pétrole – OPEP
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*En poste depuis 1995, le ministre saoudien du Pétrole, Ali al-Nouaïmi, limogé
Le ministre saoudien du Pétrole, Ali al-Nouaïmi, l’homme le plus influent au sein de l’Opep, a été limogé samedi par un décret royal, a annoncé la télévision d’Etat El-Ikhbariya.
Né en 1935, M. Nouaïmi a notamment étudié à l’université de Stanford avant de devenir en 1983 président du géant pétrolier Aramco.
En 1995, il avait été nommé ministre du Pétrole, poste qu’il avait conservé malgré les deux remaniements ministériels majeurs opérés par le roi Salmane depuis son accession au trône en janvier 2015.
Au moment où le royaume, première économie du monde arabe et premier exportateur de brut- est fortement affecté par la chute des cours, le vice-prince héritier Mohammed ben Salmane a annoncé le 25 avril l’intention de son pays de vendre en Bourse une partie du géant pétrolier Aramco et de se doter d’un fonds souverain de 2.000 milliards de dollars, le plus grand du monde, dans le cadre d’un vaste plan visant à réduire sa dépendance du pétrole. Le plan, présenté comme « une feuille de route » pour le développement du royaume durant les 15 prochaines années, est destiné à diversifier l’économie saoudienne qui dépend à plus de 70% du pétrole au moment où les prix du brut sont en chute libre depuis environ deux ans.*samedi 07 mai 2016 – Source: Belga
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Une matière stratégique dans un marché dingue!
Le pétrole, otage de la politique
*à cause de leur gestion catastrophique de la production
1.000 milliards de dollars perdus pour les pays exportateurs du Golfe
*cliquer ici: Pétrole et gaz
**Gel de la production du pétrole : L’Iran se dit prêt à y participer
La compagnie pétrolière nationale iranienne NIOC a annoncé la volonté de Téhéran d’adhérer au projet gel de la production de pétrole prévu, alors que le pays a atteint le niveau de production souhaité.
«Le chiffre souhaité par le ministre du Pétrole est atteint et nous pouvons rejoindre le plan pour le gel (de la production, ndlr) du pétrole», a souligné hier le directeur des relations internationales de la NIOC, Mohsen Kamsari, cité par des médias iraniens. Le responsable de la compagnie a cité le chiffre de 4,2 millions de barils par jour, en se référant aux estimations de l’Opep. L’Iran avait exprimé à maintes reprises sa volonté de rétablir son niveau de production de pétrole dans les mêmes proportions qu’avant les sanctions occidentales, environ quatre millions de barils par jour, un peu plus de la moitié étant destinée à l’export.
Cette position a été l’une des raisons pour lesquelles les pays fournisseurs ne sont pas tombés d’accord sur la possibilité de geler la production de pétrole lors d’une réunion à Doha, croit savoir l’agence russe Sputnik. Le même Kamsari a dit en revanche que la décision finale incombait au ministre. Réunis au Qatar en avril dernier, les producteurs pétroliers de l’Opep et hors Opep ne sont pas parvenus à s’entendre sur un gel de la production de chaque pays au niveau de janvier pour soutenir des prix en berne sur fond de rivalités entre l’Iran et l’Arabie Saoudite.
Dix-huit pays membres et non membres de l’Opep, dont les principaux producteurs — Arabie saoudite et Russie—, étaient représentés. Mais après six heures de tractations, le ministre qatari de l’Energie, Mohammed ben Saleh Al Sada, a annoncé que les pays concernés ont besoin de «plus de temps». Aucune date n’a cependant été fixée pour une nouvelle réunion.
Des divergences entre l’Iran et l’Arabie Saoudite avaient éclaté avant même le début des discussions, entraînant une décision de boycott de Téhéran. Un accord, négocié en février par l’Arabie, la Russie, le Qatar et le Venezuela, visait à geler la production de brut au niveau de janvier afin d’enrayer la surabondance de l’offre, jusqu’à ce que la demande reprenne au 3e trimestre de 2016.
En deux ans, le baril de brent est passé de 110 dollars à moins de 30 dollars en janvier dernier, atteignant ainsi son plus bas niveau depuis 13 ans. La chute d’environ 60% des cours du brut depuis juin 2014 a été causée par une surabondance de l’offre, consécutive à une forte augmentation de la production de pétrole non conventionnel, dont le pétrole de schiste américain, et le refus par l’Opep en novembre 2014 de réduire sa production.
Par conséquent, les pays exportateurs ont perdu des centaines de milliards de dollars et accusé des déficits budgétaires ayant conduit à des mesures d’austérité.*el xata, / dimanche 08 mai 2016
Le pétrole a franchi la barre symbolique des 100 dollars à New York
Benghazi fait «flamber» le baril
Le film qui a été à l’origine de la mort de l’ambassadeur des Etats-Unis et de trois fonctionnaires américains a mis sous tension le marché pétrolier.
Les cours de l’or noir ont franchi la barre symbolique des 100 dollars à New York pour la première fois depuis le début du mois de mai. Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de «Light Sweet Crude» (WTI) pour livraison en novembre gagnait 1,87 dollar hier en cours d’échanges européens (vers 10h00 GMT) atteignant les 100,18 dollars tandis que le baril de Brent de la mer du Nord coté à Londres affichait 117,37 dollars.
En hausse de 1,49 dollar par rapport à la clôture de jeudi. Les prix du brut n’ont peut-être pas fini cette nouvelle ascension inattendue aux conséquences humainement dramatiques.
Le film qui a été à l’origine de la mort de l’ambassadeur des Etats-Unis et de trois fonctionnaires américains a mis sous tension le marché pétrolier. «L’escalade des protestations anti-américaines à travers le Moyen-Orient, après notamment l’assassinat de l’ambassadeur des Etats-Unis en Libye, pourrait continuer à soutenir le marché,.. en renforçant les craintes de perturbations de l’offre d’or noir dans la région» font remarquer les experts du cabinet viennois JBC Energy.
«D’autant plus que, pendant ce temps-là, Téhéran poursuit tranquillement le développement de son programme nucléaire, ce qui accroît les incertitudes et les tensions avec Israël, alors que s’avivent les craintes de frappes israéliennes contre l’Iran,» a poursuivi l’analyste du courtier Sucden, Jack Pollard.
Le baril est extrêmement sensible aux troubles qui secouent l’Afrique du Nord et le Moyen-Orient: des régions qui abritent des pays exportateurs de pétrole. Les révoltes et l’instabilité politique qui les secouent peuvent sérieusement perturber l’offre mondiale d’or noir comme ce fût le cas lors du conflit libyen. L’Arabie Saoudite qui est souvent appelée en renfort pour pallier ce déficit jouera-t-elle indéfiniment au pompier? Si les pays occidentaux peuvent compter sur Riyadh pour accomplir ce type de besogne, cela ne peut représenter une garantie pour la stabilisation des prix du pétrole. Les facteurs qui peuvent agir en faveur d’une tendance haussière sont de plus en plus diversifiés. «Entre l’assouplissement monétaire de la FED et les risques géopolitiques au Moyen-Orient, les prix du pétrole profitent d’un parfait cocktail de facteurs haussiers, auxquels s’ajoute l’affaiblissement persistant du dollar», fait remarquer Jack Pollard, analyste du courtier Sucden. «La FED a réouvert son pot de miel (…) ce qui a aidé les cours du pétrole à sortir de la fourchette étroite où ils étaient restés cantonnés ces derniers jours» a-t-il souligné. La Réserve fédérale américaine (Fed) avait annoncé jeudi qu’elle allait procéder au rachat de certains titres adossés à des créances immobilières, à raison de 40 milliards de dollars par mois, et ce jusqu’à une «amélioration significative» du marché du travail américain. «Les marchés ont enfin eu ce qu’ils voulaient avec ce nouveau programme ambitieux de rachats d’actifs destiné à apporter une reprise durable aux Etats-Unis.
Et cerise sur le gâteau, sans échéance annoncée», en ont conclu les analystes de IG Markets. Les pays du G7
(Etats Unis, France, Grande-Bretagne, Allemagne…) qui font des pieds et des mains pour tenter de faire baisser les prix du pétrole ne sont pas au bout de leur peine…
Prospection en hydrocarbures
573 millions de dollars pour Schlumberger et Halliburton
4 contrats d’un montant global de plus de 573 millions de dollars ont été attribués au groupe franco-américain Schlumberger et à la société algéro américaine Hesp (Halliburton entreprise de services aux puits) a annoncé le 13 septembre la compagnie nationale des hydrocarbures Sonatrach pour réaliser des opérations de diagraphie (logging) et des tests dans des champs d’hydrocarbures en Algérie. Les deux contrats accordés à Schlumberger s’élèvent à plus de 341 millions de dollars. Ceux de Hesp à 232 millions de dollars. Le groupe Sonatrach n’a cependant pas précisé la situation exacte des champs concernés par ces opérations de diagraphie et de tests.*L’Expression-15.09.2012.
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*Prix du Gaz: 380 dollars les mille mètres cubes en 2013
Dans une déclaration faite il y a un mois, le vice-président de Gazprom, Alexandre Medvedev, avait indiqué que «le cours moyen des livraisons de gaz russe à l’étranger en 2013 avoisinera 370 à 380 dollars les mille mètres cubes, par rapport à 402 dollars en 2012». Ce qui donnerait une réduction du prix de 5% environ. Récemment, ENI avait fait état d’un accord conclu avec Sonatrach pour la baisse des quantités de gaz naturel livrées sur le marché italien pour les années 2013 et 2014. «Dans le cadre de cet accord, ENI et Sonatrach vont réduire certaines quantités de volumes de gaz livrées contractuellement en Italie», avait indiqué ENI, pour qui cet accord s’inscrivait dans le cadre du programme de renégociation qui avait commencé ces derniers mois et contribuait aux objectifs de rentabilité et de génération de trésorerie.*Les médias-22.06.2013.
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* Contre toute attente, les stocks de pétrole reculent …( Agence France-Presse – New York)… 19.02.09…Les stocks de pétrole brut ont reculé la semaine dernière aux États-Unis, après plusieurs semaines de hausse ..Les réserves de brut ont baissé de 200 000 barils, à 350,6 millions de barils, au cours de la semaine achevée le 13 février. Ce chiffre prend à contre-pied les attentes des analystes interrogés par l’agence Dow Jones Newswires, qui prévoyaient une hausse de 2,7 millions de barils, et met fin à plusieurs semaines de forte progression.Les stocks d’essence ont en revanche augmenté de 1,1 million de barils, à 218,7 millions de barils, alors que les analystes tablaient sur une baisse de 600 000 barils. Les stocks de produits distillés (dont le gazole et le fioul de chauffage) ont de leur côté reculé de 800 000 barils, à 140,8 millions de barils. Les analystes tablaient sur un repli de 1 million de barils. L’évolution de ces stocks est très suivie par les analystes en hiver, période propice à la demande en fioul de chauffage. Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de light sweet crude pour livraison en mars valait 36,90 $ US, en hausse de 2,28 $ par rapport à son cours de clôture de mercredi. Il avait ouvert en progression de 98 cents. ***********************
* La Russie envisage de stocker jusqu’à 16 millions de tonnes de brut pour contribuer aux efforts de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole en vue de faire remonter les cours, a indiqué lundi un haut responsable. On se prépare à la réunion de l’OPEP qui doit se tenir en mars et nous étudions la possibilité de mettre en réserve du pétrole et des produits pétroliers», a déclaré, selon Interfax, le vice-Premier ministre russe Igor Setchine.«Cette baisse (des quantités exportées) dépendra de l’état du marché et pourrait atteindre un volume de 16 millions de tonnes», a-t-il ajouté, s’exprimant depuis Ouvta, en Sibérie occidentale, où le groupe pétrolier russe TNK-BP inaugurait un gisement pétrolier. La Russie est le principal pays producteur de pétrole à ne pas appartenir à l’OPEP. Elle avait cependant participé en décembre à la réunion du cartel pétrolier et avait annoncé une baisse de production jugée symbolique par les analystes du secteur. Les autorités russes ont annoncé une baisse de la production d’or noir de 0,7% en 2008, à 488 millions de tonnes, en raison du manque d’investissements dans ce secteur pour la mise en exploitation de nouveaux gisements. La prochaine réunion ministérielle de l’OPEP est prévue le 15 mars au siège de l’organisation à Vienne. Lors de la précédente rencontre le 17 décembre à Oran en Algérie, les ministres avaient décidé de réduire la production du cartel de 2,2 millions de barils par jour. (AFP -16.02.09.)
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* Accord pétrolier de 25 milliards entre la Chine et la Russie …( 17.02.09.) – La Russie et la Chine ont signé mardi un accord énergétique qui permet à Beijing de s’assurer un approvisionnement en pétrole pour les 20 prochaines années en échange de 25 milliards de dollars de prêt aux géants pétroliers russes. L’accord signé à Beijing prévoit que la Banque de développement chinoise prête 15 milliards à Rosneft, le géant pétrolier russe, détenu par l’État, et 10 milliards à Transneft, le monopole des oléoducs également détenu par l’État.Ces compagnies ont désespérément besoin de liquidités, Rosneft s’étant notamment lourdement endettée pour acquérir les avoir de l’ancien géant Ioukos démantelé par Moscou. La Russie a promis en retour d’assurer un approvisionnement de 300 000 barils par jour pendant 20 ans à son voisin chinois. Le vice-premier ministre russe, Igor Setchine, dirigeait la délégation russe qui a signé à Beijing cet accord qui a paru plusieurs fois compromis en raison des désaccords des deux gouvernements sur les taux d’intérêts et les garanties de l’État pour l’approvisionnement en pétrole.(AFP)
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* Gazprom se tourne vers l’Asie … Avec sa nouvelle usine de Sakhaline, Gazprom part à la conquête de l’Asie et du Pacifique. Sous les flocons et par une température annoncée de -15 °C, la cérémonie prévue aujourd’hui (18.02.09.)sur les rives du Pacifique marque une étape symbolique. Le président russe, Dmitri Medvedev, et le premier ministre japonais, Taro Aso, doivent inaugurer l’usine Gazprom de liquéfaction de gaz naturel de l’île de Sakhaline. Les deux dirigeants se rencontrent sur cette terre extrême-orientale de Russie, à 6 500 km de Moscou mais à une centaine de kilomètres seulement des côtes japonaises. Pour la première fois de son histoire, le géant Gazprom ne livrera plus seulement son or bleu à l’Europe mais aussi au Japon, en attendant la Corée du Sud et les États-Unis. Dernière étape du projet Sakhaline 2, désormais mené par Gazprom avec Shell et les japonais Mitsui et Mitsubishi, l’usine sera la première en Russie à produire du GNL (gaz naturel liquéfié). La forme liquide permet de s’affranchir de l’infrastructure des gazoducs pour exporter la source d’énergie par bateau. Trois méthaniers sont d’ores et déjà prêts à appareiller pour le compte du consortium Sakhalin Energy à destination des premiers clients japonais de la Russie. Sakhaline 2 est un chantier pharaonique sur une île à fort risque sismique. Les plates-formes pétrolières et gazières ont été construites au nord, dans la mer d’Okhotsk, prise par les glaces plusieurs mois par an. Aux 300 kilomètres d’oléoducs sous-marins s’ajoutent 800 kilomètres de tuyaux sur terre pour acheminer gaz et pétrole du nord au sud de l’île. Avec un baril de pétrole à 60 dollars, chiffre retenu par Sakhalin Energy, le projet devrait dégager 125 milliards de dollars de bénéfices pour la Russie au cours de son exploitation. «C’est une occasion pour Gazprom de dire à l’Europe : attention, nous pouvons nous passer de vous, analyse Konstantin Simonov, directeur du Fonds russe pour la sécurité énergétique. La Russie essayera d’utiliser Sakhaline 2 comme un moyen de pression sur l’Europe, tout comme l’Europe utilise Nabucco , le projet de gazoduc qui alimenterait le sud de l’Europe en gaz de la Caspienne en évitant la Russie.» Konstantin Simonov nuance aussitôt son propos pour rappeler que l’Europe et la Russie resteront interdépendants pour longtemps compte tenu des volumes en jeu.
Le marché clé, c’est la Chine
La nouvelle usine de GNL aura une capacité annuelle de 9,8 millions de tonnes, selon Sakhalin Energy, soit environ 4 % de la production mondiale. Elle devrait produire 6 millions de tonnes cette année. Environ 65 % du volume est destiné au Japon, les 35 % restant se partageant entre les États-Unis et la Corée du Sud. Sakhaline fournira «7 à 8 % de nos besoins en gaz», explique un diplomate japonais en poste à Moscou. Le Japon, dépendant de l’Indonésie, et du Moyen-Orient, souhaite diversifier ses approvisionnements. Pour la Russie, «le marché asiatique clé, ce n’est pas le Japon mais la Chine, poursuit Konstantin Simonov. La livraison de gaz au voisin chinois, décision hautement politique, n’est pas encore prise. En revanche, Pékin achètera du pétrole de Sibérie orientale. Hasard de calendrier ? Hier, la Russie et la Chine ont conclu un accord, dont les discussions piétinaient ces dernières semaines et au terme duquel Pékin prêtera 25 milliards de dollars aux compagnies pétrolières russes en échange de livraisons d’or noir garanties pendant vingt ans. La Russie a besoin de capitaux étrangers pour financer la construction d’infrastructures comme l’oléoduc du Pacifique qui desservira la Chine. Elle n’a pas assez investi ces dernières années s’accordent les spécialistes. En matière de pétrole et de gaz, ajoute Konstantin Simonov, entre les décisions d’investir et les résultats, il peut s’écouler quinze à vingt-cinq ans. À l’époque soviétique, le réseau de tuyaux prenant racine en Sibérie centrale était exclusivement orienté vers l’ouest. La carte commence désormais à se redessiner.(Le Figaro..18.02.09.)
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**[Le livre de Richard HEINBERG, The Party’s Over est le premier ouvrage complet sur le pic pétrolier. Il est complet au sens où il ne se cantonne pas aux seuls aspects techniques du problème, mais en aborde toutes les dimensions économique, sociale, géopolitique et philosophique. Le monde voit ses réserves en pétrole bon marché s’épuiser, avec les changements dramatiques que cela implique. La plupart des observateurs, y compris ceux issus des milieux de la finance pourtant qualifiés jusqu’à présent d’« optimistes », conviennent que nous avons atteint le pic de production globale. Désormais, même si les pays industrialisés entament une conversion à des sources d’énergies alternatives, ils auront chaque année à leur disposition moins d’énergie nette pour effectuer le travail essentiel au maintien de sociétés humaines complexes. Nous entrons dans une nouvelle ère, aussi différente de l’ère industrielle que cette dernière fut différente de l’époque médiévale. Dans Pétrole, la fête est finie !, Richard HEINBERG replace cette transition décisive dans son contexte historique. Il démontre comment l’industrialisation s’est développée sur la base de la maîtrise de l’énergie fossile ; à quel point la compétition pour le contrôle de l’accès au pétrole fut centrale dans la géopolitique du XXe siècle ; comment enfin les tensions provoquées par l’amenuisement des ressources énergétiques au XXIe siècle entraîneront des guerres de prédation au Moyen-Orient, en Asie centrale et en Amérique du Sud. Il anticipe l’impact probable de la déplétion du pétrole ainsi que celui de toutes les énergies alternatives. Prédisant un chaos certain à moins que les États-Unis, premier consommateur mondial, ne consentent à rejoindre les autres pays pour mettre en place un programme global de conservation et de partage, il recommande par ailleurs une « chute contrôlée » susceptible d’ouvrir la voie à une société plus modérée, moins gourmande en énergie et durable.Plus lisible que les autres livres traitant de la question, cette version mise à jour de l’ouvrage de référence sur le « pic pétrolier » constitue un saisissant cri d’alarme. Mais il s’agit aussi d’un recueil riche en idées positives à différents niveaux. La communauté internationale, les collectivités locales, les individus, tous doivent maintenant agir concrètement afin d’affronter dans les meilleures conditions possibles la « fin de la fête » et ce livre explique comment faire, de façon admirablement claire et honnête.* Basé à Santa Rosa, en Californie, Richard HEINBERG écrit depuis des années sur les questions de ressources énergétiques ainsi que sur la dynamique du changement culturel. Il est mondialement reconnu comme l’un des principaux et des meilleurs communicants sur la question du pic pétrolier.
Journaliste, conférencier et membre du principal corps enseignant du New College of California où il dispense un cours sur « La culture, l’écologie et la collectivité durable », il a une demi-douzaine de livres à son actif, (dont Powerdown et celui-ci, véritable livre de référence sur le sujet) qui lui ont valu plusieurs récompenses et le rôle de principal communicant au sein de l’ASPO (Association pour l’étude du pic pétrolier).
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