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**culture-médias.tous azimuts-2
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* 18 décembre correspond à la journée mondiale de la langue arabe
*célébrée par l’UNESCO
C’est « l’occasion de célébrer les richesses d’une langue parlée par plus de 422 millions de personnes dans le monde arabe et utilisée par plus d’un milliard et demi de musulmans », selon Irina Bokova, directrice générale de l’UNESCO.
******La Journée de la langue arabe est l’occasion de reconnaître l’immense contribution de la langue arabe à la culture universelle et de renouveler notre attachement au multilinguisme. La diversité linguistique est une composante essentielle de la diversité culturelle. Elle reflète la richesse de l’existence humaine. Elle nous donne accès à d’infinies ressources pour dialoguer, pour apprendre, se développer et vivre en paix.
La langue arabe porte en elle les trésors d’une sagesse islamique millénaire et la voix des poètes, philosophes et savants qui ont mis la force et les beautés de cette langue au service de l’humanité, comme le grand Avicenne dont nous célébrons cette année le 1000e anniversaire du Canon de la médecine. Nous pouvons mobiliser cette force pour diffuser la connaissance, encourager la compréhension mutuelle et construire des espaces de coopération pour le développement et pour la paix. La langue arabe est aussi notre alliée pour améliorer l’alphabétisation et la construction de sociétés des savoirs auprès de 22 Etats membres de l’UNESCO. Cette année, l’UNESCO met un accent particulier sur le rôle des médias pour le rayonnement et le renforcement de la langue arabe. Les médias sont un acteur central de la parole publique, et l’UNESCO s’attache à soutenir les médias arabes comme forces de dialogue, d’information et de citoyenneté. Nous devons renforcer la formation des journalistes, le soutien au développement des médias pour faire entendre et faire lire l’arabe dans l’espace public. Les initiatives portées par l’UNESCO, comme le 6e Forum arabe de la presse à Tunis organisé au mois de novembre ou le Sommet des blogueurs arabes prévu en janvier 2014 sont également des occasions de réfléchir à la situation et aux besoins de la presse arabe indépendante et pluraliste.
Les médias nous font aussi réfléchir au rôle des langues comme instruments par excellence de la vie collective et de la citoyenneté. La langue arabe et des possibilités qu’elle offre peuvent aider les citoyens de ce monde globalisé à vivre ensemble dans leur diversité. La langue arabe porte les identités et les valeurs de 422 millions d’individus dans le monde et d’1,5 milliards de musulmans qui l’utilisent pour leurs prières quotidiennes. C’est un moteur de renforcement de nos valeurs communes. Dans cet esprit, l’UNESCO appuie le Conseil international de la langue arabe, dont le rôle est essentiel pour relier entre elles les cultures de langue arabe et d’autres langues à travers le monde. L’UNESCO est engagée dans plusieurs initiatives régionales visant à promouvoir la langue arabe, comme la plate-forme électronique dédiée aux enseignants L’éducation pour le 21e siècle, conçue pour faciliter le partage des savoirs.
Je renouvelle en ce jour notre attachement à renforcer l’utilisation de la langue arabe – et donc l’impact et le rayonnement de nos programmes – dans le travail de l’UNESCO auprès de ses Etats membres.*source: unesco.org
***************La langue arabe est l’une des langues les plus parlées dans le monde par plus de 422 millions de personnes, elle est pratiquée dans le monde arabe et dans plusieurs autres régions voisines comme la Turquie, le Tchad, le Mali, le Sénégal, etc.L’arabe a une très grande importance pour les musulmans parce que c’est la langue du saint coran et la prière n’est valide que par des mots arabes.
Elle est aussi la langue clé des cérémonies à un certain nombre d’églises chrétiennes dans les pays arabes. En ce qui concerne les juifs, un grand nombre des œuvres intellectuelles les plus importantes et de la religion juive du Moyen Age sont écris en arabe. Aussi la propagation de l’islam et la fondation des pays islamiques ont influencé directement et indirectement négativement les autres langues dans ces pays comme la turque, le persan, berbère, kurde, malaisien indonésien, etc.
La journée mondiale de la langue arabe
l’arabe est devenue de plus en plus dominante. C’est une langue officielle dans tous les pays du monde arabe en plus d’être une langue officielle au Tchad, en Érythrée. Elle est l’une des six langues officielles de l’Organisation des Nations Unies, et on célèbre la journée mondiale de la langue arabe le 18 Décembre de chaque année, mémorial d’adoption de l’arabe parmi les langues de travail de l’ONU.
La langue arabe est considérée parmi les langues les plus prolifiques en ce qui concerne la matière linguistique, par exemple, le dictionnaire « lissan el Arabe » d’ibn Mndour du XIIIe siècle, contient plus de 80 mille mots, alors qu’en anglais, le dictionnaire Samuel Johnson en 18eme siècle ne contient que 42 000.
Quelques appellations de la langue arabe
« La langue du coran » puisque le coran est en arabe.
« La langue du dad » parce que la lettre « dad » est utilisé par les arabes uniquement et c’est rare qu’on la trouve dans les autres langues.
Sauf que le dad dont on parle ici n’est pas le dad qu’on utilise aujourd’hui dans l’arabe classique en tant que « dal exalté », le dad arabe ancien était un autre son mélangé entre le « da » et « lam » et ce son a été fusionné avec le « da exalté » dans l’ile arabe. Et parce que le « dad » et un « dal exalté ». C’est à dire, il est une lettre – entre dents- à son tour, s’est modifiée en « dad » comme la transforamatio de « tta » a « ta » et « ddal » en « dal » et s’est devenue cette « dal exalté » le « dad de l’arabe classique mmoderne », en fait « le dad exalté » n’existe pas particulièrement en arabe, mais il existe dans de nombreuses langues. Ce n’est pas le DAAD initial dont parlait Mutanabi et ibn mandour l’ecrivain de lisSan al Arabe et d’autres.
Les alphabets Arabes
La langue Arabe contient 28 lettres. Certains linguistes pensent que (el Hamza) doit être ajoutée aux lettres arabes, ce qui porte le nombre de 29 caractères. On rappelle que l’écriture de la langue arabe est de droite à gauche – comme la langue persane, l’hébreu et contrairement à de nombreuses langues du monde – et du haut de la page vers le bas.*source: blog de la langue arabe-20 juin 2013
**** l’alphabet arabe
L’Alphabet arabe qui comporte 28 lettres est utilisé pour écrire la plupart des langues asiatiques et africaines, comme l’arabe, l’ourdou, le swahili, la langue de l’Empire ottoman et la langue persane. L’alphabet arabe est le deuxième alphabet en termes d’utilisation mondiale après l’alphabet latin. Ces alphabets appelés en Arabe « abajadiya » ou bien « un abjad » sont utilisé pour l’écriture du saint Coran qui est sacré pour les musulmans. Ils sont utilisés aussi pour écrire de nombreuses langues à partir de nombreuses familles linguistiques.
L’alphabet arabe s’écrit de droite à gauche et comprend 28 lettres fondamentales. Le modèle dépend des lettres arrivèrent un mot à l’autre, et ceux-ci comprennent 28 caractères de l’alphabet clés et certains mouvements vocales font partie de l’alphabet arabe.
En écriture arabe, il n’y a aucune différence entre les lettres manuscrites et les imprimées, ni entre les lettres minuscules et majuscules. Les lettres sont connecté entre eux et chaque lettre arabe s’écrit de trois manières différentes, en fonction de la place qu’elle occupe dans le mot : au début, milieu ou bien en dernier.
Evolution de l’alphabet
La plupart des chercheurs soulignent que l’alphabet arabe a évolué de l’alphabet araméen, et que les actifs des lettres arabes prises par les lettres de l’alphabet Sud-antisémitisme et ils se sont déplacés à la péninsule arabique à travers le langage de Nabatiyeh dans le sud de la Syrie. La première référence d’un texte écrit en arabe remonte à l’année 512. C’est au Septième siècle que les points sont ajouté sur ou bien au dessous des lettres afin de faire la différence entre des lettres similaires. Exemple de trois lettres similaires : ج ح خ
L’alphabet araméen ayant moins de phonèmes que l’arabe et l’écriture originale ayant donc dû confondre par la même lettre plusieurs phonèmes. Au cours de ces modifications, on a changé l’ordre des lettres, du coup, l’alphabet arabe ne suit pas l’ordre original des alphabets sémitiques.*source: blog de la langue arabe-29 avril 2015
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*Les sujets du bac philo juin.2010 (France)
Filière scientifique (coefficient 3) :
Sujet 1 : L’art peut il se passer de règles ?
Sujet 2 : Dépend t-il de nous d’être heureux ?
Commentaire : Extrait de Léviathan, de Hobbes
Filière économique et sociale (coefficient 4) :
Sujet 1 : Une vérité scientifique peut elle être dangereuse ?
Sujet 2 : Le rôle de l’historien est-il de juger ?
Commentaire : Extrait de L’Education morale, de Durkheim
Filière L (coefficient 7) :
Sujet 1 : La recherche de la vérité peut elle être désintéressée ?
Sujet 2 : Faut il oublier le passé pour se donner un avenir ?
Commentaire : Extrait de Somme théologique, de Thomas d’Aquin
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Le Professeur, historien Robert faurisson a envoyé le 21 janvier 2009 cette lettre au maire de Paris Bertrand Delanoë. Ce dernier mène une guerre contre l’humouriste Dieudonné et l’empêche de se produire dans tout Paris pour avoir « osé » parler des juifs dans ses sketchs.
Monsieur le Maire,Vous êtes parti en guerre contre « Dieudonné et Faurisson ». Vous vous enflammez. Vous cherchez à échauffer les esprits et à susciter l’indignation générale. Vous menacez de fermer les théâtres publics de Paris à ceux qui, en foule, souhaitent voir et entendre Dieudonné. Vous ne cachez pas que vous mettrez sous surveillance les théâtres privés. Et, surtout, vous envisagez la possibilité de « troubles à l’ordre public », lesquels, ajoutez-vous finement, permettraient au Préfet de police d’interdire tout accès à un spectacle de Dieudonné. Vous savez que ces troubles, qui sont de nature physique, ne pourraient provenir que d’éléments qui seraient hostiles à « Dieudonné et Faurisson » ; dans mon cas, ces troubles concertés m’ont valu par le passé plus d’une hospitalisation et plus d’une opération chirurgicale. En conséquence, je vous fais savoir – et j’en informe qui de droit – que, si jamais, dans les jours prochains, je devais une nouvelle fois tomber sous les coups de trublions et de nervis, je vous en tiendrais pour responsable et coupable, au premier chef. Voyez en ces lignes un avertissement et recevez, je vous prie, mes salutations.
Vous trouverez, ci-jointe, une photographie, en date du 16 septembre 1989, qui vous montrera en quel état, par exemple, je me suis retrouvé à l’hôpital à la suite d’une agression dont les auteurs, comme l’a conclu un rapport de police, ont dû être de « jeunes activistes juifs parisiens ». Serge Klarsfeld avait jugé ce traitement « normal et naturel ». Et vous ? Le 17 septembre, le jeune homme qui avait mis en fuite mes trois agresseurs, apprenant mon nom dans les journaux, a déclaré à la police qu’il regrettait de m’avoir, de justesse, sauvé la vie. Qu’en pensez-vous ?
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M. Abdelkader Lalmi a remplacé Hamraoui Habib Chawki à la tête de l’ENTV. Il est à rappeler que le nouveau patron de la télévision a occupé le poste de DG de l’ENTV en 1999. Auparavant, il a été directeur de l’audio-visuel au ministère de la Communication puis S/G dans le même secteur. (19.11.08) Le nouveau directeur général de l’entreprise nationale de la Télévision (ENTV), M. Abdelkader Eulmi, a été installé dans ses nouvelles fonctions par le secrétaire d’Etat chargé de la communication auprès du Premier ministre, M. Azzedine Mihoubi. Dans une brève allocution, M. Mihoubi a rendu un hommage particulier au directeur général sortant, M. Hamraoui Habib Chawki. M. Mihoubi a, d’autre part, mis l’accent sur les qualités professionnelles du nouveau DG qui « n’est plus à présenter », dans la mesure où il s’agit, a-t-il précisé, d’un « enfant de la Télévision nationale qui a eu déjà à occuper ce poste par le passé ». On assiste à une cascade de changements à la tête de l’audiovisuel, entamée depuis quelques jours. Tewfik Khelladi a été installé lundi dernier, en tant que directeur général de l’Entreprise nationale de radiodiffusion sonore (Enrs) en remplacement de Azzedine Mihoubi, lui-même nommé secrétaire d’Etat auprès du Premier ministre chargé de la Communication. En quelques jours, l’audiovisuel algérien a fait sa mue. Reste à savoir, maintenant, si ces responsables fraîchement nommés, vont apporter du sang neuf. Pour ne prendre que l’exemple de la Télévision nationale, il faut dire que le défi est immense. En 2008, les Algériens ont appris à zapper et la télévision de papa est morte. La catastrophe de la grille des programmes durant le Ramadhan de 2008, renseigne sur la déliquescence de ce média lourd. L’autre question qui se pose: ces changements vont-ils toucher la presse écrite du secteur public? Verra-t-on alors El Moudjahid, Horizons, Echaâb, Enassr et l’APS changer de tête? Si les remaniements opérés dans l’audiovisuel obéissent à un changement de stratégie de communication des pouvoirs publics, il est donc légitime d’injecter du sang neuf et de propulser une nouvelle génération dans la presse écrite publique.
Dans cet élan de «renouveau et de changement tous azimuts», il est tout à fait clair que la presse privée attend elle aussi ce qui sortira des entrailles des pouvoirs publics. Avec une dizaine de titres arabophones et francophones viables sur la scène médiatique, cette presse privée aura au moins le mérite de servir d’alibi à un pays ouvert et garant d’une relative liberté d’expression, car c’est cette presse qui fait le contrepoids au niveau maghrébin et au monde arabe. Car l’Algérie demeure l’un des rares pays au niveau régional à stagner confortablement dans la médiocrité d’une chaîne de télévision unique. En 2008, la diversification des médias et l’amélioration des technologies de l’information, ont élargi l’éventail des idées auquelles les gens sont exposés. Le monde entier a vu, en direct, comment l’Internet et l’explosion des «nouveaux moyens de communication» ont fortement bouleversé la politique des Etats-Unis et d’autres pays à travers la planète.
L’Algérie a remporté quatre prix au 14e Festival des médias arabes du Caire dont la cérémonie de clôture a eu lieu avant-hier soir. Dans la catégorie concours, le programme « Les chevaliers du Saint Coran », réalisé par Slimane Bekhlili et produit par l’Entreprise nationale de télévision (ENTV) a décroché le prix d’or. Un prix similaire a été également décerné à l’Algérie, dans la catégorie dialogue, pour une enquête sur la femme rurale intitulée « Bent Beni Senous » du réalisateur Heya Djelloul.
Pour les comédies, le feuilleton « Djemaï family », également une production de la Télévision algérienne, a remporté les prix du meilleur décor et du meilleur éclairage. L’Algérie a participé à cette édition avec 16 productions télévisuelles notamment des feuilletons, des enquêtes et des variétés. Elle a également participé, à ce festival avec 4 productions radiophoniques. Des conférences ont été organisées en marge du festival sur plusieurs thèmes dont « l’information étatique et l’information privée… concurrence ou complémentarité », « l’industrie de l’information et l’industrie de la publicité, qui oriente l’autre », « les chaînes de télévision sportives, qui détient les droits de retransmission », « l’information et le secteur privé, qui anime l’autre? » et « la radio dans un monde en perpétuelle mutation ». La manifestation a été également l’occasion pour distinguer des écrivains, des hommes des médias et des artistes arabes et égyptiens qui ont contribué à l’enrichissement du paysage artistique et médiatique arabe. L’Egypte a glané la plupart des prix du festival qui a vu la participation de 18 pays arabes avec 672 productions, dont 485 télévisuelles et 187 radiophoniques. Le prix Naguib Mahfouz de la meilleure production télévisuelle est revenu à l’écrivain Mahfoud Abderrahmane, alors que le prix de la meilleure production radiophonique a été décerné post mortem à la figure de la radio égyptienne, le défunt Abdelfattah Mustapha.
Tentative de trafic d’une stèle de « SPELLICOT » – « L’œuvre d’art qui remonte au dix-neuvième siècle a été vendue à seulement 100 000 dinars ». |
Les services de gendarmerie nationale algerienne ont réussi à déjouer une tentative de trafic d’une pièce d’art produite en bronze. La stèle représente la partie supérieure d’un corps d’homme de religion chrétienne et qui remonte au dix neuvième siècle. La cellule de communication de la gendarmerie nationale a assuré que les faits remontent à une opération des services de gendarmerie nationale, au niveau de la localité d’El Achour, à l’ouest de la capitale. les élements de gendarmerie ont arrêté une voiture dans une station lavage située au niveau de Sebala à El Achour. L’opération de fouille a permis de découvrir une statue dans la malle de la voiture. La stèle en question représente la partie supérieure du corps d’un homme de religion chrétienne produite en bronze et qui pèse environ 26,7 Kg, d’une hauteur de 53 centimètres avec une base de 58 cm avec un diamètre de 24,5 cm. Le propriétaire de la voiture a assuré avoir acheté la pièce chez une personne, dont il ignore le nom contre une somme de 100 mille dinars. Il prétend aussi être un amateur des pièces d’art. En revanche, le rapport établi par la directrice du musé national des beaux arts d’El Hamma a assuré que la pièce d’art a des caractéristiques artistiques et techniques qui remontent au dix neuvième siècle, puisqu’elle a été fabriqué par Alexis Rudier Fondeur Paris, un des plus grands ateliers artistiques français institué en 1875, par «SPELLICOT» dans une des plus importantes périodes de l’histoire de l’art universel. En outre, l’expertise a démontré que la statue est un chef d’œuvre qui est d’une grande importance. Elle se trouve actuellement au musé des beaux arts à El Hamma en attendant la clôture des enquêtes. Il est à rappeler que les services de protection du patrimoine au niveau de la gendarmerie nationale ont réussi lors du premier trimestre de cette année à saisir environ 1310 pièces archéologiques, ainsi que plusieurs animaux marins en pierre, des pièces de monnaie, et des bijoux. Parmi ces pièces figurent trois tableaux du célèbre dessinateur Pablo Picasso et une statue en marbre sur laquelle est gravé le nom du dessinateur. ( Echorouk du 06.11.08)
Tipasa: saisie de 100 pièces archéologiques - La brigade de protection du patrimoine culturel relevant de la sûreté de wilaya de Tipasa vient de dévoiler la première affaire de commercialisation de pièces archéologiques classées et protégées, datant de l’ère romaine, qui étaient proposées aux touristes par un antiquaire. Cette affaire est la première à toucher un secteur sensible dans cette wilaya classée par l’Unesco et ayant déjà reçu des avertissements de l’organisation onusienne au sujet des dangers qui menacent ses sites archéologiques. Les éléments de la brigade spécialisée dans le domaine de la protection du patrimoine culturel qui vient d’être instituée dans cette wilaya ont remarqué des pièces archéologiques proposées à la vente par un antiquaire célèbre. Après une expertise réalisée par un archéologue, il s’est avéré que les pièces sont authentiques, classées et interdites à la vente selon la loi. Une source sécuritaire de la sûreté de wilaya nous a confié que 100 pièces archéologiques, rares, remontant à l’époque romaine ont été saisies, dont des pièces en céramique, en bronze et en os, des lampes à l’huile, des bijoux en argent ainsi que des pièces de monnaie. Les objets saisis sont inestimables étant donné qu’ils constituent une part de la mémoire et sont mondialement classés et protégés. (O6.11.08)
Le Ksar de Taghit a été sérieusement endommagé par les intempéries que connait actuellement la wilaya de Bechar. Des dégâts très importants ont été relevés au niveau de plusieurs habitations et autres structures communes de ce ksar, qui fait l’objet d’une opération de restauration et de réhabilitation ayant permis de mettre en évidence cet espace classé patrimoine national architectural, souligne le même responsable de la commune de Taghit. Une expertise de spécialistes est souhaitée pour l’évaluation des dégâts et des mesures à prendre pour la réhabilitation des parties endommagées, estime la même source. Le ksar de Taghit, l’un des plus importants du sud-ouest du pays, a été édifié il y a plus de 15 siècles sur une roche au dessus du lit de l’oued Zousfana qui traverse en long la ville du même nom. Le sanctuaire du saint- patron Sidi Abdelmalek Ben Boungab où se trouve son tombeau a été également endommagé par les infiltrations des eaux des pluies. Ce saint homme qui a vécu au 14 siècle est considéré comme l’un des imminents érudits dans le sud-ouest du pays. Il a été à l’origine de la fondation de la zaouïa qui porte son nom, située à quelques encablures de Taghit. ( Echorouk du 06.11.08)
- Les années quatre vingt dix ont connu une « profusion » de plumes algériennes, consacrant une écriture féminine tranchant avec la thématique traditionnelle, a affirmé, hier, à Alger, la romancière algérienne Nacéra Belloula.
Nacéra Belloula, qui animait une conférence sur le thème intitulé « 60 ans d’écriture féminine en Algérie », conjointement avec la poétesse Zineb Laouedj, a relevé que « les années 90 ont connu une profusion de plumes algériennes, consacrant une écriture féminine qui tranche avec la thématique traditionnelle, telle que la Guerre de libération nationale ». « Le nouveau roman algérien écrit par des femmes-écrivains tranche avec se qui se faisait avant, dans la mesure où il s’inscrit dans le sillage de la liberté d’écriture et d’expression », a-t-elle souligné dans cette conférence organisée en marge du Salon international du livre d’Alger (SILA). Tout en situant l’apparition de l’écriture féminine en Algérie en 1947 avec la publication du roman de Taous Amrouche « Jacinthe noire » et le roman de Djamila Debbache « Leila jeune fille d’Algérie », Nacéra Belloula a soutenu que le roman écrit par des femmes durant cette période a été marqué par les « conditions de la colonisation ». Elle a affirmé, dans ce contexte, que le premier roman d’Assia Djebbar « la soif » (1955), et sur la foi de déclarations de l’auteur lui-même, « ne fait pas partie de l’écriture spontanée », ajoutant qu »‘à partir de cette date, Assia Djebbar avait rejoint la thématique liée à la Guerre de libération nationale ». La poétesse algérienne Zineb Laouedj, a estimé, à son tour, que la Guerre de libération « a approfondi l’idée de la libération chez les écrivains algériens ». Réfutant l’idée d’un antagonisme entre les expressions arabopohone et francophone de la littéraire algérienne, Zineb Laouedj a relevé que les écrivains des années 70 et 80 ont reçu une formation universitaire bilingue qui leur a permis de connaître la littérature étrangère. « Les genres littéraires et les formes d’écriture ont connu une évolution extraordinaire de l’indépendance à ce jour », a-t-elle souligné, notant dans ce cadre que « le nouveau poème a complètement rompu avec le carcan des anciennes formes d’écriture. el moudjahid 28.10.08
* L’écrivain Yasmina Khadra s’en est pris, hier, à des institutions littéraires parisiennes les accusant d’avoir écarté son dernier roman, » Ce que le jour doit à la nuit« , des listes des principaux prix littéraires. »Toutes ces institutions littéraires se sont liguées contre moi. ça n’a pas de sens ces aberrations parisianistes », s’est exclamé le romancier algérien, dans un entretien paru dans le quotidien français, Le Parisien. « Les gens pensent que ça a été facile pour moi de devenir écrivain. ils n’ont rien vu de mon parcours », a déploré Khadra, qui dirige le Centre culturel algérien à Paris, en allusion à ces institutions, faisant savoir qu’il a été soldat à 9 ans et avoir évolué « dans un pays où l’on parle de livres mais jamais d’écrivains et dans une institution qui est aux antipodes de cette vocation ». » J’écrivais dans une langue qui n’est pas la mienne, avec ma singularité de bédouin. C’est la poésie de mes ancêtres qui lui donne cette teinte que certains me reprochent », explique-t-il, avant de fustiger ceux « qui ne savent pas que la langue française peut tout dire, parler d’infinitude ».
« Ce livre, je le porte en moi depuis 1982″, a confié le romancier algérien reconnu dans le monde entier, en parlant de son dernier roman « disqualifié » des listes des sélections, mais qui figure depuis 8 semaines dans les meilleures ventes de la rentée littéraire française.
Dans « Ce que le jour doit à la nuit », (paru le 25 août chez Julliard), Khadra peint, « des années 1930 à nos jours, la trajectoire de Jonas, fils de paysan élevé par son oncle dans les beaux quartiers d’Algérie, puis habité par un amour impossible », résume Le Parisien, ajoutant que c’est aussi une Algérie déchirée entre ses communautés » de l’époque. « Ce n’est pas seulement une histoire de l’Algérie coloniale, c’est aussi une réplique aux travaux de mon idole Albert Camus (qui) n’a jamais traité que de son Algérie à lui, son jouet enfant, de petit pied noir. Il (Camus) n’est jamais allé de l’autre côté. C’est ce côté-là que j’ai raconté, celui des pieds -noirs, des racistes, des gens bien, l’Algérie dans sa globalité ». »Je ne pense pas écrire un livre meilleur que celui-là », dit l’auteur de son dernier livre. Yasmina Khadra, dont l’œuvre est traduite dans de nombreuses langues, a obtenu ces dernières années plusieurs distinctions en France et à l’étranger. Son précédent roman, L’attentat, a reçu le Prix des libraires en France, en 2006.( 25.10.08)
* Un conservatoire de musique opérationnel à Tlemcen - Le champ artistique et culturel dans la wilaya de Tlemcen s’est doté d’un conservatoire de musique opérationnel depuis le début du mois d’octobre en cours au niveau de la Maison de jeunes « Akid Lotfi » pour l’enseignement musical et l’initiation aux différents instruments musicaux. Ce conservatoire fonctionnel actuellement, est composé de trois salles d’entraînement vocal et d’initiation d’une cinquantaine de jeunes amateurs aux principes musicaux et les règles rythmiques, ajoute-t-on de même source. (25.10.08)
* Publication-Monde Arabe, culture(s) et civilisation(s) – Le voyage à travers le temps et l’espace – Ce volumineux livre de 430 pages est le fruit de voyages multiples effectués à travers certains continents. Au cours de ces deux dernières années, Tewfik Bendaoud et son épouse ont parcouru plus de 70 000 km par route à travers le monde arabe, à l’exception de la Palestine, de l’Irak et de la Somalie. En 200 jours, les Bendaoud ont sillonné les déserts les plus fabuleux, empruntant les pistes caravanières qui relient le Maghreb à l’Afrique noire, tel l’océan Atlantique à l’océan Indien. « En franchissant la mer Rouge, nous avons suivi la route mythique de l’encens, sur les traces de ces voyageurs arabes de renommée tels que Ibn Battouta, Al Abdari, Ibn Joubay, Abayachi et bien d’autres », écrit l’auteur dans l’avant-propos de son beau livre. Ces multiples escales se sont soldées par des rencontres émouvantes et des amitiés tissées avec des hommes fiers et hospitaliers. Le couple a vécu parmi ces franges éparses de la population afin d’apprendre et de comprendre les différentes sources culturelles et traditionnelles, « mais surtout pour transmettre le plus fidèlement possible tout ce qu’il nous a été offert ». Plus de 10 000 prises de vues réalisées en couleurs et en noir et blanc ont été immortalisées, pour justement, donner un large aperçu de cette fabuleuse aventure. Une aventure « qui j’espère donnera envie de découvrir ou de redécouvrir ce monde arabe ». Mohamed Béjaoui écrit dans la préface : « Encouragé par son succès, Tewfik Bendaoud nous livre un produit de qualité. Pour nous raconter avec son talent confirmé les pays arabes… Au terme de ce périple, il laisse au voyageur le choix entier et libre de décider si le monde arabe est l’heureux possesseur d’une culture et d’une civilisation surgies en la forme d’une constellation unique et homogène partout présente dans cet espace, ou si au contraire, ce monde est riche, par-delà tout ce qui l’unit, d’une grande diversité culturelle et civilisationelle, éclose dans le tissu uniforme et la corolle unitaire de l’islam. » Ainsi, le lecteur est invité à un voyage initiatique à travers certains pays arabes. A travers des clichés saisissant où le jeu d’ombre et de lumière est omniprésent, Tewfik Bendaoud offre des prises de vues magnifiques. L’auteur n’a pas omis de citer en langue française et arabe la dénomination officielle de chaque pays, le nom de sa capitale politique, le nombre de ses habitants, son drapeau, sa devise nationale, les caractéristiques de son sceau, une pensée et un adage propre à chaque pays. Il est à noter, par ailleurs, que ce beau livre sera disponible la semaine prochaine à la Safex d’Alger lors de la tenue du Salon international du livre. Monde arabe, culture(s) et civilisation(s) reste un ouvrage de référence tant les informations données sont intéressantes. (el watan) Tewfik Bendaoud – Monde arabe, culture(s) et civilisation(s) Edité à compte d’auteur. 430 pages. Mai 2008. Prix public 5500 DA.
* Les langues, vecteur de la cohésion sociale..colloque régional à Alger sur les politiques linquistisues..Les travaux du colloque régional sur les « politiques linguistiques nationales : rôle des langues transfrontalières et des langues de moindre diffusion en Afrique du Nord », se sont poursuivisces jours-ci à Alger par la présentation de communications sur le rôle des langues dans la cohésion et le développement des sociétés. Les intervenants ont été unanimes à souligner que les peuples d’Afrique parlent nombre de langues transfrontalières dont certaines écrites et d’autres demeurant jusqu’à ce jour orales, alors que d’autres peuples du continent utilisent des langues locales aussi diverses que nombreuses mais dont la plupart sont des langues orales. Dans la communication qu’il a présentée à cette occasion, M. Mohamed Lakhdar Maouguel, professeur à l’université d’Alger, a affirmé que la région de l’Afrique du Nord et du Sahara, au cœur de laquelle se situe l’Algérie, et à l’image de l’ensemble du continent africain, est caractérisée par l’utilisation de plusieurs langues transfrontalières dont des langues écrites, comme l’arabe, une langue en mesure, a-t-il dit, d’être porteuse des nouvelles connaissances et technologies. Evoquant tamazight, le Pr Maouguel a estimé que cette langue qui a « résisté » à travers le temps à l’influence des différentes langues et cultures qui se sont implantées successivement dans la région, demeure néanmoins une langue orale « et marquée par des différences dans la transcription ». Il s’est interrogé, dans la même foulée, sur le rôle attendu de cette langue originelle dans notre époque « un renforcement de l’identité, un rôle politique en tant que leitmotiv de certaines questions éminemment politiques ou un rôle de communion entre les peuples de la région ? ». M. Maouguel a estimé qu’en son état actuel, cette langue quand bien même transfrontalière « n’est pas en mesure de véhiculer la technologie moderne ». L’orateur s’est, par ailleurs, montré « optimiste » quant à la situation des langues en Algérie, précisant que la politique linguistique actuelle marquée par l’ouverture à d’autres langues vivantes de la planète, notamment, a-t-il dit, « le français qui revêt toujours un rôle important dans la société algérienne en ce sens qu’elle se veut un instrument d’ouverture de notre société sur le monde extérieur développé ». Revisitant l’historique de la langue en Algérie, M. Maouguel a affirmé que la position géographique méditerranéenne stratégique de la région de l’Afrique du Nord située à l’interface de l’Europe et du Moyen Orient, lui a valu d’être le confluent d’une multitude de langues qui sont venues côtoyer la langue originelle des autochtones, en l’occurrence les Amazighs. Il y avait des langues, a-t-il dit, qui véhiculaient des religions, à l’instar de l’hébreu porteur de judaïsme, le byzantin et le romain véhicules du christianisme et, enfin, la langue arabe qui amena l’islam. S’agissant de l’histoire contemporaine de l’Algérie, le conférencier a indiqué que le mouvement national avait recouru, avant la guerre de libération, au « bilinguisme, en utilisant tantôt l’arabe en tant que langue authentique, tantôt le français comme langue d’ouverture sur de nouvelles idées, d’une part et d’autre part, en tant qu’outil pour faire connaître la cause algérienne dans le monde entier ». « Au lendemain de l’indépendance, ajoute le professeur Maouguel, le bilinguisme a été consacré durant l’étape de l’édification de l’Etat, alors que la langue amazigh n’a été prise en considération qu’en 2002″, lorsque le Président de la République M. Bouteflika, a pris une décision historique d’institutionnaliser tamazight, en amendant l’article 3 de la Constitution qui énonce que tamazight est une langue nationale, et que l’Etat doit veiller à sa promotion et son développement dans toutes ses variétés linguistiques, en usage sur le territoire national.( 18.10.08)
- Conférence des ministres de la Culture de l’UA, les 22 et 23 octobre 2008 à Alger- Cette session vient parmi les conclusions de la 1ère rencontre des ministres africains de la Culture, tenue en 2005 à Nairobi, au cours de laquelle l’Algérie, qui avait l’engagement de concrétiser trois projets, a accepté d’accueillir la seconde réunion ministérielle de l’Union africaine. A l’ordre du jour des travaux de cette session, l’Algérie a inscrit les trois projets qu’elle a fait avancer depuis pour les soumettre à l’approbation de la réunion des ministres. En premier lieu, une présentation du projet de musée de l’Afrique, conçue pour mettre en valeur les richesses du continent africain dont les arts ont souvent présentés selon des prismes déformants et réducteurs. Il restera bien évidemment à trouver matière à collections ce qui nécessitera un effort conjugué de l’ensemble des pays africains. Le ministère de la Culture fera également un exposé sur l’étude de faisabilité qu’il a initiée pour la réalisation d’un institut culturel africain. Les premières réflexions ont porté sur la nature de cette institution, sa vocation et ses objectifs, à charge ensuite pour les pays de l’union africaine de lui donner corps et d’en définir les modalités d’organisation et de fonctionnement. Le troisième dossier que défendra l’Algérie durant cette rencontre sera celui de la 2ème édition du festival panafricain d’Alger. ( 18.10.08)
* C’est l’un des plus gros tirages de la rentrée littéraire. Assurément l’un de ses plus beaux récits. Avec « Ce que le jour doit à la nuit », Yasmina Khadra délivre enfin le roman qui manquait à l’Algérie contemporaine. Tragique et lumineux. Ce que le jour doit à la nuit est d’abord le roman d’une vie. Celle de son auteur. Plus de vingt ans que Yasmina Khadra portait cette histoire en lui. L’écrivain se considérait-il jusqu’alors trop jeune et inexpérimenté pour parler de sa terre après son maître, Albert Camus ? Sans aucun doute. Mais plus maintenant. Son Algérie à lui, il la sait réelle sous sa plume, non rêvée. Mais cette histoire nous raconte aussi la vie de Younes. Fils de paysan dépossédé de ses terres ancestrales, forcé de rejoindre la misère d’un quartier d’Oran dans les années 1930, et dont l’on confie l’éducation à son oncle pharmacien. Un homme aisé, marié à une Française. Rebaptisé Jonas, le gamin découvre alors l’Algérie des colons. Tout un univers privilégié dont il ne soupçonnait même pas l’existence, encore loin, à l’époque, de la montée du nationalisme arabe. Et s’intègre au milieu de ceux qu’on appellera plus tard les Pieds-noirs. « Ceux-là même auxquels j’ai voulu dire combien je les aimais et dont l’Algérie est aujourd’hui si orpheline », explique Yasmina Khadra. Car à travers le parcours de Younes-Jonas, l’auteur de L’Attentat et des Sirènes de Bagdad se penche sur l’histoire de la tragédie algérienne. Sur un « tabou », considère-t-il, qui aveugle notre regard sur les années 1930 à 1962, de la jeunesse insouciante de Younes-Jonas justement, au bain de sang. L’Algérie de Khadra est entière, « pour tous, telle qu’elle a vraiment été à cette époque, avec ses hauts et ses bas, ses misères et ses fortunes, ses chances et ses déveines. Avec un regard lucide et un recul salutaire, Ce que le jour doit à la nuit présente les qualités d’une fresque fidèle et saine des liens historiques entre l’Algérie et la France. « Je voulais un récit qui ne soit pas à l’étroit derrière des oeillères faites de haines et de rancunes. Tous les autres livres sur cette question se sont toujours dressés comme des barricades entre les deux peuples . » Ce que le jour doit à la nuit les fait tomber. Chant d’amour à son pays d’origine, à travers la passion d’un Algérien pour une Française, de la France et de l’Algérie pour une même terre, Ce que le jour doit à la nuit interroge enfin : pourquoi tant de douleurs et de chagrins quand on partage le même amour ? « L’Algérie a toujours été plurielle avec ses Pieds-noirs, Algériens, Français, Espagnols, Grecs, juifs, berbères, touaregs…
* 13ème SALON INTERNATIONAL DU LIVRE D’ALGER. Honneur aux livres de jeunesse et d’enfants.Il se tiendra du 27 octobre au 5 novembre 2008, toujours au Palais des expositions des Pins maritimes. Exclusivement réservé aux éditeurs . Dédiée cette année au livre de jeunesse et de l’enfant et placée sous le thème «Raconte-moi un livre», cette nouvelle édition, a-t-on indiqué, drainera 400 exposants venus de 23 pays. 120.000 titres cette année seront mis à la disposition du lecteur contre 80.000 l’an dernier. Les éditeurs auxquels ce Salon est consacré, ont le droit d’exposer 100 exemplaires pour chaque nouveau titre, 50 pour les moins de 5 ans et 50 au-delà des 5 ans. Une des nouveautés pour l’édition 2008 est l’institution de Prix littéraires. Sept prix seront décernés lors d’une cérémonie de gala à l’hôtel Hilton. Ces prix distingueront des ouvrages écrits par des auteurs algériens, édités en Algérie, et qui se caractérisent par leurs valeurs intellectuelle, littéraire et esthétique dans les catégories suivantes: roman en langue arabe, roman en langue française, roman en langue amazighe, ouvrage sur l’enfance ou la jeunesse en langue arabe et langue française, ouvrage sur le patrimoine en langue arabe et langue française. (13.10.08)
* A l’initiative du ministère de la Culture se tiendra du 15 au 19 mois en cours le 1er Festival international de la bande dessinée d’Alger (FIBDA).. Dans une conférence de presse animée dans le cercle Frantz Fanon à Alger, la commissaire du FIBDA, Mme Dalila Nadjem a annoncé la participation de 27 pays y compris l’Algérie. L’inde est l’invitée d’honneur. Outre la présentation de 350 titres BD, plusieurs activités sont programmées, entre autres, un colloque, six conférences, des expositions, la projection de douze films, un concours auquel prendront part 98 candidats dont 31 Algériens. Comme seront animés six ateliers. Ces activités sont réparties sur plusiuers espaces à l’exemple de la Bibliothèque nationale d’Algérie des beaux-arts, le musée national d’art moderne et contemporain, l’Ecole nationale supérieure des beaux-arts, le cercle Frantz Fanon et le Palais de la culture. (12.10.08)
* Disparition de la comédienne Doudja Abdoun… Doudja Abdoun , une des figures emblématiques du cinéma algérien vient de tirer sa révérence.. Cette grande dame, à la bonté inégalable et à la réplique facile, a réussi à conquérir le cœur de milliers de téléspectateurs et de cinéphiles. Sa passion pour le cinéma et son professionnalisme lui ont permis de décrocher plusieurs grands rôles. Atteinte du diabète, contracté depuis des années, elle n’a pas mis un frein à son activité artistique. La défunte a débuté sa carrière dans les années soixante-dix avec l’inoubliable série L’incendie (El Hariq), adapté du roman de Mohamed Dib et réalisé par Mustapha Badie. Pour ceux qui s’en souviennent, elle avait incarné un rôle imposant. Chemin faisant, elle a eu l’opportunité de participer à d’autres tournages : Le prix du rêve et Leila et les autres, réalisés par Sid Ali Mazif. Elle a également été sollicitée pour des sit-coms en 2002 et en 2005 dont, entre autres Ness M’Lah City 1 et 2, réalisés par Djaffer Gacem. Sa dernière apparition remonte au Ramadhan dernier avec la série Djamai Family où elle avait merveilleusement interprété le rôle de « Khoukha », la doyenne de la famille. Avec ses mimiques naïves et ses répliques loufoques, elle avait littéralement conquis les téléspectateurs. Très touché par la disparition de l’artiste, le réalisateur de Djamai Familly, M. Djaffer Gacem confie que c’etait un personnage étonnant. Elle croquait la vie à pleines dents. Sur les plateaux de tournage, elle incarnait la joie de vivre…( D’après El Watan)..-12.10.08
* la 8e édition du film Pastoralismes et Grands Espaces se tiendra du 15 au 18 de ce mois à Prapoutel Les 7 Laux, à proximité de Grenoble dans le département de l’Isère. Il accueille l’Algérie comme invitée d’honneur, après la Mongolie (en 2004) et le Sénégal (en 2006). L’association Pastoralismes du monde, créée en 1994, organise tous les deux ans le Festival du film Pastoralismes et Grands Espaces. Ce festival regroupe un ensemble de productions cinématographiques sur le thème du pastoralisme et est également l’occasion de rassembler les acteurs de cette activité ancestrale et du cinéma venus des quatre coins du globe. Les films présentés peuvent être des documentaires, des fictions ou des films publicitaires, en courts ou en longs métrages. Parmi les objectifs de ce festival : promouvoir et valoriser les pastoralismes modernes, développer et conforter les échanges avec les pays du Sud et faire partager des créations cinématographiques sur le thème central du pastoralisme et ses connexions et illustrer les particularités du monde pastoral.(06.10.08).
* Dans le cadre des manifestations culturelles spécial Ramadhan, l’Office du tourisme de Tlemcen (ex-SIT) a invité M. Omar Dib, historien, directeur de la publication des Amis du Vieux Tlemcen, qui a donné mercredi dernier en son siège de la place du Cdt Faradj une conférence intitulée «Les saints de Tlemcen ». Le conférencier s’est limité à quatre saints: Sidi Belahcène El-Ghomari, Sidi Lahcène Aberkane, Sidi Brahim Tazi et… Sidi Lahouari. «J’ai choisi ces quatre saints parce qu’ils sont les plus représentatifs dans le domaine de la pensée religieuse dans le Maghreb musulman», a-t-il expliqué. Et de citer en référence à ce sujet l’ouvrage de Sidi Saâd «Tarikh Errob’ El-Akharine». Il est à rappeler que Tlemcen sera en 2011, la capitale de la culture islamique. (20.09.08)
- Tlemcen.. Festival national de la musique « hawzi » – du 18 au 26 juin 2008 – Les associations « Awthar Tlemcen », et « El Fen- El acil » – de Koléa – se sont partagées le premier prix du festival national de la musique « hawzi » qui s’est déroulé à Tlemcen. Les deux associations ont reçu une somme de 200.000 da et gagné le droit de participer au festival international de la musique « hawzi » prévu à Alger. Le troisième prix est revenu à L’association « El Mouahidia » de Nédroma. Un prix d’encouragement a été décerné à l’association « Ibn Bahja » de Mostaganem. La soirée de cloture a été animée par les artistes Mériem Ben Allel et Karim Boughazi. Douze associations artistiques du genre « hawzi », issues des écoles de Tlemcen, Alger et Constantine, ont participé au festival aux cotés de 10 orchestres nationaux et d’illustres chanteurs du « hawzi ».
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Théatre Régional d’Oran « Abdekader Alloula »* 13 octobre 2008 à 15H.. et 17.10.08, à 10H.. projection de film pour enfants.. « Alice au pays des merveilles ».* 15 octobre .. soirée poétique « littérature féminine » – Art et Culture. - 3 mars 2008..à 15 h- pièce.. » Malik El-Hairan » de Abdelkader Houari- metteur en scène.. Missoum Medhari.- 3 mars à 17 h- » Achouak Es-Salem ».. de Mourad Snoussi- metteur en scène.. Ghaouti Azri.- 6 mars 2008 à 15 h .. « Le coq du colonel »- texte de Mostefai, d’après Gabriel Garcia Marquez- metteur en scène.. Mansouri Lakhdar.- 7 mars à 10 h .. « Moussibet El-Himar ».. de Abdelhak Houari (metteur en scène).
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CCF. Tlemcen- 10 mars 2008 à 18 h – confèrence débat : « Journalistes.. des mots et des doutes » .- CCF. Tlemcen- 24 mars à 18 h -conférence-débat : « L’engagement et l’histoire ».
- Tlemcen..Maison de la culture- 27 avril 2008 à 20 h – concert : Mehdi Haddad et Speed Caravan.- Mazouna ( wilaya de Relizane) .. Le Festival du melhoun.. poésie populaire dans le kounech.. a été organisé récemment dans la daira de Mazouna, avec la participation d’un grand nombre de bardes de la poésie populaire et d’hommes de culture.. près de 50 poètes du melhoun, invités de 16 wilayas du pays, se sont mesurés dans ce genre culturel.
- Le virtuose algérien, Mehdi Bilal, inscrit au conservatoire de musique de Montréal, dirigera le trio quator, lors de deux concerts programmés les 8 et 9 mars 2008, à Montréal.
- Alger..Complexe olympique du 5 juillet.. coupole Mohamed Boudiaf.. jeudi 6 mars à 15 h – (pour femme uniquement) .. concert du chanteur libanais Assi Hilani.
- Des oeuvres de près de 40 peintres orientalistes sont proposées au public, au Musée national des Beaux-arts à El Hamma (Alger).. et cela depuis le 27 février dernier jusqu’au 28 mai prochain-2008- Cette exposition comprend plus de 100 oeuvres (dessins, lithographies, aquarelles, études, toiles)..des créations d’artistes-peintres occidentaux, ayant consacré nombreuses de leurs oeuvres à l’Orient.. des oeuvres qui datent du 18ème, 19éme et 20éme siècles.. reflétant des sujets sur l’Algérie notamment et réalisées par des orientalistes tels que Théodore Chasserian, Adrien Dauzats, Ferdinant Delacroix, Eugène Fromentin, Auguste Renoir, l’Anglais William wyld, Joseph Sintes (Espagne) et Millan Thomas Addison(Etats-Unis).- L’Orchestre Symphonique National, sous la direction du maestro Rachid Saouli, éminent musicoloque et compositeur, a donné un concert le 27 février 2008 à la salle de cinéma Mzab de Ghardaia, en présence d’un public assez nombreux et enchanté, qui a pu apprécier différents morceaux de la musiqu universelle.
** UNESCO… du 21 au 27 avril 2008.. « Semaine mondiale de l’Education ».. organisée par l’UNESCO, sur le thème.. » une éducation de qualité pour en finir avec l’exclusion ».* Selon les responsables de la Poste et des Technologies de la communications, le nombre des internautes en Algérie est passé de 10.000 en l’an 2.000, à 4 millions à la fin de septembre 2.007, soit près de 12 pour cent de la population.* Le théàtre de verdure à Alger, abrite depuis le 16 avril 2008 jusqu’au 15 mai, une exposition de sculture, à l’initiative de l’Union artisanale des arts culturels (UNAC) avec la participation de 45 sculteurs qui proposent au public plus de 200 oeuvres.* Alger.. Riadh El Feth.. Salle Ibn Zeydoun- le 1 er mai 2008 à 19 H.. » concert de musique andalouse » donné par Lamia Madini.
** 3 ème édition du festival National du théàtre professionnel.. du 24 mai au 6 juin 2008 – au Théàtre national Mahieddine-Bastarzi- Alger.
– L’avenir de l’Internet appartient à des gens ordinaires.. L’explosion de l’utilisation d’internet au Moyen-Orient par des gens » ordinaires » montrera que la région n’est pas différente des autres endroits du monde, a estimé récemment le co-fondateur de l’encyclopédie en ligne Wikipedia, Jimmy Wales. Trop souvent, lorsque les gens regardent la situation au Moyen-Orient, ils se concentrent sur les extrémismes et les autres problèmes, a déclaré M.Wales.. Mais le nombre actuel d’un milliard d’internautes qui devrait doubler dans les cinq à dix ans. nous allons commencer à entendre les gens ordinaires.. et je pense que ces gens-là sont bien plus modérés que les opinions extrèmes, malheureusement polarisées, que l’on voit aujourd’hui. Selon M.Wales, les nouveaux utilisateurs d’Internet viendront des pays en voie de développement, et pas des Etats-Unis, d’Europe ou du Japon. Les gens verront alors le Moyen-Orient sous une toute autre lumière,et pas comme un panier de problèmes.. ils le verront comme un endroit comme les autres, avec ses forces et ses faiblesses, aves des centaines de milliers de gens qui tentent juste d’avoir une vie meilleure.. ».. et aussi avec plus de justice..
- Alger.. L’Association des Amis de l’Ahaggar organise du 31 mai au 2 juin 2008, à l’université Dély Ibrahim des sciences économiques, le Festival de la culture des Touareg dans le milieu universitaire.. Au programme : des journées d’étude sur la langue et la culture targuies, « les Touareg entre l’histoire et la modernité », ainsi que des expositions vidéo retraçant les festivals culturels sur les Touareg, notamment le Festival de Tin Hinan…
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