Bac.2019

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Bac 2016

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**Bac 2019 - Un examen dans une conjoncture particulière

Dans un contexte politique mouvementé, 674 831 candidats sont appelés, dès aujourd’hui, à passer les épreuves du baccalauréat sur le territoire national. Un examen crucial qui se déroule sous haute surveillance.

En effet, le baccalauréat, c’est aujourd’hui. Un examen que bon nombre d’observateurs considèrent comme une carte politique par excellence. C’est du moins ce que pense Boualem Amoura, secrétaire général du Syndicat autonome des travailleurs de l’éducation et de la formation (Satef), qui considère que l’Etat utilisera probablement ces épreuves comme carte d’apaisement du mouvement populaire. «Comme cela a été fait pour le BEM, les sujets d’aujourd’hui risquent fort d’être très abordables. Le but est d’avoir un taux de réussite très élevé au vu d’acheter la paix sociale. Vu le contexte actuel, il s’agit d’un examen politique», déclare notre interlocuteur.

Malgré cela, les problèmes restent les mêmes. Il cite la durée de 5 jours, considérée très longue pour les élèves, et aussi l’absence de climatiseurs dans bon nombre de centres d’examen dans les wilayas du Sud. En plus de ces deux points, il y a le risque omniprésent de fuite des sujets.

Sur ce volet, le ministre de l’Education nationale, Abdelhakim Belabed, avait annoncé dernièrement, lors d’une conférence de presse, la dotation des annexes de l’Office national des examens et concours (ONEC) d’appareils de brouillage. Cette contribution du ministère de la Défense nationale vise, selon lui, à sécuriser les sujets et garantir la crédibilité de cet examen

. Contrairement aux années précédentes, il ne devrait pas y avoir de coupure d’internet. Les plus grands efforts sont concentrés sur les sujets à l’intérieur comme à l’extérieur des annexes de l’ONEC. La Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN) a mobilisé 18 000 policiers à travers le territoire national pour assurer cette tâche.

Ils seront déployés au niveau des périmètres extérieurs des centres d’examen, assureront l’acheminement et la distribution des sujets à travers tous les centres (2339 au total) et le transport des copies vers les centres de correction. Pour lutter contre la triche et la fraude électronique, M. Belabed avait évoqué le projet de reformulation des questions de manière à ne pas trouver de réponse sur le Net. Pour les autres mesures relatives au baccalauréat, aucune modification n’a été apportée.

La demi-heure pour les retardataires est toujours de mise. Il en est de même pour les deux sujets au choix. Il est également prévu la mobilisation de bus pour les élèves qui résident dans des zones enclavées. Cette année également, le personnel ayant travaillé dans la réalisation et l’impression des sujets sera rémunéré dès la fin des examens. Il n’aura plus à attendre la rentrée sociale pour recevoir cette prime. Pour rappel, sur le nombre total des candidats, il y a 411 431 scolarisés et 263 400 libres.

Selon les chiffres du ministère de l’Education nationale, plus de la moitié des candidats serait des filles. Pour la capitale, ils sont 58 000 inscrits, dont quelque 20 000 candidats libres, à être concernés par cette nouvelle session du bac. Les résultats devraient être connus vers le 20 juillet prochain.* ISMA BERSALI elwatan – dimanche 16 juin 2019

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*Bac 2018 sans internet

Algérie : le pays privé d’internet pour cause de… baccalauréat

Pour éviter la fraude aux épreuves, les candidats ont aussi été soumis à des détecteurs de métaux pour vérifier qu’ils n’avaient ni smartphone ni tablette.

Des mesures radicales ont été prises contre la triche au baccalauréat en Algérie. Internet a été coupé mercredi sur l’ensemble du territoire algérien durant la première heure de chacune des deux premières épreuves du baccalauréat. Il en sera ainsi tout au long de l’examen, jusqu’au 25 juin, afin d’éviter les fraudes.

Entre 8h30, lancement de la première épreuve du baccalauréat 2018, et 9h30, puis au début de la 2e épreuve, entre 12h30 et 13h30, tous les accès à internet – fixe ou mobile – ont été coupés. Une troisième coupure d’une heure est prévue mercredi après-midi, selon un programme communiqué par l’opérateur public Algérie Télécom.

Des fuites mais au bout de plus d’une heure. Si l’heure a été respectée, le site Observ’Algérie a réussi à se procurer via Facebook les sujets de la première épreuve pour la filière « sciences appliquées » ainsi que « philosophie et littérature arabe », publiés sur la page du groupe « BAC 2018 Yes WE Can », à 9h38. Mais une heure et 8 minutes s’étaient déjà écoulée depuis le début de l’épreuve…

Les opérateurs contraints. Les autorités ont demandé cette année aux opérateurs publics et privés de couper totalement internet au début des épreuves, a expliqué à Kahlane, président de l’Association des opérateurs de télécoms alternatifs (privés). Le cahier des charges des opérateurs les contraint à se conformer à toute demande en ce sens.

Fraude massive l’an dernier. La dernière session du bac algérien avait été entachée par une fraude massive, les sujets ayant fuité sur les réseaux sociaux, avant ou au début des épreuves, permettant aux retardataires d’en profiter. L’an dernier, les autorités avaient fait couper par les opérateurs l’accès aux réseaux sociaux, mais cela n’avait pas empêché certains d’y accéder.

Une session spéciale pour les retardataires. Aucun retard aux épreuves n’avait en outre été toléré afin d’éviter que certains ne profitent d’éventuelles fuites. Mais une session spéciale avait finalement due être organisée pour les nombreux retardataires refoulés des centres d’examen.

Objets connectés interdits. Téléphones, tablettes ou autres objets connectés sont cette année interdits dans les 2 108 centres d’examen, une interdiction valable pour les quelque 709 000 candidats, mais aussi pour les professeurs, surveillants ou membres du personnel administratif. Les candidats sont soumis aux détecteurs de métaux à l’entrée des centres, a fait savoir la ministre de l’Éducation, Nouria Benghabrit

Vidéosurveillance dans les imprimeries. La ministre a précisé que des brouilleurs de télécommunications et des équipements de vidéosurveillance avaient également été installés dans les centres d’impression des sujets.*leparisien.fr/ mercredi 20 juin 2018

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Les épreuves se dérouleront du 20 au 25 juin 2018

Les résultats de la consultation menée en ligne révèlent que 7  1,3% des votants se sont prononcés en faveur du changement des dates des épreuves.

La date de l’examen du baccalauréat est reportée. Les épreuves de cet examen décisif se dérouleront du 19 au 24 juin 2018. C’est le résultat de la consultation lancée la semaine dernière par le département de l’Education nationale autour du maintien de la date du baccalauréat ou son report.

Les résultats de la consultation menée en ligne révèlent, selon le ministère de l’Education, que 71,3% des votants se sont prononcés en faveur du changement des dates des épreuves. Selon le ministère de l’Education, la consultation, lancée lundi dernier et qui s’est achevée jeudi à minuit, a suscité «une forte adhésion au changement des dates (du 20 au 25 juin) avec 71,3% des votants, contre 28,7% pour le maintien des dates (entre le 3 et le 7 juin)», selon le site web du ministère.

Cette consultation relative au report ou non des dates des épreuves du baccalauréat a concerné les candidats scolarisés et libres, les enseignants et les inspecteurs, rappelle-t-on. Les personnes sollicitées avaient à choisir entre deux propositions, soit le maintien de la date fixée précédemment du 3 au 7 juin 2018 ou le changement de celle-ci, du 19 au 24 juin 2018.

Les résultats diffusés par le ministère indiquent que «67,75% des professeurs de l’enseignement secondaire ont voté pour le changement contre 38,25% pour le maintien, 67,20% des directeurs des lycées ont voté pour le changement contre 32,80% pour le maintien, de même que 69,09% des inspecteurs ont voté pour et 30,91% contre». Concernant les élèves qui ont pris part à cette consultation, leur nombre, selon le ministère, a dépassé les 50 000 votants jusqu’à jeudi 16h.

Cette consultation a été décidée suite aux préoccupations exprimées par des associations de parents d’élèves, concernant le rattrapage des cours après le retard dû à la grève du Cnapeste. Les parents d’élèves ont exprimé le souhait du report du bac pour permettre l’application optimale du plan de rattrapage des cours, notamment à Blida et Béjaïa où le retard dépasse un mois de cours.

Des syndicats d’enseignants se disent «peu convaincus» par cette mesure, «estimant que la consultation des élèves ouvrirait le champ à d’autres revendications, comme le raccourcissement du programme (ataba), auxquelles le ministère ne pourra pas faire face à l’avenir. Il aurait été donc plus pertinent de demander uniquement l’avis des parents et des enseignants», selon des représentants syndicaux qui se sont exprimés.

Il est également reproché au département de Nouria Benghabrit de ne pas avoir pris en compte le rapport de la commission de suivi des programmes. Des enseignants craignent aussi les retombées de ce report sur la gestion de l’après-examen. «Le calendrier des corrections, délibérations et pré-inscriptions universitaires sera serré et se fera au détriment des vacances du personnel du secteur de l’éducation.»
 *Fatima Arab / el watan / samedi 17 mars 2018

Bac.2019

** Il n’y aura plus d’examens durant Ramadhan

Il n’y aura plus d’examens de fins de cycle primaire (cinquième, BEM et bac) durant le mois de Ramadhan. C’est la ministre de l’Education Nationale, Nouria Benghebrit, qui l’a affirmé, aujourd’hui, depuis Laghouat, à l’occasion d’une cérémonie d’ouverture des plis d’un sujet d’examen du BEM.

Quelques syndicats et associations de parents d’élèves avaient réclamés, en début de l’année scolaire, le changement de la date de ces examens pour qu’ils n’interviennent pas en plein mois de carême. La tutelle avait fini par céder au sujet du baccalauréat fixé initialement du 3 au 7 juin prochain.

Ainsi, au mois de mars dernier, le ministère de l’Education avait procédé à une «consultation» des candidats et enseignants. La majorité d’entre eux (71.3 %) ont opté pour un bac après Ramadhan. L’examen aura lieu finalement du 19 au 24 juin.

Si dans le passé, les algériens passaient le plus normalement du monde leurs examens durant Ramadhan, aujourd’hui il est de plus en plus difficile de maintenir une date ou période précise. Ramadhan avance chaque année d’une dizaine de jours. Le ministère devra donc établir son calendrier en prenant en considération cet aléa. En tous cas, Benghebrit a été claire aujourd’hui : Il n’y aura plus d’examens durant Ramadhan.

Elyas Nour / algerie-focus/ lundi 28 mai 2018

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*Résultats- BAC- Algérie- 2017  **le 15 juillet 2017 

La date des résultats des épreuves du baccalauréat en Algérie est le 15 juillet 2017 (inchallah). Le candidat pourra consulter s’il a réussit l’examen du BAC au moment où les résultats seront affichés dans les lycées et sur internet pour voir la moyenne, la mention et les notes des matières. Les résultats du Bac seront mis en ligne le 15 juillet 2017 à partir de 20 heures sur le site de l’Office national des examens et concours (ONEC) et seront affichés respectivement dans les lycée sur le territoire national.**le site de l’Onec :  http://bac.onec.dz 

*consulter le site du baccalauréat en Algérie: onec.dz.com

L’Algérie compte 39,5 millions d’habitants dans actualité

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Date des préinscriptions pour les nouveaux bacheliers

* au titre de l’année universitaire 2016-2017,

*** du mardi 19 au jeudi  21 juillet 2016

La date des préinscriptions pour les nouveaux bacheliers,  au titre de l’année universitaire 2016-2017, a été arrêtée du mardi 19 au jeudi  21 juillet, a annoncé jeudi, le ministère de l’Enseignement supérieur et de  la Recherche scientifique dans un communiqué. 

Les nouveaux bacheliers pourront par la suite, confirmé cette préinscription  durant la période allant du vendredi 22 au dimanche 24 juillet, laquelle sera  suivie par la phase des affectations et des recours en ligne dont la date a  été arrêtée par le ministère du dimanche au 31 juillet au mardi 2 août.        
  La période de déroulement des concours, entretiens avec un jury pour  les filières concernées est prévue également, du dimanche 31 juillet au 2 août,  suivie de la période des inscriptions définitives du jeudi 4 aoùt au mardi 9 août,  a ajouté la même source.         
A noter que le calendrier des préinscriptions, des recours et des inscriptions  définitives des nouveaux bacheliers intervient en application des dispositions  de la circulaire n° 1 du 2 juin 2016, relative à la préinscription et à l’orientation  des titulaires du diplôme de baccalauréat au titre de l’année universitaire  2016-2017. *APS/ jeudi 30 juin 2016

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*Algérie: Résultats du Bac en ligne mardi 12 juillet 2016

**267.014 candidats scolarisés soit un taux de 49,79%  ainsi que 61.511 candidats libres soit 33,07% ont réussi à l’examen du baccalauréat  session 2016, a affirmé mercredi le ministère de l’Education nationale.  

Les résultats du Bac seront mis en ligne mardi 12 juillet 2016 à partir de 20 heures sur le site de l’Office national des examens et concours (ONEC) et seront affichés respectivement dans les lycée sur le territoire national.**le site de l’Onec : http://bac.onec.dz

* plus de 72  millions de consultations ont été enregistrées ». 

Plus de 72 millions de consultations ont été enregistrées sur le site de l’office national des examens et concours (ONEC) après 13 heures de fonctionnement

**La moyenne la plus élevée lors de cette session s’élève à 19,14 enregistrée  à Oran, tandis que 237 candidats ont obtenu la mention « excellent » (18 et plus),  a indiqué l’inspecteur général du ministère de l’Education nationale, M. Nedjadi  Meseguem, lors d’une conférence de presse, animée au lendemain de l’annonce  des résultats officiels du baccalauréat.          A une question sur les raisons de la non intégration du taux des candidats  libres lauréats du baccalauréat dans le taux global, le responsable a expliqué  que « le ministère s’intéresse plus aux lauréats scolarisés qu’aux candidats  libres, qui sont en majorité des universitaires qui cherchent à améliorer leurs  moyennes de réussite au baccalauréat ».          Concernant le classement par wilaya, M. Messeguem a précisé que cette  question « ne figurait pas parmi les priorités du ministère ».          Au sujet des cas de fraude enregistrés lors de cette session, M. Messeguem  a dit qu’il s’agit de 1.006 cas qui seront examinés par la commission, installée  à cet effet et qui décidera du type de sanctions à prendre, pouvant aller jusqu’à  cinq ans d’exclusion pour les candidats scolarisés et 10 ans pour les candidats  libres.          Quant aux individus impliqués dans la fuite des sujets du baccalauréat,  il a affirmé qu’ils ont été arrêtés à titre conservatoire, en attendant la décision  de justice.*APS/ mercredi 13 juillet 2016

***Le site web de l’Office nationale des examens et concours  « bac.onec.dz » dédié à la publication des résultats du baccalauréat 2016, et  qui était inaccessible mardi 12 juillet de 20h00 à 21h54, n’a fait l’objet d’aucune  attaque ou acte de piratage », affirme mercredi Algérie Télécom dans un communiqué.Algérie Télécom, responsable de l’hébergement du site web, rappelle  que « toutes les opérations liées aux examens organisés par l’ONEC sont supportées  par des applications hébergées sur ses plateformes, et ce depuis plusieurs années »,  citant, à titre d’exemple, « la publication récente des résultats de l’examen  du BEM 2016 et qui avait permis d’enregistrer 50,2 millions de consultations,  tout en assurant un fonctionnement normal du site web dédié à l’opération ».Algérie Télécom précise, en outre, que « la consultation du site (bac.onec.dz),  rendue possible dès 21h54, a permis d’enregistrer plus de 9,2 millions de consultations  après seulement 45 minutes de fonctionnement, avec un pic de 16.000 connections  simultanées ». Selon la même source, « après 13 heures de fonctionnement, plus de 72  millions de consultations ont été enregistrées ».    

        *Algérie Télécom assure avoir pris « toutes les dispositions techniques  nécessaires en mettant à la disposition de l’ONEC une plateforme d’hébergement  performante qui répond aux meilleurs standards internationaux en matière de  sécurité et d’accessibilité ». Cette plateforme « a été dimensionnée selon les besoins qui ont été exprimés  par le client, et même renforcée par des moyens internes à Algérie Telecom à  cette occasion. Cependant, les aspects liés au développement du site web relèvent  de l’unique responsabilité des propriétaires du site », note la même source.          « En particulier, l’accès au résultat se fait de façon simple sur la  base du numéro d’inscription uniquement, ce qui augmente les sollicitations  et multiplie les accès au site, alors qu’un accès personnalisé via un nom d’utilisateur  et un mot de passe combiné avec des systèmes de protection de type +captcha+  auraient permis de réduire significativement les sollicitations du site web  et de s’assurer de sa bonne utilisation », explique la même source.          Algérie Télécom rappelle, à cette occasion, qu’elle « a consenti, ces  dernières années, d’importants investissements pour la mise en place d’une puissante  plateforme d’hébergement afin de permettre aux institutions, ainsi qu’aux entreprises  algériennes, d’héberger leurs contenus en Algérie ».  « Il s’agit d’un enjeu stratégique majeur pour la souveraineté de la  nation et d’un enjeu économique important pour le pays », conclut la même source.*APS/ mercredi 13 juillet 2016

**Plus de 1000 fraudeurs éliminés aux épreuves de la session de mai du baccalauréat 2016

Plus de  de 1000 cas de fraude aux épreuves de la session de mai du baccalauréat 2016 ont été recensés et tous les tricheurs ont été éliminés, a indiqué, mercredi, l’inspecteur général au ministère de l’éducation nationale Nadjadi Msseguem. S’exprimant au cours d’un point de presse consacré aux résultats du baccalauréat, Nadjadi Msseguem a précisé que le taux de réussite dans les  filières lettres et philosophie est 43.53 %, lettres et langues 56.09 %, gestion et économie 46.12 %, sciences expérimentales 52.39 % et en mathématiques  63.84 %. L’inspecteur général au ministère de l’éducation nationale a également fait savoir que 273  élèves ont obtenu leur Bac avec une moyenne de 18/20 et que la moyenne la plus élevée à l’échelle nationale est revenue à un bachelier de la wilaya d’Oran avec 19.14. *Par Lila Ghali | 13/07/2016 | .algerie1.com

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*Quelles sont les disciplines concernées par la session de rattrapage partiel ? *38% de l’ensemble des candidats au Bac 2016 sont concernés

La session de rattrapage partiel du Bac est fixée du 19 au 23 juin 2016, selon Mme Nouria Benghabrit qui a expliqué que cette date est l’objet d’un consensus avec les partenaires syndicaux. Les disciplines dont la fuite est  confirmée par les services habilités concernés sont sept disciplines de la filière dite « sciences expérimentales », à savoir les épreuves de mathématique, de sciences de la nature et de la vie,  de physique, d’anglais, de français, d’histoire-géographie et de philosophie.
 
Ces quatre dernières disciplines sont  partagées totalement  ou partiellement avec d’autres  filières, mathématiques, techniques mathématiques et gestion économie. Question d’effectif, un taux global de 38% de l’ensemble des candidats au Bac 2016 est concerné. Du fait que cette session intervient en plein mois de Ramadhan, il a été décidé d’aérer le déroulement des épreuves qui auront lieu uniquement les matinées à partir de 9h30 à 13h30.
 
Les élèves exclus pour retard lors de la précédente session sont  autorisés à se présenter, en revanche les candidats surpris en flagrant délit de fraude  ne sont pas autorisés à repasser les épreuves, en application de la réglementation en vigueur.
En outre, Mme Benghabrit a expliqué que « le dispositif de correction des examens des résultats de tous les examens est maintenu, de même que la date de proclamation des résultats du Bac à la première quinzaine de juillet. Enfin, la ministre de l’éducation a décidé de maintenir ouverts les lycées pour permettre aux candidats  concernés par les épreuves de rattrapage de pouvoir faire leur révision pendant la journée et en soirée, après El Adhan.*Par Djamil Mesrer | lundi 06/06/2016 | algerie1.com/

***Devant les micros, une ministre de l’Education calme et sereine, mais qui semble très affectée par la campagne haineuse et l’offensive des islamistes dont elle a été l’objet.

Après une heure de retard, la conférence de presse que devait animer la ministre de l’Education, n’a pas finalement eu lieu, Mme Nouria Benghebrit s’est seulement contentée de lire, devant les présents, un communiqué, qui résume les résultats de ses rencontres avec le gouvernement et ses partenaires sociaux au sujet du baccalauréat. La ministre de l’Education a évité les questions des journalistes qui attendaient depuis la matinée cette occasion pour avoir des réponses avec des précisions relatives à l’organisation des épreuves partielles du baccalauréat et ce du 19 au 23 juin prochain. Selon la ministre de l’Education, le nombre de candidats concernés par cette opération ne dépasse pas les 38% du nombre global des candidats au baccalauréat cette année, estimé à 818.000 candidats. Les candidats seront, donc, examinés dans sept matières pour la filière Sciences de la nature et de la vie dont les sujets ont fait l’objet de fuites et qui sont les mathématiques, sciences de la nature, physique, français, anglais, histoire-géographie et philosophie. Les candidats des filières mathématiques, maths-techniques et gestion-économie vont refaire les épreuves des langues française et anglaise, l’histoire-géographie et la philosophie. Pour ce qui est des modalités de l’organisation de ces épreuves, la ministre de l’Education affirme avoir maintenu les mêmes conditions de l’organisation des précédentes épreuves, les candidats sont donc appelés, selon Mme Benghebrit, à se connecter à la plate-forme numérique de l’Office national des examens et concours (Onec) pour le retrait de leurs convocations, et ce, à partir du 13 juin prochain. Pour ce qui est des conditions et mesures prises par le gouvernement pour la réussite de ce rendez-vous, la ministre de l’Education affirme que son département a tiré l’enseignement de ce qui s’est passé, elle affirme que le gouvernement fera face à ces forces occultes qui visent la déstabilisation du pays, après une année scolaire pour le moins qu’on puisse dire stable. Pour la ministre de l’Education la situation qui a marqué les examens du baccalauréat pour cette année a servi d’enseignement pour son département. «Nous avons tiré enseignement de cette expérience et nous allons prendre les mesures nécessaires pour que les fuites ne se reproduisent jamais. L’heure est à l’urgence de l’adaptation de l’Ecole algérienne aux nouvelles mutations dans le monde», a-t-elle souligné. Pour ce qui est des candidats qui sont arrivés en retard, la ministre de l’Education nationale s’est contenté de dire que ces deniers pourront repasser seulement les épreuves concernées. Les «candidats arrivés en retard aux épreuves initiales sont autorisés à refaire l’examen contrairement à ceux qui sont coupables de fraude», a-t-elle déclaré. Pour la ministre de l’Education, la décision du gouvernement, relative à l’organisation des épreuves partielles du baccalauréat, vise, à garantir la crédibilité de cet examen, mais aussi à préserver l’égalité des chances entre tous les candidats. «Après la fraude, sur intervention externe aux classes d’examen, par diffusion des sujets de la filière Sciences expérimentales, au nombre de sept, cela appelle des décisions fermes à l’égard des auteurs de cette démarche, dans le sens largement partagé par la communauté éducative, en matière de préservation de la crédibilité du bac et des principes de mérite, d’équité, et d’égalité des chances entre tous les candidats», a-t-elle souligné avant de quitter les lieux sans répondre aux questions des journalistes qui attendaient depuis jeudi dernier cette occasion pour avoir plus de détails sur le déroulement de ces épreuves. *Par Abdellah BOURIM - Mardi 07 Juin 2016 / L’Expression

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*fuites des sujets du Bac *

Le directeur de l’Office national des examens et concours (ONEC), Mohamed Amine Mebrek, a été démis de ses fonctions par décret présidentiel du 17 octobre, publié dans le dernier Journal officiel.

Ce responsable était cité parmi les quatre cadres et employés de l’Office poursuivis dans l’affaire des fuites des sujets de plusieurs matières lors de la dernière session du baccalauréat, ayant nécessité l’organisation d’une session partielle. Les quatre mis en cause ont été accusés par le procureur près le tribunal de Sidi M’hamed de «mauvaise utilisation de la fonction», «violation de secrets» et «implication des fonctionnaires».  Ils risquaient jusqu’à deux ans de prison pour des fait établis par la section de recherches de la Gendarmerie nationale, en coordination avec le Centre de prévention et de lutte contre la criminalité informatique. Le directeur de l’ONEC ainsi que deux autres accusés ont été relaxés le 28 novembre dernier. Plusieurs autres cadres du secteur ont été démis de leurs fonctions. Cette décision, notifiée dans le même Journal officiel, concerne les directeurs de l’éducation des wilayas de Batna, Béjaïa, Guelma, Mostaganem et Ghardaïa, appelés à d’autres fonctions, selon le même document. Il a également été mis fin aux fonctions de la sous-directrice de l’évaluation des systèmes au ministère de l’Education nationale, appelée à exercer une autre fonction.*F. Aït Khaldoun-Arab / el watan / dimanche 11 décembre 2016

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*BAC- Algérie- 2016  **du 29 mai au 2 juin 2016  

début du retrait des convocations à partir du 03 mai 2016

*Plus de 818.000 candidats au baccalauréat *Le début du retrait des convocations pour les candidats de l’examen du baccalauréat est fixé pour le 3 mai 2016, a annoncé, mercredi, la ministre de l’éducation nationale, Nouria Benghebrit. En effet dans un message posté sur sa page officielle sur le réseau social Facebook, la ministre a indiqué que les candidats aux épreuves du baccalauréat pourront retirer leurs  convocations à partir du site de l’office national des examens et concours (ONEC) en utilisant le code et le numéro d’inscription à compter de la date indiquée.*médias/ mercredi 27 avril 2016

**La ministre de l’Education a annoncé que plus de 818.000 candidats se présenteront à l’examen du baccalauréat prévu du 29 mai au 2 juin 2016

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*BAC- Algérie- 2015 **du 7 au 10 juin 2015    

 Les résultats seront connus début juillet Plus de 800.000 candidats    Fini le baccalauréat au « rabais »

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*BAC- 2015: les résultats sont bons et encourageants

La ministre de l’Education nationale, Nouria Belghebrit  a qualifié les résultats du Baccalauréat, session juin 2015, de « bons et encourageants »  en dépit des « grèves » qui avaient marqué l’année scolaire. Dans une déclaration à l’APS suite à l’annonce officielle du taux de  réussite à l’examen du Baccalauréat 2015 qui a atteint 51,36 %, Mme Benghebrit  a affirmé que les résultats du Baccalauréat 2015 étaient « acceptabless en dépit  des grèves qui ont influé négativement les performances des élèves ».         

363.140 bacheliers ont passé le cap sur les 853.909 candidats. La wilaya  de Tizi Ouzou vient en tête de liste avec 80,67 % de taux de réussite.          Mme Benghebrit a rappelé les efforts consentis par son secteur pour  l’amélioration du rendement pédagogique de l’élève, notamment ceux de Terminale  en proposant une solution pédagogique pour faire face aux répercussions de la  grève sur les candidats et parachever la mise en oeuvre des programmes scolaires  accusant un retard.         Evaluant le taux de réussite, la ministre a estimé que « le taux aurait  pu être meilleur conformément aux objectifs de la loi d’orientation de l’éducation  nationale promulguée en 2008″, ajoutant que son département et les acteurs du  secteur poursuivraient les efforts pour atteindre un taux de réussite de plus  de 70 % durant les prochaines années.          Mme Bebghebrit a souligné que son secteur veillerait a assurer un climat  serein pour la prochaine rentrée scolaire notamment en ce qui concerne « l’amélioration  des conditions d’élaboration des sujets des examens en vue de les adapter au  niveau de l’élève moyen ».           Pour Mme Benghebrit, « l’amélioration du niveau du baccalauréat a été  rendue possible grâce à l’apport des enseignants qui ont grandement contribué  au succès des élèves ». La ministre a, par ailleurs, tenu à préciser que « l’Etat et l’ensemble  de la famille éducative demeurent mobilisés en dépit de toutes les tentatives  visant à dénigrer cet examen ».          Rappelant les rumeurs sur la fuite des sujets du baccalauréat cette  année et les cas de triche à travers l’utilisation des nouvelles technologies  (3G), la ministre a souligné que son secteur « a pris toutes les mesures  pour faire face à ces pratiques à l’avenir ».            Le taux de réussite au baccalauréat-session juin 2014 était de 45,01%.  35 élèves avaient obtenu la mention « Excellent » et 2.829 la mention « Très bien ». *APS-jeudi 09 juillet 2015

*Le site internet de l’Office national des  examens et des concours (ONEC) qui a diffusé jeudi les résultats du baccalauréat  2015, a enregistré un nombre record de 35 millions de connexions en 2 heures,  a-t-on appris auprès d’Algérie Télécom (AT).  

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* Plus de 853 000 candidats subiront cette année 2015 les épreuves baccalauréat qui démarrent le 7 juin et se termineront le 10 du même mois. Les résultats seront connus début juillet

****Plus de 800.000 candidats sont inscrits pour les épreuves du baccalauréat (7 au 10 juin) tandis que plus de 500.000 autres se présenteront aux examens du brevet d’enseignement moyen (BEM) et plus de 600.000 subiront l’examen de fin de cycle primaire, selon les chiffres communiqués lundi par la  ministre de l’Éducation nationale Nouria Benghebrit. Pour les besoins de ces examens de fin d’année, 2.550 centres d’examen abriteront les épreuves du baccalauréat, 2.159 autres celles du BEM et 3.366 l’examen de fin de cycle primaire, a ajouté Mme Benghebrit rappelant que les épreuves auront lieu aux dates arrêtées initialement soit le 2 juin pour l’examen de fin de cycle primaire, du 7 au 11 juin pour le baccalauréat et du 14 au 16 pour les épreuves du BEM. Le Bac blanc aura lieu le 17 mai prochain tandis que les épreuves du baccalauréat sportif sont programmées entre le 2 et le 20 mai. Et pas moins de 600.000 agents du secteur sont mobilisés à cet effet. La ministre a profité pour demander aux élèves de Terminale de continuer à suivre les cours dans les lycées jusqu’à la fin de l’année scolaire.Tout comme elle a mis en garde une fois encore contre toute tentative de copiage, rappelant les sanctions  sévères contre tout fraudeur. Les candidats tricheurs encourent une interdiction d’examen pendant cinq ans, a averti la ministre soulignant que pour les candidats libres cette mesure disciplinaire est aggravée à 10 ans. Par ailleurs, la ministre a annoncé que la commission mixte chargée du statut des fonctionnaires de l’Éducation nationale a entamé son travail lundi par l’élaboration de son règlement intérieur. Résultat de négociations entre syndicats grévistes et Ministère, cette commission aura à identifier  les dysfonctionnements contenus dans le statut des fonctionnaires de l’Éducation. Parmi les dysfonctionnements contenus dans le statut des fonctionnaires du secteur de l’Éducation, figurent l’application du principe d’égalité en matière de classement des fonctionnaires qui a été, a-t-elle dit, « à l’origine des mouvements de protestation qu’a connus le secteur dernièrement ».*Par Abbès Zineb | 20/04/2015 | algerie1.com

*Une candidate au bac  surprise en flagrant délit de fraude au moyen d’une puce  satellitaire dissimulé dans son oreille

Une candidate au bac a été surprise en flagrant délit de fraude au moyen d’un système de communication satellitaire dissimulé dans son oreille. Selon la chaine de télévision publique Tamazight, qui a révélé ce cas de fraude ce mercredi, la candidate avait dans l’oreille une puce électronique « sophistiquée » lui permettant de se faire dicter les réponses par un correspondant utilisant une communication satellitaire. Ces explications ont été fournies par un surveillant, lors d’un reportage diffusé par la même chaine de télévision, en présence de la ministre de l’Éducation, Nouria Benghebrit. Lorsque la jeune fille a été surprise, son correspondant, qui ne s’en est pas rendu compte, a continué de dicter les réponses, a ajouté le surveillant en soulignant que la candidate a signé un procès verbal de reconnaissance de fraude. La ministre de l’Éducation nationale a, à l’occasion, soutenu sur la même chaine de télévision que « le recours à ces techniques sophistiquées démontre qu’il n’y a pas eu de fuite des sujets ». Depuis le coup d’envoi des épreuves du bac, dimanche dernier, des cas de fraude ont été signalés ici et là à travers le pays en recourant sur les réseaux sociaux amenant le parquet d’Alger à ordonner l’ouverture d’une enquête préliminaire à la suite de cas de fraude via le réseau social Facebook. Un quart d’heure après le début de certaines épreuves, des candidats ayant introduit frauduleusement des smartphones ont mis en ligne les sujets en demandant de l’aide. Alors que les candidats se devaient de déposer leurs téléphones avant d’entrer en salle d’examen, mais « la fouille n’est pas systématique » car « cela prendrait deux ou trois heures pour fouiller les 600 ou 700 candidats affectés à chaque centre » avait indiqué un responsable .*10/06/2015 | algerie1.com/

*456 cas de fraude enregistrés à l’examen du baccalauréat 2015 

Pas moins de 456 cas de fraude à l’examen du baccalauréat 2015 ont été enregistrés sur l’ensemble du territoire national. Selon les indications fournies par la ministre de l’éducation nationale, Nouria Benghebrit « c’est tolérance zéro à l’égard des élèves fraudeurs ». S’exprimant au cours d’une conférence de presse à l’occasion de la Journée de l’enfant africain, Mme Benghebrit a assuré que son département prendra des mesures draconiennes en prévision du baccalauréat 2016 pour faire face à la fraude via les nouvelles technologies de l’information et de la communication. Dans le même sillage, elle a annoncé qu’un débat, autour de l’organisation des épreuves et de la méthode d’élaboration des sujets dans le cadre de l’évaluation d’étape, sera ouvert dès juillet prochain. La ministre de l’Education nationale n’a pas manqué l’occasion de souligner que « bien que l’école soit l’affaire de tous, le ministère assume pleinement sa responsabilité et rejette les positions populistes et tout comportement négatif, fraudatoire notamment ». Benghebrit a pris l’engagement d’opérer un « véritable changement » dans certains procédés pédagogiques afin de favoriser le développement des facultés intellectuelles de l’élève.*Par Mourad Arbani | 13/06/2015 | .algerie1.com

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*Nouria Benghebrit: Fini le baccalauréat au « rabais »

La ministre de l’éducation nationale, Nouria Benghebrit, a déclaré, dimanche, que le baccalauréat de cette année, dont les épreuves débuteront le 7 juin prochain, ne sera  au « rabais ». Benghebrit, qui s’exprimait sur les ondes de la radio nationale, a, de nouveau, assuré que les sujets proposés aux élèves ne porteront que sur les matières qui auront été « réellement » enseignées. Dans le même sillage, la ministre a annoncé l’organisation d’une conférence nationale, en juillet prochain, qui sera spécialement consacrée au Bac et lors de laquelle seront traitées, proposées et discutées différentes questions relatives à cet examen de passage à l’université. Toujours au sujet de l’examen du bac, Mme Benghebrit a fait part de la volonté de son département ministériel d’y introduire des « changements de fond ».
Revenant aux épreuves des examens du baccalauréat, la ministre a indiqué que toutes les dispositions ont été prises pour que celles-ci se déroulent dans les meilleures conditions possibles. Comme elle a averti les candidats qui seront tentés de frauder, d’avoir à payer un prix « extrêmement cher » et qu’ils sont passibles d’une suspension de trois année, avant de pouvoir se représenter àun  nouvel examen, une période portée à 10 années pour les candidats libres.*Par Lila Ghali | 31/05/2015 |  algerie1.com

        **Le Bac, et après?

Il aura suffi d’une confusion dans un sujet de littérature au baccalauréat pour lancer une polémique qui a fait le buzz sur les réseaux sociaux et dans la majorité de la presse. Confondre Nizar Kabbani et Mahmoud Darwich n’est pas en soi un acte manqué que l’on peut attribuer à la ministre de l’Enseignement nationale, n’en déplaise à tous ceux qui «l’attendaient au tournant» depuis sa nomination, mais plutôt bien au-delà de l’auteur du lapsus lui-même. Un lapsus dans un sujet d’examen national aussi important que le bac, qui concerne plus de 850 000 candidats cette année, est peut-être quelque chose de grave, surtout s’il est commis à dessein, comme tendent de le soutenir certains en vue de nuire à la ministre, surtout après les propos qu’elle a tenus jusqu’à présent et nullement appréciés par les courants islamo-conservateurs représentés tant à l’intérieur du secteur de l’éducation qu’en dehors. Et à travers lesquels elle a exprimé sa volonté de revoir la formation des formateurs, le contenu des programmes, les méthodes pédagogiques mêmes qui font qu’à l’issue du cycle secondaire, on se retrouve avec des bacheliers que l’on a habitués à restituer de manière mécanique les connaissances, y compris avec les lapsus, plutôt qu’à développer les capacités d’analyse, de réflexion et de synthèse… Tout ceci n’aura sans doute pas été du goût des nostalgiques du passé. Et surtout son désir d’en finir avec une réalité qui fait que jusqu’à présent, les épreuves du bac sont appréhendées plusieurs mois avant avec angoisse aussi bien par les lycéens que par leurs parents. On en veut pour preuve l’existence de la fameuse «aâtaba» – seuil au-delà duquel le contrôle de connaissances ne peut porter – qui revenait comme un leitmotiv chaque année dans la bouche des uns et des autres, aujourd’hui supprimée, a arrangé bien des intérêts et des positions confortables au sein des institutions de l’éducation nationale. Mais il faudra sans doute aller plus loin encore, aller jusqu’à se remettre en cause et reconnaître que la formation des élites scientifiques et technologiques est assurée en langue française. Une dichotomie mal assumée et qui fait que la plupart des bacheliers scientifiques se retrouvent complètement désorientés et insuffisamment préparés aux études supérieures, d’où les taux importants de déperdition dans les universités et grandes écoles et le peu de réussites dans les cursus des étudiants algériens à l’étranger, comparativement aux Marocains ou aux Tunisiens. Mais ce retour sur soi et sur qui a été fait jusqu’à présent nécessite le courage d’aller au devant des nostalgiques du passé, des courants conservateurs qui ont leur part de responsabilité dans la faillite du système scolaire. C’est de courage politique dont il est question pour mener à terme les réformes nécessaires. **Reda Bekkat/ El Watan-mercredi 10 juin 2015

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*BAC- Algérie- 2014 Le taux de réussite au bac cette année est de 45,01% *Aller sur le site de l’Onec : http://bac.onec.dz  

Résultats du baccalauréat 2014 disponibles sur le site Internet de l’Office national des examens et concours (ONEC).

Annoncés officiellement pour le 06 juillet prochain, les résultats du baccalauréat 2014 sont disponibles sur le site Internet de l’Office national des examens et concours (ONEC). Ainsi, les quelques 650 000 candidats qui ont passé les épreuves de cette session pourraient savoir s’ils sont admis en consultant gratuitement ce site, et ce, en introduisant seulement leur numéro d’inscription. A noter que l’Onec via un communiqué a annoncé jeudi dernier que la proclamation de ces résultats se fera à la date annoncée à savoir le pour le 06 juillet 2014. Les résultats seront affichés dans les lycées pour les scolarisés et aux Directions de l’éducation pour les candidats libres.*El Watan- 02.07.2014 

*Aller sur le site de l’Onec : http://bac.onec.dz

* Les filles admises plus nombreuses que les garçons Depuis quelques années, le nombre de filles admises à l’examen du baccalauréat est supérieur à celui des garçons. À l’université, les filles sont majoritaires.« le taux de réussite chez les filles était plus élevé que chez les garçons, avec 67,61 % ». « Un chiffre record qui nécessite la prise de mesures pour opérer un équilibre entre les deux sexes, car l’Algérie a besoin des compétences de tous ses enfants », a dit le Premier ministre Abdelmalek Sellal au cours d’une conférence de presse à Batna. Le taux de réussite aux épreuves du Baccalauréat, session juin 2014, est de 45,01%, contre 44,72% l’année passée. Le taux de réussite le plus élevé pour cette année a été enregistré dans la filière mathématiques, selon M. Sellal. « Nous avons également constaté cette année une nette amélioration des résultats dans les filières scientifiques et technologiques »*médias-03 juillet 2014

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*Les épreuves s’étaleront du 01 au 05 juin 2014  647.026 candidats passent le Bac en 2014

*170.000 enseignants mobilisés *2.181centres d’examen *57 centres de correction

Au total, 657 026 candidats, dont 450 374 scolarisés et 206 652 libres, sont inscrits à cet examen, selon l’Office national des examens et concours (ONEC). Cette année, le nombre des candidats a augmenté de 87 669 candidats, soit un taux de 15,40% par rapport à l’année dernière (569 257). Le nombre de filles qui est de 369 675 candidates (61,53%) dépasse celui des garçons qui est de 287 351. L’Office a recensé 2551 candidats issus des écoles privées, 280 personnes aux besoins spécifiques, 833 étrangers et 2432 issus des centres de rééducation.*APS-30.05.2014

2%20Nouria%20Benghebrit%20APS_200_150 *la ministre de l’Éducation, Mme Nouria Benghebrit, met en garde contre la fraude

En donnant le coup d’envoi de l’examen de fin de cycle primaire de l’année 2013-2014 hier à Constantine — ville du savoir —, la ministre de l’Éducation, Mme Nouria Benghebrit, a esquissé,  lors d’une conférence de presse, les premiers grands axes de son plan de réformes. Ce plan sera amorcé par la tenue d’une rencontre nationale sur le système éducatif. Mme la ministre a annoncé d’ailleurs, en marge de sa visite de travail dans la ville des Ponts, l’organisation d’un séminaire national qui aura lieu en juillet prochain, pour l’évaluation du système actuel. “C’est la première phase du programme mis en place pour la réforme du secteur”, lancera-t-elle. Voulant se montrer attentive et ouverte à toutes les propositions, Nouria Benghebrit soulignera l’importance de la participation de tous les partenaires sociaux à ce travail. Elle expliquera que “des opérations de suivi et de réajustement des dysfonctionnements seront effectuées selon les résultats de cette évaluation”. Et d’ajouter : “Des dispositions seront prises avec nos partenaires sociaux dans l’intérêt des élèves.”  Sur sa lancée, Mme la ministre  affirmera que “toutes les mesures préventives nécessaires ont été prévues pour éviter les dépassements enregistrés l’année dernière lors de l’examen du baccalauréat”. Et de prévenir encore : “Des conseils et des mises en garde ont été mentionnés sur les convocations pour le baccalauréat afin d’assurer un déroulement serein des épreuves.”  Toujours dans ce cadre, Mme Nouria Benghebrit annoncera, implicitement, l’éventuel recours au rachat pour les élèves qui auront une moyenne en dessous de 10/20, mais ce sera à partir de l’année prochaine, lors du bac 2015. Une commission chargée de réorganiser le système des examens a été mise en place, précisera-t-elle. “La problématique des examens préoccupe l’ensemble de la communauté éducative et elle est considérée comme une priorité”, dira-t-elle. Abordant le rythme scolaire, la ministre estime que la durée du week-end, à savoir deux jours, est trop longue. Ce dernier sera donc revu à la baisse. À une question relative à l’examen de français, Nouria Benghebrit rétorquera que la décision d’annuler l’examen de la langue française pour les élèves inscrits en fin de cycle primaire de l’année scolaire 2013-2014, dans plusieurs wilayas du sud du pays, est une situation “exceptionnelle”. “Il n’est pas question que cela se reproduise puisqu’il n’est pas normal que dans un système éducatif national, on puisse avoir une spécificité régionale qui ne répond pas aux intérêts des élèves”, expliquera Mme la ministre, qui ajoutera : “La question de combler le manque d’effectif par l’enseignement à distance est une solution temporaire pour faire face à cette situation.”  S’agissant des examens de fin de cycle primaire, la ministre a déclaré que “la deuxième session de l’examen de la 5e année primaire sera annulée à partir de 2015”. Cette décision s’inscrit, dit-elle, dans un plan d’action mis en place pour redresser le système éducatif.  Concernant les syndicats autonomes du secteur, Nouria Benghebrit a assuré que “la porte du dialogue restera toujours ouverte”. Pour elle, les syndicats ont leur place, mais “l’intérêt des élèves doit être la priorité”. À propos des attaques acerbes dont elle fait l’objet depuis son arrivée à la tête du ministère de l’Éducation, Nouria Benghebrit les réduira à un “non-événement”.*Liberté-jeudi, 29 Mai 2014

**Un député se fait remplacer par un jeune pour passer le bac

L’information est sur toutes les lèvres à Medéa ces derniers jours. Un député a réussi à se faire remplacer par un jeune pour subir les épreuves du baccalauréat. Le « représentant » du peuple à la chambre basse du parlement est inscrit candidat libre pour le bac de cette années puisqu’il a suivi son cursus scolaire par correspondance. Sauf que pour les journées du bac c’est une autre personne qui se présente au centre d’examen du nouveau lycée du quartier de la nouvelle ville de Medéa. Selon le quotidien Echourouk, qui révèle l’information, le scandale a éclaté à la suite de la présence dudit candidat en dehors du centre d’examen pendant alors qu’il était porté sur les liste des présents aux épreuves du bac. Il était présent aux cotés de la ministre de l’éducation nationale lors de son déplacement au second jour du bac dans la wilaya de Medéa. Comme il était présent à la séance plénière de l’Assemblée populaire nationale (APN) lors de la présentation du plan du gouvernement par Sellal. Pendant toutes ces apparitions publiques, les copies du député à l’examen du bac sont soigneusement remises  au centre d’examen. La direction de l’éducation de la wilaya de Medéa a ouvert une enquête sur cette affaire et a été instruite par la ministre de lui remettre les conclusions aujourd’hui même. A ce propos, le directeur de l’Office National des Concours et des Examens (ONEC), Brahim Abassi a fait part, mercredi sur les ondes de la radio nationale, d’un cas de fraude au bac en usant du procédé d’usurpation d’identité. Alors s’agit il de cette affaire?*algerie1.com-11/06/2014

*examens scolaires: plus de 1.000 cas de fraude dont 543 au bac

Le directeur de l’Office National des Concours et des Examens (ONEC), Brahim Abassi a révélé, mercredi, que plus de 1.000 cas de fraude ont été enregistrés durant le déroulement des épreuves des examens des trois paliers de l’éducation nationale. Il a précisé que 9 cas ont concerné l’examen de 5e, plus de 500 les épreuves du brevet de l’enseignement moyen (BEM) jusqu’à hier mardi et 543 cas au baccalauréat. Abassi, qui s’exprimait sur les ondes de la radio nationale, a encore relevé que le plus nombre  de cas ont été enregistrés dans un lycée dans la wilaya d’El-Tarf où des candidats ont  même menacé des  enseignants surveillants pour frauder. Néanmoins le nombre de cas de fraude recensés cette année est très loin des 3.180 cas enregistrés durant les épreuves des examens de fin d’année scolaire 2012/2013. *algerie1.com-11/06/2014

***Un communiqué du ministère de l’Education nationale portant sur le calendrier officiel des examens de fin d’année en cours précise que l’examen de fin de cycle primaire aura lieu mercredi 28 mai 2014, les épreuves du baccalauréat se dérouleront du dimanche 01 juin à jeudi 05 juin 2014. Les candidats au brevet de l’enseignement moyen (BEM) passeront les examens entre le lundi 9 juin et le mercredi 11. La date de la session de rattrapage de l’examen de fin de cycle primaire est fixée au 25 juin, ajoute le communiqué.

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*Une deuxième session du baccalauréat-2014 pour les candidats ayant obtenu une moyenne générale entre 9,5 et 9 ,99

*Déclarations contradictoires:rien de décidé encore!

Une bonne nouvelle pour les candidats au baccalauréat : le ministre de l’éducation a annoncé jeudi une deuxième session. Mais d’emblée, il explique qu’elle sera exclusivement réservée aux candidats qui auront obtenu à la première session qui débute le 1er juin une moyenne entre 9,5 et 9,99 sur 20. Autre condition exigée pour les candidats à cette session, une bonne assiduité scolaire et une bonne moyenne en deuxième et en troisième année. Autre particularité de cette session : elle se déroulera juste après la proclamation des résultats de la première session début juillet. Jusque-là, les rares sessions de rattrapage organisées avaient eu lieu le mois de septembre, histoire de donner aux candidats la possibilité de potasser pendant les vacances d’été leurs cours. Au sujet du rattrapage des cours perdus, en raison des deux grèves enregistrées cette année, le ministre positive les choses en disant que « nous sommes sur le point de rattraper tous les cours perdus ». Et d’ailleurs, une commission pédagogique d’évaluation va tenir une conférence nationale pour faire une évaluation dans la progression des cours. Et en fonction de cette évaluation sera arrêté le seuil des chapitres sur lequel porteront les épreuves du baccalauréat. Mais un seuil national, pour que l’épreuve du bac garde son caractère. Le ministre actuel de l’Education est contre le principe du seuil mis en viguer à l’époque de Benbouzid, mais il doit s’y plier en raison des retards accumulés. S’agissant de la wilaya de Ghardaïa, marquée par des troubles dans certains établissements éducatifs, le ministre a rappelé que « trois ou quatre établissements seulement ont suivi le mouvement de grève ». Les élèves de ces trois lycées feront-il l’objet d’un traitement particulier ? La question se pose. 1.894.000 élèves se présenteront aux examens de fin d’année pour les trois paliers d’enseignement pour l’année scolaire (2013-2014) dont 650.000 au baccalauréat, 590.000 au Brevet de l’enseignement moyen (BEM) et 645.000 à l’examen de fin du cycle primaire.*Par Abbès Zineb | 25/04/2014 -Algérie1.com

*Rien de décidé encore! Le ministère de l’Education nationale a indiqué samedi  que le dossier de la session de rattrapage de l’examen du Baccalauréat était  en cours d’étude, précisant que les mesures prises par le gouvernement seront  appliquées à partir de la session de juin 2015.

Par souci de préserver la crédibilité des informations et d’éviter toute  interprétation de part et d’autre, le ministère de l’Education nationale a fait  savoir que le dossier de la session de rattrapage de l’examen du Baccalauréat  « est en cours d’étude depuis décembre 2013, étude qui sera élargie, a-t-il ajouté,  à tous les partenaires sociaux ».          Le ministère a rappelé dans un communiqué que l’organisation d’une session  de rattrapage « sera subordonnée à une série de conditions, en cours d’examen,  précisant que les mesures découlant de la consultation seront soumises au  gouvernement pour examen ».          « Les mesures approuvées par le gouvernement à ce sujet entreront en  vigueur à partir de juin 2015″, est-il indiqué dans le communiqué.          Le premier responsable du secteur, Abdellatif Baba Ahmed, avait révélé  la semaine écoulée que la possibilité d’organiser une session de rattrapage  pour les candidats au Baccalauréat dont la moyenne oscillera entre 9,5/20 et  9,99/20 sera prochainement débattue.          Les candidats concernés doivent avoir fait preuve d’assiduité tout au  long de l’année scolaire et obtenu de bonnes moyennes en 2ème et 3ème années  secondaires pour pouvoir bénéficier de cette seconde chance.          L’organisation de la session de rattrapage devra avoir lieu trois ou  quatre jours après l’annonce des résultats définitifs. Les candidats concernés  par les examens de rattrapage doivent avoir échoué dans seulement deux à trois  matières, a indiqué le responsable qui a affirmé qu’il n’y aura pas de recours  au rachat.*APS-26/04/2014 

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**Algérie: 566.000 candidats passent le Bac en 2013

**Les épreuves s’étaleront du 02 au 6 juin 2013

Les résultats proclamés le 01 juillet 2013.

**Comme d’habitude, les filles sont plus nombreuses  au bac

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**Les résultats du Bac sont tombés, après une longue attente caractérisée par une angoisse énorme

le taux de réussite au Bac est de 44.78%, en 2013, alors qu’il était de 58% l’année dernière

Après une longue attente caractérisée par une angoisse énorme qui a gagné tant les candidats que leurs parents, les résultats du Bac sont tombés, hier, 01 juillet 2013, en ligne sur le site officiel de l’Office des examens et concours (Onec). Les candidats et leurs parents craignent le pire surtout que le taux de réussite de la session juin 2013 est estimé à moins de 50% et selon certaines sources, vu les scandales de tricherie en groupe qui ont eu lieu au cours de certaines épreuves et les mesures prises par la tutelle afin de punir tous les acteurs de ce scandale sans pareil, le pourcentage risque de baisser. Une prise en charge psychologique des candidats qui ont échoué dans leur examen s’impose plus que jamais. Toutefois, cette prise en charge des élèves qui ont raté les épreuves du Bac fait défaut. Certes, avoir réussi son Bac est une étape importante pour accéder à l’université et définir ainsi son avenir. Ce n’est qu’un simple diplôme et ceux qui l’ont raté peuvent se présenter à nouveau aux épreuves de l’année suivante. Ce n’est pas la fin du monde. Ce n’est qu’une expérience. De son côté, M.Messoud Boudiba, chargé de la communication et de l’information au sein du Conseil national autonome des professeurs de l’enseignement secondaire et technique (Cnapest-Elargi), a appelé les parents ainsi que toute la famille à accepter cette situation d’échec dont tout le monde est responsable, et ce, pour ne pas compliquer les choses. C’est une bonne occasion pour évaluer ce qui a été fait tout au long d’une année et surtout de corriger leurs erreurs. «L’échec est souvent une occasion d’améliorer les résultats prochainement», a-t-il attesté.*L’Expression-02.07.2013.

**Pas moins de 3180 cas de fraude prouvés ont été enregistrés lors du Bac 2013.

Les tricheurs ont été sanctionnés légalement pour une fraude collective lors de l’épreuve de philosophie. C’est ce qu’a affirmé, hier, le directeur de l’Office national des examens et concours (Onec), M.Ali Salhi, lors d’une conférence de presse animée au siège du ministère de l’Education nationale pour annoncer les résultats officiels du baccalauréat et du brevet de l’enseignement moyen (BEM). Il est juste que ce n’est pas la première fois qu’on enregistre une fraude lors des épreuves officielles. A titre d’exemple, pas moins de 435 cas de tricherie individuelle ont été enregistrés en 2008 et 298 cas en 2013. Toutefois, cette année, c’est la première fois qu’on assiste à une fraude aussi flagrante. «La session du Bac de juin 2013 est caractérisée par une fraude collective lors de l’épreuve de philosophie», a indiqué le directeur de l’Onec qui a insisté sur le fait de ne pas généraliser cette fraude. «Cet incident a eu lieu dans certains centres seulement et le ministère de l’Education a étudié tous les cas, un par un», a-t-il souligné. Il soulignera également, que selon les rapports des directions de l’éducation, «le taux de fraude collective n’a pas dépassé les 0.5% dans 11 centres d’examens, précisément dans 163 salles d’examens à travers six wilayas», sans les citer. M.Salhi a affirmé que toutes les décisions de sanction prises à l’encontre des tricheurs sont justifiées et légales et ce, afin de préserver la crédibilité du baccalauréat algérien. Il a appelé tous les sanctionnés, ayant des doutes, de présenter une demande de révision et de confirmation de la fraude au sein de leur établissement et leur direction de l’éducation. «Les sanctionnés n’ont qu’à déposer une demande de révision des décisions prises à leur encontre», a-t-il souligné en assurant qu’il est injuste de sanctionner tout le monde. Pour rappel, la sanction est de 10 ans pour les candidats libres et entre 3 et 5 ans pour les candidats scolarisés. A la même occasion, le directeur de l’Office national des examens et concours a annoncé les résultats officiels du Bac et du BEM 2013. Cette année, le taux de réussite au Bac n’a pas dépassé les 44.78%, alors qu’il était de 58% lors de la dernière session, soit un recul estimé à plus de 13%. Ce taux est de 17.72% chez les candidats libres et 31.20% chez les candidats des écoles privées. Comme chaque année, le taux de réussite chez la gent féminine dépasse de loin celui des garçons. Près de 64% de filles ont pu décrocher leur Bac contre 36.01% de garçons. Quant aux filières, celle de techniques mathématiques branche génie civil est classée première avec un taux de 61.34%, suivie de la filière mathématiques avec 58.65%, techniques mathématiques branche génie électrique avec 57.02%, langues étrangères avec 56.30%, gestion et économie avec 51.21%, techniques mathématiques branche génie mécanique avec 47.51%, sciences expérimentales avec 45.35% et finalement la filière de sciences humaines et philosophie avec 31.50%. La wilaya de Tizi Ouzou est classée première au niveau national avec un taux de réussite estimé à 60.95%, suivie de Tipasa avec 59.50%, Alger-Centre 56.64% et Alger-Est 55.64%. Cependant, la wilaya d’Adrar vient à la queue du classement national avec pas plus de 28.05% devancée par Illizi 28.19 et Khenchela avec 30.87%. Par ailleurs, M.Salhi a affirmé également que le taux national de réussite au BEM 2013 est de 48% dont 41.68% des garçons et 58.32 de filles. Comparée à la session 2012 où ce taux a été de 72.10%, une nette baisse de 24.01% est enregistrée. Selon des chiffres qu’il a avancés, 200.000 élèves recalés ont des moyennes entre 8 et 9.99/10. La wilaya de Jijel est classée la première au niveau national avec un taux de réussite estimé à 67.60%, suivie de Souk Ahras (66.59), Tizi Ouzou (65.49%), Béjaïa (64.93%), Sétif (64.15%). Par contre, la wilaya de Tamanrasset est classée dernière avec un taux de réussite ne dépassant pas les 22.15%, devancée par Adrar (22.79%) et El Oued (25.78%). A noter que cette année, les résultats du Bac et ceux du BEM ont enregistré un important recul. Le directeur de l’Onec a qualifié cette situation de dégradation de normale. «Ce n’est pas la première fois que les résultats reculent dans notre pays», a-t-il assuré en informant qu’une commission nationale sera formée afin d’évaluer pédagogiquement et d’analyser ces résultats et définir les raisons derrière cette importante baisse.*L’Expression-03.07.2013.

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**Bac : les sanctions revues au cas par cas

Le nombre de candidats au bac sanctionnés pour tricherie peut être revu à la baisse.

Les dossiers des 3180 sanctionnées dans six wilayas vont être étudiés au cas par cas, a annoncé hier le ministère de l’Education nationale dans un communiqué. Une commission ministérielle vient d’être installée par le ministre pour étudier les cas de ces élèves. Elle est chargée d’étudier les recours des candidats «tricheurs». Les résultats des travaux de cette commission seront rendus publics dans les prochains jours, ajoute le communiqué. «Le ministère de l’Education reçoit depuis deux jours les recours des candidats non admis pour tricherie. L’étude de ces demandes est effectuée par une commission ministérielle indépendante qui procédera à l’étude cas par cas. Elle rendra ses résultats dans les prochains jours», explique le même document. Le ministère n’a toutefois pas communiqué les détails de cette nouvelle démarche. Comment la commission procédera-t-elle ? Quelle sanction sera supprimée ? Le ministère ne dit rien sur ce détail. Mais selon une source proche de l’institution, la solution la plus pédagogique et la plus juste est de faire appel pour chaque cas au conseil de classe, seul habilité à statuer sur la copie de l’élève. C’est-à-dire si un élève a été sanctionné par un 0/20 et suspendu du bac pendant 5 ans, le conseil de classe peut revoir son bulletin de notes pour le comparer avec ses résultats pendant son cursus secondaire. S’il s’agit d’un élève brillant et qui était prédisposé à décrocher son bac, on peut retirer sa sanction. Quelles sont les sanctions qui seront annulées ? Le ministère entretient le suspense. Le nombre des bacheliers sera-t-il revu à la hausse ? La révision de la décision du ministère de l’Education vient au lendemain du conseil interministériel présidé par le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, qui a instruit le ministre de l’Education, sur ordre du président Bouteflika, d’alléger les sanctionnés. Le gouvernement veut annuler la sanction d’interdire aux «tricheurs» de repasser le bac avant 5 ou 10 ans et leur permettre de se représenter l’année prochaine. Il veut, en revanche, garder la sanction de 0/20. A présent, aucune direction de l’éducation n’a été destinataire d’une instruction. Une décision prise comme revirement : «Si une grâce est décidée pour ces tricheurs, ce sera la mort de l’éducation et du bac», dénonce Amraoui de l’Unpef. «Nos élèves ont besoin de discipline et d’ordre. Il s’agit de sanction et pas de sabotage. Il ne s’agit pas de la seule concession du ministère, après l’annulation de l’application d’approche par compétence, puis le maintien de seuil des cours sous pression des élèves, voilà que même les sanctions réglementaires ne peuvent être appliquées légalement», affirme Méziane Mériane de Snapest. Pour Idir Achour du CLA, «l’absence de transparence dans l’enquête de l’ONEC met tout le monde dans le flou. Pour la première fois qu’on a tenté d’avoir un bac non politique, voilà le gouvernement qui intervient pour encore le politiser». Comment l’ONEC a procédé aux sanctions ? Selon des sources, «les copies de toutes le matières des centres concernés par la tricherie n’ont pas été corrigées et une sanction générale a été décidée.»*El Watan-05.06.2013.

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**Les recalés du bac protestent

Des centaines de recalés du bac session de juin 2013 ont tenu un sit-in, hier, devant la direction de l’éducation. Ils tiennent, disent-il à dénoncer le non- respect des promesses qui leur ont été faites.

Ces promesses ne seraient, selon eux, ni plus ni moins que «de passer l’éponge sur la fraude massive et autorisée par les agents de l’éducation lors du déroulement des épreuves du bac». Il faut signaler que ces candidats, en tapant leur code sur le site de la direction nationale des examens, ont trouvé leurs noms accompagnés de la mention «cas de fraude», et cela induit une interdiction de passer cet examen pendant 5 ans. Ces candidats, l’on se souvient, avaient violemment manifesté leur mécontentement lors des épreuves de philosophie et de mathématiques. Les responsables, par crainte de débordements, auraient rassuré les candidats en leur promettant que les épreuves en question seront corrigées en leur faveur, et mieux encore, ils auraient été autorisés à tricher. M.M. et Y.S., deux candidates désabusées, se justifient, à ce sujet : «Nous avons certes fraudé, mais c’est surtout parce qu’on nous y a autorisés, avec l’assurance qu’il n’y aurait aucune suite négative. Que s’est-il au juste passé, nous voudrions bien le savoir ?» Une dame qui était présente sur lieux avec son fils recalé, renchérit: « Il est malsain d’induire les élèves en erreur en les autorisant à frauder, pour ensuite les punir; ce qui nous désole, c’est surtout ces portes fermées d’une institution qui n’assume pas ses responsabilités.» Ce sont des faits trop graves, sans précédent. Et aujourd’hui, l’on constate une incapacité des responsables concernés à les assumer. Pour preuve, la cellule de communication de ladite institution est demeurée injoignable. *El Watan-02.07.2013.
  »Ils veulent briser nos vies »
«Il faut sanctionner les enseignants et les responsables complices et non pas tous les candidats en philosophie», ont souligné des dizaines de lycéens à Alger. «Nous sommes en mouvement de protestation, parce qu’ils nous ont accusés de tricher. C’est faux, ils veulent nous briser», ont souligné de nombreux lycéens qui ont observé, hier, un rassemblement devant l’Académie d’Alger. «Ce sont les professeurs et les responsables complices de cette situation qu’il faut sanctionner». ont regretté de nombreux jeunes lycéens d’Alger-Centre, Bab El Oued, 1er-Mai, Kouba, Staouéli… Venus par dizaines pour réclamer «justice», les élèves n’ont pas manqué de dénoncer le comportement de certains éléments de la Sûreté nationale, qui n’ont pas été tendres avec eux. Amina et Lydia du lycée Okba, qui ont été «brutalisées» par un des policiers, pleuraient à chaudes larmes devant le siège du Croissant-Rouge sis boulevard Mohammed V, au point de provoquer d’autres réactions des lycéennes. D’autres élèves n’ont pas hésité à montrer les endroits où ils ont reçu des coups de matraque, notamment à la nuque et au bassin. Lundi matin, des lycéens se sont rassemblés devant le siège de l’Office du Bac au Télémly. «Nous ne lâcherons pas nos droits. Nous voulons voir les copies de notre travail, au lieu du cachet «A triché», alors qu’ils n’ont aucune preuve contre nous», déplorent les lycéens recalés au Bac. Très conscient de la réalité, Mohamed R., 20 ans, du lycée Okba, révèle: «Nous avons vu des élèves qui ont utilisé le portable en pleine séance d’examen et en présence des surveillants qui n’ont pas réagi», déplore-t-il. Idem à Blida, «où un lycée a été saccagé, mais le résultat était plus ou moins favorable aux élèves qui ont triché», ajoute-t-il. En guise de solution temporaire pour la prise en charge des préoccupations de ces dizaines de lycéens, les responsables concernés à la direction de l’Académie d’Alger-Centre, ont mis à la disposition des élèves des formulaires où on pouvait mentionner: nom, prénom, lycée, filière, numéro d’inscription et le centre d’examen, afin de transmettre le recours à la tutelle. «Ils se foutent de notre gueule. Le papier ne porte même pas de cachet. Ils veulent gagner du temps aux dépens de notre situation», ont déploré les lycéens qui ont soumis les recours sans conviction. Croisé à la sortie de l’Académie, le premier responsable de l’établissement a refusé tout commentaire: «Allez voir du côté de l’Office du Bac. Nous n’avons rien à dire», nous a-t-il dit.*L’Expression-03.07.2013.

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**Épreuve de philosophie au BAC 2013: 3.180 cas de tricherie au niveau de six wilayas du pays

L’Office national des examens et concours (ONEC) a indiqué mardi 02.07.2013, que les cas de tricherie confirmés durant l’examen du baccalauréat  session 2013, étaient de 3.180 dans six wilayas du pays.

Les cas de triche après l’enquête menée par l’Office national des examens  et concours étaient au nombre de 3.180 enregistrés dans six wilayas du pays  soit un taux de 0,56%, a indiqué le directeur de l’ONEC, Ali Salhi, lors d’une  conférence de presse sur l’annonce des résultats officiels et finals des examens du Brevet de l’enseignement moyen (BEM) et du BAC. Il a précisé à ce propos, que la confirmation de ces cas « s’est faite sur la base des rapports émanant des centres d’examens et c’est là une mission  confiée aux commissions de délibérations de l’ONEC qui ont révélé que cela s’était  produit dans 163 salles sur les 31 252 d’examen du baccalauréat ». M. Ali Salhi a souligné en outre, que ces cas ont fait l’objet d’un  examen, au cas par cas, conformément à la loi organisant l’examen du baccalauréat  qui fixe les conditions de tricherie et, parfois à un retour au cursus scolaire  du candidat. Il a annoncé également que l’enquête des commissions a révélé que la  tricherie « a été enregistrée au niveau de 11 centres sur les 1928″. D’autre part, il a rappelé que les sujets proposés à l’examen du BAC  étaient « à la portée de l’élève moyen et inspirés des cours au programme dispensés  tout au long de l’année ». Ce qui a circulé au sujet de la matière de philosophie « est à caractère  alarmiste donné par certains titres de la presse nationale qui lui ont accordé  plus d’ampleur », a-t-il dit avant de rappeler que « tous les sujets étaient tirés  du programme et du seuil national fixé par les enseignants ».  Le responsable a fait remarquer encore que « les spéculations autour  des sujets a induit les élèves en erreur », arguant que « contrairement aux sujets  des autres matières, l’épreuve de philosophie comportait trois sujets au choix  et sur des thèmes différents ».  Les sujets d’examens « sont sélectionnés par tirage au sort sur un nombre  important d’autres ficelés par les enseignants », a-t-il poursuivi ajoutant que  ces spéculations ont amené les élèves à ne pas réviser certains cours ».  S’exprimant sur les doutes émis par certains élèves qui ont eu recours  à la tricherie, il a précisé qu’ils pouvaient formuler des demandes de « révision »  des décisions des commissions de délibérations au niveau de l’établissement secondaire ou la direction de l’éducation. La sanction à infliger à ces élèves est , selon les lois régissant l’examen  du BAC, de dix ans pour les candidats libres et entre 3 à 5 ans pour ceux scolarisés,  selon M. Salhi. A une question sur la contestation de certains élèves « exclus », le président  de l’Office au ministère de l’éducation nationale, M. Hadoues Abdelmadjid, a  indiqué que le traitement de la question intervient conformément à la logique  et dans le cadre des lois régissant l’examen ».  Il a indiqué à cette occasion, que l’enquête sur les cas de tricherie  « a été menée dans le cadre de la loi et chaque cas a été examiné à part pour  éviter toute injustice à l’égard du candidat ». Certains centres d’examens du BAC avaient enregistré durant l’épreuve  de philosophie section Lettres et philosophie donnant lieu à des troubles causés  par des candidats qui ont estimé que les sujets de l’épreuve de philosophie  n’étaient pas en rapport avec le programme.  Dès réception des rapports des différentes parties concernées, l’Office national des examens et concours avait ouvert une enquête.*APS-02.07.2013.
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«A triché», nouvelle mention en 2013
Les parents demandent des explications sur les cas «non avérés»
Le ministère de l’Education nationale, à travers l’Office national des examens et concours (ONEC), a sanctionné les candidats «tricheurs» dans l’épreuve de philosophie. La mention «A triché» a été soulignée en haut de la page du résultat. Dans la même page, les candidats concernés n’ont pas de moyenne et une observation «A triché» trône dans deux cases. Plusieurs candidats ont eu cette «surprise» en consultant leurs résultats du baccalauréat disponibles à partir d’hier en ligne. Il était cependant impossible d’obtenir le moindre détail sur les mécanismes suivis par l’ONEC afin de statuer sur les cas présumés de tricherie. Les responsables du département de Baba Ahmed et ceux de l’ONEC étaient injoignables durant toute la journée d’hier. Pour les représentants des parents d’élèves, «il est difficile» de commenter la mesure prise par l’ONEC en décidant de sanctionner les candidats «pris en flagrant délit de tricherie». Selon Ahmed Khaled, président de l’Union nationale des associations des parents d’élèves, «les critères suivis par la tutelle pour se prononcer sur les cas présumés de tricherie ne sont pas connus». Les parents d’élèves s’interrogent sur la procédure suivie par l’ONEC pour se prononcer sur les cas concernés et infliger la sanction à l’élève qui sera privé de se présenter à nouveau à l’examen durant cinq ans, comme le stipule la réglementation régissant cet examen national. L’ONEC a-t-il fait des enquêtes pour parvenir à ces résultats ? La procédure a-t-elle été suivie ou s’est-on contenté de sanctionner les élèves dont les noms ont figuré sur les PV signés par les enseignants surveillants ? Ceux qui n’ont pas été mentionnés et ayant quand même triché ont-ils fait objet d’enquête ? Ce sont autant de questions que se posent les associations des parents d’élèves qui ont reçu des requêtes de parents dénonçant «l’arbitraire» des sanctions. Des centaines de parents d’élèves ont saisi l’association présidée par Ahmed Khaled et se sont déplacés hier aux directions de l’éducation et devant les centres d’examen où des cas flagrants ont été relevés (Staouéli, Hussein Dey…) pour faire valoir «le droit à la transparence». L’association des parents d’élèves réunira, avant la fin de la semaine, son bureau national avant de saisir la tutelle et demander des explications sur les résolutions de l’enquête faite par l’ONEC et «lever le voile sur plusieurs questions qui sont encore sans réponse», explique M. Khaled. Les syndicats approuvent Les syndicats autonomes saluent en revanche la mesure prise par l’ONEC. «J’approuve la mesure prise par la tutelle», affirme M. Meriane, président du Syndicat national autonome des professeurs du secondaire et du technique (Snapest), qui salue la démarche de la tutelle en prononçant des sanctions contre les élèves tricheurs. «Nous avions peur que la tutelle ferme les yeux sur des cas de tricherie qui portent atteinte au bac 2013 pour sauver la paix sociale», soutient M. Meriane qui explique que la démarche du ministère et de l’ONEC aurait pu être précédée par une sortie médiatique du ministre ou un communiqué pour quantifier l’étendue de ces cas et expliquer la démarche suivie pour se prononcer sur les cas présumés. Même son de cloche chez le Cnapest élargi. Nouar Larbi, coordonnateur national du syndicat, estime que l’exclusion des élèves et le durcissement de la mesure ont été une demande de tous les représentants des enseignants. «Nous sommes contre la sanction collective concernant la pénalisation de tous les candidats d’un centre d’examen et avons plaidé pour l’examen au cas par cas. La sanction est à saluer d’autant plus qu’elle a été communiquée uniquement aux candidats concernés», estime M. Larbi. La tutelle «a péché» en ayant entouré la procédure de secret. La communication officielle avait son rôle à jouer pour désamorcer la tension autour des cas qui se disent «victimes de la sanction collective».*Fatima Arab- El Watan-02.07.2013.
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**Tizi Ouzou reprend la tête du classement en 2013
La wilaya de Tizi Ouzou a enregistré, cette année, le meilleur taux national de réussite aux épreuves du baccalauréat. En tête avec 60,95 pourcent d’admis, Tizi Ouzou est suivie respectivement de la wilaya de Tipasa et  de la direction de l’académie d’Alger centre. Avec ce taux de 60,95%, Tizi Ouzou a déclassé la wilaya de Boumerdès qui a obtenu 54 % de réussite dans la présente session, enregistrant un recul de 21 points. Par ailleurs, la wilaya de Tizi Ouzou qui s’est adjugée la première place au classement des résultats du Brevet de l’enseignement moyen (BEM) des sessions de 2011 et 2012, se contentera cette année de la troisième place avec un taux de 65,17 %. Quant aux examens du cycle primaire, elle conserve la première place. A noter que cette année, les résultats scolaires des trois paliers de l’éducation ont connu un recul significatif du nombre d’admis.*El Watan-02.07.2013.
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**Une lycéenne à Témouchent se jette du 5ème étage à cause de son échec au bac
Immédiatement après l’annonce des résultats du baccalauréat, D.C. âgée de 16 ans et habitant le haï Mohamed Boudiaf, s’est jetée du haut du 5ème étage d’un bâtiment de la rue Larbi Ben M’hidi où elle se trouvait au moment où elle apprit la triste nouvelle de son échec à cet examen dont elle croyait avoir soutenu avec succès ses épreuves. Les pompiers arrivés sur les lieux l’ont découvert vivante mais avec des fractures ouvertes aux pieds et des douleurs au niveau du thorax. DC a été évacuée dans un état jugé sérieux vers le CHU d’Oran.*El Watan-02.07.2013.

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**Alger-02.06.2013-

C’est parti! 566.000 candidats passeront ce matin, et ce jusqu’au 6 juin, les épreuves du baccalauréat. Le coup d’envoi de cet examen national sera symboliquement donné à partir de la wilaya de Ouargla. Le choix de cette ville n’est pas fortuit au vu des incidents qui s’y sont déroulés tout au long de cette année scolaire. A commencer par la grève des enseignants du Sud et des Hauts-Plateaux et ensuite aux différentes marches et grèves qui ont marqué cette wilaya. Ce coup de starter portera donc toute une symbolique. Ainsi, le premier Bac de Baba Ahmed, aura finalement bien lieu. C’est aussi un soulagement pour les 391.622 candidats scolarisés et 175.072 libres qui pourront se présenter normalement aux 1928 centres d’examens répartis à travers les 48 wilayas du pays. A noter que les modalités d’organisation de cette session seront les mêmes que celles appliquées pour la précédente. Les candidats auront la possibilité de choisir entre deux sujets d’examen pour chaque matière et une demi-heure supplémentaire sera accordée à chaque candidat, en plus du temps réglementaire réservé à chaque sujet. A propos des nouvelles mesures, le ministère a cité l’ouverture de centres d’examens dans les hôpitaux pour les candidats hospitalisés, la proclamation des résultats par Internet pour tous les examens et l’envoi des listes des candidats reçus aux examens par e-mail juste après la proclamation des résultats à toutes les directions de l’éducation. Les surveillants ont reçu des instructions pour être vigilants et pédagogues en même temps. Ils sont 154.000 enseignants à avoir été mobilisés, dont 120.000 pour la surveillance et 34.000 pour la correction. Au moment où 30.000 observateurs seront chargés de veiller à la régularité du déroulement de l’examen à l’intérieur des classes. Le «sexe dominant» de ce BAC 2013 reste encore et toujours féminin. Cette session ne fait pas exception. Globalement elles seront plus nombreuses que les garçons à passer leur Bac. Chez les candidats scolarisés on trouve 154.884 garçons (39,55%) et 236.738 filles (60,45%). Chez les candidats libres on trouve 95.017 garçons (54,27%) et 79.055 filles (45,73%). Cependant, la moyenne générale fait que les filles sont plus nombreuses. Elles qui sont en train de faire une révolution tranquille… Concernant les autres chiffres de ce baccalauréat, on constate une augmentation du nombre de candidats par rapport à l’année dernière. Ils sont 6644 candidats en plus. Les candidats scolarisés inscrits selon les filières sont répartis comme suit: sciences expérimentales (152.067), lettres et philosophie (107.338), langues étrangères (36.759), gestion économie (51.651), mathématiques (11.732) et techniques mathématiques (32.075). Pour les candidats libres, la répartition par filières se présente comme suit: lettres et philosophie (95.059), sciences expérimentales (46.780), gestion économie (15.568), langues étrangères (8873), mathématiques (3774) et techniques mathématiques (5.018). Voilà donc «un résumé» de cet examen qui déterminera l’avenir des citoyens de demain.

Les résultats sont prévus pour le 7 juillet prochain. En attendant, bonne chance à tous…*L’Expression-02.06.2013.

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Astrid, 17 ans, meilleure élève de Polynésie, a eu 20,447 sur 20 au baccalauréat

Âgée de 17 ans, Astrid Montuclard est la meilleure élève de Polynésie, heureuse diplômée d’un baccalauréat 2013 avec plus de 20 sur 20 de moyenne.

Cette performance a été rendue possible par l’excellent niveau de cette élève de terminale S du Lycée Paul Gauguin, à Papeete, dont toutes les notes ont été supérieures à 16/20, mais aussi par le jeu des options. Astrid Montuclard, 17 ans, a, en effet, obtenu 20/20 dans les deux options qu’elle avait choisies, histoire-géographie et allemand, qui ont été comptées en bonus. Elle a aussi collectionné les 20/20 dans les disciplines de sa filière : physique-chimie, mathématiques, mais aussi chinois, sa deuxième langue vivante. Elle a  également eu 19 en anglais et en philosophie…   Les épreuves du bac passées en première l’an dernier, lui avaient un tout petit peu moins bien réussi : 20 en TPE, 19 en histoire-géographie et à l’oral de français, mais 16 à l’écrit. « En français, j’avais mal géré mon temps ». Autre petit regret, en sport, où elle n’a eu « que 19, à cause du badminton », car elle excelle en natation et surtout en athlétisme : plusieurs fois championne de Polynésie de cross scolaire, elle survole le demi-fond tahitien depuis cinq ans, et a même décroché une médaille d’argent aux Jeux du Pacifique à Nouméa, en 2011, au 3000 steeple open.

Ses parents, tous deux médecins, ont contribué à sa vocation : devenir pédiatre. Elle poursuivra ainsi ses études à l’Université de l’Iowa : « Je serai étudiante-athlète, et je pourrai donc étudier dans de bonnes conditions, et atteindre en même temps un bon niveau en sport », a-t-elle expliqué. Cette année, sa réussite est passée par « beaucoup de travail le week-end », tandis qu’elle consacrait ses heures libres aux entraînements sportifs, en semaine. Astrid s’est dite surprise par sa moyenne. « J’ai un peu l’impression d’être un produit de beaucoup de choses, d’avoir été là au bon moment?; c’est grâce à tous les gens qui m’ont aidée, mes professeurs, ma famille, mes amis et mon entraîneur qui a été très compréhensif, pour trouver un équilibre entre athlétisme et études ». Malgré ce résultat exceptionnel, la meilleure bachelière de Polynésie reste modeste : « Avec la réforme, les sujets étaient un peu simplifiés en sciences physiques et en mathématiques, j’ai moins de mérite que si j’avais passé le bac les années précédentes » Les résultats du bac général, dévoilés en Polynésie française, ont montré une augmentation sensible du taux de réussite avant le rattrapage : 72,9 % cette année, contre 63,7 % en 2012. *lamontagne.fr-24 juin 2013.

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 le plus jeune élève américain diplômé du cycle des secondaire n’a que 10 ans     

*Il va intégrer l’université

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Tanishq Abraham a terminé le cycle des études secondaires à seulement 10 ans. Le jeune garçon est ainsi devenu le plus jeune élève américain à avoir été diplômé de ce cycle. « Je souhaite avoir un diplôme complémentaire le prochain semestre, après j’irai à l’université », explique-t-il à ABC News.  Il a reçu un mot de félicitations du président Barack Obama en personne. « Félicitations pour ton diplôme. C’est l’aboutissement d’années d’études, je suis heureux de me joindre à ta famille et tes amis pour célébrer avec toi cette étape importante », lit-on. Tanishq envisage de devenir médecin ou « président ». Le préado aux capacités intellectuelles importantes souhaite intégrer l’UC Davis pour étudier la médecine. « Cela serait bien si je pouvais intégrer la M.I.T., cela serait vraiment chouette mais je suis trop jeune, je ne peux pas y avoir un logement. » Il s’est rendu compte de ses talents en classes maternelles. « Je pouvais lire des livres destinés aux enfants plus âgés. J’étais aussi capable de faire des mathématiques comme les adolescents en début de secondaires », ajoute-t-il. « En fait, j’aime apprendre, je présumé que cela est plus facile pour moi que pour les autres! » *7 sur 7–11/06/2014 -

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**Bac 2012: le taux de réussite est de 58% « Oui, j’ai eu mon Bac »

L'angoisse fait place aux cris de joie

*Le taux de réussite à l’examen du baccalauréat,  session juin 2012, a atteint 58, 84 %, a  annoncé samedi le ministère  de l’Education nationale. La promotion de cette session est composée de 230.989 admis.Quelque 88.761 lauréats ont obtenu leur bac avec mention, soit   38,43 % par rapport au nombre total des admis scolarisés. (APS-30.06.2012.)

*Les résultats disponibles sur internet…

**Bac 2012 : une lecture sommaire des résultats chiffrés

Nos universités et autres structures de formation supérieure accueilleront bientôt les bacheliers de la session 2012 qui a vu un taux de réussite global, c’est à dire toutes filières confondues, de 58,84 % ; des résultats qui ne diffèrent significativement pas de ceux de la session de juin 2011. Les chiffres et les pourcentages qui figurent dans ce papier ont été fournis par l’agence APS, puisque le site du ministère de l’ éducation nationale , tout comme celui de l’office national des examens et concours (ONEC) sont aux abonnés absents, car subissant apparemment, un Bug chronique et tenace. A moins que ça ne soit un problème de débit de ce qui est appelé l’ADSL ‘ D’autre part, notons que pour les sessions de ces dernières années, le nombre de filles admises a dépassé celui des garçons. Pour la session 2012, le nombre de bachelières dépasse de presque deux fois celui des bacheliers, soit respectivement 151.021 et 79.968. Les sociologues et autres spécialistes ont alors du pain sur la planche, puisqu’il s’avère utile d’expliquer ce phénomène en genre. Si nous regardons le pourcentage des admis par série, celui-ci diffère peu d’une série à l’autre, à l’exception de la série technique mathématique (TM) qui enregistre le plus faible taux de réussite de la cuvée 2012, soit 55, 21 %, alors que la série mathématique (M) a connu un taux de réussite de 68%. Là également, on devrait trouver une explication à cet écart important de 12, 81 % entre deux séries similaires ( M et TM). Par ailleurs, sur un total de 230.089 candidats admis, 88.761 ont obtenu leur visa d’entrée à la Fac avec l’une des quatre différentes mentions (Assez bien, bien, très bien, et excellent), soit un taux de 38, 43%, réconfortant pour les uns, prêtant à scepticisme pour d’autres. Nous pouvons également constater que le nombre d’admis dans les établissements privés n’est que de 782, soit 41,95%, un faible taux qui pourrait signifier une certaine défiance des parents envers les écoles privées à temps plein, quand bien même nous savons que ces mêmes parents ne lésinent pas sur les moyens pour payer des cours de soutien à un prix fort, pour leurs enfants; ça à l’air discordant, mais c’est ainsi. Ceci dit, les portes ouvertes sur l’université ont été ouvertes, les préinscriptions ont déjà débuté et les démarches administratives aussi. En attendant, nos lauréats doivent savoir que la première année de toute formation supérieure, exige encore des efforts, probablement plus que pour l’année du Bac, dans la mesure où c’est une année de transition qui nécessite des efforts d’adaptation, avec la contribution de tous (étudiants, enseignants, administration, parents) et d’autant plus que les taux de passage de la première année à la deuxième année d’université restent nettement plus bas que ceux du Bac, une réalité qui nécessite d’autres développements. En attendant donc, disons : bonne chance et surtout de la persévérance à nos bachelières et bacheliers. (Le Quotidien d’Oran-11.07.2012.)

***la wilaya de Boumerdès occupe la tête du classement

* Avec plus de 75% de réussite à l’examen de baccalauréat, la wilaya de Boumerdès vient à la première place dans le classement des wilayas. La première place du classement aux résultats du BAC est revenue cette année à la wilaya de Boumerdès. La directrice de l’éducation, Mme Sonia Gaïd, nous a affirmé, ce samedi, que la wilaya a obtenu un taux de réussite de 75,75 %, représentant 5353 lauréats dont 3618 filles. Avec ces résultats, la wilaya a surclassé celle de Tizi-Ouzou qui s’est adjugée la même place durant ces trois dernières années. Notons que la wilaya de Boumerdès  occupe la 2ème place dans le classement des  directions après celle d’Alger Est avec un taux de réussite de 76%. « C’est une grande fierté pour nous. Et je suis très heureuse mais les véritables acteurs sont les élèves et les enseignants. Nous, en tant responsable du secteur au niveau local, n’avions fait que notre devoir », a réagit Mme Gaïd. De son côté, le chargé de communication du Cnapest, M. Si Youcef,  s’est félicité de ces résultats en rappelant les efforts consentis par le syndicat pour améliorer les conditions d’apprentissages des élèves. S’agissant du BEM, la wilaya a arraché la 3ème place du classement à l’échelle nationale avec un taux de 75, 95. (El Watan-01.07.2012.)     *****************************

* concours-baccalaureat

**Une fois n’est pas coutume, ce sont les scientifiques qui décrocheraient la palme, suivis de très près par les maths élémentaires. La troisième place reviendrait aux gestions, alors que ce sont les littéraires qui fermeraient la marche. Stress, anxiété, angoisse, déprime et même dépression. Ce ne sont pas les signes d’une maladie mentale, mais c’est l’état d’esprit des candidats au Bac et de leurs parents avant de découvrir les résultats. La saturation du site Internet de l’Office national des examens et concours (Onec) n’a pas arrangé les choses. Hier matin, en effet, les Algériens qui ont quelqu’un dans la famille qui a passé son Bac, se sont réveillés avec une boule au ventre. «Les résultats du Bac ont été publiés sur le Net», était la phrase fatidique qui se répétait à tout bout de champ. L’anxiété a alors pris une autre tournure pour se transformer en désarroi. «Qui a le site de l’Onec?», demandaient déspéremment les candidats. «Pourquoi le site ne veut pas s’ouvrir?», faisait également partie de ces interrogations. Même les réseaux sociaux n’ont pas été épargnés par l’angoisse des résultats du Bac. Les sites faisaient tous référence à ces résultats et où on pouvait les consulter. La confusion était de mise puisque ces résultats devaient en principe être communiqués le dimanche 1er juin. Mais sans avertir personne, le ministère de l’Education nationale a avancé leur publication de 48h. «C’est à cause des festivités du 5 Juillet et faciliter l’organisation de la cérémonie que doit présider le chef de l’Etat en l’honneur des meilleurs bacheliers du territoire national», précise une source du ministère de l’Education nationale. Soudain, après la confusion et le stress, place à la jubilation! Les premiers résultats tombent. L’angoisse fait place aux cris de joie accompagnés par des assourdissants «youyous». Les «je l’ai eu, mon fils l’a eu, ma fille l’a eu…» étaient plus nombreux que les «il ou elle ne l’a malheureusement pas eu». Ce qui laissait présager un taux de réussite des plus impressionnants pour ce que certains aiment appeler, le dernier Bac de Benbouzid. Ce qui nous est confirmé par l’une de nos sources au ministère de l’Education. «Cet impressionnant taux de réussite dépasserait les 65%», nous confie notre source. «Il avoisinerait même les 70%», ajoute-t-elle. Ce taux exceptionnel de réussite serait donc une amélioration par rapport à celui de l’an dernier qui était de 62.45%. Une fois n’est pas coutume, ce sont les scientifiques qui décrochent la palme avec «un taux de réussite qui avoisinerait les 70%», révèle la même source. Suivis de très près par les maths élémentaires (maths et maths technique) avec «un taux de réussite qui serait estimé à 60%», avance-t-elle. La troisième place reviendrait aux gestions, alors que ce sont les littéraires qui fermeraient la marche, eux qui ont l’habitude de décrocher les premières places. Ces premières estimations qui font état d’un important taux de réussite ont été confirmées de visu dans les établissements scolaires. Les résultats du Bac ont été affichés hier après-midi au niveau des lycées. Ils étaient nombreux à s’être rassemblés devant leurs établissements scolaires dans l’attente de pouvoir confirmer une bonne fois pour toutes leurs résultats. La joie était beaucoup plus de mise que la tristesse, particulièrement chez les scientifiques. «Toute notre classe a réussi», nous confie avec joie Sarah étudiante en série sciences expérimentales au lycée Aïcha Oum El Mouminine d’Hussein Dey. Dans ce lycée, le taux de réussite avoisine les 96%. «On a eu 100% de réussite chez les scientifiques et les gestions», confie avec un large sourire la surveillante générale qui était venue partager la joie de ses poulains. «Seules trois élèves dans les filières littéraires n’ont pas obtenu leur Bac», atteste-t-elle fièrement. «Chez les maths élém, une seule élève a connu l’échec», informe la surveillante générale. A un pâté de maisons plus loin, plus exactement au lycée Boulkine, la même ambiance festive régnait. Cris de joie, mêlés aux accolades entre amis ont fait oublier que le mercure faisait des siennes. En ce vendredi pas comme les autres, Sarah n’était pas la seule à s’être présentée devant son lycée. Tout seuls ou accompagnés de leurs parents, les nouveaux bacheliers étaient en train de fêter là leur dernier moment dans leur «bahut». La chaleur qu’a connue la capitale tout le week-end, n’a rien atténué de leur joie. Certains sont mêmes sortis défiler en voiture. Klaxons, fumigènes étaient au rendez-vous! Des cortèges de nouveaux bacheliers se sont même formés, faisant concurrence à ceux des mariages… Félicitations donc à ces jeunes bacheliers qui ont non seulement obtenu le sésame pour l’université, mais ont vécu un moment des plus historiques qui est le… dernier Bac de Benbouzid. (L’Expression-30.06.2012.)

 L’angoisse des parents et des élèves

L'angoisse des parents et des élèves

** inscriptions à l’université: du 9 au 30 juillet 2012 Alors que les résultats de l’examen du baccalauréat, session 2011/2012, sont attendus au plus tard le 5 juillet prochain, la période des inscriptions à l’université, est établie par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique (Mesrs). Le début des inscriptions est fixé au 9 juillet. La date ultime de cette opération est fixée pour le 30 juillet. Avant cette autre étape, il faut affronter celle de l’attente angoissante des résultats du Bac, tant redoutée par les parents que par les candidats. Selon les orientations de la tutelle, l’ensemble des universités du pays sont tenues d’envoyer le nouveau fichier des inscrits au ministère de l’Enseignement supérieur avant la date butoir du 2 août. En ce qui concerne le détail du calendrier, il est réparti en plusieurs phases. Dans ce sillage, les décideurs du ministère ont donné des instructions sur le délai des pré-inscriptions. Sur ce point, les nouveaux bacheliers doivent impérativement passer le premier écueil de la période de la pré-inscription dont l’ouverture se fera à partir du 9 juillet. La date de clôture de cette première étape est arrêtée au 13 juillet. Durant la journée des 14 et 15 juillet, les pré-inscrits doivent confirmer leur inscription. Par ailleurs, les mécontents de leur orientation, une période de recours de 3 jours a été prévue à leur intention. Il s’agit des journées des 22, 23 et 24 juillet. La dernière phase des inscriptions  s’étale du 26 au 30 juillet. Durant ce temps, les inscriptions doivent être faites. Les étudiants devront connaître leur filière et les établissements devront les accueillir. Cependant, il y a deux catégories de nouveaux bacheliers qui sont soumis à des conditions avantageuses par rapport au reste des admis. Il s’agit des nouveaux étudiants admis avec mention «très bien» ou «encouragement». Pour la mention très bien, l’étudiant doit cocher sur la fiche de voeux électronique un triple choix de filières. La filière doit correspondre aux études faites au lycée. En fonctions des notes obtenues au Bac, les étudiants seront orientés vers l’une des trois filières choisies, par ordre de mérite. C’est-à-dire par concours. Le même principe est appliqué aux futurs étudiants admis avec mention «encouragement.» Ces dernièrs doivent remplir, par ailleurs, une fiche de voeux de 5 filières au lieu de 3. L’inscription des études universitaires pour l’année prochaine concerne également, les lycéens ayant obtenu un Bac étranger. Ce diplôme doit être soumis à une équivalence par rapport au Bac algérien. Le détenteur du Bac étranger est soumis aux mêmes conditions d’inscription que le bachelier ayant suivi un cursus dans le lycée algérien. Cette année, pour rappel, ils sont plus d’un demi-million de candidats à tenter de décrocher le sésame pour l’entrée à l’université. Il a été enregistré, en outre, une hausse de 63 385 d’inscrits au Bac, par rapport à l’année précédente où un taux de réussite au Bac a été de 61%. En termes de chiffres, le nombre de lycéens admis en 2011 était de 220.518 dont 96.000 avec mention (assez bien, bien, très bien et excellent) soit 46% par rapport au nombre total des lauréats. (L’Expression-28.06.2012.)

**Algérie: plus de 60% des candidats en 2012 sont des filles

La session du Bac 2012 en Algérie, verra 560.050 candidats entamer les épreuves de l’examen et les filles représentent plus de 60%

. La féminisation du Bac se confirme

Les filles sont de plus en plus majoritaires au Bac en Algérie. En effet, elles arrivent en tête des statistiques à l’approche de l’examen le plus important du cursus scolaire. Elle sont 245 345 candidates, soit 61,63% contre 152.760 candidats, soit 38,37%. Ainsi, cette année encore, la féminisation du Bac se confirme de plus belle, surtout que ces chiffres officiels sont à situer dans un total de 560.050 candidats à prétendre à l’examen du baccalauréat qui se déroulera du 3 au 7 juin prochain. Ce nombre comprend 398.105 candidats scolarisés et 161.945 candidats libres. Autant dire donc que les filles réussissent mieux à l’école que les garçons. Les données communiquées par le ministère de l’Education nationale semblent le confirmer amplement. Cette tendance s’inverse néanmoins dans la rubrique candidats libres puisqu’elles ne sont que 72.761 candidates, soit 44,93% contre 89 184 candidats, soit 55,07% sur un total de 161.945 candidats. L’autre fait saillant des chiffres établis par le ministère est que les jeunes Algériens aiment de moins en moins les mathématiques, le gros du contingent se concentrant sur les filières sciences expérimentales (156.575, soit 39,33%) et les lettres et la philosophie (114.685, soit 28,81%) contre seulement 11.489, soit 2,89%) en mathématiques. Fort des résultats probants réalisés au cours des cinq dernières années, le ministère de l’Education nationale entend rééditer la même batterie de dispositions et de mesures ayant accompagné les précédentes sessions. En effet, et selon un communiqué parvenu hier à notre rédaction, le département de Benbouzid fait part d’une séance de coordination consacrée à la phase ultime des derniers préparatifs liés à l’organisation de l’examen du baccalauréat de cette année. Elle a vu la présence des responsables centraux du ministère de l’Education nationale et du directeur général de l’Office national des examens et concours (ex-Office du Bac). Ce conclave a décrété que les enseignements dispensés aux classes de Terminale s’arrêteront le 30 avril au soir. Ainsi, rappelle le communiqué, les élèves disposeront de toute la période allant jusqu’au 3 juin pour procéder à leurs révisions, soit un répit de plus d’un mois. A ce titre, on précise que les établissements scolaires resteront ouverts afin d’accueillir les élèves en quête de séances de soutien et de révision. Par ailleurs et pour dissiper toute inquiétude, le ministère de l’Education nationale précise que les sujets du baccalauréat ne porteront que sur les cours effectivement dispensés. La commission nationale de suivi des programmes arrêtera pour sa part, à la date du 30 avril 2012 pour chaque filière et pour chaque matière, les seuils fixant les limites du programme de référence destiné à l’élaboration des sujets d’examen et qui sera dans le même temps porté à la connaissance des candidats. En outre et à l’instar des précédentes sessions, les candidats auront la possibilité de choisir entre deux sujets d’examen pour chaque matière. Pour davantage de confort et de concentration des lycéens, une demi-heure sera accordée en plus du temps réglementaire réservé à chaque sujet. De même qu’il ne sera fait aucune référence à l’approche par compétence dans l’élaboration des sujets d’examen. Finalement et avec autant de diligence de la part de leur tutelle, les élèves de 3e année secondaire voient toutes leurs chances réunies pour faire face à l’épreuve décisive de juin prochain. Cette dernière semble d’ores et déjà entourée de toutes les conditions humaines, matérielles, sécuritaires et financières lesquelles permettront d’accueillir dans les meilleures conditions le formidable flux de candidats. Un budget de 2.280 .000.000 DA (228 milliards de centimes) y est d’ores et déjà consacré, note le communiqué du ministère. Ce dernier fait également part de 130.000 enseignants mobilisés, dont 90 000 pour la surveillance et 40.000 pour la correction, répartis à travers 1854 centres de déroulement d’examen et 52 centres de correction. Ils sont 5706 observateurs secondés par près de 20.000 assistants qui seront chargés de veiller à la régularité du déroulement de l’examen à l’intérieur des classes. Le même communiqué rappelle que les examens de fin de cycle primaire (ex-6e) et du brevet d’enseignement moyen (BEM) qui se dérouleront respectivement le 29 mai 2012 et du 10 au 12 juin 2012, bénéficient d’un intérêt tout aussi particulier. L’ensemble des conditions liées à leur organisation sont tout à fait remplies pour assurer leur bon déroulement. Rappelons que les lycéens ont manifesté en janvier dernier leur crainte de ne pas achever le programme dans les temps impartis et ont exigé une limite de cours à réviser. (L’Expression-24.04.2012.)

**Les vrais chiffres du Bac 2012 en Algérie

130 000 enseignants, 90 000 surveillants et 40 000 correcteurs seront mobilisés pour encadrer les 560 050 élèves qui prendront part à l’examen du baccalauréat de cette année.

Prévues du 3 au 7 juin 2012, les épreuves du baccalauréat de l’enseignement secondaire de cette année verront la participation de 560.050 candidats dont 161.945 en qualité de candidats libres, soit 63.385 de plus par rapport à la session précédente. Pour la circonstance, le ministère de l’Education nationale a réquisitionné 130.000 enseignants qui officieront dans les 1 854 centres d’examen et 52 établissements de correction, disséminés à travers le territoire national. Selon les responsables du secteur, «les modalités d’organisation de l’examen de cette année seront les mêmes que celles appliquées lors de la précédente session 2010-2011, en faveur des élèves de classes de terminale». Comme pour les éditions précédentes, «les candidats auront la possibilité de choisir entre deux sujets d’examen pour chaque matière. Une demi- heure sera accordée, en plus du temps réglementaire réservé à chaque sujet». En renouvelant ces mesures, le département de Boubekeur Benbouzid a voulu, avant tout, «rassurer les élèves et leurs parents et les assurer de sa volonté de garantir les meilleures conditions aux candidats à l’examen du baccalauréat de cette session 2012». Les candidats concourront dans 10 filières, à savoir les sciences expérimentales, lettres et philosophie, gestion économique, langues étrangères, techniques mathématiques, mathématiques, génie électrique, génie mécanique, génie civil et génie des procédés. Un budget de 228 milliards de centimes a été débloqué par l’Etat pour l’organisation de cet examen, du reste, très attendu par les 560.050 candidats qui espèrent le décrocher pour pouvoir entrer à l’université et poursuivre leurs études. Autre mesure importante prise par les organisateurs, la désignation de 5706 observateurs secondés par près de 20.000 assistants seront chargés de veiller à la régularité du déroulement de l’examen à l’intérieur des classes. Afin d’éviter les fuites de sujets, le personnel chargé de les imprimer a été mis en quarantaine depuis plus d’une semaine et les sujets d’examen déposés dans des lieux sûrs, protégés par des surveillants et agents de sécurité, affectés spécialement à cet effet. Notons enfin, que 39, 33% des candidats scolarisés concourront en sciences expérimentales et 28, 81 en lettres et philosophie, alors que 54, 58% des candidats libres sont inscrits en lettres et philosophie et 27, 26% en sciences expérimentales.(L’Expression-31.05.2012.) ****************************

*Le parcours d’une copie après les épreuves-France.

 

Les épreuves du bac se sont achevées vendredi dernier en France (22.06.2012.). Voici donc venue l’heure de la correction des quelque quatre millions de copies rendues par les candidats de cette cuvée 2012… Les épreuves du bac 2012 sont terminées pour les élèves, place désormais à celle de la correction des copies. En effet, depuis vendredi dernier, les 703.059 candidats de cette cuvée 2012 peuvent faire relâche, alors que les 175.390 examinateurs et correcteurs mobilisés entament le sprint de la correction. Ils doivent corriger quatre millions de copies avant la publication des résultats le 6 juillet prochain à 10h. 20 Minutes détaille les étapes de cette épreuve. A la fin de chaque épreuve, les copies anonymes des candidats sont ramassées salle par salle dans les 4.760 centres d’examens mobilisés. Chaque salle correspond à un jury. Les copies sont ensuite comptées et envoyées dans un centre de correction, où elles sont classées par matière et par jury, puis réparties de manière aléatoire entre les correcteurs. Réunion et correction

Les correcteurs viennent récupérer les copies qui leur ont été assignées, ainsi que le corrigé correspondant à l’épreuve, et un barème de correction. Nicolas Franck, professeur de philosophie au Lycée la Folie Saint James, à Neuilly (Hauts-de-Seine), et vice-président de l’Association des Professeurs de Philosophie de l’Enseignement Public (APPEP), explique à 20 Minutes que les correcteurs sont alors conviés à une première réunion de jury. «Plusieurs copies sont lues à haute voix, et chaque correcteur donne une note. Ces notes sont ensuite discutées pour mettre au jour les attentes des correcteurs sur les différents sujets, les différents critères de correction, et d’apporter une cohérence dans les corrections.» Puis, chaque correcteur repart avec ses copies. Principal risque: se voir voler le sac qui contient la prose des candidats, une mésaventure qui est arrivée la semaine dernière à une correctrice d’un lycée d’Aubagne (Bouches-du-Rhône), dans l’académie d’Aix-Marseille. 34 élèves de terminale vont devoir repasser jeudi matin l’épreuve de philosophie. Mais dans la plupart des cas, les correcteurs rapportent les copies à leur domicile sans encombre, où ils doivent les évaluer. Pour les aider en cas de doute, les académies mettent en place depuis une vingtaine d’année une permanence téléphonique gérée par d’autes correcteurs pour l’ensemble des matières du bac. Le travail de correction est indemnisé à hauteur de 5 euros par copie. Conservation Après le travail de correction individuel, les professeurs rapportent les copies au centre de correction, où ils se retrouvent pour une seconde réunion, dite d’harmonisation. «On compare nos moyennes, nos médianes, et les copies qui ont obtenu une note inférieure à six sur vingt sont réexaminées», raconte Nicolas Franck. «Certaines copies sont relues à haute voix pour identifier les différences et vérifier s’il n’y a pas eu d’erreur.» Et le professeur de philosophie de souligner que, grâce à ce système, la correction est extrêmement rigoureuse. «Comme les autres matières, la philosophie n’est pas notée n’importe comment.» Après cette dernière réunion, les copies sont décachetées et les notes sont recopiées dans un logiciel national, qui calcule la moyenne de chaque élève. Elles sont conservées trois jours dans les centres de correction, où les candidats peuvent les consulter, puis elles sont archivées au rectorat de chaque académie pendant un an, au terme duquel elles sont détruites. Tous les cinq ans, un échantillon représentatif de chaque filière est prélevé de manière aléatoire pour étudier l’évolution du niveau des candidats au fil des ans. Elles sont stockées aux archives départementales, et ne peuvent être consultées qu’au bout de cinquante ans. (20Minutes-27.06.2012.)

  

« Oui, j’ai eu mon Bac » Félicitations

à tous ceux qui ont pu l’obtenir…Pour les autres, ce n’est pas la fin du monde. La peine passée, il faut reprendre le travail sérieusement pour l’avoir la prochaine fois. J’en connais beaucoup qui ont passé leur bac, deux, trois fois et plus…et ils ont fini par réussir

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* la guerre d’Algérie au Bac français *Bac 2012.

Une enquête ouverte à Paris sur des soupçons de fuites

Le scénario de 2011 va-t-il se rejouer ? Ce mercredi (27.06.2012.), le parquet de Paris a ouvert une enquête préliminaire sur des soupçons de fuite lors des épreuves de cette édition 2012 du baccalauréat. Les interrogations portent notamment sur une possible fraude avant l’épreuve d’histoire-géographie de la filière S. On se souvient que l’an dernier, des fuites sur un exercice de maths avait suscité une grande émotion, tant du côté de l’Education nationale que des élèves. L’enquête préliminaire porte notamment sur une possible fraude avant l’épreuve d’histoire-géographie de la filière S, a indiqué une source judiciaire. Que savait exactement l’internaute qui, la veille de l’épreuve, a posté sur internet un message appelant les lycéens à réviser en particulier le thème de la guerre d’Algérie ? C’est l’une des questions que les policiers vont tenter de dénouer. L’enquête a été confiée à la brigade de répression de la délinquance aux personnes (BRDP) de la police judiciaire parisienne. La fuite a été rapportée par leparisien.fr : le premier jour du baccalauréat, à 22h42, un internaute qui se fait appeler BAChistoire2012, recommande aux « 1èreS de réviser la guerre d’Algérie ». Ajoutant : « Vous me remercierez demain ». Le tout sur le forum « Blabla 15-18″ du site jeuxvideo.com, devenu célèbre depuis la fuite sur internet l’année dernière d’un sujet de mathématiques du bac S.La guerre d’Algérie sera effectivement un des sujets proposés le lendemain après-midi aux lycéens de première S qui passent l’épreuve anticipée d’histoire-géographie. Et, à 20h13, sur le même site, l’internaute donne des « explications »  « J’ai en réalité eu une intuition par rapport au printemps arabe et aux 50 ans de la guerre d’Algérie ». Et souligne : « Je ne suis l’auteur d’aucune fuite, je n’ai rien à me reprocher (…), j’ai été autant surpris que vous ». L’enquête va donc s’attacher à savoir s’il ne s’agit vraiment que d’une intuition.La semaine dernière, le ministère de l’Education nationale a déposé plainte en fait à la suite de quatre soupçons de fuites, notamment aux épreuves d’Histoire-géographie et de Sciences. « A ce stade, aucune n’est une fuite de sujet stricto sensu. Plusieurs sont des fuites de grands intitulés ou des constructions de sujets qui en réalité ne correspondaient pas aux sujets tombés », a expliqué Jean-Michel Blanquer, directeur général de l’enseignement scolaire (Dgesco). Précisant : « On n’est pas du tout dans le même schéma que l’année dernière où on avait un sujet entier. Mais pour s’assurer qu’il ne s’agit pas de véritable fuite, il est nécessaire de déposer plainte de façon à identifier les personnes ».L’enquête sur les fuites lors du bac 2011 - déjà sur jeuxvideo.com – avait conduit à la mise en examen de quatre personnes. Mais elle s’était ensuite orientée vers une blague de potache et les accusations se sont dissipées. L’affaire n’en avait pas moins ébranlé cet examen emblématique du système scolaire français. (source:Le telegramme.com-27.06.2012.)

**Les sujets de l’épreuve de philosophie

L’épreuve de philosophie a donné ce lundi 19.06.2012. à 8 heures le coup d’envoi du baccalauréat pour plus de 700.000 candidats en France. Voici les sujets de cette première épreuve.

Baccalaureat Eleves

*Série L (Coefficient 7) - Deux sujets de dissertation possibles :  

1/ »Que gagne-t-on en travaillant ? »,

2/ « Toute croyance est-elle contraire à la raison ? ».

- Explication de texte : un extrait du « Traité théologico-politique » de Spinoza. *Série ES (Coefficient 4) - Deux textes au choix : 1/ « Peut-il exister des désirs naturels ? »  2/ »Travailler, est-ce seulement être utile ? » -

 Explication de texte : extrait de « De l’obéissance passive » de Berkeley. *Série S (Coefficient 3) - Deux sujets au choix : 1/ « Serions-nous plus libres sans l’Etat ? », 2/ « Avons-nous le devoir de chercher la vérité ? » – Explication de texte : extrait d’Emile de Rousseau. *Bac technologique - Deux sujjets au choix : 1/La recherche de la vérité peut-elle se passer du doute?, 2/ Faut-il être cultivé pour apprécier une oeuvre d’art? – Explication d’un texte de Thomas Hobbes.

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Bac 2012 : les sujets de français

Bac2012

BAC 2012 – Ce mercredi 20 juin 2012, depuis huit heures pétantes et jusqu’à midi, les étudiants en première planchent sur Jean de La Fontaine, Paul Verlaine ou encore Arthur Rimbaud. Voici les sujets: Section L Objet d’étude : Vers un espace culturel européen : Renaissance et humanisme. Le sujet comprend : Texte A : Jean de Léry, Histoire d’un voyage fait en la terre du Brésil, chapitre XIII, 1578 (orthographe modernisée) Texte B : Jean de Léry, Histoire d’un voyage fait en la terre du Brésil, chapitre XVIII, 1578 (orthographe modernisée) Texte C : Michel de Montaigne, Essais, Livre III, chapitre VI « Des coches », 1588 (adaptation en français moderne par André Lanly) Texte D : Claude Lévi-Strauss, Tristes Tropiques, 1955 Écriture Quelles qualités des peuples du Nouveau Monde les textes proposés mettent-ils en relief ? Dissertation Dans le premier livre des Essais, Michel de Montaigne explique que, pour se former, il faut « frotter et limer notre cervelle contre celle d’autrui ». En quoi peut-on dire que l’humanisme, à la Renaissance, se caractérise par une ouverture à l’autre et une interrogation sur l’autre ? Vous répondrez à cette question en vous appuyant sur les textes du corpus et sur vos connaissances et lectures personnelles. Invention Quelques années plus tard, l’un des Indiens Tupinambas qui avait reçu Jean de Léry (texte B) raconte à son peuple, lors d’une cérémonie publique, l’arrivée et le séjour de cet Européen dans leur village du Brésil. Section S et ES Objet d’étude : Ecriture poétique et quête du sens, du Moyen Age à nos jours. Le sujet comprend ce corps de textes suivants: Texte A : Joachim Du Bellay, « Seigneur, je ne saurais regarder d’un bon œil… », sonnet 150, Les Regrets, 1558 (orthographe modernisée) Texte B : Jean de La Fontaine, « La Génisse, la Chèvre et la Brebis, en société avec le Lion », Fables, livre I, 6, 1668 Texte C : Paul Verlaine, « L’enterrement », Poèmes saturniens, 1866 Texte D : Arthur Rimbaud : « A la musique », Poésies, 1870 Commentaire : Vous ferez le commentaire du texte de Paul Verlaine, « L’enterrement » (texte C). Dissertation : Dans quelle mesure la poésie est-elle un genre efficace pour présenter une critique de la société ? Vous répondrez à cette question en vous appuyant sur les textes du corpus, sur ceux que vous avez étudiés en classe et sur vos lectures personnelles. Invention : Vous imaginerez un dialogue entre deux critiques littéraires au cours d’un débat sur la poésie. L’un pense que la poésie doit être utile et éveiller l’esprit critique du lecteur ; l’autre estime que l’on ne saurait la réduire à cette seule fonction. Chacun des points de vue devra comporter plusieurs arguments, illustrés par des références précises à des poèmes. *Le HuffPost-20/06/2012

**Bac 2012 : les sujets d’histoire géographie

Reposez votre mémoire! L’épreuve d’histoire-géographie est terminée pour (presque) tout le monde. Plus de 700.000 candidats ont planché ce mardi 19 juin au matin sur des sujets aussi divers que « L’Europe dans la Guerre froide » ou « La Ve République ». Après la philosophie lundi 17 juin, petit coup d’oeil sur les sujets d’histoire géo du jour : Série L :

  • « L’Europe dans la guerre froide (1947-1989) » 
  • « La Ve République: institutions et vie politique » 
  • « Centres d’impulsion et inégalités de développement dans le monde » 
  • Ou bien une étude d’un ensemble documentaire: « Vers un nouvel ordre mondial: espoirs et réalités »

Série S :

  • « La décolonisation de la fin de la Seconde Guerre mondiale aux années 1960″
  • « La Ve République: institutions et vie politique » 
  • Ou bien une étude d’un ensemble documentaire: « Vers un nouvel ordre mondial: espoirs et réalités »
  • Ou bien encore un croquis: « L’espace méditerranéen: une interface Nord-Sud »

Série ES :

  • « L’Europe dans la guerre froide (1947-1989) »
  • Ou bien étude d’un ensemble documentaire « Vers un nouvel ordre mondial »
  • Ou bien un croquis géographique sur « Un espace en recomposition: la Russie » 
  • Ou bien encore un croquis sur les « Centres d’impulsion et inégalités de développement dans le monde »

*Le HuffPost-19/06/2012

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Les plus belles perles rencontrées cette année dans les écrits des candidats.

Ces copies du baccalauréat qui surprennent les correcteurs.

Des correcteurs ont relevé les plus belles perles rencontrées cette année (2012.) dans les écrits des candidats.

Elles sont devenues un classique de l’année. Certains en font des livres, à l’instar de Philippe Mignaval qui a publié en 2007 son premier Sottisier du bac ou de l’ouvrage collectif Perles du bac, dans la collection «Les Almaniaks». Pour l’heure, quelques perles du cru 2012 commencent à remonter, grâce aux correcteurs. L’Express et La Charente libre en ont interrogé quelques uns, tandis que forums et sites dédiés se multiplient et dressent leur inventaire. Indéniablement, c’est en histoire que les commentaires laissent le plus perplexe. «L’ONU est une institution qui permet aux pays riches de contrôler les pays pauvres tout en douceur. Cela évite des guerres et des morts, ce qui est plutôt positif», écrit par exemple un candidat. Passe encore pour cette interprétation libre. Mais que dire des écrits qui revisitent l’histoire en profondeur: «Le 6 mars 1884, l’OAS organise un putsch qui échoue en raison de l’absence de militaires» ou «dès l’arrivée au pouvoir du Front national en 1936, la France entreprend une démocratie sociale, à l’image des États-Unis, ce qui aboutit aux biens de consommation.» Il arrive même que l’histoire rencontre la climatologie: «Suite à la chute du mur de Berlin, la circulation des vents a pu être rétablie dans toute l’Europe. Avec l’arrivée des courants chauds, on assiste alors à la fin de la guerre froide.» Elle peut aussi devenir science-fiction: «De nombreuses crises nucléaires ont déjà frappé les humains par le passé, par exemple lorsque les dinosaures ont disparu de la Terre». Et lorsqu’elle croise l’arithmétique, les résultats sont peu probants: «En 1943, année de prononciation du discours, cela fait un an qu’Hitler est arrivé au pouvoir en 1933». «Jésus-Christ n’a jamais travaillé» En sciences de la vie et de la terre, il semble que le dioxyde de carbone soit une substance plutôt abstraite. «Le CO2 dégage des produits radioactifs», peut-on lire, ou encore: «Le CO2 fait un trou dans la couche d’ozone et laisse alors passer les rayons X.» En philosophie, un correcteur bienveillant de l’académie de Poitiers s’est chargé de publier des phrases choc de copies de la série économique et sociale. Sur le sujet du désir, un élève doué d’un grand sens pratique observe: «Selon Rousseau, il vaut mieux rêver ses désirs plutôt que les satisfaire. C’est pour cela qu’il a toujours vécu seul et malheureux.» Le sujet posant la question de l’utilité du travail a encore plus inspiré les candidats. «La preuve que le travail n’est pas utile, c’est que Jésus-Christ n’a jamais travaillé. Il a voyagé de pays en pays pour répandre l’amour mais n’a jamais travaillé», écrit, plein de foi, l’un d’eux. Tandis que d’autres font preuve d’un réalisme acerbe: «Certains ne trouvent pas que le travail soit utile, d’ailleurs ils se suicident, comme à France Telecom.» Terminons, enfin, par un commentaire plutôt spirituel, qui a peut-être permis à son auteur de glaner quelques points: «Voltaire disait “l’art de la citation est l’art de ceux qui ne savent pas réfléchir par eux-mêmes”. Par conséquent, je n’utiliserai aucune citation». (Le Figaro-06.07.2012.) *voir aussi: Les perles du bac 2011

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*Résultats du bac : les conseils d’un psychiatre aux parents en cas d’échec

Patrice Huerre donne quelques clés aux parents en cas d’échec d’un de leurs enfants au baccalauréat.

Des candidats découvrent les résultats du bac, à Béthune en juillet 2011.

Avec l’annonce des résultats au bac, le stress, les angoisses gagnent les parents des candidats. Marie est la mère de Julie qui a passé son année en terminale ES dans un lycée privé de l’Ouest parisien: «Je suis confiante mais je stresse quand même un peu.» «Ce que j’aimerais bien, c’est une mention», glisse-t-elle. Pour Philippe, la situation est plus délicate. Son fils Quentin lui a avoué avoir moyennement réussi, après une année laborieuse en terminale L. «Je ne sais vraiment pas comment m’y prendre s’il est recalé demain», lâche-t-il un peu honteux. Patrice Huerre, psychiatre de l’enfant et de l’adolescent, donne les clés en cas d’échec. «L’essentiel, si votre enfant est recalé au bac, c’est de différencier deux éléments: le résultat et la personne. On peut légitimement être déçu ou triste d’un échec, mais il ne faut surtout pas oublier à ce moment-là que la valeur de son enfant ne se réduit pas à la réussite à cet examen.» Pour un adolescent en pleine construction, il est très important de réaliser qu’il a une autre importance pour ses parents que ses résultats scolaires, dans un monde où la pression scolaire va croissant. Faire la part des choses Encore faut-il savoir faire la part des choses. «Tout dépend du stock de confiance en lui de votre enfant, poursuit Patrice Huerre. Pour ceux qui en ont beaucoup, cela peut ne pas leur faire de mal de voir que tout n’est pas gagné! En revanche, si votre enfant n’a pas confiance en lui, c’est le moment ou jamais de souligner et de valoriser tous les dons qu’il a, en dehors de sa scolarité, comme le sport, la musique, le sens de l’humour.» Ingénu? Pas tant que cela. Car pour beaucoup échec au bac signifie redoublement. «Et c’est le moment de se demander si cet échec ne cache pas un problème que l’on n’a pas su voir pendant l’année: une peur de grandir, un enjeu amoureux qui les aurait perturbés pour rebondir l’année suivante…» Ce sera aussi pour certains le moment de se demander si des voies de comportement, comme des filières courtes sont la solution. Reste que la chute est d’autant plus dure qu’à une époque où l’obtention du bac, voire avec mention, est banalisé, ceux qui le ratent sont montrés du doigt plus qu’avant. Alors si votre chérubin décroche ce sésame, haut la main ou pas, quelle attitude adopter? Au-delà des félicitations, c’est un rite en quelque sorte. «C’est le moment d’envisager avec son ado un nouveau mode de relations plus adulte, c’est un véritable passage», souligne Patrice Huerre. Enfin, la question que chaque parent de nouveau bachelier se posera vendredi soir: quid de la fête? Paule, elle est un peu inquiète: sa fille Léonore a prévu depuis plusieurs semaines une soirée loin de chez elle pour fêter les résultats. «Ce soir-là, comme les autres d’ailleurs, la question qu’il faut aborder avec son ado, au-delà de l’interdiction pure et simple, c’est comment refuser de boire trop, sans perdre la face?» (Le Figaro-06.07.2012.)

**Lire par ailleurs: Ces personnalités qui ont réussi sans le bac

**Que faire quand on a raté son bac?

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*Images du Bac

          article_bac_2013 994093_un-examinateur-passant-parmi-les-eleves-de-terminale-du-baccalaureat-dans-un-lycee-a-paris bac-2013 bac-2013-sujet-probables-onispe-l-etudiant 5035730-peur-sur-le-bac

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