Les Américains ne connaissent rien de l’Algérie

L’Algérie, dans la ligne de mire des services secrets américains

Le Washington Post a publié, hier, un rapport de la Maison Blanche qui a doté ses services de renseignements de 8,9 milliards de dollars et a mis 75 pays dont l’Algérie, sous la loupe.

Selon le même journal, l’Algérie a été classée en 3ième position après l’Iran et l’Afghanistan. Suit la Colombie, ensuite la Malaisie, l’Albanie, les Comores, l’Erythrée, puis Djibouti, la Mauritanie, l’Afrique du Sud et les Emirats Arabes. Viennent après, l’Égypte, la Lybie, l’Arabie Saoudite, la Syrie, la Turquie, la Tunisie et la Somalie qui clôt la liste.  Par ailleurs, des sites sionistes révèlent que l’échange de rôles entre les américains et les sionistes se base sur ce qu’ils considèrent comme un partenariat politique en Afrique et au Maghreb Arabe afin de barrer la route aux français, surtout que des bases américaines sont sur le point d’être réalisées au Sahel. Ce qui apparait comme un réel commencement à une autre étape d’espionnage beaucoup plus élargie et dangereuse, surtout que le recours aux satellites est très efficace avec les technologies des américains pour la surveillance de toute la région pour leur propre sécurité. Et créer des dissensions et des guerres civiles ne fera qu’éloigner les regards et garantir la poursuite de leurs activités en toute quiétude. (Echorouk-07.06.2010.)

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*SCANNER, FOUILLE CORPORELLE ET MÉFIANCE AUX AÉROPORTS AMÉRICAINS
«L’art» d’humilier les algériens
 

Les Américains ne connaissent rien de l'Algérie  scanner_corpo_vignette

** Qu’a-t-on fait pour mériter cette humiliation?

De l’Algérie, les Américains ne connaissent pratiquement rien. Certains ne retiennent de ce pays que les attaques terroristes, les massacres barbares commis durant la tragédie nationale. John est chauffeur de taxi. Il est Américain d’origine africaine. Quand on annonce notre nationalité, il se révolte nous accusant d’avoir tué son cousin soudanais, qui travaillait en Algérie pour le compte d’une entreprise étrangère. «Vous avez égorgé mon cousin. Vous êtes des terroristes», lance-t-il. A un moment donné, nous avons sérieusement pensé qu’il serait peut-être préférable de garder pour soi sa nationalité. Cela nous éviterait d’être tout le temps sur la défensive.

(…) Le classement de l’Algérie dans une liste noire, contenant les pays constituant une menace sur la sécurité mondiale, en est la dernière preuve tangible. L’Algérie a protesté. Menacé de recourir au principe de réciprocité. Mais qu’a-t-on fait pour empêcher le pire? Et éviter aux voyageurs algériens une énième humiliation sur le sol américain?
Les officiels américains que nous avons eu l’opportunité de rencontrer à Washington regrettent l’inscription de l’Algérie «allié stratégique des Américains» sur la «black liste.» Aussi étrange que cela puisse paraître, ils disent ignorer la raison de ce choix. «Je pense que les Etats-Unis ont agi à la hâte. Ils n’ont pas bien mûri leur démarche», nous confie une source diplomatique au fait du dossier. A l’horizon, une issue de crise se profile: «Cette liste n’est pas fixe. Elle subira probablement des révisions. Dans cette perspective, l’Algérie pourrait éventuellement être rayée de la liste noire, parce qu’aux Etats-Unis nous sommes conscients des sacrifices consentis par votre pays dans la lutte contre le terrorisme. L’ennemi numéro un des Américains.» Mais pour beaucoup d’Algériens, le mal est déjà fait.
New York 10 mars. Le bus qui transporte un groupe de journalistes arabes dont trois Algériens (L’Expression, El Watan, La Tribune) arrive à l’aéroport John Fitzgerald Kennedy. Alors que nos confrères poursuivaient leurs discussions sur la politique américaine au Proche-Orient, une seule question taraudait les envoyés spéciaux des journaux algériens dans le pays de l’Oncle Sam.
Serons-nous ou pas soumis au scanner corporel ? La logique voudrait qu’on subisse cette mesure exceptionnelle. L’expérience nous tentait. Mais au tréfonds de nous-mêmes, chacun appréhendait un quitus ou une exception. Nous sommes des journalistes. Nous appartenons à un corps qui a souffert le martyre pendant la tragédie nationale. Nous faire subir cette humiliante épreuve serait «une injustice.» Un voeu presque exaucé. Je franchis la barre de sécurité de l’aéroport américain sans aucun problème. Cela ne fut pas le cas pour mes confrères d’El Watan et de La Tribune qui seront soumis à des contrôles plus approfondis. Parce qu’ils sont Algériens. Ils seront mis en quarantaine dans une cabine placée à quelques encablures du poste de contrôle. L’agent verse de la poudre sur leur vêtements (veste et pantalon) dans le but de détecter tout produit chimique ou explosif.
La fouille corporelle des journalistes permet à l’agent de récupérer des stylos et un carnet confiné dans les poches. Un alibi qui n’est évidemment pas suffisant pour porter une accusation d’appartenance à un groupe terroriste et embarquer les deux jeunes en prison.
Sur le billet d’avion, l’on remarquera cet imposant cachet vert du TSA (Travel Sécurity Airline). Un cachet qu’on ne trouvera pas bien évidemment sur les tickets de nos confrères arabes. Nous prenons notre mal en patience. Et de cette leçon, nous essayons de n’en tirer que le côté positif. Après tout, nous sommes des aventuriers. Juste une précision: nous ne passerons pas par le scanner corporel pour une raison évidente.
L’aéroport n’est pas équipé de ce matériel qu’on pourra trouver à l’aéroport de Tampa dans l’Etat de Floride. Nous nous dirigeons vers les postes de contrôle avec les mêmes appréhensions.
L’agent de sécurité (une femme) n’aura même pas besoin de revoir la liste des pays à risque. Elle invite les détenteurs de passeport algérien à ôter leurs chaussures, les vestes, les ceintures, les montres et la monnaie qu’on garde dans les poches des pantalons. Direction, le scanner corporel.

 Contrôles de sécurité avant l'embarquement dans l'aérogare d'Orly Sud.

Le regard des voyageurs étrangers est lourd d’accusation. Les jambes écartées, les mains levées, souriez, on est scannés! Notre bagage est scrupuleusement fouillé. L’agent nous ordonne de ne pas faire le moindre mouvement, même pas un geste de la main au moment du contrôle des papiers. Un confrère prend son courage à deux mains et interroge sur les raisons de cette fouille. La réponse est courte et cinglante: «Vous êtes sur une liste noire. Nous appliquons la loi.» Tout cela se fait face aux regards de nos confrères tunisien, mauritanien, palestinien, jordanien, égyptien et libanais qui n’ont pas été inquiétés. A ce moment-là, la même question revient avec persistance. Qu’a-t-on fait pour mériter cette humiliation? Pourquoi nous et pas les autres? Aux Etats-Unis, rares sont ceux qui connaissent la position géographique de l’Algérie. Un pays avec qui ils disputeront le premier tour de la Coupe du Monde prévue en Afrique du Sud. Souvent on confond Algeria et Nigeria. Et ceux qui, par chance, retiennent le nom du pays, nous engagent dans des discussions purement sécuritaires. De l’Algérie, ils ne retiennent que les attaques terroristes, les massacres barbares commis durant la tragédie nationale contre les civils. John est chauffeur de taxi. Il est Américain d’origine africaine. Quand on décline notre nationalité, il se révolte nous accusant d’avoir tué son cousin soudanais, qui travaillait en Algérie pour le compte d’une entreprise étrangère. «Vous avez égorgé mon cousin. Vous êtes des terroristes», lance-t-il. A un moment donné nous avions sérieusement pensé qu’il serait peut-être préférable de garder pour soi sa nationalité. Cela nous éviterait d’être tout le temps sur la défensive. La presse algérienne est remarquablement présente. Sur un imposant tableau figurent les photos des journalistes algériens assassinés par les terroristes. Une liste incomplète. Nombreux sont ceux qui n’y figurent pas. En face, la carte géographique du globe. L’Algérie est peinte en rouge. Cela signifie que la liberté de la presse est sévèrement restreinte. L’Egypte est en jaune. Pour les confrères, «les relations privilégiées entre les deux pays a influencé les concepteurs de la carte».
Mme Katherine Haris, ancienne congressiste républicaine, avoue, très gênée, qu’elle ignore tout de l’Algérie. Elle est en revanche plus à l’aise lorsque les journalistes tunisiennes l’interpellent. Avec une aisance remarquable, elle cite les différentes villes tunisiennes, elle parle des coutumes, des sites touristiques. Elle y était invitée plusieurs fois. Idem pour le Maroc. Ihab, notre traducteur qui connaît bien le pays, nous apostrophe sur cette passivité des Algériens: «Vous avez tout ce qu’il faut pour devenir la destination numéro un des touristes. La nature vous a gâtés. Votre diversité culturelle est remarquable. Votre cuisine est riche. Mais vous ne faites rien pour vendre l’image du pays.» Aux Etats-Unis, le couscous est un label marocain et Deglet Nour est «made in Tunisia». C’est du moins ce que pense un diplomate américain rencontré à Tampa: «J’ai découvert le couscous marocain dans une réception organisée à l’ambassade du Royaume chérifien aux USA. Le Roi avait envoyé son cuisinier pour l’occasion», nous révèle ce diplomate. Nous lui faisons savoir que notre couscous est meilleur. Nous sortons même de notre devoir de réserve pour lui expliquer devant nos collègues tunisiens, que nos voisins de l’Est «volent» notre datte et l’exportent à l’étranger. Que font nos représentations diplomatiques à l’étranger? Nous n’avons pas cessé de poser cette question lors de notre séjour américain.
Nous avons entendu plusieurs fois ce commentaire. «Les Algériens qui vivent aux USA sont mal organisés», contrairement aux autres communautés arabes. Ils appliquent le principe de «Henini Enhanik» (Laissez-moi tranquille) pour reprendre les termes de Aymen 24 ans, cet universitaire, originaire de Skikda. Il est à New York depuis deux ans et ne compte pas retourner au bled avant trois ans. «Quand je suis arrivé aux USA, j’ai essayé de m’approcher des Algériens qui sont là depuis plusieurs années. Honnêtement, ma soeur, la réaction de beaucoup d’entre eux m’a déçu.» Karim prépare un doctorat en sciences politiques. Afin de financer ses recherches, il n’a pas hésité une seconde à travailler dans un hôtel. «Je ne regrette rien. Ce pays m’ouvre des horizons que je n’aurai pas dans mon pays.» Karim souffre du lobbying exercé par les Libanais et les Marocains sur les médias arabes ou dirigés vers les pays arabes. «J’étais sur le point d’être recruté dans des organes de presse. Mais à deux reprises ce lobbying a pesé de tout son poids pour m’évincer de la course», témoigne-t-il. Pour lui, il faut commencer à penser sérieusement à s’organiser pour arracher une place dans une société qui ne pardonne pas les faiblesses et les échecs.(El Watan-25.03.2010.)

Envoyée spéciale de l’Expression aux Etats-Unis, Achira MAMMERI

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*L’Amérique minée par l’angoisse

 

Le 11 septembre 2001, les Américains se sont heurtés à une réalité qui a imposé, plus tard, une nouvelle ligne de conduite. Ils ne connaissent rien du monde extérieur. Ce dernier n’intercepte pas leurs messages. Pas de la manière souhaitée, du moins.

Désir de s’ouvrir sur le monde extérieur. Besoin exagéré de se protéger des dangers venus d’ailleurs. Une équation qui ne résume pas, certes, la vie des Américains. Mais elle illustre la face cachée d’une société qui n’est plus la même depuis les attentats du 11 septembre 2001. Les Américains ont cette réputation de ne s’intéresser qu’aux questions locales.
Le reste du monde «est un détail pour eux», nous confie Bill Duryea, rédacteur en chef au journal Saint Petersburg Times. Au final, ils se heurtent à une réalité: «Les Américains ne connaissent rien du monde extérieur. Ce dernier n’intercepte pas leurs messages. Pas de la manière souhaitée, du moins.» Le professeur Akram, spécialiste dans le système américain, confirme cette lecture. Pour lui, la politique extérieure est consacrée par la Constitution du pays comme une exclusivité de l’administration centrale.
L’Amérique veut comprendre
L’information internationale occupe 3% de l’espace des journaux. Un choix dicté par les besoins internes.
Les attaques terroristes sur le sol américain ont imposé une nouvelle ligne de conduite. Désormais, les Américains affichent une volonté de comprendre. Avant la fameuse main tendue d’Obama au monde arabe et musulman, l’Administration Bush, conseillée par les analystes avertis, avait tenté d y prêter une oreille plus attentive, avec pour objectif d’amortir le choc entre les deux parties.
L’équipe d’échange électronique est un espace de dialogue digital, créée par le département d’Etat en 2006 afin d’expliquer les politiques extérieures des USA. Elle utilise des liens comme le Facebook, le YouTube et plusieurs autres sites, notamment celui du département d’Etat pour lancer des débats sur les questions de l’heure, notamment les guerres en Irak et en Afghanistan.
Quotidiennement, un million de visiteurs se rejoignent dans cet espace géré par des analystes politiques américains mais aussi arabes. Muath Alsufy, d’origine yéménite, membre de l’équipe de liaison, affirme que sa mission principale étant de corriger les malentendus autour de la politique intérieure américaine, mais aussi «d’apprendre des autres». Pour lui, «les administrations américaines successives ont réussi à imposer leur politique extérieure. Mais elles ont échoué à l’expliquer à l’opinion publique.»
Notre interlocuteur reconnaît que le dossier irakien constitue une priorité. L’un des messages qu’ils s’échinent à transmettre aux internautes qui surfent sur les sites de débat, a trait à la nature de la présence américaine en Irak «Les Etats-Unis d’Amérique n’ont pas l’intention de coloniser l’Irak ou l’Afghanistan. Notre présence dans ces deux pays est temporaire et de surcroît validée par les Nations unies.» C’est ce que nous pouvons lire sur l’une des pages de dialogue. Le texte est signé par Samir Zidane, membre de l’équipe de liaison. Muath Alsufy reconnaît que la troisième mission de cet espace étant de faire la propagande de la politique américaine.
En 2006, les Etats-Unis avaient pensé mener une guerre, cette fois-ci, médiatique contre Al Jazeera. Ils créent El Hurra. Taxée de proaméricaine, cette chaîne financée par les contribuables américains peine à concrétiser ses objectifs. Nous rencontrerons Mohamed Lemine, au siège central d’El Hurra. Il est responsable de la rédaction. Selon ses dires, lui seul est en mesure de définir la ligne éditoriale de son journal télévisé. «Nous ne recevons aucune instruction de l’administration américaine. Et en tant que canal d’information financé par le peuple américain, nous avons une seule exigence, c’est celle de la transparence dans la gestion.» El Hurra Irak et El Hurra Europe sont venues renforcer le bouquet de la chaîne mère qui compte 27 millions de téléspectateurs chaque semaine, selon les chiffres communiqués par Lemine. Ce journaliste mauritanien reconnaît qu’il est très difficile de s’imposer face à des chaînes qui sont bien implantées dans les sociétés arabes comme Al Jazeera, mais défend sa mission. «Nous nous distinguons par l’objectivité dans le traitement de l’information.»
Peut-on préserver une indépendance complète par rapport à la position américaine lorsque les indemnités des journalistes sont payées des poches des citoyens de ce pays? «Nous tentons de présenter aux téléspectateurs l’événement brut. Et c’est à eux d’en tirer les conclusions. C’est là, la devise de la chaîne», poursuit notre interlocuteur.
Annuellement, les USA accueillent 5000 visiteurs étrangers internationaux. Les participants sont des «leaderships étrangers, établis ou potentiels. Ils sont issus du monde politique, des ONG des droits de l’homme, du monde de la presse. Les académiciens sont aussi convoités. Les concepteurs de ce programme ont tracé plusieurs objectifs, parmi eux, il y a: la confrontation des idées, les échanges de points de vue». Certains des participants occupent ou ont occupé d’importants postes de responsabilité dans leurs pays respectifs. On dénombre 186 chefs d’Etat ou de gouvernement. Plus de 600 ministres et ou chefs de cabinet. Notre séjour aux USA a coïncidé avec la présence d’éminents universitaires spécialisés dans la religion comparée. Parmi eux, un professeur à l’université d’Oran.
«Depuis les attentats du 11 septembre, les Américains tentent de se rapprocher du monde musulman et comprendre sa religion», précise notre interlocuteur. Sa mission étant de présenter «le véritable Islam aux Américains», «une image ternie par les attaques terroristes commises au nom du Djihad pour Allah».
L’obsession de la sécurité
L’Amérique s’ouvre avec un souci principal: comment assurer sa sécurité et celle de ses citoyens, parce que au fond «nous nous sentons menacés», comme le soulève un citoyen américain rencontré à New York. Cette obsession de se protéger est très apparente déjà au niveau des aéroports. Plus de cinq mois après les attentats du 11 septembre, le gouvernement fédéral a décidé de prendre en charge la sécurité dans les aéroports américains. Une nouvelle autorité, l’Administration pour la sûreté des transports (TSA), a pris dimanche 17 février les rênes du contrôle des passagers et des bagages.
Auparavant, près de soixante entreprises s’occupaient de la sécurité, mais sans aucune concertation entre elles, avec l’aide de sociétés privées, des compagnies aériennes et du personnel d’aéroport sous autorité de cette nouvelle administration.
L’attentat manqué du 25 décembre 2009 à bord d’un vol Amsterdam-Detroit a provoqué un durcissement prévisible des mesures de sécurité dans les aéroports américains.
Dans une directive applicable le 4 janvier, l’Administration de la sécurité dans les transports (TSA) ordonne un contrôle renforcé de tous les passagers originaires ou en provenance de 14 pays. Pour les ressortissants d’autres pays, la directive prévoit un recours accru à des technologies avancées de contrôle des passagers et impose de fouiller «au hasard» les personnes à destination des Etats-Unis de tous les vols internationaux. Dans un communiqué publié sur son site hier, l’Union américaine pour les libertés civiles (Aclu), dénonce «un prétexte pour faire du profilage racial, ce qui est inefficace, anticonstitutionnel et va à l’encontre des valeurs de l’Amérique». Pour le Conseil des relations américano-islamiques (Cair), cette nouvelle directive fait de tout musulman un terroriste en puissance et «n’améliore en rien la sécurité du transport aérien».
L’administration américaine se soucie peu de ces préoccupations. Pour elle «l’intérêt du pays prime». Administrations, musées, sites touristiques, tous sont soumis à des mesures de sécurité exceptionnelles. La statue de la Liberté n’y échappe pas.
Les visiteurs devraient passer les sacs aux rayons X et, comme à l’aéroport, on vous passera au détecteur de métaux. Pour certains cela gâche un peu le plaisir, mais pour les Américains «c’est un mal nécessaire». Ces mesures qui préoccupent les touristes ne dérangent guère les citoyens américains: «Les terroristes n’ont pas de limite. Ces mesures sont là pour protéger notre vie», précise Lisa. Un sentiment partagé par un peuple qui a vécu le pire dans les attaques du 11 septembre. Une date qu’ils ne sont pas près d’oublier. (L’Expression-30.03.2010.)

De l’envoyée spéciale aux USA, Achira MAMMERI

84 réponses à “Les Américains ne connaissent rien de l’Algérie”

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