Coup de gueule

**Coup de cœur **

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Nouvelle année hégirienne 1435 dans actualitéCoup de gueule

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  « des gens utilisent le passé historique du FLN pour arriver à des postes de responsabilité et piller l’argent du peuple»

Les députés islamistes et ceux FLN se livrent à une guerre sans merci, en perspective des élections locales de novembre prochain. L’hémicycle de l’Assemblée nationale a été dimanche matin le théâtre d’accusations des plus acerbes entre les deux camps, portant sur le « pillage » des deniers publics.

Les débats sur le plan d’action du gouvernement algérien, au sein de l’Assemblé nationale (APN), ont pris une tournure inattendue dimanche matin, après que le député Ghani Boudebouz, eut déclaré en plénière que « des gens utilisent le passé historique du FLN pour arriver à des postes de responsabilité et piller l’argent du peuple». Le député, appartenant au groupe parlementaire de l’Alliance verte, regroupant les partis islamistes du MSP, El-Islah et Nahda, a jugé utile de préciser, en plus, que les fondateurs du véritable FLN ont quitté le parti juste après l’indépendance, en 1962, en citant Karim Belkacem et Hocine Ait Ahmed.

Ces déclarations ont suscité, naturellement, la colère des députés du FLN, qui ont fait un provoqué un énorme tapage pour empêcher le député islamiste de poursuivre son intervention. Le chaos a duré un bon quart d’heure, avant que Mohamed Larbi Ould Khjelifa, le président de l’Assemblée Populaire Nationale (APN, chambre basse du Parlement algérien), n’arrive à remettre de d’ordre, en appelant les députés de sa formation politique à laisser M. Ghani Boudebouz s’exprimer.

Cela n’a pas empêché des députés du FLN de répondre à l’attaque, en accusant les islamistes d’avoir « pillé le pays au moment où ils étaient représentés au gouvernement ». Des accusations qui s’adressent particulièrement aux membres du MSP, qui était représenté par quatre ministres dans le gouvernement d’Ahmed Ouyahia, dans le cadre de l’Alliance présidentielle.

Le duel entre le FLN et les islamistes s’était terminé par une large victoire du premier lors des législatives de mai 2012. Les élections locales du 29 novembre prochain devraient, de nouveau, donner lieu à une confrontation animée par ces deux courants et leurs alliés traditionnels.*Maghreb Emergent-30.09.2012.

**Anarchie….Scènes – N’avons-nous pas vu une jeune fille réclamer à un septuagénaire qui voulait établir son certificat de nationalité, l’extrait de naissance de son grand-père ‘
Qu’ils exercent dans des bureaux de poste ou au Trésor ou même dans une administration, les fonctionnaire étouffent dans leur exiguïté, les citoyens aussi.
Des daïras qui devaient gérer, au départ, deux ou trois petites communes, c’est-à-dire dix à quinze mille habitants sont obligées de faire face, aujourd’hui, à une population qui a doublé. Et cela donne le résultat suivant : il y a autant de guichets que de chaînes. Et elles peuvent durer plusieurs heures.
Pour être servis et s’en sortir, certains citoyens n’ont d’autres recours que de faire appel à une personne sur place, un ami, un parent ou même une vieille connaissance.
Ce qui suppose des passe-droits quand ce n’est pas autre chose de plus délictueux.
Compte tenu de l’incroyable pression des administrés, des dossiers fatalement s’amoncellent.
Des permis de conduire, dans certaines régions à forte densité sont établis au bout de 6 mois, voire plus.
Et nous ne parlons pas des cartes grises dont on prétend qu’elles se font en 24 heures.
Cette pagaïe ambiante a permis la naissance d’un véritable trafic dans le service, un peu partout c’est par charrette entière que des fonctionnaires véreux ont pris le chemin des tribunaux.
Nous n’inventons rien, il suffit de lire les journaux pour se rendre compte à quel degré de laxisme sont arrivées nos institutions.
Quant aux employés de mairies, aucune formation spécifique ne leur a été prodiguée à notre connaissance. Leur apprentissage se fait sur le tas par l’épreuve du public.
Malheureusement les recrutements de ce personnel par le biais du filet social, ne règlent rien.
C’est comme si on bouchait un trou pour en créer un autre.
N’avons-nous pas vu une jeune fille réclamer à un septuagénaire qui voulait établir son certificat de nationalité, l’extrait de naissance de son grand-père ‘
N’avons-nous pas vu une autre jeune fille du même âge demander aux citoyens qui souhaitaient avoir un certificat de résidence la photocopie de leur carte de vote ‘
Indépendamment de tous ces problèmes qu’on résorbera avec le temps et qui sont, selon le cas, le résultat de l’inexpérience ou de l’incompétence comment voulez-vous que le pays progresse si en plus de ces tares, des travailleurs s’absentent de leur poste après un long week-end de 4 jours ‘
Après l’Aïd, rares étaient ceux qui avaient repris sérieusement leur boulot.
Quota
- L’absence de planification dont souffre notre pays n’est pas nouvelle. Elle a toujours fait partie de notre «patrimoine génétique»
Evitons donc de jeter la pierre à telle ou telle autre époque. Souvenez-vous de l’époque des pénuries des années 70 et qui ne sont que l’expression d’un manque flagrant de vision à long terme. Les gestionnaires du socialisme n’ont-ils pas envoyé au souk el-fellah d’Adrar son quota de moteurs Baudouin pour barques …InfoSoir-27.09.2012.

*tableau noir de la compagnie Air Algérie 

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Le ministre des Transports, Boudjema Talai a dressé jeudi au sein de l’Assemblée populaire nationale (APN), un tableau noir de la compagnie aérienne Air Algérie en dénonçant la « qualité du service qui ne répond pas aux standards internationaux, l’irrégularité des vols, les retards et l’annulation des vols qui ont « impacté négativement la réputation de la compagnie »…

C’est en fait un véritable réquisitoire de la gestion de l’ex PDG, Mohamed Salah Boultif qui, depuis son installation en 2011 à la tête de la compagnie aérienne, n’a pas su, faute de compétences avérées, la hisser à la place qu’elle aurait du avoir. Bien au contraire, arrogant, suffisant, méprisant, se croyant intouchable, n’écoutant que sa propre personne, gérant l’entreprise à la petite semaine, il a fait régresser la compagnie, aujourd’hui largement dépassée par Tunis Air, Royal Air Maroc et surtout Ethiopian Airlines qui ambitionne de devenir la première compagnie aérienne africaine en termes de nombres de passagers transportés dès 2015.

 Ethiopian Airlines occupe déjà la première place à l’échelle continentale en termes d’appareils (79 avions et en commande 20 737 MAX 8, trois 737-800, 12 Airbus A350-900) avec 6 millions de passagers transportés en 2014, Royal Air Maroc (6 millions), Egypte Air ( 7 millions), South African Airways (7,1 millions).

Alerté sans arrêt par le Collectif contre la cherté des transports vers l’Algérie (CCTA), l’ancien PDG, qui n’a jamais daigné recevoir ce collectif, est resté droit dans ses bottes imposant aux algériens et en particulier à ceux résidants à l’étranger des prix excessifs considérés par tous les spécialistes comme les prix les plus chers au monde pour les distances parcourues.

Autre tare, Air Algérie dispose d’un pléthorique personnel évalué à 10.000 employés (Royal Air maroc, 4.600), (Ethiopian Airlines, 7.642), soit 217 employés par avion,  et c’est cette pléthore de personnel qui pousse Air Algérie à racketter ses passagers et à imposer aux soit disant compagnies concurrentes (Aigle Azur, Air france) de s’aligner sur ses prix révoltants. Espérons que le nouveau ministre des transports, qui a déjà fait ses preuves de bon gestionnaire dans une autre vie, saura remettre de l’ordre dans cette entreprise, considérée comme un géant aux pieds d’argile, tout comme il se doit de s’intéresser à tous ces fils et filles de privilégiés qui ont squatté les agences de la compagnie à l’étranger, mais là c’est une autre histoire.*Par Khidr Ali | 05/06/2015 | algerie1.com

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Réhabiliter les métiers de concierge et de gardien d’immeubles…L’opération portant hygiène des villes, lancée récemment par les autorités, devrait passer inévitablement par la réhabilitation des métiers de concierge et de gardien d’immeubles, estime Amara Benyounes. Le nouveau ministre de l’Aménagement du territoire qui prône à cet effet la création de sociétés spécialisées, a réaffirmé que «toute l’Algérie sera nettoyée».
Le ministère de l’Aménagement du territoire, de l’Environnement et de la Ville serait déjà dans cette démarche de réflexion afin de «trouver des formules» adéquates pour réhabiliter les feues conciergeries. «Nous sommes en train de réfléchir pour réhabiliter ce métier. Comme cela se fait dans toutes les grandes villes du monde.» Ce qui paraît a priori impossible puisque toutes les conciergeries ont été vendues à des particuliers.
Mais cela ne semble pas poser de problème, pour autant, au nouveau ministre de l’Aménagement du territoire qui propose la création «de sociétés qui s’occuperaient de cela». Pour s’en convaincre, Benyounes qui était, ce jeudi matin, l’invité de la Chaîne III n’hésite pas à s’étaler sur la situation d’insalubrité qui sévit au niveau de la rue Didouche-Mourad, à Alger. «Les services de nettoyage passent trois à quatre fois dans la journée et ça reste sale ! Les locaux à ordures dans les bâtiments ont disparu et ont été squattés.
Il faut réhabiliter ces locaux pour permettre aux locataires, aux propriétaires de déposer toute la journée leurs déchets ménagers dans ces locaux.
Le gardien d’immeuble s’en chargera après, les fera sortir à des horaires qui seront fixés par la wilaya», a-t-il insisté. L’orateur n’écarte pas, cependant, la possibilité de recourir à l’expertise étrangère en la matière pour mener l’opération nettoyage des villes.
D’après le ministre, il n’existe pas d’expertise algérienne en matière de gestion, de tri, de collecte et de transport des ordures ménagères. Il a appelé à mettre en place un mécanisme pour obliger les propriétaires d’immeubles à gérer les parties communes «complètement délaissées».
L’entretien et l’hygiène des villes semblent ainsi être une priorité du département d’Amara Benyounes. Finies «les grandes campagnes d’assainissement qui s’arrêtent juste après», dit-il avant de revenir sur ses priorités.
«La première priorité absolue c’est de nettoyer toute l’Algérie et pas uniquement les grandes villes. Nous allons débarrasser l’Algérie de toutes les saletés et les ordures ménagères qui traînent un peu partout», a-t-il déclaré. Vient ensuite la deuxième étape qui consiste à «mettre en place un mode de gestion qui va permettre à cette propreté de durer dans le temps.
Toutes les pistes sont ouvertes au ministère de l’Aménagement du territoire pour faire des propositions au gouvernement qui tranchera…».
Evoquant ces différentes pistes qui seront mises en place incessamment dans le cadre de ce dispositif, Benyounes parle de l’acquisition prochaine d’incinérateurs. «Nous avons fait le choix d’acheter trois grands incinérateurs pour les trois plus grandes villes du pays et dont le prix tourne autour de 150 millions d’euros. Toutes les autres villes du pays seront dotées d’incinérateurs de moindre importance car ils ont moins de déchets que les grandes villes ainsi que des centres d’enfouissement techniques», a-t-il annoncé.
Les décharges publiques qui demeurent un casse-tête interminable pour les autorités devraient connaître elles aussi leur épilogue, à en croire le ministre.
«Nous sommes en train de réfléchir à l’élaboration d’un cahier des charges pour pouvoir sélectionner les entreprises qui devront gérer le nouveau Centre d’enfouissement technique (CET) de Sidi Abdallah.» Cette décision a pour objectif d’éviter la «gestion chaotique» qu’a connue la décharge d’Ouled Fayet, rappelle-t-il.*…InfoSoir-27.09.2012.

L’Algérie est libre et souveraine et n’a pas besoin de « guide extérieur »», a déclaré  le président de l’Assemblée populaire nationale, Larbi Ould Khelifa.

En réponse à certaines parties qui tentent de s’ingérer dans les affaires intérieures du pays, le président de l’Assemblée populaire nationale, Larbi Ould Khelifa, a été clair net et précis. «L’Algérie construit sa démocratie, elle est libre et souveraine et n’a pas besoin de « guide extérieur »», a-t-il déclaré.
Il est vrai que lorsqu’on veut détruire un pays qui ne veut pas «obéir» aux ordres de certains lobbies, on l’accuse de non-respect des droits de l’Homme et de régime antidémocratique. C’est le cas de l’Irak et des pays soufflés par le dit «printemps arabe». Ainsi, sans citer de nom, le président de l’APN a indiqué que ces parties instrumentalisent et utilisent la défense de la démocratie et les droits de l’Homme à des fins de «pression» et de «chantage». «C’est l’Algérie libre et souveraine qui construit sa démocratie. Elle n’a pas besoin de guide extérieur qui use parfois de la démocratie et des droits de l’Homme à des fins de pression et de chantage», a affirmé M. Ould Khelifa. Le président de l’APN avait déclaré, dans une allocution prononcée à l’occasion de la célébration de la Journée mondiale de la démocratie, que «les milieux d’outre-mer n’ont pas le droit de s’autoproclamer professeurs jaloux de la démocratie et des droits de l’homme en Algérie car leur passé ne les habilite pas à le faire». Il a expliqué, à cet effet, que c’est le système colonial qui est visé (dans cette déclaration), lequel a une «responsabilité historique vis-à-vis des peuples dont il a spolié la liberté et détruit le tissu social et culturel». «De toutes les façons, nous ne portons aucune rancune au peuple français ni aux autres peuples et nous n’incitons pas à la haine comme le prétendent certains commentaires de presse», a ajouté le président de l’APN, plaidant pour une «démarche commune afin que la Méditerranée soit un trait d’union et un carrefour pour la coopération, l’échange et la construction de l’avenir dans une atmosphère de sécurité et de paix, et non un obstacle et un lieu de confrontation». «Nous ne pouvons pas oublier, au moment où notre pays célèbre le cinquantenaire de son indépendance et le recouvrement de sa souveraineté nationale, ce que nos aïeux ont enduré comme injustice et privations de leurs droits fondamentaux du fait des lois de ségrégation raciale et l’état de misère extrême de la majorité des Algériens», a encore souligné M. Ould Khelifa. Sur un autre registre, et s’exprimant sur la session d’automne 2012, coïncidant avec le début de la 7e législature, le président de l’APN a estimé qu’elle se caractérise par le «renouveau» et la «continuité». «Il y a le gouvernement qui a été investi de la confiance du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, et qui a défini comme priorité une nouvelle stratégie tendant au renforcement des fondements de l’Etat de droit et de la relation avec le Parlement s’agissant de ses missions en matière de législation et de contrôle», a-t-il dit. Pour ce qui est de la continuité, il a indiqué que le gouvernement s’attellera à parachever les réformes et les grands projets de développement inscrits au programme du président de la République, affirmant qu’il appartient à tous, «gouvernement et députés, de gagner la confiance du peuple». Considérant que l’APN présente dans sa composante actuelle plusieurs «spécificités», il a relevé qu’elle comporte un nombre élevé de jeunes, de titulaires de diplômes supérieurs et de femmes députés représentant 27 partis. «Nous sommes déterminés à faire de la présente législature une législature exceptionnelle, un grand pas sur la voie du changement escompté et un réceptacle pour la démocratie, la pluralité d’opinions, des efforts qui traduisent sa maturité à converger vers les mêmes finalités, à savoir être au service de la patrie et du citoyen et de défendre les intérêts suprêmes de la République algérienne», a-t-il poursuivi. Il a également fait part de la résolution au sein de l’Assemblée à «être à l’écoute de l’opposition dans toute sa composante, sans exclusion ni marginalisation». «Elle (l’opposition) est une partie intégrante de la scène nationale et nous estimons qu’elle est animée de bonne foi et qu’elle oeuvre dans le sens de l’intérêt général.» Pour le président de l’APN, «le nationalisme et la citoyenneté sont l’affaire de tous en ce qu’ils comportent comme droits et devoirs et d’engagement aux principes de la démocratie, dont les fondements se traduisent dans les résultats des urnes et le verdict du peuple, majorité et minorité confondues, lors d’élections honnêtes et transparentes, à l’exemple des législatives du 10 mai 2012, et ce, dans le cadre de l’alternance au pouvoir et du respect des lois de la République».*L.N.R-24.09.2012.

** Faire dans l’amalgame pour le seul besoin de faire mal

l’effervescence et l’agitation augmentent à l’approche de l’élection présidentielle

*Gardez les insultes pour vos maîtres de là-bas. Le pays n’en a que faire

Ces donneurs de leçons aiment tant nous faire la morale parce qu’ils pensent en avoir le droit à partir du seul moment qu’ils sont attablés place de l’Opéra à Paris.

Plus l’élection d’avril 2014 approche, plus le climat est intense. Ceci est dû, d’un côté, à la nature des choses qui veut, comme partout ailleurs, que plus on se rapproche de la date de l’élection, plus l’effervescence et l’agitation augmentent mais, d’un autre côté, il y a cette maladie de Bouteflika qui est venue compliquer encore la donne en s’ajoutant aux éléments constituants d’une scène politique peu «normale» en soi.
Qu’au fur et à mesure que l’échéance approche, des voix s’élèvent pour dire ou pour médire, pour annoncer ou pour dénoncer, pour appeler ou pour rappeler, pour rejeter ou pour recommander, pour louer ou pour critiquer, pour caresser dans le sens du poil ou pour griffer là où cela fait le plus mal, tout ceci est tout à fait normal, même si parfois certaines voix sont amuïes par une censure qui ne veut pas quitter notre ciel et même si des rappels à l’ordre tombent, parfois, de là où ils ne devraient pas venir.
Tout cela est normal, tout cela demeure dans les limites d’un mode de vie qu’on nous a imposé et pour lequel nous avons inventé des détours afin de pouvoir le traverser et tenter d’embrasser des rêves souvent descendus en lambeaux par des indus occupants et des incompétents. Tout ceci est devenu chose normale.
Qu’un chef de parti, à peine installé, tire sur un Premier ministre à boulets rouges, donnant à la communauté internationale l’occasion de s’esclaffer, qu’un autre s’en prenne à un confrère, que des partis se restructurent uniquement à l’approche d’élection, que d’autres partis naissent la veille de la campagne électorale, une demi-journée après avoir déposé une demande alors que d’autres partis attendent depuis des années que l’on débarque Ouyahia, que l’on écarte Belkhadem, que l’on présente des excuses trop tardives et trop douteuses à Hocine Aït Ahmed, que l’on intronise Saâdani, que l’on éjecte Belayat… tout cela, à la limite, est normal car tout cela entre dans nos habitudes si effrayantes, dans nos valeurs qui se dégradent à vue d’oeil et dans notre culture qui s’appauvrit de plus en plus. Que Khalida Toumi dise préférer tous les écrivains du monde à Yasmina Khadra, qu’elle séquestre notre culture dans une armoire poussiéreuse du XIIe siècle, qu’elle jette le tout dans la pièce où gît le cadavre d’un saint homme parce qu’elle pense que c’est la mode pour les ministres, passe encore, car tout cela est normal du moment que cela nous ressemble tellement depuis que n’importe qui peut faire n’importe quoi dans notre pays et, surtout, du moment que ce sont les moins capables qui s’expriment devant les micros qui ne sont tendus que là où il ne faut pas. Ce qui n’est pas normal, par contre, c’est de voir un Algérien se lever, ailleurs qu’en Algérie, prendre ciel et terre à témoin et se mettre à déverser, de manière grossière, sa haine de l’Algérie. Ce qui étonne, c’est lorsqu’un Algérien, du moins de nom, au nom d’un amour qu’il dit porter au pays, se donne et nous donne en spectacle à ceux qui l’hébergent le temps de s’exprimer, à travers ses sentiments peu amènes pour l’Algérie et les Algériens.
Ces donneurs de leçons aiment tant nous faire la morale parce qu’ils pensent en avoir le droit à partir du seul moment qu’ils sont attablés place de l’Opéra à Paris et, à l’approche d’événements comme les élections, entrent en compétition pour voir qui fait le plus mal ou qui profère la plus grande insanité à l’endroit du pays.
Nous ne parlons pas de ceux qui émettent des critiques à l’égard du système ou de certaines institutions et nos propos ne concernent nullement ceux que l’amour de leur pays pousse chaque matin à bousculer le système en place et à appeler au changement, ceux-là, au contraire, méritent respect et égard pour ce qu’ils font, pour ce qu’ils ont fait et pour ce qu’ils continueront à faire sans doute, car tous leurs efforts n’ont qu’un objectif: contribuer à l’amélioration des choses, mais ceux, par contre dont l’objectif est de faire dans l’amalgame pour le seul besoin de faire mal, ceux-là n’ont rien d’un comportement normal et ils n’ont rien compris à l’Algérie ni à l’Algérien.
Gardez, de grâce, les insultes pour vos maîtres de là-bas. Le pays n’en a que faire. L’Algérie attend le changement de la meilleure manière qui soit, celui qui la mette sur les rails pour qu’enfin elle puisse aller à la rencontre de son destin. Nous n’avons pas besoin de vos insultes, messieurs, ni de votre haine.
Nous avons besoin juste de votre silence pour que l’on s’achemine doucement et sûrement vers l’avenir, vers celui de nos enfants, celui de leurs enfants, après avoir été longuement enchaînés à un passé qui ne veut plus de nous.*Par Aïssa HIRECHE-L’Expression-Jeudi 07 Novembre 2013

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*Pour qui sont les trottoirs ?

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De par les dispositions de la loi portant code de la route il est stipulé :
Art. 34. – Les piétons sont tenus d’emprunter les trottoirs, ou accotements, spécialement aménagés à leur usage. Est interdite toute utilisation des trottoirs à des fins entravant la circulation piétonne.
D’où la question que l’on se pose : c’est quoi un trottoir ?
«Trottoir : espace aménagé sur les côtés d’une route destiné à la circulation des piétons, il doit être plus élevé que la chaussée et généralement bitumé ou dallé.
Art. 35. – Les piétons sont tenus, pour traverser une chaussée, de s’assurer au préalable qu’il n’existe pas de danger immédiat et tenir compte également de la distance et de la vitesse des véhicules y circulant et d’utiliser les passages matérialisés, spécialement prévus à leur intention dits «passages piétons», toutes les fois qu’un tel passage se trouve à moins de 30 m.
La traversée de la chaussée doit se faire en ligne droite, c’est-à-dire perpendiculairement à l’axe de la chaussée
Art. 36. – Lorsque la traversée de la chaussée par les piétons devient dangereuse ou impossible, suite à des travaux et aménagements de la route, des mesures doivent être prises pour offrir aux piétons des passages alternatifs sécurisants et accessibles.
Art. 37. – En-dehors des agglomérations, et sauf si cela est de nature à compromettre leur sécurité, les piétons doivent emprunter le côté gauche de la chaussée dans le sens de leur marche.
Art. 38. – En-dehors de toute signalisation lumineuse, les conducteurs sont tenus de céder le passage aux piétons engagés sur les passages piétons.
A l’approche des passages piétons, les conducteurs ne doivent pas effectuer de dépassement sans qu’ils se soient assurés qu’aucun piéton n’est engagé sur ce passage.
Art. 39. – Il est interdit à tout conducteur de s’arrêter ou de stationner en empiétant sur un passage prévu à l’intention des piétons.
Art. 40. – Lorsque des parcs de stationnement des véhicules sont aménagés sur des trottoirs en terre-plein, les conducteurs ne doivent circuler sur ceux-ci qu’à une allure très réduite, en prenant toutes les précautions pour ne pas nuire aux piétons.
C’est dire que le code de la route a pris soin de nous en tant que piétons, quant aux textes, mais comme dit le proverbe,  «S’il y a loin de la coupe aux lèvres, il y a beaucoup plus loin des textes à leur application».
Pourquoi ? Eh bien, tout simplement il n’y a presque pas de section de trottoir disponible pour l’utiliser, quant à nos amis à mobilité réduite circulant sur une chaise roulante, n’en parlons pas…
Mais encore plus, que dit l’ordonnance 09 03 du  29 Rajab 1430 correspondant  au 22 juillet 2009 modifiant et  complétant la loi n°01-14 du 29 Joumada El Oula 1422 correspondant au 19 août 2001 relative à l’organisation, la sécurité et la police de la circulation routière :
A- Les contraventions du 1er degré, telles qu’énumérées ci-dessous, sont punies d’une amende forfaitaire de 2000 DA à 2500 DA : (rien que ça !)
4- contravention des piétons aux règles régissant leur circulation, notamment celles afférentes à l’usage des passages protégés.
Nous invitons le rédacteur de ce texte d’aller à Bab El Oued, où se trouve une station de taxis, un arrêt de bus (Basta Ali) le marché des Trois Horloges, mais «pas de passage pour piétons !».

Nous savons tous que nos trottoirs sont squattés par le marché informel et les stationnements  anarchiques, sauf les trottoirs des institutions et administrations publiques, où il est interdit de stationner ou d’étaler sa marchandise. Là, les trottoirs sont disponibles, à condition d’avoir un parapluie à cause  des  climatiseurs qui dégoulinent. Sauf qu’une histoire incroyable mais vraie nous l’avons lue chez nos amis du quotidien  L’Expression : «On squatte les trottoirs avec des… fleurs !» Au niveau du 1 rue Mohamed Tirouche à Rouiba (Alger), un citoyen squatte un trottoir. Jusque-là, rien d’extraordinaire, puisque nombreux sont les trottoirs squattés dans la capitale par les vendeurs illicites. Ce qui dépasse tout entendement dans  cette affaire, c’est que le citoyen, qui a squatté ce trottoir qui longe sa maison, il en a fait un… jardin, en fermant carrément à l’aide de briques ce passage piétons, au vu et au su de tout le monde. Ce qui oblige les passants à faire un détour. * Par Mohammed Lazouni…El Watan-22.09.2012.

**Utilisation abusive des trottoirs, Quand des citoyens s’approprient la voie publique

Il est vrai qu’Oran suffoque de plus en plus en raison du nombre des véhicules qui y circulent et dont un nombre important n’arrive pas à trouver de place où stationner.

Cette situation a débouché sur le stationnement anarchique, qui s’est propagé un peu partout dans la ville et ses alentours.

En dépit de la présence des agents du service de l’ordre, qui multiplient les P-V, la pose de sabots, la mise en fourrière, etc. en raison de l’importance du parc automobile actuel, d’un côté, et du manque crucial de parkings de l’autre, c’est devenu un véritable casse-tête que de se garer à Oran, notamment à certains endroits sensibles, tels que les établissements publics ou privés et autres services, où la densité humaine reste assez élevée.

Aussi, après les parkings sauvages nés un peu partout ou ceux dits officiels, que les services publics et élus locaux semblent impuissants à éradiquer pour les premiers cités ou à récupérer pour les autres, voici venu le temps des trottoirs squattés ou carrément accaparés par des personnes à qui cela paraît tout à fait normal d’en jouir en toute liberté.

On a tendance à parler des trottoirs squattés par les commerçants, qui exposent leurs marchandises à l’extérieur comme bon leur semble, ne laissant très souvent qu’un passage très réduit aux passants, créant ainsi une gêne considérable et pour de potentiels clients et pour les simples citoyens de passage.

C’est également la même chose en ce qui concerne les terrasses de café utilisées anarchiquement par leurs propriétaires ou gérants, qui ne se gênent pas du tout en s’accaparant toute la largeur du trottoir et ceux des rôtisseries, pizzerias, etc., qui, lorsqu’ils ne laissent pas leurs matériel ou marchandises dehors, monopolisent entièrement le passage qu’ils prennent même soin de couvrir d’une toiture métallique en élevant des murs sur les côtés, apportant, ainsi, une extension à leurs magasins, comme c’est le cas un peu partout, notamment dans les grandes cités, à l’exemple de celles de l’USTO, Es-Sabah, Seddikia, Yaghmoracen, etc. où particulièrement les épiceries et les boulangerie détiennent la palme en raison du nombre important, qui existe depuis quelques années déjà.

Mais, il n’y a pas que les commerçants qui utilisent cette méthode hors-la-loi car bien des établissements, qui ont une relation, par exemple, avec le domaine de la construction, utilisent ces extensions pour stocker leurs «échantillons» en y installant des grilles autour des espaces libres.

A côté de tout cela, ce sont, bien sûr, les voitures qui occupent les trottoirs, notamment durant la journée, comme c’est le cas à la cité USTO, où d’ailleurs les automobilistes ne s’offusquent nullement en utilisant le plus normalement du monde, les allées piétonnes pour circuler, se sentant même agacés par la présence des piétons, qui ne font pourtant qu’emprunter le chemin qui leur est réservé. D’ailleurs, rares sont les trottoirs que l’on peu trouver en partie ou entièrement libres, sans voitures garées.

Cependant, il existe une autre catégorie de gens qui non seulement s’accaparent les trottoirs, mais carrément les utilisent pour y exercer leurs métiers. Il s’agit des mécaniciens et électriciens autos, réparateurs de radiateurs, ferronniers, menuisiers, etc.

En effet, tout automobiliste, qui a eu affaire à l’un de ces artisans-là, aura sans aucun doute remarqué qu’une grande majorité de mécaniciens interviennent directement pour réparer le véhicule en panne, en pleine rue, soit sur le trottoir, notamment lorsqu’il s’agit de remplacer une pièce mécanique, qui ne nécessite pas le démontage entier du moteur, à l’image des tambours, disques de freins, roulements, amortisseurs, etc. Mais, ce sont surtout les électriciens auto qui utilisent le plus cette méthode où il n’est pas rare de voir plusieurs véhicules à la fois, stationnant cote à cote et dont le capot est ouvert.

Les électriciens vont ainsi d’une voiture à une autre pour effectuer les réparations. Généralement, ces électriciens n’ont pas de garages où ils peuvent, par exemple, recevoir au moins un véhicule, se contentant d’avoir un petit local qu’ils utilisent pour réparer les démarreurs, alternateurs ou toute autre pièce défaillante.

On retrouve aussi les ferronniers, dont le gros du travail s’effectue à l’extérieur, soit à l’air libre, faute de place. Aussi, les portails, grilles, rampes d’escaliers de différentes formes et dimensions sont-ils confectionnés, très souvent, sur le trottoir. Idem pour les menuisiers dont certains, même, vernissent leurs meubles dehors sur le trottoir et les exemples sont nombreux.

Il est vari que le manque de parkings pose un problème sérieux au niveau du trafic routier dans le tissu urbain mais s’accaparer les trottoirs comme palliatif à ce problème ne fait qu’empirer la situation, surtout au niveau des cités résidentielles, où l’espace généralement ne manque mais que certaines personnes doivent respecter en tant que bien de la collectivité et non pas comme bien personnel.* L’Echos d’Orsn..

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*Une directrice d’école corrompue

 

Le chef d’établissement dans l’enseignement et ailleurs, est en principe, un exemple de sérieux, de probité et d’honnêteté, pour les éléves, les enseignants et les parents…Mais l’on constate, selon des témoignages crédibles, que la pourriture a touché aussi les établissements scolaires. Ainsi, une directrice d’école a Oran, affiche carrément son enclin a obtenir des faveurs (ou  des cadeaux) pour elle ou sa progéniture, a chaque occasion qui se présente. Cette directrice d’école n’a pas hésité a demander, oralement, directement et sans vergogne, a un parent d’éléve, d’augmenter les notes de sa fille étudiante dans un institut. Ce parent d’éléve, étonné et écoeuré par l’attitude indigne de cette directrice, n’a pas hésité a changer d’école pour son fils et l’inscrire dans un autre établissement, afin d’éviter d’avoir affaire a cette femme corrompue. Le Ministére de l’Éducation et ses directions régionales qui doivent être au courant de ces comportements, doivent commencer, sans tarder, a nettoyer leurs établissements scolaires de ce genre d’énerguménes.* Oran-09.09.2012.

**D’autres articles: Tous pourris

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Décadence… Show-biz…Chaudes bises

Clips concoctés de danses frénétiques, corps dévoilés de façon obscène, révélant l’étendue des impuissances. Gestes érotisés, comme s’ils étaient beaux… Décadence’ Non, Show-biz. Chaudes bises. «Vous avez été époustouflante… Vous passez au Zénith, les… dates s’affichent… et la dernière compilée apparaît en insert sur l’écran familial, demeuré seul dans la salle de séjour désertée par toute la maisonnée. Mais dans la maison, voyez-vous, il y a trois télés. Les trois générations refusant de voir le spectacle ensemble, s’isolent, chacune dans sa chambre, pour se délecter. Et se retrouver après, comme si de rien n’était. Respect ou hypocrisie’ Code social, interdisant l’étalage de la chair, mais avalant la violence à «plein écran». Appels à la mort, «mimerie» de la mort, choix de celle-ci, quand la bonté s’est évanouie, et que poésie ou métaphysique paraît incongrue. Guirra, ça tue en vouvoyant, en louvoyant, gros plans sur des dents humaines semblables à celles des grands «chadis», singes sans beaucoup d’humour. Bataille rangée dans une prison, appels au secours. Le sang s’étale et les vengeances sont glorifiées comme des héros. Là, un avertissement au bas de l’écran clignote sans que nul ne bouge. «Va dormir mon enfant ce n’est pas bon pour les gosses».
- Mais papa, ce n’est que du cinéma.
- Oui, mais il y a trop de sang, trop de violence, ce n’est pas bon pour les petits enfants.
Futé, le gosse change de sujet. Il se met à raconter à ce paternel, l’agression à laquelle il a assisté l’autre jour, alors qu’il sortait de l’école. Comment une vieille dame a été tabassée, parce qu’elle a refusé de se laisser voler son sac à main. Comment au seuil de l’immeuble des jeunes gens armés de sif, de couteaux et de bombes lacrymogènes…
- Arrête de parler de ces trucs, laisse-moi voir le film.*El Guellil–lequotidien-oran.24.09.2012.

***Les clandestins

«Qui se fait en cachette et qui a généralement un caractère illicite».Voilà la définition du Robert sur le clandestin. Or, si cette activité a un caractère illicite, elle ne semble pas se faire en cachette.

Mais d’abord, essayons de remonter loin dans le temps en ce qui concerne les «clandestins». C’était à l’époque où les transports publics très disponibles étaient concurrencés par ces clandestins en raison de leur disponibilité et de leur prix.
A l’époque existait un service dénommé «coordination rail-route», ce service, pour assurer la protection des services publics de transport, réprimait les transporteurs clandestins, pourquoi ?
Eh bien, tout simplement parce que si un train doit impérativement prendre le départ à horaire défini et même à vide, les clandestins lui faisaient la concurrence, pouvant démarrer sur le champ sans attendre, et à un prix concurrentiel et c’est pour cela que ce service de coordination veillait au grain.

Qu’en est-il aujourd’hui ? Avez-vous vu un train ou un bus partir à vide ?
Aussi, avec l’insuffisance des moyens de transport public et la nature ayant horreur du vide, ces clandestins sont venus remplir ce vide. La faute à qui ?D’ailleurs, on se pose la question : pourquoi le citoyen, bien que sachant que ce transporteur est un clandestin, l’utilise quand même ? Et en connaissance de cause ! Tout simplement parce que les transporteurs patentés imposent leurs règles !
Exemple, pouvez-vous trouver un chauffeur de taxi qui accepterait de vous emmener au village céleste sur les hauteurs de Bab El Oued ? Ou bien à Beau Fraisier ou à Zghara, etc. Que vous répondra le «taxieur» : c est la côte ! Ou ce n’est pas ma direction, ou il y a trop de trous, de nids-de-poule sur la chaussée ! Eh oui, le «taxieur» impose la direction et l’itinéraire et se plaint des clandestins.

A Bab El Oued, hôpital Maillot, une station de taxis devrait exister vu le besoin des visiteurs et des malades à longueur d’année. Eh bien, il n’en est rien et c’est pour cela que les clandestins prennent la place des taxis réguliers. Ces derniers ne se donnant pas la peine de transporter des personnes âgées ou malades (choix du client) leur laissent le champ libre et s’en plaignent.
Si vous faites le marché à Bab El Oued (les Trois horloges) et que vous habitez les hauteurs d’El Biar, Beau Fraisier ou même Bouzaréah et si vous devez prendre le bus, il vous faudra grimper à vous couper le souffle jusqu’à Triolet, où se trouve la station de bus.
En fait, qui fait le marché ? Ce ne sont sûrement pas les jeunes. Eh bien, ces gens âgés pour la plupart acceptent de payer 100 DA ou parfois 200 DA à leur corps défendant.

Et puis, où en est-on avec les transporteurs privés ? Sont-ils véritablement prestataires de service public comme il se doit ? Nous les voyons faire la course et se doubler en plein virage pour dépasser le concurrent et lui «prendre» un client, au risque de commettre un accident et de plus, sont-ils astreints à une carte horaire ? Ils sont livrés à eux-mêmes et en même temps leurs clients leur sont livrés. Y a-t-il eu un contrôle de la part du secteur concerné ? On cherche à se décharger sur les services de sécurité qui ont autre chose à faire et qu’ils ne devraient intervenir qu’en cas d’infraction au code de la route. Quant à la réglementation des transports, le respect de l’itinéraire ou les horaires de rotation, le secteur concerné a un personnel pour ce faire.

Comment peut-on s’attendre à une prestation de qualité de la part du transporteur privé qui ne cherche qu’à gagner de l’argent, lorsque le transport étatique avait abandonné la place et ce n’est que récemment que l’Etusa tente de reprendre la place qu’elle n’aurait jamais dû quitter. A notre sens, le transport public urbain n’aurait jamais dû être livré au privé, car là aussi on lui a livré la clientèle pieds et poings liés.Le sujet est tellement préoccupant que nous promettons à nos amis lecteurs d’y revenir autant de fois qu’il le faut, avec l’espoir que les décideurs réagiront positivement. Par Mohammed Lazouni…El Watan-05.11.2012.

*Réaction d’un internaute: Pourquoi ne pas autoriser ces jeunes , pour la plupart chomeurs de leur état, faute de postes d emplois, au lieu de distribuer au compte goutte des licences taxi aux éternels bénéficiaires. Les marchands ambulants vont bien obtenir des places dans de nouveaux marchés, non? Alors que les clandestins font l objet d un harcellement des services de police,alors que de l Avis de tout le monde, ils rendent de grands services aux citoyens.

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