Femmes et modes
**Défilé algéro-français de haute couture à l’hôtel El Aurassi d’Alger
Froufrous de haut tenue
C’est sous le signe de l’amitié algéro-française que le défilé de haute couture, dédié à la maille créative des deux pays, a eu lieu, samedi 08.06.2013, à l’hôtel El Aurassi d’Alger, et ce, devant un aréopage d’invités de marque, notamment Mme Khalida Toumi, ministre de la Culture, et André Parant, ambassadeur de France.
Un événement initié et organisé par l’association France-Algérie Rhônes-Alpes, et ce, conjointement avec l’Agence algérienne pour le rayonnement culturel (AARC), le ministère de l’Industrie, de la Petite et Moyenne entreprise et de la Promotion de l’investissement, et l’Institut français d’Alger et dans le cadre du cinquantenaire de l’indépendance de l’Algérie. Baptisé «Lumière et Liberté», le défilé a présenté 9 stylistes français et algériens présélectionnés sur 35 candidats ,par un jury international ayant délibéré à Lyon et dont les membres sont : Mongi Guibane (couturier), Karim Sifaoui (couturier), Christian Johan Bégot (directeur de CJB), Isabelle Gleize (directrice de Village des Créateurs), Karim Sergoua (plasticien et designer), Patrice Giorda (artiste peintre) et Nathalie Chaize (créatrice de mode).
«La preuve par 9»
Les créateurs Adjili Fatima (France), Arciero Mehier Isabelle (France), Alioua Najib (Franco-Algérien), Fuchy Boris (France), Guellil Amor (Algérie), Guyot Sophie (France), Kirch Morgan (France), Wided Menaïfi Rym (Algérie) et Zazoua Hania (Algérie) avaient déjà présenté leur collection de haute couture au grand Salon de l’Hôtel de Ville de Lyon. Et là, à Alger, plus précisément à la salle El-Mawakif de l’Hôtel El Aurassi, c’est la réplique de l’événement qui s’est déroulée à Lyon. Dans ce cadre, le jury a décerné une distinction, le prix Créateur des deux rives, à Guellil Amor (Algérie). Cette rencontre des créateurs des deux côtés de la Méditerranée a été parrainée par Mourad Merzouki, danseur, chorégraphe de la compagnie Kafig, et également directeur du centre chorégraphique national de Créteil et sous la férule de Mme Yasmina Chellali, créatrice de mode internationale et doyenne des stylistes en Algérie.
Sous toutes les coutures
Dans un chassé-croisé incessant, des mannequins algériens ont paradé dur le catwalk où les maîtres mots étaient élégance et prestance. Tels sont les qualificatifs désignant le tour, pour ne pas dire les atours, des compositions des stylistes français et algériens, et ce, entre coupes et découpes. Aussi, les collections plutôt printemps-été ont mis en avant une dextérité, où la tunique noire la disputait au traditionnel karakou ou encore le patchwork chatoyant au velours râpé très années 1960 et même psychédélique. Où les robes dos nu, la minijupe et autre robe de mariée «customisée» rivalisaient avec le seroual nostalgique.
Bref, authenticité et recherche d’idées lumineuses et à la libre expression artistiquement, parlant. «Lumières et liberté ! C’est parce que l’artiste est guidé dans son inspiration et sa création par la lumière. Et la liberté, elle est le respect universel des droits de l’homme et de ses libertés fondamentales. Elle est l’intime respiration de l’artiste et de la singularité de sa création…», soulignera Mme Zohra Perret, présidente de l’Association France- Algérie- Rhônes-Alpes (Afara). *El Watan-25.06.2013.
**Lumière, grâce et liberté
Le public a pu enfin découvrir les modèles des neuf stylistes qui rivaliseront tous de beauté et notamment Grisaille du lauréat international, Gellil Omar.
Comme prévu, l’hôtel Aurassi a accueilli comme il se doit, samedi dernier, un grand défilé de mode sous le signe de la «haute confraternité et de l’amitié algéro-française». Placé sous le générique «Créateurs des deux rives. Lumières et liberté», ce défilé de mode haute couture a permis au premier lauréat du concours international Gellil Amord d’être récompensé dans son pays.
Cet événement réalisé en partenariat avec la ville de Lyon, l’Association France-Algérie Rhône-Alpes (Afara), l’Institut français d’Alger, le ministère algérien de l’Industrie, et le ministère de la Culture via l’Agence algérienne pour le rayonnement culturel s’est fait en présence d’un public nombreux et notamment sous le regard attentif de Khalida Toumi, ministre de la Culture et de l’ambassadeur français en Algérie. On déplorera, lors de la cérémonie de bienvenue, l’absence de Jean-Pierre Chevènement qui n’a pu venir. Cette soirée qui a permis de dévoiler de très belles tenues, témoins du savoir-faire des deux pays, a voulu souligner dit-on, la «coopération décentralisée entre Lyon et Alger dans le cadre du Cinquantenaire de l’Indépendance de l’Algérie, comme signe fort de dialogue entre les deux rives de la Méditerranée et ainsi, grâce à la mode, faire en sorte d’apaiser les relations bilatérales, sur le chemin de nos héritages culturels communs». Côté algérien, ainsi, cet événement avait comme commissaire le plasticien designer Karim Sergoua et côté français Christian John Begot et Isabelle Gleize. C’est la collection de Karim Sifaoui qui ouvrira le bal. Celle-ci présente des serouals ouverts, amples et généreux sur karakou. Puis, place aux robes déclinées sur une variété de ton vert.
Les filles marcheront toutes pieds-nus. Des tenues signées par le styliste français Guyot Sophie. Boris Fuchy Boris pour sa part a présenté des robes simples et épurées, rehaussées de chaussures argentées ou noires. Zazoua Hania alias princesse Zazou s’est nettement démarquée par ses tenues de ville décontractées, très agréables à porter en plus d’être regardés.
Les couleurs, les matières utilisées et les découpes nous font dire que la mode peut très bien s’accommoder de la vie de tous les jours et épouser notre bien-être, et ce, en se distinguant nettement des autres car étant résolument original et in.
L’on reconnaît d’ailleurs la touche de princesse Zazou par ces tissus patchworks qui constituent ces sacs en toile multicolore. Amor Gellili qui présentera juste après sa collection ne démérite pas puisque sa collection, bien que pas complètement novatrice, a été primée et récompensée sans doute pour le regard porté par ce jeune homme de 18 ans sur la mode. Voilà comment raconte-t-il le vêtement et sa collection: «J’ai nommé ma collection Grisaille car j’aime travailler sur ces instants graphiques. Après une pluie fine, il y a tout ce décor qui épouse la nature et ça crée un côté très graphique. J’ai voulu réaliser cela dans une conception couture mais insuffler aussi de l’architecture japonaise que j’ai essayé de faire en combinant beaucoup de matières et de contrastes avec l’ombre et la lumière.» Pour sa part, Manouba qui est passé en avant-dernier a séduit fortement le public par ses tenues à forte inspiration maghrébine entre tenue de Tlemcen et d’autres algéroises revisitées. Du traditionnel savamment revisité avec finesse, haute gamme. Enfin le clou de la soirée a été incontestablement cette robe nimbe de longs pans phosphorescents. En effet, le mannequin drapé dans cette belle robe glissant sur elle tel un avatar sorti d’un monde onirique, marchait dans la pénombre de la salle, avec assurance. Et la lumière fut à nouveau!
La soirée s’est clôturée dans une ambiance de liesse sur les airs de «Alaoui» du célèbre groupe ONB qui achèvera la soirée en apothéose, tout en rythme et en beauté. Pour rappel, ces candidats sélectionnés à l’issue du concours, ont déjà été invités à défiler le 28 mars dernier, dans le grand Salon de l’Hôtel de ville de Lyon. Ce second défilé de mode boucle la boucle de cette manifestation qui tend à promouvoir la mode et faire rencontrer les univers pour un meilleur échange artistique dans ce domaine qui ne demande qu’à évoluer en Algérie.*L’Expression-10.06.2013.
**Nouvelle collection flamboyante de la styliste Ismaa
La styliste Ismaa présente sa nouvelle collection de caftans. Ses oeuvres sont réalisées avec des matières nobles comme la soie, le satin ou la mousseline de soie. Un coup de coeur pour cette collection colorée et aérienne. Pour toute commande : robedusoir.net
*Ismaa, une styliste algérienne passionnée par le caftan
Cette algérienne de 21 ans vivant en France a décidé de se lancer dans le stylisme il y a 2 ans. Il a créé sa collection de robe de soirée et de caftan.
C’est sa mère qui lui a donné l’envie de créer ses caftans.
Ismaa : « Elle se faisait souvent coudre des caftans, des takchitas et j’aimais beaucoup la voir porter ces robes dans les mariages.
J’aime beaucoup voyager et je me rends régulièrement au Moyen Orient (Egypte, Syrie, Arabie Saoudite,…), ce qui m’a permis de m’inspirer des grands couturiers arabes tels que les libanais, saoudiens…
Ainsi, vous trouverez que mes caftans ne font pas totalement marocain. En effet, j’apporte une touche occidentale, moyen-orientale, et algérienne au caftan. J’aime mélanger les cultures pour obtenir un style authentique qui sort de l’ordinaire, et dans lequel les femmes du monde entier peuvent se reconnaitre. Dans toutes mes robes, on ressent ses influences diverses. D’ailleurs, ma clientèle se compose de marocaines, de françaises, d’algériennes (même d’Algérie) ou encore d’africaines.
J’utilise principalement de la soie pour la réalisation mes robes. Mais également des dentelles de calais, des tulles perlés, j’aime travailler des tissus inhabituels dans les caftans comme les mousselines de soie.Ce qui permet d’alléger la tenue et de la rendre plus adaptée à la vie moderne. Je modernise donc le caftan pour le même au goût du jour, sans pour autant totalement le dénaturer.
De plus, pour moi, mode ne doit pas rimer avec « nudité ». Beaucoup de stylistes croient que plus c’est découvert, plus c’est beau ou plus c’est tendance. Alors ce n’est pas vrai. Vous verrez que mes robes ne sont jamais trop dénudées. Même si les mariages chez nous ne sont en principe pas mixte, il y a tout de même un minimum de pudeur à conserver en ne découvrant pas les parties situées entre le nombril et le genoux. Bon nombre de mes robes peuvent se porter avec le hijab. »
Ismaa nous confie qu’elle compte ouvrir un showroom avec ses tenues et les robes présentées sur www.robedusoir.net à Paris l’année prochaine. Après cela, elle serai tenter de s’ouvrir à l’internationale. Etant donné qu’elle a beaucoup de clientes sur Alger, cette ville sera sûrement sa prochaine aventure.*source: dziriya.net
**La styliste Yasmina subjugue à l’hôtel Hilton-Alger
Une collection aux couleurs et aux parfums orientaux. Yasmina, cette grande dame de la haute couture algérienne, a toujours su de par son talent rassembler les foules au moment de ses défilés.
C’était le cas lundi dernier à l’hôtel Hilton d’Alger, où un monde impressionnant est venu découvrir ou se délecter de la collection de Yasmina. Preuve en est : ceux qui n’ont pas eu la chance d’avoir une place assise se sont contentés de s’agglutiner au fond de la salle pour suivre le défilé sur un écran géant. La soirée a été étrennée par la présentation de la nouvelle collection de Démétrios 2010 et Miss Paris, du groupe The ISG. Trente-sept tenues oscillant entre robes de cocktail, de princesses et de mariées, ont été présentées. Après une pause de quelques minutes où l’humoriste Abdelkader Secteur a amusé la galerie avec des sketches hilarants concoctés à l’occasion de la célébration de la journée internationale de la femme, place au somptueux défilé de mode de la doyenne de la haute couture algérienne, Yasmina.
Dix-sept modèles féeriques ont été exhibés au public. A travers des tenues rivalisant d’originalité et de création, Yasmina a convié plus d’un à un voyage initiatique dans les contrées de l’Algérie profonde. Les tissus soyeux aux couleurs chatoyantes ont donné plus de lumière sur le podium. Plusieurs régions du pays ont été revisitées avec des tenues féeriques, des bijoux targuis et baroques d’une grande valeur et toute une panoplie de chapeaux. Que ce soit le karako algérois, la robe chaouie ou encore la tenue traditionnelle du Sud, Yasmina a ce don de raconter à travers ses costumes une histoire se rapportant à chaque région. Ce sont en fait des costumes qu’elle modernise au temps présent et dont elle seule détient le secret.
En témoigne ce costume algérois brodé de pierres et de couleurs où l’on peut apprécier un karako mis sur un seroual en taffetas moutarde avec un gilet en velours grenat. Une autre tenue mérite une halte : il s’agit d’un karako perlé en mousseline rehaussé d’un gilet violet, porté sur un seroual lamé beige. La collection de Yasmina Chelali s’est déclinée en des tons gais, en l’occurrence l’orangé, le rose, la turquoise, le vert amande, le jaune d’or et de bronze. Des mélanges réussis de tons spécifiques à la tradition des peintres orientalistes. Si la présente collection est du déjà-vu, Yasmina s’en défend en disant, qu’ailleurs, les collections voyagent à travers le monde. Et qu’à chaque fois qu’elle défile, la moitié des gens restent dehors à cause du manque de place.
« En Algérie, ce ne sont pas toutes les algériennes qui ont eu ce plaisir de découvrir ma collection. J’attire la foule, et le public est à chaque fois différent. Les gens me reprochent souvent pourquoi ce favoritisme, mes collections ne se démodent jamais », argumente-t-elle. « Chaque robe doit refléter mon image de marque. Je réalise des vêtements particuliers pour des femmes particulières », nous confie-t-elle. Yasmina déplore le fait qu’en s’habillant en caftans marocains ou autres produits étrangers inondant le marché national, les Algériennes dénaturent le paysage de la mode.
« Dans notre pays, explique-t-elle, on ne s’habille pas algérien. Si tous les millions d’euros d’importation de marchandises provenant de certains pays étaient investis dans les industries textiles, on aurait, nous créateurs et stylistes, un rôle à jouer. On s’habillerait uniquement algérien, car un créateur ne peut pas avancer sans industrie textile et sans banque. Sa collection devient alors culturelle et non industrielle. » Selon elle, un couturier parisien débourse en moyenne un million d’euros pour les besoins de sa collection. Il se rattrape sur le prêt-à-porter, le parfum et les bijoux. « Il s’agit de toute une industrie textile et de grands financements qui suivent. Il faut avoir les moyens financiers et moraux pour créer en Algérie », dit-elle.
Si Yasmina a défilé à maintes reprises à l’étranger et à Alger, il n’en demeure pas moins qu’elle s’interroge sur le fait qu’aucun organisateur ne la sollicite pour défiler dans certaines wilayas du pays. » Je ne suis pas faite pour défiler uniquement à Alger. Je suis une inconnue dans mon pays. Pourquoi ne pas montrer mes collections aux femmes de Timimoun, de Tamanrasset ou dans un petit village, et pourquoi pas dans un stade où, sans restriction aucune, tout le monde pourrait assister à mon défilé. » **dziriya.net + El Watan
**Musée du Costume et de la Dentelle à Bruxelles
Le Musée du costume et de la dentelle de Bruxelles accueille, jusqu’au 2 mars 2014, une exposition consacrée aux collections des années 1970.
En effet, après l’exposition relative aux années 1950 en 2008 et 1960 en 2010, le Musée de Bruxelles propose, cette fois-ci, une exposition entièrement dédiée aux années seventies. Par définition, les années 1970 sont les influences hippies, la TV en couleurs, le disco, les sabots suédois… et les paillettes. Dans cette imposante exposition, on retrouve des pièces emblématiques, à l’image d’une robe en peau, une combinaison en lurex et des sabots compensés. Le musée dévoile, également, le quotidien vestimentaire d’une décennie.
Les bottes se portent avec le short et les robes chic deviennent chemisiers. Mieux encore, le perfecto se porte sur un t-shirt et les pièces de créateurs, comme Sonia Rykiel, font de l’ombre à la haute couture. Certains grands noms parviennent à adapter leurs classiques. Preuve en est avec Yves Saint-Laurent qui décline son tailleur en version jeans. Les années 1970 font depuis quelques années leur grand retour : tissus à fleurs, pantalons pattes d’eléphant, paillettes et robes dorées. Il suffit d’ouvrir les magazines de mode ou de shopper dans les boutiques vintage. Mais les années 1970 ne se résument pas aux hippies ou au disco…
Pour la première fois, la mode descend dans la rue. Elle révolutionne véritablement les codes sociaux. Le jeans, véritable uniforme de l’ouvrier, devient le vêtement indispensable de la garde-robes tant masculine que féminine. De nouvelles matières, comme la fibre synthétique ou le vinyl, se répandent largement. Les couleurs flashy côtoient l’argenté et les strass .
A travers une scénographie inspirée par l’époque, le Musée du costume et de la dentelle présente ses collections années 1970. Pour la première fois, un parcours spécialement dédié aux enfants accompagnera les visites en famille. Tout au long de l’exposition, de petites boîtes malicieuses renferment une information adaptée aux enfants ainsi que des tissus à toucher. Un jeu parcours gratuit animera aussi leur visite. Enfin, ils peuvent se déguiser dans le style seventies et se faire photographier par les parents.*El Watan-15.06.2013.
**Les femmes s’habillent mal aujourd’hui
Barbara Hulanicki, 77 ans, créatrice des magasins Biba dans les années 60, estime que les femmes s’habillent mal aujourd’hui. « Je pense que les gens sont trop préoccupés par la mode. Elles ont des armoires ennuyeuses parce qu’elles doivent suivre la mode. Parfois, ça serait bien de porte ça! »
Elle admet que c’est plus difficile de s’habiller parce que les boutiques sont saturées de vêtements tous identiques. « C’est difficile de savoir quoi porter. Donc je porte toujours du noir. »* 7s7 –20.06.2013.
**une combinaison étonnante et franchement moche
La chanteuse anglaise Eliza Doolittle surfe sur la tendance des découpes dans le tissu. Elle portait une combinaison étonnante et franchement moche lors de la soirée d’été organisée par Esquire.
La jeune fille de 25 ans portait une combi pantalon en satin noir qui présentait des trous gigantesques sur le côté droit de son corps ainsi que sur ses bras. L’occasion pour l’assemblée de constater qu’elle ne portait pas de petite culotte…* 7s7 – 30.05.2013.
Les femmes françaises ne savent pas s’habiller?
Pourquoi en France, les femmes s’habillent toujours avec des jeans et du noir? eh oui, c’est parce qu’elles ne sont pas très féminines, pour elles, c’est trop compliqué de savoir combiner des couleurs, les accessoires? elles ne savent même pas ce que c’est. Et si on met une jupe? ou une robe? ufff, elles n’osent pas.
ah oui, si elles mettent deux couleurs sont: le blanc avec le noir !!! hahahah comme Michael Jackson.Bref, je fais un appel, comme espagnole, aux femmes ici comme dans autres pays du monde (ne parlons pas des anglaises!!,encore pire!), faire un tour en Espagne voir des belles femmes habillés en femme.*Réponse-Yahoo pour elles
**Détails supplémentaires- C’est vrai qu’il y a des bons couturiers en France, comme en Espagne, mais, en France,on ne vois nulle part des femmes bien habillées ni bien coiffées.Ce n’est pas seulement mon avis, c’est une réalité,constaté et vérifie par des médias du monde entier.Les anglaises, les pires!eux, avec un t-shirt,ses chaussettes et sandales..s’il fait froid, on ajoute un pull !!!!
**Tu as raison. Tous les espagnols (et portugais, italiens, suédois, anglais, etc.) le remarquent. Même les français, tu as vu que pour dire qu’il y a beaucoup du monde on dis en français « beaucoup de noir »? J’avais bêtement demandé pourquoi, et on m’a dit, c’est clair, la plupart de gens s’habillent en noir, donc quand il y a beaucoup de personnes, on voit une grande masse noire…
Et pour les filles, ni se maquillent, ni se dépilent, ni vont au coiffeur ni se coiffent. Je n’ai marre de voir la typique fifille parisienne qui se la joue chic et pro en costard noir et avec ses barrettes dans ses cheveux mal coiffés et sales.
**En France il y avait des couturiers réputés mais aujourd’hui ce n’est plus un pays à la mode, bien au contraire, le paradigme du vieux ancien bourgeois ruiné qui à pellicules, poudre et bien démodé qui se la pète encore d’être ce qui peut etre va etre des dizaines d’ans avant.
Les parisiennes sont affreuses, sans épiler, sans se maquiller, sans se parfumer, sans se coiffer et s’habillent mal, toujours en copiant comme des snobs l’avis d’une personne illuminé que ne leur propose que du gris, du noir, du large. Si elles étaient moins snobs elles auront la chance d’apprendre un jour à combiner et à bien s’habiller comme leurs voisines portugaises, espagnoles, italiennes grecques ou encore comme les filles des pays nordiques.
**loll » jeans, noir, blanc, pas de jupes ni de robes « ?… t’as pas dû en voir beaucoup des femmes françaises
**les femmes s’habillent surtout comme elles ont envie et dans des fringues qui leur plaisent
**Pas grave, ce qui nous intéresse, c’est de les déshabiller…
*source:Réponse-Yahoo pour elles
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*L’extravagance vestimentaire prend une allure débordante et choquante.
*on dit souvent l’abus conduit à nuisance
La manière de s’habiller des filles d’aujourd’hui fait jaser. Bien de gens considèrent que cela heurte les us et coutumes du pays.
Faut-il attaquer nos mœurs. Il est vrai que le phénomène est considéré de nos jours comme une mode, on dit souvent l’abus conduit à nuisance. C’est exactement le cas actuel en Guinée. L’extravagance vestimentaire prend une allure débordante et choquante.
En effet, y a-t-il aujourd’hui une fille à Conakry ou dans le reste des grands centres urbains du pays qui n’a pas de pantalons dans son armoire ? Empressons-nous de répondre par la négation.
Le phénomène pantalon serré, jupe en fente béante, gagne du terrain. Là-dessus et sans risque de se tromper, on peut affirmer que les filles et mêmes certaines grandes dames portent beaucoup plus leur choix sur ce type d’habits en lieu et place des pagnes.
Mais pour lever l’équivoque, précisons tout de suite que le pantalon et la jupe en soit ne sauraient certainement être un problème.
Seulement, ce qui blesse la morale c’est quand nos sœurs exhibent leurs parties les plus sensibles.
Pour certains, cette pratique est une simple imitation, par contre, d’autres pensent qu’il s’agit d’un acte lucratif. C’est un peu le risque du pêcheur qui prépare un joli appât pour aiguiser l’appétit du poisson.
Regardez au tour de vous, voyez-vous ces filles qui portent des pantalons qui laissent leurs fesses presque toutes nues ?
On voit cela partout à Conakry, dans les rues (lorsqu’elles montent ou descendent d’un véhicule, d’une moto), au marché, entre amis. Qu’elles se courbent ou pas vous n’avez pas à fournir d’effort pour connaître la couleur de leurs slips. Le phénomène est banalisé à tel point que voir les vergetures et autres colliers de hanches d’une femme ne semble plus être un péché en Guinée. On s’en est tellement habitué que l’habitude risque de se transformer en mœurs. Le tout, au vu et au su des responsables du pays. D’ailleurs, qui peut parler à qui ? Surtout quand la pratique s’est dilatée et a atteint des familles jusque là considérées comme gardiennes des traditions et respectueuses des principes religieux.
A ce jour, seuls quelques rares coins de Kindia et de Kankan semblent avoir osés interdire le port des pantalons par les filles. Dans ces endroits, toute fille qui s’évertue à enfreindre à cette décision s’expose à des bastonnades et autres amendes. Dans la plupart des autres préfectures c’est le laisser qui domine.
Des femmes ou filles se promènent montrant leurs postérieurs presque nus, quand ce n’est pas les seins, le dos, le ventre, le nombril qui sont au dehors.
Ces filles ou dames ont de noms spécifiques en eux : DVD (dos et ventre dehors), CND (cuisses, nombril et dos dehors), CSD (cuisses et seins dehors).
A Conakry malgré la gravité et les conséquences néfastes de l’extravagance vestimentaire, aucune décision ne se pointe à l’horizon.
Cependant, si la Guinée est réputée championne dans l’art d’étouffer les textes de lois, les deux religions (l’Islam et le Christianisme) pourraient être les seuls espoirs ou recours afin de mettre fin à ces insanités qui affectent dangereusement l’éducation des générations futures. De facto, si on n’en prend garde, la Guinée comme le soutiennent certains ‘’excellente dans tout ce qui est mauvais’’ risque de n’avoir sur son sol que des habitants à l’image des hommes en costumes d’Adam. Décidément de part les temps qui courent et les bonnes habitudes vestimentaires qui disparaissent, l’on tend à donner raison à l’historien qui disait que ‘’l’histoire est un circuit fermé.’’ Autrement dit, l’on revient toujours à ces anciennes habitudes. Dans ces cas d’espèce, il s’agit du retour à la nudité.*laplumeplus.canalblog-samedi 2 avril 2011
Moussa Kaba L2 Sociologie à l’UNIC de Lambandji
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*Nos jeunes sœurs, habillez-vous décemment avant de quitter la maison
Beaucoup de nos jeunes soeurs s’habillent aujourd’hui très mal. Et parfois, le comportement choque beaucoup, car certaines parties intimes de la femme sont exposées au grand public.
Nos sœurs ne cachent plus rien: les seins, le slip, les perles etc…On laisse tout à la portée du public.
« Je vous avoue que nos sœurs s’habillent très mal. Parfois, je suis gênée quand je vois certaines filles en ville dans leur accoutrement. C’est vraiment déplorable », regrette Aline, revendeuse de tissu pagne au grand marché.
« Mes sœurs, surtout les filles ont complètement enterré nos valeurs. Entre-temps, on faisait de jolis modèles avec des tissus pagnes. Aujourd’hui, elles aiment copier les blanches. Ainsi, elles vont dans la friperie se ravitailler en fonction des modèles qu’elles ont vus à la télévision, notamment dans les feuilletons. On laisse voir complètement les seins, les cuisses également exposées aux passants », souligne Aline.
« Il y a maintenant une nouvelle mode. Les filles s’habillent maintenant sans mettre de slip. Pire encore, elles portent des collants qui montrent clairement qu’elles n’ont pas mis de slip. J’ai parfois peur, quand je rencontre certaines filles en ville. Elles me font vraiment pitié, parce que rien ne les différencie des prostituées », renchérit Essé, couturière.
« La femme africaine a ses valeurs et nos coutumes et nos traditions ne nous permettent pas de faire certaines choses. Aujourd’hui, les filles exagèrent dans leur habillement, bref elles s’exposent comme des marchandises. Nous devons nous sensibiliser, car nous ne savons pas ce que l’avenir réserve à nos enfants (filles) qui vont grandir. Je demande si elles vont sortir complètement nues », s’inquiète Essé.
Pour certaines personnes âgées interrogées par l’Agence Savoir News, le travail d’éducation et de sensibilisation doit se faire dans nos familles, car les filles qui s’habillent de cette manière quittent d’abord leur domicile.
« Je suis écœurée quand je vois ces genres de scènes en ville: des filles qui s’habillent les perles exposées, la poitrine à la portée du public etc…. Je me demande si elles n’ont pas de parents. Car, mes enfants ne peuvent jamais sortir de la maison de cette manière », affirme dame Akué, 62 ans, institutrice à la retraite à Lomé.
« A mon avis, ce sont les parents qui ont démissionné, ils ne jouent plus leur rôle d’éducateurs. Dans les ménages, les parents ne s’occupent plus tellement de l’éducation des enfants. La pauvreté aussi fait que certains parents n’ont plus d’autorité sur les filles. Nos sœurs sont laissées à elles-mêmes. Oh Dieu, veille sur nous! », s’écrit la vieille.
Vendredi dernier, une jeune fille – 24 ans environ – a été proprement huée au carrefour Deckon, la plupart de ceux qui passaient n’ayant pas supporté son habillement.
Elle avait porté un petit short et un tee-shirt noir vraiment décolleté, qui laisse entrevoir le haut de ses seins. Ce qui a le plus choqué, c’est qu’elle a une forte poitrine. Donc les seins étaient pratiquement exposés au public.
Mais elle en a eu pour son compte, car certains zémidjans n’ont pas raté l’occasion. Certains l’ont même suivie sur près de 200 mètres, avec des klaxons, si bien qu’elle était obligé de virer dans une petite rue.
« Quand une fille n’est pas bien éduquée chez elle, la rue va l’éduquer. Aujourd’hui, nos filles nous font voir de toutes les couleurs. Il faudrait que les jeunes garçons se mobilisent dans la ville pour décourager ces filles qui s’habillent de cette manière. Une fois que deux ou trois d’entre elles sont fortement huées en ville, elles vont cesser, car elles savent bien ce qu’elles font. Parfois, c’est leurs mères qui les encouragent, sous prétexte que leurs filles sont civilisées », souligne dame Adjoua, vendeuse de Ayimolou. FIN*Edem Etonam EKUE-Source : SAVOIR NEWS-[8/27/2012
**Sénégal: ces femmes qui s’habillent sans dessous!
Le slip est un sous-vêtement de référence. Jadis prisé par les jeunes, dorénavant on constate que son port est de plus en plus banalisé. Certains pensent que le fait de ne pas le porter est une mode alors que d’autres y voient une mauvaise habitude.
Faisant partie de notre premier vêtement dès la naissance, le slip nous a été imposé, en partie, par nos parents. Ces derniers pensent que c’est une bonne chose de le porter. A les a en croire, sans le slip, on a l’impression que nous sommes nus, quel que soit l’habit que nous portons. Le slip fait donc partie de notre habillement d’autant plus que nous lui sommes habitués depuis le bas âge. Toutefois, d’après un constat fait par Grand-Place, les jeunes d’aujourd’hui, plus particulièrement les jeunes filles, une fois atteint un certain âge, ont tendance à banaliser ce sous-vêtement. Si d’aucuns continuent à le porter, d’autres ne le font plus du tout ou le portent seulement en cas de besoin. Et chacun cherche à justifier son choix.
Les raisons du rejet du slip par certaines jeunes filles sont diverses. Aïda est une jeune étudiante trouvée à son école, en pantalon jean taille basse et en body. D’après elle, le slip est gênant et il est impensable qu’elle le porte. «Quand je porte un slip, j’ai l’impression que mon bas est emprisonné. Il me gêne, je ne peux pas me mouvoir avec aisance. Et si je le porte, j’aurai tout le temps envie de le réajuster, c’est pourquoi je n’en mets pas», se justifie-t-elle. Elle poursuit : «Pour moi, ce n’est pas une mauvaise habitude, mais je dirais plutôt une mode et un choix, chacun est libre de s’habiller comme il veut. Je porte le slip uniquement quand je vois mes menstrues», affirme-t-elle.
Une femme ne doit pas porter un slip chaque jour, mais…
Cette jeune mariée, Marème Tall, trouvée à son domicile sis à la cité gendarmerie de Jaxaay (Keur Massar), a un avis mitigé sur le port du slip. Elle fait savoir que le port de ce dessous dépend du climat. «Il est vrai que c’est de la perversion de ne pas le mettre. Mais, une femme ne doit pas porter un slip chaque jour, ce n’est pas bon, cela provoque des infections vaginales, surtout quand on ne prend pas le soin de le sécher au soleil. Normalement, une femme ne doit porter de slip que quand elle voit ses règles», soutient-elle.
Toujours sur la même lancée, elle estime qu’il n’est pas possible de porter un jean avec en dessous un slip. «Porter un jean et y ajouter un slip, c’est du suicide. Un jean sans slip peut te donner une infection vaginale», prétend-elle. À l’en croire, les médecins interdissent son port en état de grossesse. «Aux femmes en état de grossesse, les médecins interdisent le port du slip. Mais, si une jeune fille doit porter un slip chaque jour, elle doit le repasser ou le sécher au soleil», explique Marème. Elle estime par ailleurs que l’absence du slip en tant que tel n’est pas mauvaise. «C’est la façon de le faire qui est mauvaise. Tu peux ne pas porter un slip et le remplacer par un bas avec un justaucorps décent». Elle va plus loin en faisant savoir que nos mamans ne connaissaient pas de slip. «Auparavant nos mamans et grand-mères ne connaissaient pas le slip, mais n’empêche qu’elles portaient des habits décents et personne ne savait qu’elles n’en avaient pas mis», confie Marème.
Elle ne pense pas porter un slip quand elle est chez elle
Quant à Dygaye, jeune sage-femme rencontrée dans la rue, elle ne fait pas bon ménage avec le slip et n’en fait pas tout un drame. «Si je ne porte pas de slip, je suis plus à l’aise. Et surtout quand il fait chaud, n’en parlons même pas. Je ne pense pas le porter. Mais, quand je suis en jupe, je me sacrifie juste pour des instants et je m’en passe», confie Dygaye. Elle avance plus loin, mais avec une petite contradiction de ce qu’elle a avancé en premier. «Si je dois sortir, comme pour aller en ville tout en sachant que je dois emprunter un bus, je le porte parce que c’est plus respectueux et plus sûr. Imagine une jeune fille sans slip se déhancher en ville et que ses règles surviennent en cours sans qu’elle s’y attende, les autres pourraient penser à un avortement. On ne sait jamais, je ne prendrais jamais se risque», rassure-t-elle. Elle dit savoir nettement que c’est une mauvaise habitude, mais n’empêche que, parfois, elle n’en porte pas. Pour son conseil en tant que sage-femme, elle invite les jeunes filles à en porter, surtout quand elles sortent de chez elles. «Parce que la tentation est partout et que chacun de nous doit se protéger et de la tentation et des infections vaginales. Car, sans slip, on peut attraper n’importe quoi. Et pire encore, les jeans sans slip, c’est à revoir».
QUESTION DE MŒURS ET D’HABITUDE
Impensable de sortir de chez elles sans slip ni…
Trouvées à leur école, Bandé et Byba discutent gaiement tout en prenant leur petit-déjeuner. Interpellées sur le port ou pas de slip, elles sont catégoriques, ne pas porter un slip c’est de la provocation pure et simple, et elles ne pensent pas sortir ni rester à la maison sans slip. «Ce n’est pas bien parce que c’est une mauvaise habitude. Je ne peux pas concevoir qu’une femme s’habille sans slip», affirme Bandé. Selon elle, le slip est indispensable à la jeune fille, parce qu’il fait partie de notre acquis. «C’est un manque d’éducation, mais on ne peut forcer personne à le porter. Je ne pense pas sortir de chez moi sans slip, même pas en rêve. Le slip nous a été inculqué depuis le bas âge. On ne peut pas s’en passer», estime-t-elle.
Byba appuie son amie en disant que c’est une mauvaise habitude. «Une fille sans slip, c’est comme une maison sans toit. Une femme ne devrait pas sortir sans slip. Si on parle de slip, on fait allusion aux femmes. Donc, elles ne devraient pas s’en passer. Une femme respectable doit toujours porter un slip n’importe où et n’importe quand», martèle Byba.
LES GRACONS JUGENT
Demander à sa petite copine de lui rendre visite sans slip
Pour Joe, c’est à cause des jeans que les jeunes filles mettent qu’elles ne peuvent pas y ajouter de slip. «C’est simple, si les filles ne portent pas de slip, c’est à cause des jeans qu’elles portent et c’est une mauvaise habitude. Ce n’est pas bien, c’est de la provocation. Et pire, si elles s’assoient, une partie de leur intimité est devinée, parfois même en étant debout dans les bus». Il y trouve un manque de respect total pour la société et une atteinte aux valeurs culturelles. Pour illustrer son propos, il raconte une anecdote : «Un jour, à bord d’un bus, j’ai vu de mes propres yeux un homme jouir sur les fesses d’une jeune fille. La fille croyait que c’était à cause du monde que le garçon s’est positionné de cette façon derrière elle. Mais, le jeune homme avait d’autres intensions. Il s’est approché d’elle exprès pour se masturber sur la fille sans slip avec un pagne léger. Il a fini par jouir sur les fesses de la jeune fille. Quelques instants après, une dame fait remarquer à la fille les souillures que le lubrique lui a laissées. La fille rétorque par une injure contre l’homme qui était descendu juste après son acte. Malheureusement, la fille a eu la honte de sa vie et elle est descendue avant sa destination», confesse-t-il.
Mais, notre ami ne va pas en rester là, il nous laisse entendre que sa copine est libre de porter sa petite culotte ou pas, mais il aurait préféré qu’elle n’en mette pas. «De préférence, je veux que ma copine vienne chez moi sans slip», dit-il.
Jamais de slip sur demande du copain
Hamed condamne le non port de slip par une fille. «C’est une mauvaise habitude et cela se constate à distance à cause du balancement des fesses», commente-t-il. À l’en croire, les filles ont tendance à ne pas porter de slip pour uniquement faire plaisir à leurs copains. «Certaines filles ne portent pas de slip, parce que leurs copains le veulent ainsi», affirme-t-il. Il qualifie cet acte de «dég ndigal rék» de leur part, comme si leurs copains sont leur mari. Pour ensuite poursuivre que «moi, quand ma copine vient à la maison, elle porte trois slips au cas où je tenterais quelque chose», se glorifie Hamed. «C’est une mode pour les filles d’aujourd’hui, parce qu’elles sont perverses. Les Européens les ont désorientées, elles n’ont aucun respect pour les autres et oublient que nous avons nos réalités. Elles ne calculent pas qu’une fois dans les bus, elles peuvent trouver des hommes qui ont le même âge que leurs grands-pères ou leurs pères», s’indigne-t-il.
Quand le slip provoque
Alou est à son école. Pour lui, c’est aussi une mauvaise habitude estimant que les filles sont à l’origine des maux de notre société. Selon lui, à cause d’elles, les viols augmentent de plus en plus et l’adultère aussi. «Ne pas porter un slip, c’est de la provocation. Non seulement elles ne portent pas de slip, mais de plus, leurs vêtements ne sont pas décents. Elles savent très bien que les hommes sont faibles quand ils sont confrontés à ce genre de situation. Parfois, si tu vois une jeune fille sans slip, ton esprit peut aller loin, jusqu’à imaginer des choses inhumaines comme le viol ou l’adultère», déplore Alou.
ORIGINE
Pourtant, ça a d’abord été un objet de mode
Le slip apparaît dans la première moitié du XXe siècle, chez les Occidentaux. Quant au mot «slip», il apparaît pour la première fois sous son acception de sous-vêtement le 20 septembre 1913 dans la revue L’Illustration pour désigner «une culotte ou un caleçon très court».
Dès lors, le slip devient le sous-vêtement de référence et peu à peu un objet de mode. Donc, son port n’est pas obligatoire. Porter ou non un slip n’est ni une mode, ni une mauvaise habitude, mais plutôt un choix. Quoique nous ayons grandi avec, parce qu’on nous a inculqué son port, dès notre bas âge.*senegal-24.com-29 MAI 2014
**des sanctions aux femmes qui s’habillent de facon provoquantes
*commentaires d’internaute: Bonjour, hier en allant faire des courses a l’hypermarche du coin , j’ai ete choque de voir une jeune femme , habillee de facon provaquante,….
c’est a dire qu’elle avait un petit haut bustier qui laissait depasser et gonfler ses seins a la vue de tout le monde….. seule la partie basse etait cachee
les bout des tetons se voyaient …..,
Donc cette demoiselle etait toute fiere d’exposer sa poitrine a la vue de tout le monde, mais si on avait le malheur de la draguer ou de l’aborder , tout de suite la demoiselle devenait subrepticement une prude sainte nitouche du style : je ne suis pas celle que vous croyez…..
moi je m’insurge contre cette provocation visuelle d’un cote et l’hyppocrisie feminine qui en decoule ….
Voila ca serait bien qu’on mette le debat sur la table…..,
par ce qu’il y en a marre dans ce pays que ce pays que les femmes usent et abusent de leur pouvoir de seduction et de provocations cionsciement et qu’ensuite ‘elles viennent jouer les vierges effarouchees hyppocrites qui n’assument pas ou bien qu’elles vous jettent comme un malpropre des qu’on les aborde.*forum.aufeminin-15/05/09
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*Pourquoi les femmes qui s’habillent de manière affriolante s’indignent qu’on les tripote un peu?
**quand on vit en société, on doit se soumettre aux principes la régissant. la femme qui y vit doit donc observer un comportement digne respectueux. elle doit notamment éviter de se dévaloriser en montrant les parties de son anatomie qui seraient susceptibles d’exciter les hommes qui auraient bien du mal à contrôler leurs primaires instincts. je pense les femmes qui s’habillent de manière à aguicher sont considérées comme des culs, des femmes faites exclusivement pour la satisfactions des pulsions sexuelles. Cela est bien regrettable car la femme est bien plus qu’un trou.
les hommes vont secrètement si ce n’est ouvertement mépriser les femmes qui, impudiquement, « se font plaisir » en s’habillant sexy. ils les méprisent car elles sont facilement abordable, sans mystère, sans charme et sans grâce. elles ne sont que des objets dédiés à plaisir masculin.
**La femme est une énigme , seul l’engrosser est un semblant de solutions . Pour cela faut se marier à une vièrge sinon t’auras que des bàtards à la maison . La vraie femme se fait belle pour son mari et quand elle sort dans les rues elle se voile , comme le font nos soeurs que ce minus de st paul a marié à dieu lui meme !!!
Quand à celles qui s’habillent de manière affriolante et qui s’indignent de se faire tripoter, elles ont inventé la » charte des droits de l’homme » , tu sais que tripoter peut mener en prison…
**Tes interventions auprès des réponses des internautes sont amusantes. Lire en gros que les femmes qui s’habillent de façon mini ou aguicheuse, ne sont pas respectueuses d’elles-mêmes donc tu ne vois pas de raison de les respecter. Faut-il donc que toutes les femmes s’habillent en none ou qu’elle revête la burqa pour s’assurer du respect des hommes? Tu réponds toi-même à la question: quand on vit dans une société, on doit en respecter les règles. Qu’une fille s’habille mini n’est pas interdit même si cela choque ta pudeur. En revanche, la tripoter sans son consentement est purement et simplement prohibé. Donc conforme tes actes à tes paroles.
Une fille est habillée de façon aguicheuse? Mais ta réaction (le tripotage) en dit plus long sur toi-même, ta libido non contrôlée, ton manque de respect et de contrôle de soi que sur la fille. Quand un riche arrive avec une voiture ostensiblement chère est-ce un appel au vol pour tous les indigents du coin? Il y a certes un côté obsène à la chose, mais aucun appel au vol. La morale qui nous enjoint de ne jamais traiter autrui comme un moyen n’a pas seulement la valeur négative d’une interdiction, mais la valeur positive d’une sublimation de sa propre existence. En effet, pouvoir réprimer ses instinct par respect pour autrui, pouvoir sublimer ses actes en leur conférent une valeur morale c’est être proprement humain.
On risque aussi de se dire que tu utilises l’excuse des tenues affriolantes des filles pour laisser libre cours à une libido illégitime envers des femmes qui sont (je te le rappelle) des être humains doués de conscience et de raison, comme toi. Il existe des êtres qui sautent sur toutes le femelles que leur libido peuvent « désirer »: les chiens en sont de bons exemples. Alors quoi? Tu veux être un chien ou un homme? Car ce n’est pas des filles et de leur manières sexy qu’il s’agit en fait dans ta question, mais de toi-même et de la valeur de ton action. Alain disait que l’action compte double: « l’action change la situation et te change toi-même. Le bûcheron fend l’arbre et se fait les bras ». La façon dont tu traiteras ces femmes sexy (pour faire court) te changera et ton manques de respect risque de faire de toi un chien. Ces fille sexy sont peut-êre pour toi l’OCCASION de devenir meilleur, en maitrisant tes instincts et en sublimant ton action.
**Oui, chaque femme a sa propre façon de séduire, s’habiller de cette façon (affriolante) c’est pour appéter quelqu’un, si c’est le cas contraire, c’est pour être tripotée.
**Quand une femme s’habille d’une manière provocante, elle ne doit pas s’opposer aux tripotes des hommes.
**Les femmes s’habillent selon les modes mais elles ont droit au respect et la paire de claque est tout à fait justifiée. Expliquez-moi, qu’est-ce une tenue affriolante et je me permets de vous rappeler que nous ne sommes plus au 19ème siècle pour le cas ou vous ne le saviez pas. Quand au respect, chacun balaye devant son pas de porte !
**Soit elle a juste chaud et ne se doute même pas de l’effet qu’elle provoque,
soit c’est pour aguicher un homme en particulier (son copain, futur copain ou un homo qui n’en a rien a battre),
soit elle aime être admiré mais ne veux pas aller plus loin (on peut toucher mais qu’avec les yeux, lol ),
soit elle veux faire des rencontres mais tu n’es pas a son goût,
soit c’est pour aguicher tous les hommes qu’elle croise, mais c’est pas gratuit.
source:Questions-Réponses-Yahoo
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Pourquoi les femmes s’habillent très sexy meme quand il fait froid que cherchent t-elle?
**chez beaucoup parmi elles, ca fait meme pétasse… je ne comprend vraiment pas leur attitude
**Les femmes (la plupart) aiment être regardées par les hommes (les beaux si possibles), ça flatte leurs égo.
Le problème c’est qu’elles ont un égo surdimmensionné et qu’elles deviennent ultra narcissiques, et le pire c’est que ça devient pour elles une vrai drogue
**Après le pourquoi du comment les femmes s’habille pétasse pour plaire? c’est peu être parce que personne n’a osé leurs dire que c’était vulgaire ou alors qu’elles veulent jouer de leurs atouts jusqu’au bout en dévoilant pas mal leur corps!
**Elles font comme elles veulent finalement ! ça s’appelle la liberté non ?
**Elles ont juste besoin de votre regard sur elles pour se sentir à nouveau belles et désirées ou pour se convaincre qu’elles aussi sont capable de faire tourner des têtes. Une chose est sure, elles ne passent pas inaperçues!!!
**Elles cherchent à se faire remarquer. Et après, elles se plaignent d’être harcelées, voire agressées.
**c’est vrai que j’en ai vu pas mal cet hiver en minijupe-talons aiguilles dans la neige. C’est, hum… particulier.peut-être qu’elles voudront réchauffer les hommes et être réchauffées par les hommes???!!!!
**soit par : désir ardent de fonder un foyer …ce qui est légitime-soit par un désir ardent éphémére tout court .
**la preuve ….sortir trés peu habillée en plein hiver !!! faut le faire
**c’est pour effrayer les oiseaux, ou pour aérer les engins
**Je pense qu’elle veulent juste se sentir apprécier elles ne le font pas toujours pour s’attirer des mauvais regards. Elle en ont le droit c’est à chacune de respecter ses limites.Et pour WARWICK les filles ne sont pas toutes pareilles et ne passent pas toutes leur temps à critiquer les autres sachent qui y en a qui en ont dans la tête pour s’en donner à ces choses inutiles
**Les meufs toutes pareilles : vous passez votre temps à critiquer les autres girls ; trop pétasse, trop coincés, trop moche, trop conne…….. tssssssssssss
**Une des premières causes de ce qui s’appèle déjà un Désastre est que la mère de ces jeunes filles n’avait souvent pas 20 ans lorsqu’elles sont nées. Ces jeunes mères n’ayant pas eu de jeunesse « libre » pour se distraire, ont souvent confiées leurs bébés à gauche et à droite pour aller « s’éclater » !
Et elles n’ont pas eu l’occasion de transmettre à leur(s) fille(s) ce qu’elles n’ont pas apprises.
**source:Questions-Réponses-Yahoo
**Je suis vendeuse dans une grande galerie et j’ai remarqué qu’il y’avait pas mal de dames de plus de 40ans qui s’habillaient et se maquillaient comme des minettes de 20ans?
**de ce que tu appelles s’habiller comme une minette de 20 ans. C’est sur que le string qui dépasse du jean, c’est déjà ridicule à 20 ans mais alors à 40, c’est pire.
Mais sinon je vois pas ou est le problème. Tu as des filles de 20 ans qui font déjà memère.
Sinon, une belle femme de 40 ans peut s’habiller sexy sans problème.
**Je crois que cela dépend de la personnalité de la personne. Il y a des jeunes de 20 ans qui se sentent vieilles et des femmes de 40 qui se sentent jeunes tout est dans la tête après si le reste suit , ya pas de souci.
**On peut être élégante, une élégance adaptée à son âge et sa silhouette, sans se transformer pour autant en « mémé ». Il y a des styles intemporels aussi. Une jupe fluide et froufroutante, des imprimés mode…. se portent aussi bien à 23 ans qu’à 43 ans…
L’hiver dernier, c’était la folie des jupes à volants, aux chevilles, en velours, en panne de velours, on les trouvait aussi bien dans les magasins pour « jeunes filles » que dans les magasins pour femmes plus âgés, et bien ça va à tout le monde ça. Portée avec des bottes, et un petit haut, ces longues jupes (avec parfois jupons en dessous) donnaient un look tout à fait « mode » aux femmes de 50 ans et un look romantique aux femmes de 25 ans
Les machins en stretch brillant et en lycra truc bien synthétique et vulgos ça ne va à aucun âge de toutes façons.
*Le droit à la différence?
Entre les manifestations pour le mariage pour tous et les manifestations contre, entre les militants pour l’égalité homme/femme et les dénonciateurs de ce qu’on a appelé péjorativement et à tort la « théorie du genre », on a du mal à s’y retrouver. La journée des droits des femmes n’a pas été pour clarifier les choses : au même moment et pour une même idée d’égalité, deux manifestations, pas l’une contre l’autre mais opposées quand même, ont eu lieu dans la capitale française. Après des années de non-droit et d’absence de statut civil, après avoir connu les succès que nous lui connaissons (droit de vote en 1944, droit des femmes mariées à exercer une profession sans l’autorisation de leur mari en 1965, loi Veil pour l’IVG en 1975) et qui, ne l’oublions pas, sont très récents, la défense des droits des femmes connait le troisième temps de son évolution : la défense du droit de choisir un mode de vie qui paraît discriminant à d’autres femmes.
Le journal Libération s’arrête sur cette diversité des mouvements féminismes. Il faut savoir qu’aujourd’hui de nombreuses personnes, dont des femmes, se refusent à dire qu’elles sont féministes pour ne pas être assimilées à certains débordements haineux envers les hommes qui ne veulent pas l’égalité homme/femme mais la supériorité femme > homme (inversement de la domination masculine traditionnelle). C’est d’ailleurs le cliché de la féministe. Mais en général, ces mêmes femmes pourraient se revendiquer d’un féminisme idéologique et intellectuel, digne héritier de Simone Veil, Simone de Beauvoir ou Antoinette Fouque. Elles travaillent, tiennent tête à leurs maris voire s’en passent, elles vivent leurs vies sans savoir si elles la vivent comme des femmes ou des hommes, elles vivent, c’est tout. Mais ce samedi 8 mars 2014, il y avait deux cortèges à Paris. Celui de ces féministes « traditionnelles » bien sûr, et celui d’autres femmes qui s’élèvent contre le nouveau dogmatisme qu’est devenu, à leurs yeux, la défense des droits universels des femmes. Face à ces femmes qui entendent soutenir l’instauration d’une « condition » universelle acceptable de la femme, établie sur des valeurs qui sont les leurs, héritées des Lumières et de la Déclaration des droits de l’homme de 1789, dans lesquelles on intègre les femmes, s’est élevé la voix de femmes qui ont fait le choix de vivre contre ces valeurs universelles, contre ce qu’elles pourraient appeler le nouveau « dogmatisme du féminisme ». Leur groupe était hétéroclite, entre prostituées et musulmanes voilées, regroupées pour la défense du droit à la dérogation à l’universel. Cécile Daumas s’interroge :« Quand on est soi-même prostituée, comment faire cortège commun avec les historiques du Collectif national pour les droits des femmes (CNDF) qui rêvent d’abolir le marché du sexe ? Pourquoi fermer les rangs à des femmes au prétexte qu’elles portent le voile ? ».
S’est élevé la voix de femmes qui ont fait le choix de vivre contre ces valeurs universelles, contre ce qu’elles pourraient appeler le nouveau « dogmatisme du féminisme ». Leur groupe était hétéroclite, entre prostituées et musulmanes voilées, regroupées pour la défense du droit à la dérogation à l’universel.
Ce « combat permanent », ainsi nommé par François Hollande, n’est pas un combat mais plusieurs. Si Elisabeth Badinter oppose les féministes différentialistes qui veulent une différence autre entre les hommes et les femmes aux féministes universalistes qui veulent une égalité absolue, on pourrait (et on le devrait sûrement) penser aux revendications des femmes qui veulent des choses que les autres leurs refusent : porter le voile, travailler à temps partiel, être mère au foyer, se prostituer, etc. Mais c’est un combat qu’on oublie ou qu’on ne veut pas voir. Ses partisantes sont tantôt taxées d’ignorance tantôt accusées d’être tellement imprégnées par les discours sexistes qu’elles pensent que ce sont les leurs. En bref, on leur donne généralement peu de crédit. Mais a-t-on raison ? N’est-ce pas aux femmes de choisir leur différence ? On ne dit rien aux hommes qui portent le Qamis en respect pour leur croyance en l’islam, pourquoi dit-on quelque chose aux femmes qui s’habillent en fonction de leurs croyances ? De quelque opinion que l’on soit, c’est une question qu’il faut se poser.
«Est-ce qu’on pourrait arrêter de définir à notre place ce qu’est la féminité ?» Virginie Despentes à Libération
Ajoutons à ces profils de femmes battantes celui de ces femmes qui ne se battent pas pour elles mais pour les autres, qui ont assez de liberté ici mais qui n’en trouvent pas suffisamment ailleurs.
En plus de ce plaidoyer pour la différence, se pose un problème terminologique qui atteste un peu plus, après le discours de Najat Vallaud-Belkacem, Ministre du droit des femmes, de l’incompréhension de certains politiques et de certains médias face à ce combat très féminin. Le magazine Slate.fr s’amuse de ces incohérences en reprenant le discours de Françoise Picq, spécialiste des mouvements féministes et militantes, « On s’est battu très fort contre « la » femme. On avait réussi à ce que cela ne se dise plus, mais c’est très enraciné, cette expression revient. Or la femme, cela n’existe pas, c’est une représentation inventée par les hommes. Quand on dit la journée de la femme, cela fait un peu fête des mères ». On parle tantôt de journée « de la femme », ce qui implique des confusions misogynes du type des cadeaux offerts dans certaines communes (un sac cabas pour faire les courses, un porte-feuille Kenzo, etc.), le tout de très bon goût ; ou de journée « des femmes », appellation militante féministe ; de journée « de lutte pour les droits des femmes », super militant féministe ; voire de journée « des droits des femmes », c’est l’appellation officielle ; ou enfin de journée « des droits de la femme », un peu indécis.
Des médias s’en sortent assez mal, avec des articles un peu misogynes sans le vouloir, à l’humour douteux (mais quel humour n’est pas douteux ?). Cet article du Huffington Post par exemple, que je ne condamne pas mais qui entre dans cette catégorie : « 10 phrases interdites pour la journée de la femme », des femmes que les hommes pensent d’une manière et que les femmes, susceptibles, sur- ou mésinterprèteraient… Un article qui rappelle certains discours publicitaires attenant à la « womenology », ou comment savoir s’adresser aux femmes…
Entre le combat officiel pour les femmes mené par le gouvernement contre la misogynie ordinaire et la lutte, discrète ou militante, pour une revalorisation de la place de la femme dans la société, qui donne les résultats certains puisque le projet de loi sur l’égalité des femmes et des hommes a été adopté en première lecture à l’Assemblée Nationale, rien ne semble se diriger vers la prise en compte de la lutte pour le droit à la différence de femmes qui voient certaines des lois que leur impose le gouvernement comme une nouvelle tutelle, arrivant après celle du père et celle du mari. Les lois peuvent-elles guider un pays et penser à tous ses citoyens ? Comment inclure la différence dans des règles générales ? Et surtout, peut-on se passer de ces différences que les nouvelles féministes revendiquent ?
Si la politique ne peut pas encore s’y résoudre – elle a déjà assez à faire avec l’égalité homme/femme pour parler des différences femme/femme – certains domaines ont compris que, bien que les différences entre les femmes et les hommes ne doivent pas être culturelles, certaines différences physiques, biologiques et génétiques existent bel et bien. Aussi, un enseignant de physique-chimie au collège essaie d’enseigner d’abord le prisme, la lumière et les couleurs, avant les expériences chimiques que les garçons préfèreraient (bon, c’est plutôt culturel…). Des statisticiens américains ont remarqué que, pour un même nombre d’accidents de voitures, plus de femmes meurent du coup du lapin que d’hommes, et l’expliquent par le fait que les mannequins pour tester la sécurité des voitures sont établis à partir d’un corps masculin (répartition des masses, ossatures, etc.), pour conclure que la sécurité des voitures n’a finalement jamais été testée pour les femmes. Toutes ces différences, qui pourraient être comprises comme misogynes, sont autant de tentatives pour comprendre ce qui fait la spécificité biologique de la femme, et l’aider à accéder à une meilleure condition sociale. Dans cette voie, il y a encore beaucoup de chemin à parcourir, alors que parler de différence femme/homme est considéré comme une pratique à abolir.*desmotsmediatiques-10 mars 2014
** Les gens s’habillent vraiment mal à Buffalo ?
Comme si la ville de Buffalo, dans l’État de New York, n’avait pas assez de problèmes comme ça avec son économie moribonde, son taux d’obésité inquiétant et ses hivers interminables, voilà qu’un site web, Bundle.com, l’a élue l’année dernière « la ville la moins tendance d’Amérique ». Bundle s’est fondé sur le pourcentage de foyers qui achetaient des vêtements haut de gamme plus de quatre fois par an – New York et Los Angeles figuraient en tête de liste alors que Buffalo touchait le fond, plus bas encore que les trolls affreux de Jacksonville, en Floride, et de Louisville, dans le Kentucky. De fait, ça a pas mal énervé les résidents lookés et les vendeurs de fringues de Buffalo, fatigués d’entendre que leur ville est habitée par des débiles obèses au chômage sapés comme des Hollandais. Pour recueillir leur point de vue, j’ai parlé avec Erin Habes, une femme originaire de Buffalo, revenue dans sa ville natale en 2005 en tant que représentante commerciale pour une marque de chaussures haut de gamme. Peu après son retour, Erin a ouvert son propre magasin de fringues, a lancé le plus gros événement fashion annuel de la ville et a été surnommée « la Première Dame de la mode de Buffalo » par le magazine Buffalo Spree. Je me suis dit qu’elle ferait un bon juge pour déterminer si oui ou non, les habitants de Buffalo s’habillent comme des merdes.
VICE : Les gens s’habillent vraiment mal à Buffalo ?
Erin Habes: Chaque ville a sa communauté de modeux, et sa communauté de gens en jogging avec des pellicules dans les cheveux. Je pense qu’ici, pas mal de gens savent se saper. Quand je suis revenue de New York, ça a été dur de monter mon magasin. J’aime à penser que j’étais en avance sur mon temps, par rapport à la mode que je proposais. C’est un environnement complètement différent aujourd’hui ; tous mes amis qui possèdent un magasin s’en tirent très bien. Buffalo soutient les initiatives locales.
Les habitants de Buffalo qui suivent la mode étaient-ils en colère contre le classement de Bundle ?
Ouais ! On finit toujours tout en bas de chaque sondage du genre. Les gens étaient très énervés. Mais ils ont utilisé des critères biaisés, comme le nombre de personnes qui achètent des fringues de grands couturiers, ce qui est tout à fait débile au vu du marasme économique dans lequel est plongé le pays. *vice.com/fr*mars 15 2013-
**Le logiciel Photoshop, décrié dans l’industrie de la mode, mais tout le monde l’utilise.
La chaîne de grande distribution Debenhams en Angleterre se démarque du lot en promettant: aucune photo de sa dernière campagne de lingerie ne sera retouchée par Photoshop. La marque britannique veut « aider ses clients à se sentir mieux dans leurs mensurations en arrêtant de les bombarder avec des images de corps inatteignables. »
Et d’ajouter: « En plus d’être positif moralement, on va économiser de l’argent puisque des milliers de livres sont dépensées chaque année pour retoucher des images déjà parfaites. »
Cette nouvelle politique s’étendra à tous les autres domaines de la marque. En espérant que d’autres marques suivent le mouvement…* 7s7 – 13.06.2013.
**La tendance de l’été: la chaînette autour du ventre
Candice Swanepoel et ses copines de Victoria’s Secret sont pile poil dans la tendance de l’été. Des photos publiées sur le site de la marque de lingerie montrent les jolis anges en bikini, le corps souvent décoré d’une chaîne dorée. Certaines entourent simplement le ventre plat des demoiselles, d’autres, plus massives, glissent entre les seins pour terminer sur le ventre.
Les stars sont nombreuses à avoir succombé à cette mode estivale: on a pu voir ces bijoux de corps sur Beyoncé, Rihanna, Miley Cyrus ou encore Kendall Jenner. Un style à copier pour la plage.* 7s7 – 13.06.2013.
*mode franco-algérienne à l’Institut culturel français et à l’hôtel Novotel de Constantine
Une grâce fusionnelle
Les mannequins ont défilé au rythme d’une musique mixte, rehaussée par le spectacle grandiose que déclinait la vallée du Rhummel, embrumée dans les ors et les pastels du crépuscule printanier.
Le public constantinois a eu droit à deux défilés de mode lors des Journées de la mode franco-algérienne, mardi et jeudi soir, à l’Institut culturel français et à l’hôtel Novotel. C’est désormais une tradition, car pour la première édition, c’est la ville du Vieux rocher qui en a eu la primeur en 2010, à l’initiative de l’Institut français et TV5. Quatre stylistes, deux Françaises et deux Algériennes, ont présenté leur collection dans une ambiance romantique, au rythme d’une musique mixte, mêlant swing, fugues classiques et mélodies orientales, rehaussée par le spectacle grandiose que déclinait la merveilleuse vallée du Rhummel embrumée dans les ors et les pastels magiques du crépuscule printanier. Les magnifiques collections de Soraya Khaled (Alger), Karel Mills (Paris), Elodie Viens (Marseille), et Mabrouka Saouli (Annaba) ont été présentées par onze mannequins venant de Guinée, Cameroun, Ukraine et d’Algérie (Alger et Oran). Soraya Khaled, digne élève de la maison Lesage Broderie, perpétue l’art traditionnel, avec des modèles revisités, inspirés de toute l’Algérie : caracos brodés de fils d’or, sarouals, caftans, robes du soir, coupés dans du velours, du brocard, de la soie fine, du lin de soie, des voilages, etc.
Elodie Viens, elle, a marqué de son empreinte, «Nacritic», avec ses petites robes fluides de nymphes virginales, dans les tons écrus et blancs, usant de tulles et dentelles, sans autre ornement que des couronnes de fleurs en serre-tête. Ses mannequins évoluant pieds nus, appuyant ainsi le côté nature et dépouillé de sa création. Mabrouka Saouli est un vrai personnage, tout un spectacle à elle seule, avec ses exubérantes boucles blondes, son regard bleu vif et son pantalon de combat style «para». Il ne peut donc en sortir que des poèmes en guise de modèles : jupes courtes immodérément garnies de fleurs — véritables jardins flottants — sarouals, jambières, coiffes excentriques, le tout dans la rutilance des «Mille et Une nuits». «Je suis une séditieuse, une narcissique, j’adore bousculer les idées reçues, séduire, étonner. L’amour des fleurs, je l’ai hérité de mon enfance passée à Besbès (Annaba)», nous-a-t-elle confié en coulisse.
Karel Mills, une très jeune femme qui a réussi à déposer sa marque il y a 3 ans, fait dans le prêt-à-porter : petites tenues de bureau pouvant aisément se convertir en toilettes de soirée pour peu qu’on leur adjoigne un accessoire. «Mes modèles se veulent intemporels, élégants et confortables», avoue-t-elle. A travers l’intérêt du public, il est permis de croire que l’Algérie, et en l’occurrence Constantine, est en train de renouer avec son élégance d’antan. La jeune et belle Algéroise, Yasmine Ferhani, mannequin et animatrice de la rubrique Mode et beauté, sur Canal Algérie, est très optimiste à ce propos. Malgré les difficultés liées au métier de mannequin dans notre pays, elle a réussi, grâce à sa ténacité, son intelligence brillante et bien sûr sa classe innée, à faire des émules. Elle est un bel exemple pour beaucoup de jeunes Algériens, qui n’hésitent plus à faire carrière dans ce métier. «Je me vois comme ambassadrice de mon pays dont je présente toute la beauté, la richesse et la diversité à travers les tenues que je mets en valeur. Je forme à mon tour d’autres jeunes, car c’est un métier très noble qui encourage la création», nous dit-elle.
Marie-Claude, une ravissante Guinéenne, étudiante, boursière en communication (master 1), à Sidi Bel Abbès, est arrivée au mannequinat par le biais d’une agence algérienne. Elle nous en parle : «C’est ma sœur qui m’a inculqué le goût de la mode et de l’élégance. Quand j’ai été reçue au casting, j’ai découvert que j’aimais l’esthétique et le contact avec les créateurs de tous les pays.» La direction artistique de la manifestation a été menée sous la férule du grand styliste sud-coréen, Seong Bo Yun, célèbre par sa griffe, dont la boutique parisienne est investie par un nombre impressionnant de fans. Monté à Paris, il y a 23 ans, pour y effectuer des études en littérature française, il y est resté finalement, puisqu’il y a trouvé sa voie : la création dans le domaine de la mode. Son style participe du «dandy-rock, d’un certain luxe intérieur, exigeant, à la fois romantique et rigoureux», comme il nous l’a expliqué lors des répétitions, auxquelles il nous a cordialement fait assister.*Farida Hamadou-El Watan-11.05.2013.
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Mélanie Bernier…Révélée par Vénus et Apollon, la jeune comédienne est à l’affiche de Mes stars et moi où elle joue avec Catherine Deneuve et Emmanuelle Béart. Spontanée et enthousiaste, elle livre sa philosophie de la mode. Physique de poupée aux yeux immenses et aux pieds menus, la comédienne Mélanie Bernier est, à presque 24 ans, un étonnant cocktail de fraîcheur, de bon sens, et de professionnalisme. Depuis maintenant cinq ans, elle enchaîne les tournages et la scène. « J’ai commencé à faire du théâtre en amateur à 7 ans. Ma passion de la scène ne m’a jamais quittée depuis. » Sur le point de déménager – « Il était temps, mes placards débordent ! » -, Mélanie nous accueille chez une amie. Elle a pris soin d’apporter quelques-uns de ses souliers fétiches, pointure 35 et demi (!), et craque dès qu’elle aperçoit la paire de sandales Jimmy Choo qu’on lui propose. « En ballerines, j’ai l’air d’avoir 12 ans », sourit-elle. Malgré cet air juvénile, Mélanie n’est pas facile à intimider. Cette année, elle était à l’affiche de « Mes stars et moi », aux côtés de Catherine Deneuve et Emmanuelle Béart. Impressionnée par ses deux aînées ? « Un peu. Mais sans être déstabilisée, car je joue le rôle d’une débutante face à deux grandes actrices », élude-t-elle. La meilleure façon de garder la tête froide reste l’expérience de la scène, selon elle. Il y a quelques mois, elle interprétait Héloïse, sous la direction de Patrice Leconte, au théâtre de l’Atelier. « Au théâtre, on peut chaque soir essayer d’inventer quelque chose de différent. » La jeune actrice entretient ce même rapport ludique avec la mode. Se fabriquer un look, jouer avec les couleurs et les époques, mixer un accessoire de luxe avec un vêtement de petit prix : elle adore.
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Son style
LA FÉMINITÉ- Cela pourrait être une partie du corps : je trouve très sensuel de découvrir sa nuque et le haut du décolleté.
MON STYLE- J’aime la fantaisie, les couleurs, m’amuser avec les vêtements.
LA MODE- Si c’était une image, ce serait celle d’un défilé. Pour moi, la mode est par essence éphémère.
LA FAUTE DE GOÛT- Il y en a tellement ! Celle qui résume toutes les autres : vouloir suivre la tendance à tout prix.
LE GLAMOUR- Pour moi Lætitia Casta est glamour, elle est très affirmée dans son corps, je trouve que sa beauté donne une impression de naturel. Elle me touche.
LA ROBE IDÉALE- Tous les mois, je fantasme sur une nouvelle robe ! La première qui m’ait fait rêver, enfant, c’était certainement celle de Scarlett O’Hara…
LA TENUE POUR UNE PREMIÈRE- Je me pose toujours une foule de questions. Quoi qu’il arrive, je mets des talons hauts.
LA TENUE POUR UN CASTING- Pas de jean, sauf si cela correspond au rôle. J’aime m’inventer une tenue avec ce que je sais du personnage.
CE QUI NE ME QUITTE JAMAIS- Une couverture rouge tricotée par ma mère pour ma naissance. Aujourd’hui je la porte comme une écharpe.
LE CADEAU QUE J’AIMERAIS RECEVOIR- Des escarpins Louboutin !
LES CHAUSSURES IDÉALES- Je plébiscite la botte : plate, elle est très confortable et elle finit une tenue. Je suis également très low boots à petits talons. (source le Figaro)
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