L’éducation physique et sportive à l’école
**Qui doit enseigner l’éducation physique et sportive à l’école ?
Si vous voulez faire une âme qui se répande largement, un homme de généreuse et intrépide volonté, un ouvrier des grandes tâches et des labeurs, faites d’abord et avant tout un organisme vigoureux de solide résistance, aux muscles d’acier…
L’être fort est résistant, robuste, vite, adroit, énergique, endurci, frugal, sobre. De plus, il sait marcher, courir, sauter, grimper, boxer, lancer, se défendre et nager.» (G. Hébert).
Trop souvent, les activités physiques sont considérées comme un secteur distinct de l’activité scolaire, sans liaison avec les autres.
Pourtant, c’est sans doute une faute de séparer ainsi l’éducation du corps des autres formes de l’éducation. L’enseignement donné dans les écoles primaires se rapporte à un triple objet : éducation physique, éducation intellectuelle et éducation morale. Cette trilogie, que les fondateurs de l’école publique voulaient intangible, a subi les injures du temps : l’éducation intellectuelle a nettement pris le pas sur ses sœurs et l’éducation physique paraît bien être aujourd’hui la plus pauvre des trois et bien souvent négligée. Il y a là une grave erreur, car partout où on lui fait la place qui lui revient, elle étend généreusement ses biens faits aux deux autres. Qui doit enseigner l’éducation physique et sportive (EPS) à l’école élémentaire ?
Comment enseigner cette EPS ? Plus précisément, comment faire qu’elle ne soit plus un appendice jugé plus ou moins superflu ? Comment donc l’intégrer et pourquoi ? Dans une éducation globale de la personnalité de l’enfant ? Qu’attendre de la réhabilitation et du renouveau de cette discipline ? Comment en apprécier les résultats ?
Toutes ces questions doivent être au cœur de la réforme et de la rénovation de l’école algérienne, afin de garantir aux jeunes une éducation complète et exigeante, ce qu’elle ne saurait être si le sport n’y avait pas toute sa place, favoriser la pratique de l’EPS tant à l’intérieur de l’école qu’à l’extérieur, dans le cadre des associations et définir une vraie politique sportive en tant que partie intégrante de notre système éducationnel et aussi en tant que facteur de base essentiel de ce qu’il faut appeler «la qualité de la vie».
Pourquoi l’éducation physique et sportive est négligée ?
Les programmes des écoles primaires ont accordé 2 heures et demie à l’éducation physique sur les 30 heures de travail hebdomadaire. Dans la pratique, il semble bien que peu de classes bénéficient de ces dispositions. Les séances d’éducation physique ont partout tendance à s’espacer et les maîtres ont toujours de bonnes raisons pour se justifier.
Tantôt ils allèguent la surcharge des programmes, tantôt la faiblesse de leurs élèves dans les matières jugées essentielles, tantôt l’absence ou l’insuffisance d’équipements du terrain indispensables. L’expérience montre que toutes ces raisons sont secondaires. La vérité est que, faute d’avoir eux-mêmes reçu une suffisante éducation physique, les maîtres de nos écoles ont un tempérament sédentaire que faute d’avoir subi une suffisante formation sur ce point, ils possèdent rarement des connaissances techniques requises et que, il faut bien le dire, ce qui leur manque avant tout, c’est, au fond, une formation idéologique propre à les convaincre de la profonde action de l’éducation physique sur le corps et de l’action bienfaisante qu’elle exerce également tant sur l’éducation morale.
L’éducation physique se propose à l’école élémentaire un double but : corriger les attitudes défectueuses qu’impose trop souvent au corps de l’enfant le travail scolaire, développer ses qualités physiques, sa force, son adresse, son agilité. Il faut ajouter que l’action fonctionnelle trouve son achèvement dans une action morale, l’enfant apprenant à cultiver l’esprit de discipline et l’esprit communautaire et prenant goût à l’émulation et à l’effort. Convaincre que l’éducation physique et sportive n’est pas volée à la formation de l’esprit, que, bien au contraire, à l’école élémentaire, toute éducation soucieuse d’efficacité et d’égalité des chances doit commencer par être physique.
Le reste est une affaire de formation pratique des maîtres. Cela suppose avant tout qu’on leur dégage le temps de participer à des stages, où l’EPS soit traitée dans une ambiance interdisciplinaire. Ils y rafraîchiraient leurs expériences et leurs conceptions dans une discipline qu’on ne peut plus désormais considérer comme un enseignement spécial. L’horaire consacré au sport dans les écoles doit être revu à la hausse et que nos inspecteurs primaires exigent, lors de leur inspection, la fiche de préparation de la leçon et qu’ils assistent au déroulement des séances. Des conférences pédagogiques sur la matière doivent être données.
L’unicité du maître
L’éducation physique (comme pédagogie des conduites motrices), tour à tour ou à la fois orientée vers la connaissance et la maîtrise du corps et vers l’acquisition des notions fondamentales qui structurent la vie de l’esprit, trouve, sans artifice ni arbitraire, sa place dans l’action éducative générale, confiée naturellement à un maître polyvalent tout au long de l’éducation de base : la formation et le développement de la personnalité ont à ce stade priorité.
Il importe que l’instituteur soit chargé d’enseigner l’EPS au même titre que la lecture, la rédaction, la dictée, le calcul ou les disciplines d’éveil.
L’intervention du maître dans ce secteur d’activité permet, outre la coordination la plus efficace de l’action éducative, une meilleure connaissance des enfants et une coopération maître-élèves plus confiante. L’unicité du maître doit être la règle. L’action éducative est un tout et l’éducation sportive une des démarches associées par lesquelles on aide un enfant à prendre possession de soi et du monde qui l’entoure à lui faire acquérir le goût de l’effort, l’aptitude au dépassement de soi, l’ambition de s’imposer dans le cadre de sa vie active. On comprend que la polyvalence de l’instituteur n’est pas un mythe ou un pis-aller, mais une source de progrès et d’efficacité, à une seule, mais impérative condition : c’est que, dans chaque domaine, le polyvalent puisse, comme au stage, soumettre les difficultés rencontrées dans la pratique à des spécialistes hautement qualifiés, travaillant eux aussi au contact de la réalité quotidienne et, le plus possible, en équipes interdisciplinaires.
Lorsque l’instituteur aura pris conscience que cette éducation par le mouvement est une pièce maîtresse de l’édifice pédagogique qui permet à l’enfant de résoudre plus facilement les problèmes actuels de sa scolarité et le prépare, par ailleurs, à son existence future d’adulte, il ne fera plus passer cette activité au second plan.
Triple action de l’éducation physique
Sur le corps, le docteur Henri Paté disait : «La jeunesse ne doit pas oublier que le sport n’est pas un but, mais un moyen, le moyen de mettre au service de l’intelligence un corps plus sain, plus résistant, plus robuste et de permettre ainsi la réalisation de toute la possibilité humaine.» L’action sur le corps est évidemment la plus tangible. Elle a des effets multiples : correction des attitudes défectueuses dues à la station assise et au mobilier scolaire ; formation d’un squelette droit, d’une cage thoracique ample, d’une sangle abdominale tonique ; développement des qualités physiques : force, adresse, agilité, endurance ; activation du jeu des grandes fonctions (articulaire, circulatoire et surtout respiratoire ; perfectionnement de la coordination nerveuse ; régularisation de la croissance par suractivité glandulaire directement liée à l’oxygénation du sang…
Sur l’éducation intellectuelle : l’éducation physique agit sur l’éducation intellectuelle en rafraîchissant l’attention. Des expériences récentes du docteur Sippel en Allemagne ont confirmé que le travail intellectuel tire toujours profit de l’exercice musculaire. Le docteur Jean Philippe a dit, de son côté : «La belle ordonnance de nos mouvements et de nos actes dégage et favorise plus qu’on ne croit cette libre allure de l’esprit qui permet de promener autour de soi le regard d’un intelligent observateur…»
Sur l’éducation morale : les bienfaits de l’éducation physique sont ici d’une valeur inappréciable : discipline de la volonté et formation du caractère, hardiesse et résolution, goût de l’effort, amour de la perfection, modestie et loyauté, respect de la règle commune, sens du service pour la communauté…Il est évident que le développement intellectuel et moral dépend étroitement des conditions dans lesquelles s’opère l’évolution physique et physiologique. C’est pourquoi l’éducation physique ne saurait être traitée à la légère.
Écolier aujourd’hui, champion olympique demain ?
C’est à l’école que se joue l’avenir du sport d’une nation (voir les résultats de notre pays aux différentes rencontres sportives internationales : ils sont au ras des pâquerettes. Notre récolte de médailles lors des derniers JO de Londres nous donne une idée sur l’état délétère du sport dans notre pays). Le sport fait partie de la vie et de la culture. Ce n’est pas un luxe, mais un besoin comme la santé, la liberté ou la culture. Il doit commencer tôt et se terminer tard. Il concerne tout le monde, aussi bien dans les loisirs que dans le travail.
C’est aussi à partir du jeune âge que se font les vocations pour un sport. Le succès et le développement considérable de la pratique sportive au cours de ces dernières années, l’élévation du niveau des performances, la renommée des grands champions et l’écho publicitaire qui les entoure éveillent inévitablement des vocations de plus en plus précoces. Quel petit Algérien ou petite Algérienne ne rêvent pas de devenir un Morceli, une Boulmerka, un El Guerroudj, un Zidane, un Ronaldo, un Jordan, une Marie-José Pérec, une Eunice Barber, un Hailé Gébrésélassié, un Serguei Boubka, un Sotomayor, un Michael Johnson, un Carl Lewis, un Lionel Messi, un Usain Bolt, un Michael Phelps… et autres des années futures ?
Sous d’autres cieux, les athlètes en herbe, futurs champions olympiques peut-être, sont suivis durant toute leur scolarité, depuis le cycle élémentaire, jusqu’à l’université. Le sport doit avoir sa place dans l’école, dans une école ouverte sans doute et vivifiée par les apports de ce qu’on appelle «le périscolaire» et trouver sa terre d’élection dans les associations socioculturelles polyvalentes, héritières pour notre temps des gymnases grecs de la grande époque. C’est par là qu’on restaurera l’olympisme de tous les jours. Il est au sport ce que l’humanisme est aux activités intellectuelles. Ce «choix capital pour l’intégrité et pour l’avenir de l’homme», il est aujourd’hui entre les mains des citoyens et des éducateurs, dirigeants sportifs comme enseignants. Ce sont le succès même du sport pour tous, le développement du sport culture et du sport style de vie pour les individus et pour la nation qui sont en jeu.
«L’éducation physique et sportive ne forge pas seulement des corps, elle met en place, dès l’enfance et pour la vie, des comportements qui n’importent peut-être pas moins que la culture intellectuelle à la dignité, au bonheur et à la paix : lui faire sa place, c’est affirmer la priorité de l’éducation sur l’instruction. Elle devient alors une responsabilité majeure de l’instituteur, au même titre que la formation de l’esprit .» (H. Paté).La pratique du sport peut donc faire un excellent ménage avec l’éducation intellectuelle et même la favoriser en détendant le corps et en l’équilibrant. Mais en ce qui concerne l’éducation morale et la formation de la volonté, son rôle est plus net encore. Elle est comme l’a fort bien discerné l’Antiquité, qui, plus que nous, a eu le sentiment que l’éducation formait un tout, selon la formule : «Mens sana in corpore sano.» *Par Abdelhamid Benzerari (contribution parue dans El Watan-21.08.2012.)
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*Quelle place pour l’EPS ?
En plein engouement pour les Jeux Olympiques, et dans la perspective d’une « refondation de l’Ecole », c’est sans aucun doute le moment d’y penser.
Si l’on apprécie sa place symbolique à partir de l’ordre d’apparition des « agrégations » ( qui signent la reconnaissance pleine et entière de chaque corps disciplinaire de l’enseignement secondaire, son »agrégation » ), l’EPS n’est pas bien placée dans le domaine scolaire, elle est même bonne dernière.
Les dates de création des agrégations scandent en effet la longue marche des disciplines vers la reconnaissance et donnent à voir la hiérarchie – historique – des disciplines scolaires.
En 1766 sont créées les agrégations de lettres et grammaire ( gréco-latines ) ; en 1821, celle de »sciences » ( toutes catégories confondues, avec les mathématiques ). Suivent celle de philosophie en 1825 puis d’histoire en 1831. En 1849, apparitions d’agrégations de langues vivantes, allemand et anglais. L’agrégation de sciences se dédouble en agrégation de mathématiques et agrégation de sciences en 1841 ( qui se scinde elle-même en agrégation de sciences physiques et agrégation de sciences naturelles en 1885 ). Suivent celles d’espagnol et d’italien en 1900, d’arabe en 1907, de russe en 1947. Il faut attendre 1960 pour que soit décidée une agrégation de lettres modernes. En 1962, création d’une agrégation de techniques économiques et de gestion ( transformée en 1980 en économie et gestion ). Suivent celles de mécanique en 1968 ; de génie civil, de génie électrique, de génie mécanique en 1975. L’agrégation d’éducation musicale apparaît en 1974, celle d’arts plastiques en 1975. En 1977 est créée une agrégation de sciences sociales. Sans compter la création de quelques autres agrégations de langues vivantes, dont le portugais dès 1973, l’hébreu moderne en 1977, le polonais en 1978.
L’éducation physique et sportive ferme la marche de la reconnaissance des excellences disciplinaires en 1982…
Dans le rapport de la commission »Thélot » en 2004 et lors de la loi d’orientation dite »Fillon » du 23 avril 2005, l’EPS ne fait pas partie du »noyau dur » de ce qui doit visiblement être maîtrisé dans le cadre de la scolarité obligatoire ( à l’exception de la »natation » ). La corporation de la discipline ( fortement organisée et représentée syndicalement de façon singulière compte tenu des aléas de son histoire et de ses appartenances ministérielles multiples historiquement ) se démène alors beaucoup pour que soit ajouté un « huitième pilier » ( aux sept autres »piliers » ou »grandes compétences » qui constituent « le socle commun de connaissances et de compétences » dans le décret d’application du 11 juillet 2006 ).
En vain jusqu’alors. Mais on peut sans doute penser que les réflexions originales et les travaux menés à cette occasion ( et parfois bien avant ) pourront déboucher de façon positive lors de la « refondation de l’Ecole républicaine » envisagée et de la »réécriture » d’un « socle commun de connaissances et de compétences » »repensé ».
En étant fortement éloignées des conceptions qui ont prévalu lors de la fondation de l’Ecole républicaine ( »refondation » ne signifiant nullement ‘‘restauration »…).Les programmes détaillés d’éducation physique signés par Jules ferry indiquent en effet que « l’éducation physique a un double but : d’une part fortifier le corps, affermir le tempérament de l’enfant, le placer dans les conditions hygiéniques les plus favorables ; d’autre part lui donner de bonne heure ces qualités d’adresse et d’agilité [...], particulièrement nécessaires aux élèves des écoles primaires, destinés pour la plupart à des professions manuelles ». En vertu de quoi, « sans perdre son caractère essentiel d’établissement d’éducation et sans se changer en atelier, l’école primaire peut et doit faire aux exercices du corps une part suffisante pour préparer et prédisposer, en quelque sorte, les garçons aux futurs travaux de l’ouvrier et du soldat, les filles aux soins du ménage et aux ouvrages des femmes ». *Par Claude Lelièvre (Globédia-07.08.2012.)
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*Le sport à l’école, côté anglais et français
Longtemps peu réputé pour la quantité et la qualité de son éducation physique, le système scolaire britannique évolue et le sport a enfin la place qu’il mérite dans les cours de récré, les gymnases et bien sûr, les parcs. A l’approche des JO, il est intéressant d’aller faire un tour dans les écoles pour comprendre comment l’éducation physique y est enseignée et quels sont les sports vedettes. Ainsi vous découvrirez les différences – toujours très grandes – entre le privé et le public en matière d’enseignement et de pratique des sports, l’influence toujours très marquée des classes sociales sur les types de sport pratiqués et enfin, à quel point le lobby sur l’amélioration des « school dinners », grâce au chef Jamie Oliver et sa fameuse émission de télé, Jamie’s School Dinners, et les campagnes contre l’obésité ont servi à la valorisation du sport à l’école
Deux contre trois
Mais tout d’abord, existe-t-il de grandes différences entre les systèmes français et anglais ? Alors que les directives nationales françaises imposent trois heures de sport par semaine à l’école, les Anglais n’en imposent que deux mais ces derniers recommandent fortement aux établissements scolaires de s’organiser pour que les enfants puissent pratiquer 5 heures de sport par semaine. Comment ? En développant des activités sportives, au sein de l’école, en dehors des heures de cours. C’est ce qu’on appelle les « before school clubs », « lunch clubs » et « after school clubs ». Dès 7h30 le matin, les écoles peuvent être ouvertes pour des initiations ping-pong, du badminton, de la gym etc… Côté activités extra-scolaires, les Britanniques ont incontestablement une longueur d’avance sur nous, même si les écoles françaises à Londres prennent elles aussi le pli, petit à petit.
Du « Schools Sports Partnership » à la « 2012 Olympic Legacy »
Jusqu’au début des années 2000, le système britannique n’était pas particulièrement réputé pour son enseignement de l’éducation physique. Les années Blair ont marqué un tournant dans la place des sports à l’école. En plus d’imposer un minimum de deux heures de sport par semaine, le gouvernement a développé un programme d’amélioration de l’enseignement du sport et de stimulation de partenariat entre écoles secondaires et primaires et organismes sportifs extérieurs. Il s’agit du « Schools Sport Partnership ». Outre la formation continue des enseignants du primaire par leurs collègues du secondaire, le partenariat a permis aussi l’introduction de nouvelles disciplines dans les écoles et de développements de compétitions inter-établissements. En quelques années, le sport à l’école prend enfin la place qui lui est dûe et des centaines milliers d’enfants ont accès à des sports qu’ils n’auraient jamais pratiqués en dehors de l’école. Les bienfaits de l’éducation physique sur la santé et le bien-être de l’enfant sont enfin acquis…
… Jusqu’à ce que la crise et la récession touchent la Grande-Bretagne et que le gouvernement de coalition décide de pratiquer des coupes sévères. Une de ses premières cibles : le Schools Sports Partnership. D’ici l’automne, ses fonds seront coupés et conséquemment, les écoles ne pourront plus profiter de cet apport extérieur. Elles devront puiser sur leurs propres budgets pour continuer à faire profiter leurs élèves d’activités sportives extra-scolaires. Dans une approche totalement à l’opposé du gouvernement précédent, l’actuel ministre de l’éducation, Michael Gove, déclarait à l’automne 2010 : « Nous avons l’intention d’encourager la pratique de sports plus compétitifs. La meilleure façon de créer un héritage olympique dans les écoles est de leur donner la liberté et des primes pour l’organiser d’elles-mêmes, plutôt que de passer par un programme centralisé ».
Côté privé
Mais ces dernières directives axées JO, la tendance aux sports de compétition et les coupes budgétaires n’affectent que le secteur publique. Dans les écoles privées britanniques, qui représentent à peine 10 % de tous les établissements scolaires anglais, mais qui forment toujours une grande partie de l’élite politique du pays, le sport a toujours tenu une place de taille. Et notamment les sports d’équipe et de compétition. Toujours au programme de ces écoles : le cricket et le rugby, sports qui par opposition au football, sont synonymes de classes sociales aisées. Cependant, les écoles privées évoluent aussi et se mettent, par exemple, au football !
De manière pratique, que vous choisissiez le système français ou anglais, en plus du volume horaire obligatoire en classe, votre enfant aura dans les deux cas accès à des activités extra-scolaires sportives (en majorité gratuites dans les écoles anglaises d’état et généralement payantes dans les écoles françaises) que l’établissement vous suggérera dès le début de l’année. Si les sports proposés ne tentent pas votre rejeton, regardez du côté des « community centres » et « sports centres » de votre quartier (dont vous pouvez vous procurer les adresses auprès des Councils). Sachez toutefois que si votre enfant envisage une formationd de type sport-étude au lycée, il n’y a pas d’équivalent national en Grande-Bretagne. Enfin, Londres est 10 fois plus étendue que Paris. Les espaces verts, même en plein centre, et les infrastructures sportives ne manquent pas, et particulièrement en ces temps olympiques, l’ambiance est définitivement au sport. (maman à Londres-08.07.2012.)
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