Algérie-infos.2
*Algérie Poste : 374 milliards de dinars retirés durant le mois de juin 2020
« Plus de 84 milles opérations monétiques ont été effectuées sur le réseau postal durant le premier semestre 2020 », indique le ministre de la Poste et des Télécommunications.
S’exprimant, mercredi, à l’émission L’Invité de la rédaction de la chaîne 3 de de la Radio Algérienne, Brahim Boumzar, précise que les transactions monétiques effectuées en Algérie, durant cette période, dépassent de loin celles effectuées en Tunisie et au Maroc cumulé.
Il ajoute que pour le mois de juin précédent, les retraits ont atteint 374 milliards de dinars, dont plus de 73 milliards ont été retirés à partir des guichets automatiques (GAP), assurant les Algériens sur la disponibilité de liquidité à la vielle de la fête de l’Aïd-el-Adha.
Pour limiter les files d’attente dans les bureaux de poste, en cette crise sanitaire, le ministre a insisté sur l’importance d’encourager les opérations à distance en utilisant le paiement électronique.
Afin de permettre à nos retraités de retirer leurs pensions dans de bonnes conditions, l’intervenant signale que le calendrier des pensions de retraite a été ajusté. « Ce n’est pas évident pour nos retraités, mais on va leur expliquer et les accompagner. Il y aura des SMS pour les informer sur les jours des virements et éviter, ainsi l’affluence de trois millions de retraité, en 48 heures, sur les bureaux de poste », a-t-il expliqué.*dmalgerie- mercredi 15, Juillet, 2020
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*Tiaret/ 2 policiers tués dans une attaque à la ceinture explosive contre le siège de sûreté de wilaya
L’APS rapporte qu’un second policier a succombé à ses blessures à l’hôpital.
La ville de Tiaret a connu, ce matin de jeudi, un lâche attentat terroriste. Un individu, muni d’une ceinture explosive, s’est fait exploser à l’entrée du siège de sûreté de wilaya.
Il était environ 7h45 quand un individu a actionné sa ceinture explosive non loin du siège de la sûreté de wilaya. Un policier a, selon des témoins, été mortellement atteint. Pour l’heure, nous n’avons aucune confirmation de source officielle.
Selon des témoins, le bilan pouvait être encore plus lourd, si ce n’était la vigilance des policiers en faction.
le terroriste en question a tenté de pénétrer à l’intérieur du bâtiment en tirant avec son arme à feu. Les policiers ont faction ont rapidement riposté. Un d’entre eux s’est jeté sur le criminel afin d’arrêter sa progression. Ce dernier a alors actionné sa ceinture explosive, tuant également le policier. Les alentours du siège de la sûreté de wilaya ont été rapidement bouclés afin de prévenir d’autres attaques.*algerie-focus./ jeudi 31 août 2017
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Restrictions sur les importations/
Plus de 170 médicaments touchés par la pénurie
En plus des mauvaises conditions de prise en charge dans les hôpitaux, les malades algériens font face à une grave pénurie de médicaments. Certains sont carrément inexistants dans les officines, tandis que d’autres peuvent être trouvés, mais après d’âpres recherches.
Selon le syndicat des pharmaciens d’officine, le SNAPO, pas moins de 170 médicaments manquent à l’appel, dont certains d’une extrême importance. C’est le cas de l’antibiotique Digoxine, destiné aux enfants atteints de problèmes cardiaques. C’est également le cas de Medrol, Zanidip ou encore Hyzaar et Ursolvan qui sont carrément introuvables. La pilule contraceptive Minidril ou les tablettes destinées aux malades atteints d’épilepsie sont difficilement trouvables.
Selon les SNAPO, cité par TSA, la raison de ces pénurie est à chercher du coté du ministère de la Santé qui n’a pas délivré, dans les temps, les autorisations d’importation.
Plus grave, la pénurie touche également certains médicaments fabriqués localement. Là encore, les pharmaciens désignent les lenteurs enregistrées dans l’importation des intrants dans la fabrication de ces médicaments.*algerie-focus./ mercredi 30 août 2017
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Sit-in des familles des disparus devant le siège du Conseil des droits de l’homme
La juge Benzerrouki rappelée au devoir de vérité et de justice
La Coordination nationale des familles des disparus (CNFD) a réussi hier son pari de tenir son rassemblement de protestation au boulevard Colonel Bougara, non loin du siège du Conseil national des droits de l’homme (CNDH) dirigé par la juge Benzerrouki Fafa, marquant ainsi et bruyamment la Journée internationale des victimes des disparitions forcées, célébrée hier 30 août.
Un pari réussi en dépit du déploiement disproportionné des forces de police et des barrages filtrants, en amont et en aval de la place Addis-Abeba à Alger.
Une trentaine de parents de disparus lors de la «décennie noire» venus essentiellement de l’Est, de Constantine, de la capitale Alger et de l’Oranie, notamment de Relizane, a pu, malgré le harcèlement policier et les arrestations, se faufiler jusqu’au perron de la résidence du CNDH.
Pendant plus d’une heure et demie, les parents des victimes de disparitions ont brandi des banderoles réclamant vérité et équité et crié à tue-tête que justice soit faite sur les cas des milliers (entre 7 et 15 000 disparus), de disparition imputés ou opérés par les services de l’armée, de la police et de la gendarmerie.
Des slogans mordants et mettant à rude épreuve les nerfs des dizaines de policiers mobilisés : «Nezzar Ya djazar» (Nezzar, le boucher), «Pouvoir assassin», «Hamel criminel», «Barakat, barakat min houkem généralate» (Basta au pouvoir des généraux) et autres «La wiam, La Salam, la raha Lil Houkam» (Pas de paix, pas de réconciliation, encore moins de répit pour les dirigeants), «Qadiatou Al Makhtoufin, Qadia Watania» (Disparus, une affaire nationale), «Ouladna Machi Li l’bi3» (Nos enfants ne sont pas à vendre), «Maqabir Djam3ia, Mahakim Doualia» (Fausses communes, justice internationale)…
Le sit-in, affirme Ouassila Belatreche, porte-parole de la CNFD, a pour objectif de rappeler à la juge Fafa Benzerrouki, présidente du CNDH, les devoirs de justice et de vérité. «Nous avons écrit à cette institution constitutionnelle, demandé à ce qu’elle nous , mais nous n’avons reçu aucune réponse», dit-elle. Belatreche s’interroge dès lors si le CNDH n’est, en définitive, qu’une copie conforme de l’ex-commission des droits de l’homme dirigée par Me Farouk Ksentini sans «réel pouvoir ni quelconque attribution».
Le flou intégral entourant les disparitions et les rapports contradictoires dressés par les différents services d’Etat sur ces mêmes disparitions forcées, symptomatiques de l’absence de volonté officielle de faire toute la lumière sur ces drames, ont amené les familles à recourir à la justice internationale. Plusieurs plaintes individuelles ont été ainsi introduites au niveau du TPI depuis 2002.
Mme Saker, dont le mari, professeur de mathématiques, n’a pas donné signe de vie depuis 1994, en fait partie. En 2007, dit-elle, elle obtint une condamnation de l’Etat algérien qui lui vaudra des poursuites et une condamnation à un an de prison ferme. «Or, je ne cherche que la vérité.
Car, le procès-verbal de la police judiciaire qui m’avait été remis dit clairement que mon mari avait été arrêté par la police et remis ensuite au Cetri (DRS) de Constantine. Et depuis aucun signe de vie.» Mme Saker égraine un chapelet de déboires endurés. De punition et châtiments collectifs. «Le drame, c’est que même les enfants des disparus encourent la double peine. Savez-vous qu’ils n’ouvrent même pas droit à des postes dans les instituions de l’Etat. Pas même le droit d’être sous les drapeaux.»
Pareil pour Mme Aribi, dont le fils avait à peine 18 ans lorsqu’il a disparu le 3 décembre 1993, «arrêté, raconte-t-elle, par la Garde républicaine. Depuis, aucune nouvelle». Ni mort confirmée ni sépulture pour rompre avec un deuil en sempiternelle apesanteur. Farida El Waghlissi, la cinquantaine, perdit aussi son mari, cadre à la SNTF. Elu FIS à Constantine, il a été arrêté par les «services» d’Etat, puis plus rien… évaporé entre terre d’Algérie et ciel de la «tragédie nationale».
«Ce combat, nous ne le menons plus pour nous-mêmes, ni même pour nos disparus, mais pour que plus jamais pareille chose n’arrive à d’autres Algériens», avoue El Waghlissi, voix fluette, ton messianique. «Voyez par vous-même, ils nous ont envoyé toute une armada. On nous arrête, nous tabasse, nous dispatche dans les commissariats et le soir on nous escorte jusqu’à la gare du Carroubier. On est des expulsés en permanence, alors que nous sommes censés être chez nous.»
Dans sa déclaration publique, la CNFD dit ne «rien attendre» du Conseil national des droits de l’homme ou de tout autre organisme d’Etat, sous tutelle ou indépendant, soit-il. «Notre seul voie de recours pour une solution équitable à notre cause demeure la justice et les organisations onusiennes.» En mai dernier, à Genève, des membres de la CNFD avaient été admis au Conseil onusien des droits de l’homme. Une première qui promet des quarts d’heure difficiles aux tenants du pouvoir… de disparaître.
**Mohand Aziri / elwatan / jeudi 31 août 2017
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Pêche intensive et pollution/
La sardine algérienne menacée de disparition
L’effet conjugué de la surpêche et de la pollution a sérieusement altéré le potentiel halieutique national. Le président du Comité national des marins pêcheurs et des poissonniers, Hocine Bellout, dénonce un «déficit de contrôle de la part des services concernés».
Selon Hocine Bellout, si les prix des poissons ont baissé ces derniers mois, c’est en raison de leur petite taille, les pêcheurs se rabattant sur des spécimens juvéniles, par suite de l’amoindrissement des bancs, résultat d’une pêche intensive et de la pollution. Il signale que le non-respect des tailles marchandes du poisson pêché représente une menace directe sur différentes espèces empêchées d’atteindre leur maturité et entravant ainsi leur cycle de reproduction.
Alors, ajoute-t-il, que la taille minimale fixée pour la sardine est de 11 cm, il est devenu habituel d’en trouver sur les marchés des quantités dont la longueur ne dépasse pas les 4 cm, une situation qui en a fait une espèce «en voie d’extinction».
L’exemple de la sardine n’est pas le seul à être cité. M. Bellout fait état d’autres espèces de poissons, atteignant 5 ou 6 cm proposés en quantités sur les étals des mareyeurs.
Les pêcheurs, dit-il, ne font pas cas des périodes de repos biologique, certains parmi eux s’adonnant couramment à la pêche à la dynamite, utilisant des filets interdits ou ne respectant pas les tâches marchandes de leurs prises.
Hocine Bellout indique que la pêche à la dynamite est pratiquée tout le long de la côte allant de Bou Haroun (Tipaza) à Ghazaouet (Tlemcen).
Il affirme, d’autre part, que les filets interdits à la pêche, tel les dérivants, ceux à quatre bras, invisibles ou dont la grosse taille des mailles sont largement utilisés, en dépit de leur interdiction par la loi.
A propos du non-respect des périodes de repos biologique, M. Bellout prévient que celui-ci présente un grand danger pour la pérennité des espèces, pouvant à terme provoquer leur extinction, les patrons de chalutiers n’hésitant pas à pêcher durant les périodes de ponte.
Durant cette période, s’étalant du 1 mai au 31 août, les pêcheurs, affirme-t-il, n’épargnent pas les fonds marins, y chalutant même dans la zone où les poissons viennent déposer leurs œufs.
Le directeur de la Pêche et de l’aquaculture au ministère de l’Agriculture, Taha Hemmouche, tente de tempérer les propos de M. Bellout en assurant que les sanctions contre les pêcheurs contrevenants ont été durcies, « ce qui, déclare-t-il, a fait reculer le nombre de délits ».
194 espèces menacées
Parmi les autres phénomènes mettant en grand danger la pérennité de la faune marine le long de la façade maritime algérienne, le président du Comité national des marins-pêcheurs et poissonniers fait part de l’action «destructrice» de la pollution. « La pollution, alerte-t-il, est en train de faire un ravage au sein de l’écosystème marin », citant en exemple les nombreux cours d’eaux charriant détritus et polluants se déversant en mer. « La toxicité qui en découle extermine les espèces, ou les poussent à fuir, telle la sardine, très sensible à la pollution et qui a migré en grand nombre vers d’autres eaux ».
M. Bellout met également en cause les déversements d’hydrocarbures provoqués par les 12 500 navires transitant au large du littoral national.
Il prévient qu’en raison des atteintes de toute nature dont elles continuent à être l’objet, les quelques 194 espèces de poissons et 600 d’algues risqueraient, à terme, de complètement disparaître, si des mesures de prévention ne sont pas diligentées pour les protéger.*algerie-focus. avec APS / mercredi 30 août 2017
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*Très peu d’Algérien consomment de l’alcool
selon une étude de l’Organisation mondiale de la santé
Contrairement à une idée reçue, les Algériens ne consomment pas tant d’alcool que cela. C’est du moins ce qu’indique une étude de l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
Ainsi, selon cette étude, l’Algérie est classée à la 48ème et avant-dernière place en Afrique, ne devançant que le Niger.
Avec une consommation moyenne de 0,11 litre par personne et par an, l’Algérie arrive loin, très loin derrière le Gabon, qui occupe la 1ère position avec une consommation moyenne 9,01 litres par personne et par an. Il suivi par l’Ouganda dont la consommation moyenne est de 8,33 litres par personne et par an.
Notons que la consommation moyenne en Europe est de 10 à 12 litres par personne et par an.*algerie-focus./ mercredi 30 août 2017
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*inondations: à chaque fois, c’est la même chose
Des défaillances à répétition
Dans ce chaudron constantinois, (ou ailleurs dans endroits du pays) voir quelques gouttes de pluie tomber n’est pas pour déplaire à la population. Or, cette averse qui aura duré moins d’une heure dans l’après-midi du samedi, a failli tourner à la catastrophe.
Et pour cause, les inondations qui ont en découlé en raison des avaloirs obstrués. Le citoyen a comme une impression de déjà vu. Une scène qui revient à la fin de chaque été. Et il n’a pas tort. Le constat est le même depuis plusieurs années. Il est flagrant que les dispositions d’usage en pareille circonstance n’ont pas été prises. Les autorités, en dépit de précédents, n’ont, encore une fois, pas anticipé sur les orages d’été qui sont parfois à l’origine de terribles dégâts et surtout de pertes humaines.
C’est pratiquement jour pour jour, soit le 25 août 2015, que des inondations sont survenues à la nouvelle ville Ali Mendjeli, à 22 km au sud de Constantine, les plus importantes depuis sa création en 2000. Les conséquences sont fâcheuses : quatre morts et des dégâts matériels, chiffrés à des millions de dinars. La leçon a-t-elle été retenue ? Que non. Et pourtant, cette amère expérience a accéléré la procédure de mise en place d’un plan d’urgence pour toute la wilaya. Concrètement, rien n’est palpable.
Pour preuve, samedi dernier, les pluies qui se sont abattues sur le chef- lieu de wilaya et ses banlieues sont venues rappeler l’absence de stratégie que l’on a voulue effective depuis l’épisode de Ali Mendjeli. Certes, les précipitations n’étaient pas de grosse ampleur, mais ont toutefois engendré de multiples désagréments aux piétons, automobilistes et surtout aux usagers du tramway. La ville était paralysée.
Les rames, qui desservent dix stations allant du centre-ville jusqu’à Zouaghi, se sont arrêtées vers 16h45. La voix à travers le haut-parleur informait les usagers que «suite à un problème technique, le tramway est obligé d’observer un arrêt pour quelque temps». Mais l’attente sera longue, car au niveau de la station de la zone industrielle Le Palma, aucune rame ne pouvait avancer, l’endroit était complètement submergé par les eaux.
D’ailleurs, une vidéo a circulé sur les réseaux sociaux, montrant les équipes de la Société de distribution d’eau et d’assainissement (Seaco) qui tentaient de débloquer la situation. Une preuve incontestable qu’aucune disposition n’a été prévue quand bien même la période des orages d’été est bel et bien annoncée. Le constat de l’inertie de la municipalité se confirme au fur et à mesure que les automobilistes s’engagent sur les axes routiers menant à la périphérie. Sur la RN5 qui relie Constantine à plusieurs wilayas, dont Sétif et Alger, le tunnel menant à la cité Boussouf a lui aussi été inondé. Un axe névralgique utilisé par des dizaines de milliers d’automobilistes, qui se sont retrouvés bloqués, créant un énorme embouteillage.
Le salut pour eux viendra après l’intervention de la Protection civile qui déploiera d’importants moyens afin de dégager ce passage. Un point noir notoire pour lequel aucune solution n’a été jusqu’alors envisagée. Le lendemain matin, les traces de ce déferlement naturel étaient encore visibles. Les gravats et la boue charriés par les eaux étaient là comme pour attester des responsabilités défaillantes. Le curage des avaloirs et des retenues n’a tout simplement pas été fait.
Chaque année, le manquement est relevé. Et ce ne sont pas les directives qui font défaut. Les responsables locaux sont sommés par le ministère de tutelle de procéder à «des actions d’entretien et de curage des réseaux d’assainissement et ouvrages annexes tels que les avaloirs, les déversoirs d’eaux pluviales et d’orages». L’auguste APC du Vieux Rocher a failli à sa mission à plusieurs reprises sans s’inquiéter outre mesure. Durant son mandat, elle n’a pas brillé par l’amélioration du cadre de vie de la population. Elle s’est empêtrée dans des querelles intestines qui ont défrayé la chronique.
En cinq ans, elle a vu passer deux présidents, le premier ayant eu des démêlés avec la justice. A deux mois des élections locales, les locataires de l’Hôtel de ville semblent absorbés par les problèmes intrinsèques concernant la confection des listes électorales. S’ils mettent du cœur à l’ouvrage pour cette rentrée sociale, c’est certainement dans la course au renouvellement de l’assemblée communale et non dans la quête du bien-être des citoyens.
**Naïma Djekhar / el watan/ mardi 29 août 2017
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Sidi Saïd, le patron de l’UGTA, au cœur d’un scandale aux ramifications internationales
Le patron de l’UGTA, Abdelmadjid Sidi Saïd, est de nouveau au cœur d’un scandale qui démontre sa collusion avec les milieux d’affaires non seulement en Algérie, mais également en France. Selon la chaîne El Djazaïria One, il aurait négocié au profit de Sonatrach le rachat d’une raffinerie de Shell, sise en France, et se trouvant dans un état de délabrement avancé. La transaction a avorté grâce l’intervention de l’ancien ministre de l’Energie, Salah Khebri, qui a d’ailleurs été écarté quelque temps après son intervention salutaire pour Sonatrach*.( comme quoi, le système nous a habitué toujours, à écarter les bons et les compétents, pour garder les autres)–algerie-focus.et +/ mercredi 30 août 2017
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*Révélations sur les enfants de la nomenklatura travaillant à Air Algérie
De nombreux enfants de dirigeants pantouflent à Air Algérie
Encore un document accusateur des pratiques de la famille régnante en Algérie. Les noms d’enfants de la nomenklatura travaillant dans les consulats sont cités nommément par le collectif. Des accusations de népotisme sont clairement avancées pour expliquer le recrutement de ces enfants de dirigeants par Air Algérie.
Le CCTA pointe la désorganisation, les passe-droits et la bureaucratie. « Parlons maintenant des consulats algériens, qui sont normalement les vitrines de l’Algérie pour le monde. Avez-vous eu échos des files d’attente de la honte devant ces consulats qui commencent avant 01h du matin ? (en espérant décrocher un ticket pour avoir, dans certain cas, la simple liste des pièces à fournir afin d’obtenir tel ou tel document). Sommes-nous réellement des Algériens et appartenons-nous à une Algérie indépendante et souveraine ? ». Le collectif évoque le mépris des agents consulaires et se pose la question. « Des milliers de concitoyens se posent la question devant autant de mépris de la part des agents consulaire. Ne sont-ils pas payés avec l’argent du peuple pour assurer ce service ou le font-ils bénévolement peut-être ? Ou parce qu’ils sont des parachutées : filles/fils de ministres/général/colonel tels que : le beau-fils de Abdelkader Bensalah à l’ambassade d’Algérie à Paris (pour être proche de sa femme, la fille de Bensalah qui travaille à Air Algérie de Paris) ou la femme du ministre Youcef Yousfi qui occupe le poste de consul à Strasbourg ou encore la fille d’Amar Saadani qui travaille au consulat de Londres ou encore la fille de l’ex-ministre de Moudjahidine au consulat de Lyon ou encore le fils du colonel Mekedem au consulat de Nanterre ou encore le frère du général Kerkeb qui occupe le poste de diplomate à l’Ambassade d’Algérie en France depuis 30 ans (il parait que son attitude à l’ambassade est similaire de celle de votre frère Saïd à la Présidence), etc. Mais également les filles/fils des personnalités/syndicalistes pour acheter leur silence tel que le fils de Benhabilès au consulat de Genève ou encore ou encore … »
Air Algérie, véritable nid des rejetons du régime
De très graves accusations sont portées sur la gestion du personnel de la compagnie nationale par ce collectif. «Air Algérie souffre également de ce virus. En plus de la liste publiée le 26 janvier 2015, nous pourrons rajouter le fils de Mourad Medelci, président du Conseil constitutionnel, qui travaille à la Direction Fret à Dar El Beida (apparemment, il est accompagné de sa tante : épouse du colonel Faouzi, ex-DRS-ANEP et son oncle) ou encore la fille de général Kerkeb à l’agence d’Air Algérie à Paris ou encore la nièce de l’amie de Abdelmalek Sellal, Fadela Amara (ex-ministre français), à l’agence Air Algérie de Lyon ou encore ou encore (…)»
Le collectif assène : «Chez Air Algérie, à Paris, Melle Sihem Mekidech remplace son papa Chérif, suspendu depuis 2008 pour son implication dans un trafic de dépouilles. Il s’est installé en Tunisie et reçoit une indemnité de 4000€ par mois.»
Et d’ajouter sur la pléthore de personnel au sein de cette entreprise : « Récemment, quatre syndicalistes UGTA ont été recrutés « en trop » comme des adjoints au chef d’escale de Paris, alors qu’il y avait déjà deux adjoints correspondant aux deux aéroports parisiens … rien d’étonnant dans une agence gérée par deux directeurs, vu que l’ancien, Benselka, ne veut pas partir à la retraite ! Nous supposons que vous comprenez bien que ce n’est pas facile de quitter son poste et laisser tous les privilèges : 60% du loyer, prime de mars, prime d’avant-vacances, prime d’après-vacances et prime de décembre, sans oublier la possibilité d’offrir autant de billets gratuits à qui il veut ! ». Même Amar Ghoul a déjà soulevé l’explosion du nombre de salariés au sein d’Air Algérie. Pour autant, il n’est pas allé plus loin. Le sujet est trop sensible.
Le collectif de défense des consommateurs algériens doute de la volonté du président de faire quoi que ce soit pour remédier à la dramatique situation dépeinte plus haut.
« Nous avons laissé le sujet le plus sensible pour la fin : le transport des Algériens entre les deux rives de la Méditerranée, ayant une solution très simple déjà appliquée à travers le monde entiers, même au Maroc et en Ethiopie : « l’open sky » (l’ouverture du marché du transport à la concurrence loyale), mais pas en Algérie ! Car, Air Algérie et Algérie Ferries qui sont devenues des centres sociaux des fils, filles, frères, belles-sœurs, cousins, cousines, neveux, nièces, copains, amies et même maîtresses des personnalités politiques/militaires algériennes ne pourront guère faire face à une vraie concurrence loyale. (…) ».
Le collectif a déjà rendu publics par le passé des noms de filles et fils de dirigeants algériens et dénoncé le népotisme qui règne au sein d’Air Algérie et dans les représentations consulaires. Aucune réponse n’a été donnée par le gouvernement qui a préféré ignorer le problème posé.*lematindz./ lundi 18 avril 2016
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*évasion spectaculaire d’un baron de la drogue
Ce qui s’est passé à la prison d’El Harrach est digne d’un film d’Al Capone. C’est un grand baron de la drogue, arrêté il y a une vingtaine de jours du côté de Tipasa, qui a réussi à se faire la belle samedi, alors qu’il était détenu à la prison d’El Harrach-Alger.
Pour réussir son coup, il a bénéficié de la complicité de son avocate, qui serait aussi sa cousine. Celle-ci a réussi, lors de la visite à introduire dans la cellule une robe d’avocat.
En revêtant cette robe, tout en arborant un badge que son avocate lui avait laissé lors d’une précédente visite, le détenu, se faisant donc passer pour un avocat, a pu sortir en prenant ses aises.
Selon des sources de la gendarmerie, certains surveillants étaient dans le coup. Ils auraient même perçus une partie de la somme que les parents du détenu ont remis à l’avocate, soit 3 milliards de centimes.
Après avoir quitté la prison, habillé en avocat, le détenu était attendu, à la sortie par son père et son frère, dealers eux aussi, qui l’ont conduit vers une destination inconnue.
Ce n’est que le soir que la direction de la prison s’est rendue compte de l’évasion. Suite à quoi une alerte a été donné et les services de gendarmerie et de police sont mis en alerte pour rechercher le détenu évadé, âge de 22 ans et originaire de M’Sila.
Entre temps, le directeur de la prison d’El Harrach est suspendu de ses fonctions à titre conservatoire, un certains nombre de gardiens sont placés en mandat de dépôt.
L’avocate qui a finalement rendu possible cette évasion est également arrêtée, et selon les sources de la gendarmerie, citée par le journal Ennahar, elle n’a pas mis longtemps à passer aux aveux. Le procureur général d’Alger a diligenté une enquête pour élucider les circonstances de cette évasion spectaculaire qui met aux grands jour de grandes défaillances du système de surveillance.*Par Abbès Zineb | mardi 26/04/2016 | algerie1.com
**Retour sur une évasion spectaculaire
*Poursuivi pour plusieurs délits, à peine arrêté, le 28 février 2016, un baron de la drogue s’évade de prison.
il s’appelle H.Oussama.Il n’est pas connu du grand public. Plutôt discret, il s’est fabriqué un destin de «trafiquant de drogue» en se faufilant à travers les méandres d’une société en crise, une société anomique qui est plus encline à fabriquer des «dealers que des leaders», mais silencieusement. Comme lui, il en existe sans doute beaucoup puisque, très souvent, la presse fait état de l’arrestation de trafiquants de drogue ou de la récupération de plusieurs tonnes de stupéfiants et autres héroïne et haschisch.
Mais ce que H. Oussama, alias Escobar, a de particulier, c’est qu’il est le premier baron de la drogue à s’évader de prison. La prison d’El Harrach d’où, pour l’histoire, seul feu Hocine Ait Ahmed se serait évadé. Placé sous mandat de dépôt le 28 février dernier pour trafic de drogue, port d’armes à feu, de munitions et faux et usage de faux, il a pu s’évader de la prison d’El Harrach dimanche dernier et faire perdre toute trace de lui. Pourtant, aux premiers jours de son arrestation il avait déjà essayé de traverser les barreaux de la prison de Koléa où il avait été placé.
H. Oussama, dit Escobar en référence au baron colombien de la cocaïne des années 1970, est un dealer qui s’est forgé, depuis quelques jours, une renommée nationale, suite à son évasion de la prison d’El Harrach. Né à M’sila, dans la commune d’Ouled Adi Legbala, une commune relativement pauvre, il est issu d’une famille moyenne. Son père, vendeur de pièces détachées automobiles d’occasion dans le village Brabra, dans la commune d’Ouled Adi Legbala. Escobar a d’abord développé son business dans sa région natale. Mais, faute de perspectives, il a décidé d’aller voir «ailleurs». Alger, ville la plus peuplée d’Algérie, est le lieu le mieux indiqué. Marié depuis quelque temps avec la petite-fille d’un grand responsable, ce qu’on appelle communément «une personnalité nationale», ces personnalités qui ont les bras longs, il se serait installé à Alger avec sa mère et sa soeur pour développer son «trafic». Selon des propos recueillis dans sa région natale par le quotidien Echourouk, il aurait, grâce à son business, pu contrôler une maison dans son village d’origine et acheter un appartement au chef-lieu de sa commune. Mais, on laisse entendre que c’est à Alger qu’il aurait laissé s’étaler sa «fortune».
Selon les éléments de l’enquête préliminaire menée par la Gendarmerie nationale d’El-Harrach, H. Oussama a bénéficié d’une grande complicité de son avocate pour échapper à la surveillance des geôliers. En effet, selon les indiscrétions d’une source proche du dossier, l’avocate du détenu s’est rendue au pénitencier pour une visite de routine à son client le jour même et, après l’entretien qui s’est déroulé entre eux, avant de quitter la prison, elle lui a remis une robe d’avocat et un badge pour circuler librement dans les couloirs de la prison avant de prendre la porte de sortie et de s’enfuir, aussitôt suivi par son avocate. Sur le champ, a indiqué la même source, personne n’a constaté l’évasion et ce n’est que l’après-midi, lors de l’appel, que l’on s’en est aperçu. L’alerte a été vite donnée et un important dispositif de sécurité fut déployé aux alentours de la prison, sur les routes et les autoroutes desservant la capitale où des fouilles ont été opérées sur des dizaines de véhicules. Pour assurer un bouclage hermétique de toute la banlieue d’Alger, même les unités de Blida, de Boumerdès, de Médéa et de Tipasa de la Gendarmerie nationale ont été mobilisées.
Les conditions de cette évasion restent tout de même floues. L’enquête se poursuit et n’a toujours pas révélé d’autres complicités dans cette évasion, première du genre, si spectaculaire. Mais compte tenu de son statut de boss, il n’est pas exclu qu’il ait acheté, voire graissé la patte à des fonctionnaires du pénitencier pour faciliter la mise en application de son plan.
Pour l’heure, il a été procédé à la mise sous mandat de dépôt de son avocate et la suspension du directeur général du pénitencier et son adjoint par le ministre de la Justice, garde des Sceaux, Tayeb Louh. Une enquête a également été ouverte à l’intérieur du pénitencier. Pour mieux prévenir contre d’éventuelles autres évasions, la direction générale de l’administration pénitentiaire a déclaré l’état d’urgence au niveau de tous les établissements pénitentiaires et a instruit les responsables d’intensifier la surveillance des cellules en fouillant les détenus trois fois par jour.*Par Amar INGRACHEN - Jeudi 28 Avril 2016/ lexpressiondz.
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*Pas moins de 166 réseaux criminels, dont 62 spécialisés dans le trafic de drogue, ont été neutralisés, en 2015, à l’ouest du pays, a annoncé, hier, le général Othmani, commandant du groupement de la gendarmerie d’Oran, lors d’une conférence de presse. Comparativement à l’année 2014, les saisies de kif traité ont nettement diminué pour passer de plus de 41 tonnes en 2014, à plus de 22 tonnes en 2015 alors que les saisies de cocaïne et de psychotropes ont augmenté.
Les gendarmes ont saisi plus de 81 kg de cocaïne et 13 251 comprimés de psychotropes et arrêté 619 individus. La baisse concerne également la criminalité ordinaire. 327 affaires de crimes et 5 250 affaires de délits ont été traitées et 6 386 individus arrêtés. «Cette diminution est due, en premier lieu, aux mécanismes mis en place par l’institution», a noté le commandant, précisant que la stratégie instaurée repose sur l’amélioration des enquêtes, l’utilisation des données scientifiques et techniques dans les recherches et, surtout, la formation et le perfectionnement de l’élément humain.
Ce dispositif statique et mobile ne cesse de se développer et tient compte des données technologiques et du mode opératoire des réseaux et des bandes de malfaiteurs. Le 2e commandement régional de la gendarmerie compte instaurer un nouveau plan de lutte contre les enlèvements d’enfants, a indiqué le général. Ce plan sera vulgarisé la semaine prochaine. Par ailleurs, de nouvelles infrastructures de la gendarmerie sont prévues au terme de cette année dans le but de sécuriser les biens et les personnes. **F. A./ el watan/ jeudi 14 janvier 2016
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**40,4 millions d’habitants au 1er janvier 2016
La population algérienne a atteint 40,4 millions d’habitants au 1er janvier 2016 contre 39,963 millions d’habitants en 2015, selon l’Office national des statistiques (ONS).
Dans son rapport sur la démographie algérienne, l’ONS, interrogé par l’APS observe que l’année 2015 a été marquée par une augmentation conséquente du volume des naissances vivantes qui a dépassé, pour la seconde année consécutive, le seuil d’un (1) million de naissances.
En outre, l’année 2015 a également connu une hausse du volume des décès et un fléchissement assez significatif du nombre de mariages contractés comparativement aux dernières années, note le rapport.
Ainsi, la population résidente totale a connu en 2015 un accroissement naturel de 858.000 personnes, soit un taux d’accroissement naturel de 2,15%. Ce taux avait connu une stagnation entre 2014 et 2015 imputée essentiellement à l’augmentation aussi bien des naissances vivantes que du volume des décès, a relevé l’ONS.
En 2015, le nombre de naissances vivantes à atteint 1,040 million alors que le nombre de décès a été de 183.000, tandis que le nombre de mariages contractés a atteint 369.000. Sous l’hypothèse que le rythme de croissance de 2015 se maintiendrait pour l’année en cours, la population résidente totale devrait atteindre 41,2 millions d’habitants au 1er janvier 2017, pronostique l’ONS. *Par Djamil Mesrer | 19/04/2016 | algerie1.com/
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*L’Algérie compte 39,5 millions d’habitants au 1er janvier 2015
L’Algérie comptait 39,5 millions d’habitants au 1er janvier 2015 avec un volume de naissances vivantes qui a dépassé, pour la première fois, le seuil d’un million, et une prévision d’une population de plus de 40 millions d’habitants en début 2016, selon l’Office des statistiques (ONS).
Cet accroissement est imputé essentiellement à une augmentation relativement importante du volume des naissances vivantes qui a atteint 1,014 million en 2014. Quant au volume de mortalité dans le pays, il a augmenté à 174.000 décès en 2014 dernière contre 168.000 décès en 2013.
En 2014, la population algérienne a connu un taux d’accroissement naturel de plus de 2,15% contre 2,07% en 2013. Sur les quinze dernières années, la population totale résidente a grimpé en passant de 30,4 millions en 2000 à 39,5 millions au 1er janvier 2015.
De plus, l’augmentation de la population totale devra se poursuivre puisque l’ONS table sur une population résidente totale de 40,4 millions au 1er janvier 2016. Avec ce volume d’accroissement tiré essentiellement par le taux de la natalité, les services de l’état civil ont enregistré, en 2014, une moyenne de plus de 2.700 naissances/jour contre 2.600 naissances en 2013.
La répartition de ces naissances par sexe donne un rapport de masculinité de 104 garçons pour 100 filles, constate l’ONS. En outre, l’indice de fécondité a connu une hausse en passant de 2,93 enfants par femme en 2013 à 3,03 enfants en 2014. L’âge moyen à l’accouchement a été de 31,3 ans en 2014 contre 29,5 ans en 1990. Par ailleurs, l’ONS relève un léger fléchissement du nombre de mariages avec 386.422 mariages contractés en 2014 contre 387.947 en 2013. A l’inverse, le volume des divorces a continué sa tendance haussière avec 57.461 ruptures de mariages en 2013 (chiffres de 2014 non disponibles) contre 54.985 divorces en 2012 et près de 39.400 en 2000.
Baisse de la population active
Le volume de la population en âge d’activité (15 à 59 ans) a poursuivi sa baisse en passant de 64% en 2013 à 63,6% en 2014, ajoute la même source soulignant que « la transition démographique enclenchée et associé » à la transition épidémiologique sont à l’origine des modifications structurelles de la pyramide des âges de la population ».
Concernant la structure de la population résidente en Algérie, une répartition par sexe montre que les hommes représentent 50,62% de la population contre 49,38% de femmes.
Par âge, la population âgée de moins de cinq représentait, au 1er juillet 2014, une part de 11,6% (11,4% en 2013) alors que celle âgée de moins de 15 ans représentait 28,4% (contre 28,1%). De même, la part des personnes âgées de 60 ans et plus a continué aussi sa progression, passant de 8,3% en 2013 à 8,5% en 2014, pour un volume de 3,334 millions de personnes.
S’agissant des mortalités et des durées de vie des personnes, le rapport de l’ONS indique que le taux brut de mortalité est passé de 4,39% en 2013 à 4,44% en 2014 tandis que l’espérance de vie est passée à 77,2 ans en 2014 contre 66,9 ans en 1990, soit un gain de 10 ans et 3 mois. Aussi, le taux de mortalité infanto-juvénile, qui exprime la probabilité pour un nouveau-né de décéder avant d’atteindre l’âge de cinq ans, a régressé passant de 26,1% en 2013 à 25,6% en 2014 (27,1% pour les garçons et 23,9% pour les filles). (Aps)-28/03/2015 |
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*un cybercriminel étranger arrêté à Tizi Ouzou
il abusait des jeunes filles et les filmait pour leur extorquer des fonds
Les services de police de Tizi Ouzou viennent de mettre fin aux agissements d’un cybercriminel étranger qui abusait de la détresse des jeunes filles pour leur extorquer des fonds après les avoir filmées. Ils les faisait chanter en menaçant de mettre en ligne les vidéos compromettantes.
Plusieurs victimes ont décidé de porter plainte alors que d’autres ont préféré garder l’anonymat dans cette affaire aux dimensions internationales.
Selon la cellule de communication de la sûreté de la wilaya de Tizi Ouzou, l’arrestation de ce cybercriminel originaire d’un pays arabe a été effectuée à la suite d’une plainte pour escroquerie, menaces de diffusion de photos compromettantes, et extorsion via les réseaux sociaux, déposée par une jeune femme.
De fil en aiguille, les éléments de la Brigade de Recherches et d’investigationsc(BRI) ont fini par identifier l’auteur, un ressortissant étranger âgé de 47 ans, issu d’un pays arabe et marié à une Algérienne. Il a été interpellé à l’aéroport international d’Alger alors qu’il rentrait d’un voyage à l’étranger.
L’enquête de la BRI a conclu que cet individu a abusé de plusieurs autres femmes, issues de plusieurs Wilayas du pays auxquelles il promettait mariage dans un premier temps avant de les filmer dans leur intimité puis les menacer de publier leurs photos et vidéos sur la toile si elles ne lui versent pas l’argent réclamé.
Selon la cellule de communication de la sûreté de la wilaya de Tizi Ouzou, « son mode opératoire consistait à tisser des liens avec des femmes, via les réseaux sociaux, en leur promettant le mariage, et au fur et à mesure, celles-ci dévoilaient leur intimité face à la Webcaméra, sans se douter qu’il enregistrait les moindres détails audiovisuels. Par la suite, il téléchargeait des photos et vidéos qu’il transmettait à sa femme Algérienne, elle-même victime de ses agissements, qui, à son tour, prenait attache avec les victimes pour leur demander des sommes d’argent pour le compte de cet étranger ». Déféré devant le parquet de Tizi Ouzou, dimanche dernier, il a été écroué pour menaces conditionnelles, prise de photos sans le consentement de la personne, détention de photos obscènes, mise à disposition du public de photos compromettantes et escroquerie.*Par Ameziane Athali | 24/03/2015 |algerie1.com
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*Une atteinte très grave à la sécurité du peuple algérien
L’avion-cargo ukrainien qui s’était écrasé à Tamanrasset, transportait des déchets nucléaires.
*Pourquoi nous a-t-on caché la vérité?
*L’avion-cargo ukrainien qui s’était écrasé le 30 août dernier quelques minutes après son escale à l’aéroport Aguennar de Tamanrasset transportait à son bord des produits nucléaires. Fort heureusement les contenants de ces produits n’ont pas été affectés par le crash de l’avion.?!
Néanmoins des vérifications d’usage ont été opérées dés le lendemain par des experts en nucléaire, qui se sont rendus sur les lieux du crash, afin de s’assurer que les contenants n’ont pas été détériorés lors de l’accident. En effet, une dispersion de ces produits dangereux aurait été lourde de conséquences pour la population et l’environnement.
Selon le quotidien Ennahar, qui révèle l’information ce samedi 11/10/2014/, en affirmant avoir consulté les conclusions d’un rapport secret sur ce crash, ces déchets nucléaires devraient être acheminés pour s’en débarrasser en Guinée Bissau. Les enquêteurs algériens ont fait appel aux experts du Haut commissariat à l’énergie atomique pour prendre en charge les contenants et les mettre à l’abri de toutes éventuelles fuites. Des pays africains sont devenus des dépotoirs de toutes sortes de déchets nucléaires et autres, provenant de l’Occident et de l’Europe.*samedi 11/10/2014/algerie1.com
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