 10 jours ceux qui sont derrière la pitoyable et sombre affaire du général marocain hospitalisé au Val-de-Grâce «insulté» et «agressé» par Mustapha Adib, un ex-capitaine des forces armées royales, opposant notoire à Mohammed VI, auraient été démasqués. Moulay Hicham, cousin germain de Mohammed VI, banni de la cour marocaine, et l’Algérie auraient manipulé l’officier rebelle qui a qualifié le monarque alaouite de dictateur et accusé le général Abdelaziz Bennani d’avoir «tué des milliers d’innocents et jeté des millions d’orphelins dans la rue».
Le «360.ma.» un média Web marocain se vante d’avoir mené une enquête depuis Paris et avoir appris «des révélations surprenantes sur les relations de l’intéressé avec Moulay Hicham ainsi que ses accointances avec les services algériens».Le scénario est hitchcockien!
L’opposant marocain serait tombé dans le giron des services algériens par le truchement d’une femme nommée Malika Nacief, rapporte la même source. «Cette femme est un agent des services algériens, spécialement mandatée pour s’occuper d’Adib. Elle vit en Algérie et se déplace plusieurs fois par an à Paris pour rencontrer Adib et lui dispenser les bonnes orientations», aurait confié un informateur au média marocain.
Le parallèle est vite établi:
La célérité avec laquelle les services marocains ont trituré cette affaire n’a d’égale que sa légèreté et son caractère insidieux Une insulte pour leurs homologues français qui n’y ont vu que du feu. Le pouvoir marocain ne sait plus où donner de la tête. Après l’affaire de l’emblème national du consulat d’Algérie à Casablanca profané par un sujet de Sa Majesté vint celle de l’accusation de l’Algérie d’avoir expulsé des réfugiés syriens vers le territoire marocain, il passe à une étape supérieure. Ses piailleries n’ont apparemment pas redoré le blason terni du Royaume.
«L’ambassadeur de France au Maroc, M.Charles Fries, a été reçu, jeudi (19 juin 2014 Ndlr) à Rabat, par M.Mohamed Yassine Mansouri, directeur général de la direction générale d’études et de documentation Dged, pour lui faire part du vif mécontentement du Royaume à la suite de la lâche agression morale dont a été victime, la veille, le général de corps d’armée, Abdelaziz Bennani, dans sa chambre de l’hôpital parisien du Val-de-Grâce, de la part du dénommé Mustapha Adib», avait rapporté une dépêche de l’agence officielle de presse marocaine Map. Les relations entre Paris et Rabat sont entrées dans une période de glaciation.
Les affaires entre les deux capitales se succèdent. Les incidents diplomatiques aussi. Le Makhzen tente une porte de sortie…de crise. Le bouc émissaire est tout trouvé.
L’Algérie tirerait les ficelles et serait à l’origine des tribulations de responsables marocains accusés par des opposants de torture. Une nouvelle sortie de route du Makhzen qui le conduit droit dans le fossé.*L’Expression-Mercredi 02 Juillet 2014
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*La stratégie de la tension permanente
Que faut-il faire pour raisonner ce royaume rétrograde du Maroc qui, tel un enfant gâté, se permet toute sorte de sottises pour irriter l’Algérie ? Le monarque et ses fidèles serviteurs zélés se permettent toute sorte de balivernes à l’égard de l’Algérie sans craindre le ridicule. Il ne se passe pas une semaine sans que les représentants de cette monarchie médiévale ne se fassent signaler par une déclaration inamicale, une attaque frontale ou un comportement odieux contre l’Algérie.
Cela devient une paranoïa très marocaine. Incurable aussi longtemps que notre pays maintienne sa position de principe sur le droit du peuple sahraoui à l’autodétermination. Tous les algériens ont posé le diagnostic de cette grave pathologie du makhzen. Il faudrait donc s’attendre à d’autres attaques en dessous de la ceinture prochainement. Au moins d’ici à la fin avril ; c’est-à-dire après l’examen du dossier sahraoui au niveau du Conseil de sécurité de l’ONU.
On l’aura compris, le royaume éprouve une peur existentielle chaque année à cette période. Il réagit alors, comme une bête blessée par une campagne haineuse contre l’Algérie de sorte à détourner l’attention. Mais il faut reconnaître que depuis six mois, on a droit à de véritables déclarations de guerre du Maroc. Il n’est plus question de petites phrases inamicales. Après avoir échappé de justesse l’année dernière à l’institution d’un mécanisme de surveillance des droits de l’homme dans les territoires occupés via l’allongement du mandat de la MINURSO, Rabat ne souhaite plus revivre ce « cauchemar » diplomatique à l’ONU.
La stratégie de la tension permanente
Son allié américain fut même l’auteur de cette cinglante proposition retirée à la dernière minute. A moins d’un mois de la présentation du rapport de l’envoyé spécial du SG de l’ONU sur la situation des droits de l’homme dans les territoires occupés, le royaume panique. Il réagit ainsi sur deux registres : Attaquer l’Algérie qu’il prend pour responsable de ses déboires au sein de l’ONU et prendre quelques mesures cosmétiques pour faire croire qu’il est respectueux des droits de l’homme.
Comme la dernière décision du monarque d’exclure la comparution des civils devant les tribunaux militaires à travers l’amendement d’une loi sur la « justice » militaire. C’était il y a juste une semaine. Le timing de cette mesure est frappant… Pendant ce temps, la propagande anti algérienne du makhzen fonctionnait à plein régime. Depuis le discours guerrier du roi en septembre dernier devant le parlement où il avait décrété l’Algérie comme un « pays ennemi », tous ses relais politiques et médiatiques ont produit eux aussi des morceaux « d’anthologie » en matière de provocation de l’Algérie.
Fourrer son nez dans …
Le summum de cette campagne, bête et méchante, aura été la profanation de l’emblème national et la violation des franchises diplomatiques du Consulat d’Algérie à Casablanca qui plus un 1er novembre ! Faut-il s’étonner de la misérable prestation de l’ambassadeur du roi à Genève ce jeudi après un tel forfait ? Pas vraiment. Le sieur Omar Hilal (photo) a ainsi fourré son nez dans les affaires algériennes en s’offusquant faussement de ce que « la ville de Ghardaïa en Algérie ressemble davantage à un champ de bataille avec ses maisons brûlées, ses magasins pillés, ses habitants pourchassés et ses composantes socioreligieuses instrumentalisées ».
C’est quoi çà « Mr LE DIPLOMATE » ? Qui pourra croire une seconde que les dirigeants du makhzen puissent éprouver une once d’humanité à l’égard d’un algérien fut-il de Ghardaïa ? Non, il s’agit juste de larmes de crocodile destinées à détourner l’attention de ce qui se passe dans les territoires occupés mais surtout dans la prison de Salé. Là où croupissent 25 militants sahraouis condamnés à 25 ans de prison par un tribunal militaire du roi dans un procès de la honte en février 2013 dans le sillage du démantèlement inhumain du camp de Gdim Izik. Vus Sous cet angle, les propos de l’ambassadeur marocain à Genève ne sont qu’une suite ininterrompues de conneries royales. Mieux vaut alors tirer la chasse.*.algerie1.com/mar 21st, 2014
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*Depuis des mois, des centaines de Marocains tentent de passer la frontière algérienne pour rejoindre les rangs de Daesh en Libye.
**Le Maroc essaie tout le temps de destabiliser l »Algérie
Au moins six Marocains ont été appréhendés par les forces de l’ANP, alors qu’ils tentaient de rejoindre la Libye via la wilaya d’El Oued par le sud-ouest de l’Algérie, selon un communiqué du ministère de la Défense nationale. Ces arrestations, qui ne seront certainement pas les dernières, interviennent quelques jours après la fermeture de l’Algérie de ses lignes aériennes vers la Libye, constatant un afflux inhabituel de Marocains vers ce pays. Selon des sources très au fait du contexte sécuritaire, 400 Marocains ont réussi à rejoindre ce territoire pour rallier ce qu’on appelle Daesh, ou encore l’Etat islamique.
Cette immigration douteuse d’ailleurs s’effectue sous les yeux des autorités marocaines d’où ce renseignement capital faisant état d’une complicité avérée de haut niveau des services secrets marocains. La donne n’est pas surprenante pour autant, du fait que ce pays est à l’origine de la création de l’organisation criminelle appelée le Mujao à l’ombre du renversement de la Libye, visant a déstabiliser l’Algérie pour des raisons connues, à savoir l’ouverture des frontières, mais aussi pour la position de l’Algérie qui soutient le gouvernement du Sahara occidental pour son indépendance.
Aujourd’hui encore, le Maroc, soutenu par l’Arabie saoudite et certains pays de l’Europe intervient dans ce qui se passe en Libye pour le même objectif, afin de fragiliser la sécurité de l’Algérie en envoyant des éléments de la DST pour infiltrer, voire appuyer Daesh dans le but d’obtenir satisfaction de voir l’Algérie plongée dans une instabilité sécuritaire. Le comble c’est que cela se déroule au moment où la communauté internationale appelle à une mobilisation générale pour extirper les racines de Daesh en Syrie, en Irak et en Libye.
Le complot de Sa Majesté le roi a été bien ficelé, néanmoins le piège perfide est désormais identifié. Pour des sources bien imprégnées, les plans des services secrets marocains ne sont pas l’oeuvre du génie et toute stratégie visant la stabilité du pays demeure un coup d’épée dans l’eau. Sur cette question, le ministre des Affaires étrangères s’est montré rassurant.
Ramtane Lamamra, a en effet, souligné que «l’Algérie avait pris toutes les dispositions nécessaires pour sécuriser ses frontières et contribuer à la sécurisation de tout le territoire», affirmant que «la situation est maîtrisée, aussi bien à la frontière est comme au sud et à l’ouest». Ajoutant: «Nous maîtrisons la situation, nous veillons à la sécurité de notre pays et celle de nos voisins», mais, avertit encore le diplomate, «la vigilance reste de rigueur».
Il n’en demeure pas moins que la situation qui entoure l’Algérie est explosive, du moment qu’un pays qui se dit frère n’a aucune gêne à jouer le rôle de l’ennemi. Le jeu trouble du Maroc est saisissant, comptant sur le contexte impétueux en Libye où une intervention militaire étrangère est inévitable pour arriver à ses fins dévastatrices. La monarchie marocaine qui avait également été un complice passif mais nocif lors des années 1990 lors de la montée de la violence en Algérie et l’implantation d’Al Qaïda vers 2003, n’a jamais baissé les bras pour confirmer sa thèse faisant de l’Algérie un laboratoire comme aimait le dire Hassan II. Le complot est sur commande, à l’évidence, certaines puissances occidentales ne manquant pas d’user des différends entre l’Algérie et le Maroc, notamment en ce qui concerne la question du Sahara occidental, pour alimenter la haine. Si ces pays ne sont pas à écarter dans ce qui s’est passé à Ghardaïa, le Maroc en jouera le rôle le plus important.
Des arrestations dans ce sens ont été dénombrées, confient nos sources sans donner plus de précisions. Pour ceux-là même on cherche à livrer à l’Algérie la même ordonnance que celle de la Libye, la Syrie et l’Irak. Cependant, les ingrédients réunis sont mal mélangés pour un pays comme l’Algérie immunisé contre tous les virus fabriqués dans les laboratoires.*r Ikram GHIOUA - Samedi 27 Fevrier 2016 § L’Expression
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*Un espion marocain arrêté à Annaba
Il était en possession de faux documents et il avait tenté de s’enfuir
Une fois de plus, le Palais royal devra rendre des comptes au locataire d’El Mouradia, sur cette affaire d’espionnage qui, en toute vraisemblance, n’a d’autre objectif que l’atteinte à l’intégrité nationale.
Sous une fausse identité et en pocession de vidéos sur des événements de protestations en Algérie, un espion marocain a été arrêté hier, à l’aéroport international de Annaba par les éléments de la brigade criminelle relevant de la sûreté de la wilaya de Annaba, apprend-on de source sécuritaire. Soumis aux mesures judiciaires et juridiques d’usage, audition, présentation et instruction, le mis en cause dans cette affaire qui n’a pas encore livré tous ses secrets, Erraissi Mohamed, âgé de 48 ans, a été placé,sur instruction du doyen des magistrats près le tribunal de Annaba, sous mandat de dépôt. Il est à rappeler que le ressortissant marocain, a été interpellé en plein centre de la ville de Annaba, a ajouté la même source, qui devait révéler que l’homme avait été interpellé dans un premier temps par la police des frontières relevant de l’institution aéroportuaire d’où il devait prendre le vol Annaba-Istanbul, le lundi à 19 heures. L’homme devait faire l’objet d’un questionnaire sur les raisons de sa présence en Algérie, à Annaba, notamment avant de s’évader laissant derrière lui son passeport, a expliqué notre source. Le passeport qui n’était autre qu’une vraie fausse pièce, a permis l’identification de l’espion. Un important dispositif de contrôle a été mis en place d’où le déploiement des brigades et des points de contrôle avec le signalement de l’homme ont ponctué le territoire de la wilaya de Annaba. En moins de 24 heures, le suspect a été arrêté en plein centre -ville par, les limiers de la brigade criminelle de Annaba. Soumis à un interrogatoire, le marocain, avoue s’être introduit sur le territoire national avec de faux papiers. Aussi, il a reconnu avoir sillonné plusieurs villes du pays. Depuis le Centre jusqu’à l’Est, à savoir depuis Alger jusqu’à Annaba en passant par Constantine, avec, à chaque fois, une nouvelle fausse identité, mais toujours avec le même objectif, enregistrer les événements marquant le pays, les mouvements et les contestations citoyennes, relatives au volet social, devait révéler l’espion. Selon les premiers éléments de l’enquête, le Marocain, ne pouvait en aucun cas réfuter les accusations, puisqu’il a été découvert dans ses bagages, notons-le, de faux documents d’identité, pièces d’identités passeports, cachets humides et griffes, ainsi qu’un Ipad, lui permettant de filmer les scènes de contestations, entre autres, pièces saisies dans ces bagages, récupérées à l’aéroport. Reconnu coupable d’entrée illégale en territoire algérien, détentions de faux documents, faux et usage de faux pour espionnage, le mis en cause a été placé hier sous mandat de dépôt et a été reconduit à la prison de Bouzaâroura. En outre, et selon notre source, les investigations sont toujours en cours à l’effet d’éclaircir les zones d’ombre agissant derrière cette affaire d’espionnage. Une affaire qui risque de déboucher sur un incident politique entre le Maroc et l’Algérie. Une situation déjà à l’extrême de la tension entre les deux Etats, notamment depuis les dernières provocations et l’atteinte à l’emblème national. Il faut reconnaître que le roi Mohammed VI, semble ne pas mesurer la réaction de l’Algérie à sa juste valeur, sinon comment expliquer l’acte de ce ressortissant marocain qui s’est aventuré dans une mission impossible en Algérie. L’héritier du trône de Hassan El Khames, Mohammed VI en l’occurrence, doit reconnaître que la forteresse algérienne demeure et demeurera inaccessible tant pour lui, que pour ses commanditaires. En effet, cet acte que Mohammed VI va certainement qualifier d’«isolé» comme ce fut pour le précédent, où un manifestant avait réussi à se hisser, sur le toit du consulat d’Algérie à Casablanca et avait arraché le drapeau en tentant de s’enfuir en l’emportant. Une fois de plus, un autre incident intervient dans un contexte de crise diplomatique entre les deux pays et où la presse marocaine multiplie ses attaques médiatiques contre l’Algérie. Une situation qui n’évitera pas, au Palais royal de rendre des comptes au locataire d’El Mouradia.*L’Expression-Jeudi 09 Janvier 2014
**Allemagne : Un Marocain arrêté, soupçonné d’espionnage au profit du makhzéne du roi
Le Parquet fédéral allemand a annoncé vendredi avoir renvoyé devant les tribunaux un Marocain de 59 ans, soupçonné d’avoir espionné l’opposition marocaine en Allemagne au profit des services secrets de Rabat.
Bagdad. A, qui a aussi la nationalité allemande, s’est porté volontaire auprès des services secrets marocains en 2007, en mettant en avant un “réseau de contacts étendu” au sein de la communauté marocaine, a écrit le Parquet dans un communiqué.
“Il a été en contact ininterrompu avec ses commanditaires jusqu’à février 2012 et leur fournissait des informations tout particulièrement sur les manifestations organisées par les groupes d’opposition”, selon le communiqué. Le Parquet souhaite qu’il soit jugé pour “activités au profit de services secrets étrangers”.
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