Pippili

**Rubrique consacrée à des infos et commentaires divers-

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*Pour avoir défendu ses parents face à un abus de pouvoir/Un jeune docteur algérien incarcéré en Arabie Saoudite

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La ville de Mostaganem est sous le choc. L’un de ses enfants les plus respectés, le jeune Salah Yacine, 25 ans et titulaire d’un docteur en Chimie, diplômé de l’université française, se retrouve incarcéré dans une prison saoudienne alors que ce jeune algérienne effectuait le plus sainement possible une “Omra” dans les lieux saints de l’islam en ce mois d’avril 2016, en compagnie de ses parents malades. 

Les déboires du jeune Yacine ont commencé lorsqu’il avait osé défier l’arbitraire d’un policier saoudien qui a bousculé “la carrosse de sa pauvre mère assise sur sa chaise roulante et atteinte par une maladie chronique rare“, explique à ce propos le média local Mostaganem Aujourd’hui. “Notre frère Yacine a réagi pour également défendre son père mal traité et demander droit de circuler en paix en protégeant ses parents”, souligne une page Facebook qui a été créée pour organiser la solidarité autour de Yacine l’infortuné. Quand à sa famille,  elle a lancé un appel aux autorités algériennes pour intervenir dans les plus brefs délais afin de secourir ce ressortissant algérien détenu dans des conditions humiliantes.* algerie-focus.com// mercredi 13 avril 2016

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**Ce qu’on peut piquer à la Suède comme bonnes idées

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	La Su&egrave;de, l&rsquo;exemple &agrave; suivre  » src= »http://www.elwatan.com/images/2016/04/07/stockholm-night-view-453_2614094_465x348.jpg » /></a></p>
<p><strong><span style=Mardi et mercredi 06 avril 2016, les Journées de la Suède 2016 se sont tenues à Alger sous le thème «Innovation et entrepreneuriat». Education, santé et sécurité routière, voici quelques bonnes idées qui devraient inspirer l’Algérie.

Investir dans la recherche universitaire

«L’une des clés du succès de la Suède : les investissements dans la formation et le développement des compétences. La formation universitaire subventionnée a permis d’avoir des niveaux élevés de formation. A cela s’ajoute un facteur culturel. Le système éducatif suédois encourage, dès le plus jeune âge, la créativité et la critique constructive», estime Kristina Persson, ministre suédoise du Développement. En Suède, plusieurs organisations et entreprises coopèrent directement avec les universités afin de développer de nouveaux produits, services et procédés susceptibles d’apporter à long terme une contribution à une croissance durable.

Parmi ces organisations, on peut citer la fondation KK-stiftelsen pour le développement du savoir et des qualifications qui a pour but de stimuler la compétitivité en créant les conditions de l’innovation et de la créativité et en renforçant les liens entre l’université et l’entreprise. Une bonne idée à acquérir, mais pas à l’ordre du jour, selon le PDG de NC Rouiba, Slim Othmani, qui s’interroge : «Avons-nous les marges opérationnelles qui permettent de s’inscrire dans une démarche de pont universitaire ?

Ma constatation, c’est non. Nous ne sommes pas dans un environnement économique où les marges opérationnelles permettent aux entreprises de financer de la recherche et du développement. Il y a la rémunération des capitaux en Algérie qui est basse et je me demande où est-ce qu’une entreprise transparente pourrait aller chercher les fonds qui lui permettraient de financer une quelconque recherche au niveau universitaire. Par ailleurs, est-ce que les chefs d’entreprise savent faire cela ?» En ce qui le concerne, le chef d’entreprise répond que lui-même ne sait pas faire, mais il est prêt à apprendre à créer ce pont entre son entreprise et l’université. «Il y a eu beaucoup de discours autour de la création de ponts entre l’université et les entreprises, mais rien n’a été concrétisé.

J’ai le sentiment qu’on est dans une logique d’effet d’annonce, mais pas dans une logique constructive. Il y a, paraît-il, des chefs d’entreprise qui ont entamé certaines actions, mais personnellement je ne les vois pas», conclut-il. Pour sa part, Djamila Halliche, DG de l’Agence nationale de valorisation des résultats de la recherche et du développement technologique, pense que ce pont n’a pas besoin de discours mais d’actions.  «Je pense que le pont qui doit être créé par l’université et le monde des affaires se crée d’une manière systématique dans la formulation des besoins des uns et des autres.

Si l’entrepreneur ne formule pas son besoin, comme par exemple ‘‘ Je veux innover’’, ‘‘Améliorer le design ou le service d’un produit’’… – pour cela il faut qu’il ait recours à des chercheurs dans un centre de recherche ou une université -, ce pont ne pourra pas se créer», explique la directrice. Et d’ajouter : «Aussi, il faut qu’il y ait financement de la recherche et du développement au sein de l’entreprise, il faut accompagner, financer, conseiller et encadrer une recherche ou une thèse. Il y a différentes manières où la recherche peut vous rendre service et ce n’est pas un monument à construire, c’est une volonté à mettre en œuvre.»

Un système de santé à suivre

Par l’application des nouvelles technologies, le secteur de santé suédois est devenu l’un des plus performants dans le monde. A suivre cet exemple, la télémédecine, qui est l’application des technologies de l’information et de la communication à l’exercice de la médecine, apparaît aujourd’hui comme l’un des moyens de relever les nouveaux défis du système de santé. Cette pratique permet à un professionnel de la santé d’assurer les soins au patient à distance via les TIC et une égalité d’accès permanent aux soins pour la population, même dans les régions les plus reculées.

Selon Christine Johansson, responsable du Maghreb et pays francophones de l’Afrique, «l’Algérie et la Suède assurent à tous leurs habitants un égal accès aux soins dans le cadre d’un système de santé financé par l’impôt. Comme ceux de bien d’autres pays, les services de santé de nos deux pays ont à faire face à de nombreux défis, notamment en termes de financement, de qualité et d’efficacité. L’innovation suédoise est importante, notamment au niveau de l’utilisation des technologies de l’information, et dans l’informatisation du système de santé.

En guise d’exemple, les prescriptions sont réalisées électroniquement, ce qui permet aux infirmières et médecins de réaliser des économies de temps importantes.» Pour le radiologue, le Dr Feraoun, l’évolution vers le télédiagnostic et la télé-expertise sont les principales bonnes idées à adopter chez nous. Ce système de solutions de télédiagnostic et de soins via des objets connectés à internet transférant des vidéos échographiques et d’ambiance entre deux sites permet une télé-expertise en temps réel, en présence d’un échographiste peu expérimenté sur le site isolé.

De son côté, Adlène Askri, directeur des ventes de la Doro Algérie, le groupe suédois leader européen de télécoms simplifiées parle de diminution de l’isolement des personnes âgées, ainsi que de minimiser les coûts de déplacement par le biais des mobiles connectés. Par ailleurs, il faut savoir que la télémédecine s’installe de plus en plus en Algérie. M. Bouali, directeur des systèmes d’information et de l’informatique au sein du ministère de la Santé a présenté le projet «Réseau de télémédecine Algérie – RT-DZ» qui a été lancé le 5 avril dernier conjointement par les ministères de la Santé et des TIC.

La connectivité pour la sécurité routière

Avec une moyenne de 3 morts pour 100 000 habitants par an, la Suède est le pays où les routes sont les plus sûres. Si l’Algérie veut abandonner sa 98e place au classement mondial des accidents de la route, l’exemple suédois est le meilleur à suive. «Il y a 20 ans, le gouvernement suédois a mis en place une politique appelée «Vision Zéro» dans le but d’avoir 0 mort sur leur route, engageant tous les acteurs de la société civile et des autorités. Donc, la première leçon à retenir est que la sécurité routière ne peut pas être résolue par un ministère ou par la police ou la gendarmerie… C’est un engagement de tout le monde, du gouvernement jusqu’au citoyen.

Autrement, on ne pourra pas avoir des résultats aussi visibles qu’en Suède où le taux de mortalité sur les routes est très faible et concerne généralement les morts subites au volant», explique Abdelaziz El-Ksouri, key account manager, industry and society à Ericsson Algérie. Pour sa part, Joachim Pinel, directeur technique de Scania Algérie, nous donne deux bonnes idées à mettre en pratique chez nous. «On a la connectivité des camions via la Black Box, on l’appelle la boîte noire chez Scania, un outil qui existe déjà en Suède.

Ces boîtiers sont reliés directement au serveur de Scania via un réseau web ou internet, ce qui permet d’extraire toutes les données en temps réel du camion : s’il est en panne, s’il a un problème dans le système de freinage, si le conducteur conduit trop vite ou passe mal ses vitesses, ou même si le camion a besoin d’un entretien.» En effet, avec cette méthode, les entretiens des véhicules ne sont plus programmés, mais sont faits de manière flexible, c’est-à-dire en fonction de la conduite du chauffeur et de l’utilisation du camion.

«Il y a une alerte qui se crée au niveau des serveurs Scania qui informent l’atelier le plus proche et qui rappellent le conducteur pour l’informer qu’il a besoin d’un entretien de service. Avec cette connectivité, on a un gain sur la qualité de service du camion, moins de pannes, moins de pièces à changer, et surtout moins d’accidents car les engins sont entretenus régulièrement. Par ailleurs, le système de freinage intelligent qu’on trouve chez d’autres constructeurs est mis en pratique en Suède et sauve beaucoup de vies. On a eu des gains de 2% à 3% sur certains accidents. Ces deux techniques ont donné entre 5% et 6% de gains dans certains accidents», conclut le directeur technique.

Sur le terrain, un projet de la sécurité routière en Algérie est en cours d’étude. Un représentant de Scania a donné, lors de son intervention au workshop des Journées de la Suède quelques exemples de sous-systèmes qu’il inclut. Il parle d’équiper l’autoroute de «postes d’appels d’urgence, un système de vidéo surveillance, ou encore un réseau mobile sur la technologie Tetra qui permettra aux agents de l’autoroute de faire de la maintenance ou prévenir d’éventuels problèmes. Beaucoup d’entreprises ont leur propre système, il serait peut-être temps de tout centraliser et avoir une ‘‘Traffic authority’’ en Algérie».

De son côté, le représentant du ministère de l’Intérieur affirme qu’on est encore en phase de la collecte d’informations. «Pour ce qui est de notre préoccupation actuelle, on travaille sur la mise en place d’un système national de collecte de données qui permettra d’appréhender le phénomène et nous donner des éléments d’analyse susceptibles de nous aider à définir et mettre en œuvre une politique nationale et un plan stratégique en matière de sécurité routière», lance-t-il.*Ryma Maria Benyakoub/ el watan/ vendredi 08 avril 2016

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*Intriguant départ du consul général de France à Annaba

avant même d’achever sa mission de trois années

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Installé depuis octobre 2012, le consul général de France à Annaba M. Sameh Safty n’est plus le patron de la chancellerie, avons-nous appris ce vendredi de sources proches du consulat général local.

Il est partant avant même d’achever sa mission de trois années, sur demande du département des affaires étrangères françaises. Cette décision a jeté l’émoi dans le milieu des affaires locales et régionales.

De mémoire algérien, la chancellerie française de  Annaba n’a jamais été dirigée, faut-il le souligner, par un tel diplomate, imbu d’un dynamisme exceptionnel.

Depuis l’arrivé de M. Sameh Safety au consulat général de France à Annaba, sa nouvelle approche dans la gestion des affaires consulaires a secoué tous les secteurs d’intérêt que partage la France avec l’Algérie particulièrement dans la région Est du pays.

En effet, les activités diplomatiques, économiques, culturelles et sociales ont connu un regain d’animation tel qu’il ne se passe pas une semaine sans qu’on annonce un évènement qui verse dans la consolidation des relations bilatérales, prônée par le président français François Hollande.

Ce qui a poussé les observateurs à qualifier, pour la première fois, cette politique de « rapprochement et de partenariat sincère et privilégié ». Pourquoi ce diplomate qui a conquis le cœur des algériens doit-il partir avant même d’avoir achever sa mission? Cette décision est-elle en rapport avec la situation qui prévaut en Algérie avant les présidentielles ? Répond-t-elle à des nouvelles orientations du ministre des affaires étrangères français, Laurent Fabius ? Des questions parmi tant d’autres qui taraudent actuellement l’esprit des opérateurs économiques, hommes de culture et citoyens qui ont appris l’information, non sans stupéfaction.

En un peu plus d’une année, M. Sameh Safty a pu révolutionner la chancellerie française d’Annaba. Pour le secteur des visas, après une organisation rationnelle de flux des demandeurs, il a supervisé l’installation récente du centre de TLS qui désormais humanisera pour la première fois le service de visas qui gère les demandeurs de 19 wilayas.

Le jumelage entre la wilaya de Annaba et les deux villes françaises Saint Etienne et Dunkerque en est un autre projet qui connut actuellement ses plus beaux jours.

Mieux encore, Ce diplomate s’est même « immiscé » dans l’organisation de l’évènement culturel « Constantine la capitale de la culture arabe » à travers des propositions ayant trait à ce domaine.  Ancien secrétaire de première classe à l’ambassade de France aux USA, consul général à Alexandrie (Egypte), ce diplomate de 54 ans est également apprécié par les associations de femmes algériennes.

A l’initiative de son épouse Mme Martine Safety, il ne rate pas l’occasion chaque année pour fêter la journée de la femme en organisant une cérémonie à leur honneur. Il est également, le seul diplomate français issu de la diversité qui a gravi les échelons dans le sensible département des affaires étrangères. Serait-il victime de son succès ?*El Watan-21.02.2014

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*Perpétuité pour une femme officier de police

Sidi Bel Abbès- Le tribunal criminel de Sidi Bel Abbès a condamné, mardi 24 décembre 2013, à la perpétuité une femme officier de police reconnue coupables d’avoir assassiné sa collègue en mai dernier au sein du siège de la sûreté de wilaya.

La victime, âgée de 25 ans, atteinte de sept balles, avait succombé à ses blessures après son transfert à l’hôpital de Sidi Bel Abbès. L’accusée, qui a reconnu son forfait devant le tribunal, avait dégainé son arme de service et tiré sept coups de feu après une violente altercation verbale avec la victime.

Appelée à la barre, la prévenue a expliqué avoir agi de la sorte à cause de propos offensants à son égard tenus par sa collègue, mais aussi en raison d’un stress permanent lié à ses fonctions. Une quinzaine de témoins, dont l’ex-chef de sureté de la wilaya, se sont reliés à la barre pour restituer les éléments de ce crime, souvent troublants, voire accablants contre la prévenue. Le représentant du ministère public, après plaidoiries de la défense, avait requis la peine de mort à l’encontre de l’officier de police. Après délibération, la prévenue a été condamnée à la perpétuité.*El Watan-25.12.2013

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*Un chauffeur de taxi rend 300.000 dollars oubliés sur sa banquette

Un chauffeur de taxi de Las Vegas qui avait trouvé sur la banquette de son véhicule un sac contenant 300.000 dollars, les a rendus à son propriétaire distrait, a rapporté mardi le site internet du Las Vegas Sun.

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Après avoir remporté la coquette somme au casino durant la nuit de dimanche à lundi, un joueur chanceux mais distrait a pris un taxi et y a oublié le butin de sa soirée. Et, c’est alors qu’un nouveau client se trouvait dans le taxi que Gerardo Gamboa, le chauffeur, a découvert le contenu du sac. « J’ai dit à mon passager: ‘Vous êtes mon témoin à ce sujet’, et puis j’ai immédiatement appelé mon dispatcheur », raconte-t-il. L’argent a ensuite été placé en sécurité au bureau de la compagnie de taxis, qui s’est assurée qu’il s’agissait de la bonne personne avant de lui rendre ses gains. Le client étourdi « a été très poli par rapport à cela et a attendu patiemment, disant qu’il ferait tout ce qui est nécessaire », explique un manager de la compagnie qui emploie le taximan depuis 13 ans.

Récompense
Le passager a alors demandé à rencontrer l’honnête chauffeur et, après lui avoir demandé ses coordonnées, l’a assuré qu’il avait l’intention de le récompenser ultérieurement. « S’il ne me donne rien, pas de problème. Je n’attends pas de récompense, je voulais juste être honnête », a déclaré Gerardo Gamboa au Las Vegas Sun.

Chauffeur de l’année
La compagnie de taxis a félicité l’intéressé en le nommant « chauffeur de l’année » et en lui offrant une prime de 1.000 dollars ainsi qu’un dîner en ville pour deux.*Source: Belga-25.12.2013

*Une mystérieuse créature lumineuse filmée au Royaume-Uni

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*vidéo:Weird alien-like creature spotted in Bristol harbour

Une étrange créature de lumière qui aurait été filmée, ce mardi soir au port de Bristol, intrigue les internautes. Extraterrestre ou mauvaise blague, les internautes y vont chacun de leur petit commentaire depuis la diffusion de cette vidéo sur YouTube.Selon les quelques témoins qui ont assisté à cette scène pour le moins étrange, « une créature lumineuse s’est mise à flotter sur l’eau » dans le port de Bistol au Royaume-Uni. Consultés par les médias britanniques, plusieurs biologistes se montrent perplexes face à ces images. Ceux-ci écartent cependant la thèse de la créature venue d’ailleurs. « C’est très intéressant », déclare Steve Simpson de l’Université d’Exeter. « Je ne peux pas vraiment dire avec certitude de quoi il s’agit », dit-il affirmant qu’il pourrait éventuellement s’agir de Salpidae ou d’un type particulier de méduses.*7sur7–07.12.2013

*Médaille d’or pour l’Algérien Bouguerra Mohssen au mondial hippique de Paris

Bouguerra Mohssen vient de se distinguer au mondial hippique de Paris en décrochant une médaille d’or. Une consolation pour les Algériens qui assistent, dépités, devant leur petit écran, à la déroute de nos représentants aux JO de Londres.
Mondial Generali des clubs 2012 :
Algérie, Allemagne, Surinam, Corée du Sud, Côte d’Ivoire, France, Argentine, Hongrie, Sénégal, Tunisie, Turquie
5 nations qualifiées pour la finale :
Algérie, Allemagne, France, Sénégal, Tunisie
Classement final par équipe :
Médaille d’or Algérie sans fautes pour les 3 manches
Cavaliers :
Bouguerra Mohcen
Guemane Mohamed
Bouchnafa Hamid
Bouhadji Amel Ferial
Première participation à cette compétition de haut niveau. (Liberté-30.07.2012.)

*1.500 policiers pour assurer la sécurité du Festival de Djemila ….Pas moins de 1 500 policiers ont été réquisitionnés pour assurer la couverture sécuritaire durant le Festival de la chanson arabe de Djemila qui se déroulera du 26 juillet au 4 août 2012 au stade Mohamed-Guessab de Sétif (centre-ville). C’est ce qu’a affirmé un communiqué de presse de la cellule de communication et de presse de la direction de la sûreté de wilaya de Sétif..(Liberté-29.07.2012.)

*Bataille rangée à coup de sabre à Sidi Bel Abbès…Le quartier el graba est devenu durant ce mois sacré le fief des malfrats et un climat d’insécurité règne ces derniers jours ou les agressions sont devenus monnaie courante notamment durant les dernière de la journée avant la rupture du jeun. Un citoyen a fait irruption samedi dernier aux environ de 15 heures à la maison de la presse pour dénoncer devant un parterre de journalistes une bataille rangée à coup de sabres d’armes blanches et de gourdins entre des individus qui ont semé une véritable panique devant la coupole et la station 17 ou se concentre un grand nombre de passants en ce moment de la journée. Selon le citoyen abasourdi par les scènes de violence auxquelles il avait assisté, la police qui était à proximité n’était pas en mesure de disperser les belligérants. La version officielle de la police a reconnu « la dispute » sans accepter la version alarmante du citoyen. (Réflexion-29.07.2012.)

**Deux agresseurs cagoulés subtilisent un milliard à Dellys…La paisible localité de Dellys où tout le monde se connait et se respecte vient de vivre un drame qui marquera pendant longtemps les consciences. En effet, selon des sources sures, au cours de l’après-midi  de jeudi dernier, le citoyen  M. R, connu sur la place publique comme monnayeur, fut accosté, juste avant l’appel du muezzin pour rompre le jeûne  par deux individus cagoulés qui lui subtilisèrent le fruit de plusieurs années de travail non sans l’avoir roué de coups. L’équivalent de près d’un milliard de centimes,  la sueur de toute une vie a changé de mains à la vitesse de l’éclair. A rappeler, Dellys, cette ville côtière vient tout juste de panser ses plaies et si ailleurs l’on parle de décennie noire, dans cette ville, le terrorisme a duré deux décennies, le dernier attentat ne date que de janvier dernier  non loin des lieux de cette  agression de jeudi dernier et à un jet de pierre de la base maritime qui fut secouée par un attentat kamikaze où laissèrent leur vie 28 soldats et qui en fit 70 blessés. Les trentenaires de cette vile balnéaire parlent encore d’enfance volée, de tels actes à Dellys ne seraient-ils pas les prémices d’un nouveau genre de banditisme qui gangrène la wilaya limitrophe de Tizi-Ouzou ? Enfin, une plainte a été déposée auprès de la sureté de daïra par la victime qui présenta des pièces à conviction  dont une chaussure et un gourdin appartenant aux agresseurs. Un suspect, multirécidiviste,  interpellé a été relâché. Reste  aux enquêteurs de déployer plus d’efforts pour  mettre fin aux agissements de tels individus qui surement récidiveront profitant d’un flagrant laisser-aller.   (Réflexion-29.07.2012.)

**Surveillez vos compteurs !!!  Les responsables d’une entreprise étatique endettée ont décidé de surfacturer la consommation de leurs clients. La surfacturation  touchera essentiellement les institutions publiques et certaines industries du secteur privé. Ils ont même décidé de recourir  à la création de compteurs fictifs pour résorber le déficit. (Réflexion-29.07.2012.)

*15 morts par jour en Algérie dans les accidents de la route…Quinze personnes sont tuées et plus de cent  blessés en moyenne par jour en Algérie dans des accidents de la route dont le coût annuel  de la prise en charge des victimes des accidents de la route dépasse 75 de milliards de dinars (750 millions d’euros). L’Algérie est classée au 4e rang mondial des accidents de la route derrière les Etats-Unis, l’Italie et la France et occupe la première place dans le Maghreb et le monde arabe, selon des chiffres officiels.  L’Algérie, dont la population dépasse de 34 millions d’habitants, compte un parc automobile de plus de cinq millions de véhicules.Les dernières statistiques sont effrayantes et surtout révoltantes devant l’incapacité des autorités à discipliner les fous du volants, sachant que la plupart des accidents sont causés par les excès de vitesses. Il y a eu en moyenne 15 morts par jour en moins de quinze jours. 94 personnes ont trouvé la mort et 1234 autres ont été blessées dans 657 accidents de la route du 17 au 23 juillet à travers le territoire algérien, rapporte la gendarmerie nationale.107 personnes ont trouvé la mort et 1540 autres blessées dans 736 accidents de la route du 10 au 16 juillet à travers le territoire national.La wilaya de Sétif vient en tête, de par le nombre d’accidents (37 accidents), suivie de Batna (29), Tlemcen (27) puis de Blida et Oran (25 accidents). Ces accidents sont causés principalement par l’excès de vitesse (dans 150 cas), les dépassements dangereux (104 cas), l’insouciance des piétons (95 cas) et le non respect de la distance de sécurité (75 cas) et la circulation sur la gauche (63 cas), ajoute la même source.Le bilan de la Gendarmerie nationale a cité certains accidents dangereux enregistrés durant cette période, dont celui survenu le 22 juillet au niveau de la RN 17A dans la wilaya de Mascara faisant 1 mort et 17 blessés.L’Algérie figure parmi les pays qui enregistrent le taux le plus élevé d’accidents de la route de part le monde.4 598 décès ont été enregistrés en 2011 selon les chiffres officiels fournis par les autorités en janvier 2011.(Réflexion-29.07.2012.)

**Un père tire sur son fils à Sidi Chahmi -Oran…Les occupants de la commune de Sidi Chahmi ont vécu, mercredi dernier, un fait assez particulier. Il était environ 18h45, quand les habitants de cette commune entendront un coup de feu. Curieux de savoir d’où provenait ce coup de feu, les habitants de cette région  de la wilaya d’Oran sortiront pour voir ce qui se passait dans leur quartier, et c’est le drame. Un jeune homme de 29 ans, répondant aux initiales de M.A. est retrouvé par terre, grièvement blessé par balle au niveau du bassin, gisant dans une grande marre de sang, et devant lui son père, M.M. âgé de 80 ans, avec  un fusil de chasse à la main. Cette version appartient à un groupe de témoins de la scène, alors que d’autres témoins nous ont affirmé que le père était en train de nettoyer son fusil lorsqu’il tira, accidentellement, sur son fils. Sitôt alertés, les éléments de la protection civile de l’unité de Sidi Chahmi se sont dépêchés sur les lieux du drame, et ont évacué  le jeune homme vers les UMC du CHU d’Oran, dans un état critique. Il subira une intervention chirurgicale urgente, mais le staff médical, en permanence cette soirée là, n’a pu que le sauver de la mort. « Il passera le restant de ses jours sur un fauteuil roulant, car il souffre d’une paralysie totale, sachant que la balle lui a touché la base de la colonne vertébrale » nous dira une source officielle relevant des urgences médicochirurgicales du centre hospitalo-universitaire d’Oran, en fonction cette nuit là. Par ailleurs, le père a été appréhendé par les gendarmes de la brigade de Sidi Chahmi, et une enquête a été ouverte pour déterminer les causes de ce drame, et raisons  qui ont poussé ce père à tirer sur son fils, ou déterminer s’il s’agit d’un accident. .(Réflexion-29.07.2012.)

 *  Il brule ses parents à cause de 200 dinars à Jijel …La violence sur ascendant devient de plus en plus un phénomène grave et incontrôlable qui fait peur en Algérie. Les jeunes d’aujourd’hui représentent un danger inégalé jamais connu dans le passé face au taux de criminalité et de délinquance que représentent ces derniers qui ne reculent devant rien pour mettre la vie d’autrui en danger parfois pour quelques dinars, un téléphone portable ou une petite chaine en or.  En effet et c’est dans ce contexte que les services de la police judiciaire relevant de la sureté de Milia wilaya de Jijel sont arrivés à l’arrestation d’un jeune répondant aux initiales  D.R âgé de 27 ans qui a commis l’irréparable à l’encontre de ses propres parents, une mère qui l’avait porté dans son ventre pendant 9 mois et un père qui ses occupé de son éducation et de ses besoins physique jusqu’à ce qu’il est devenu un homme. Selon la source, l’inculpé qui réside à la cité des 200 logements à « Mridja »  ville de Milia située à 70 kilomètres à l’est de Jijel a brulé vif ses parents à une demi heure seulement avant la rupture du jeune en ce mois de ramadhan à cause d’un différent financier qui s’articule autour d’une somme de 200 dinars seulement. Sitôt, l’alerte donnée, les pauvres parents victimes d’une violence sans fin de leur fils furent évacués en urgence vers l’hôpital Bachir Mentouri  de la ville pour une prise en charge médicale. Echappés au pire, leur état de santé commence à s’améliorer et leur vie n’est pas en danger ajoute la même source. .(Réflexion-29.07.2012.)

*Les mariages d’amour interdits dans un village indien…Les anciens du village d’Asara – plus connu sous le nom panchayats en hindi – dans l’État indien de l’Uttar Pradesh, ont interdit le mariage d’amour et ont également défendu aux femmes de moins de 40 ans de faire leurs courses seules ou encore d’utiliser des téléphones portables hors de chez elles, révèle l’agence Press Trust of India. Selon l’AFP, les panchayats, un conseil de vieux sages du village, sont considérés comme les arbitres sociaux et moraux de la vie du village. Les décisions des panchayats ont déjà été condamnées pour leur caractère abusif, notamment les « crimes d’honneur » perpétrés contre les femmes accusées d’avoir fait honte à leur famille, en voulant par exemple se marier avec un membre d’une caste inférieure. Les décisions des panchayats n’ont en réalité aucun poids juridique. « Les Panchayats ne jouissent d’aucun pouvoir constitutionnel. Et s’il n’y a pas de pouvoir, il n’est pas nécessaire de suivre les ordres », rappelle Mamta  Sharma. Pendant ce temps, certains villageois semblent satisfaits des règles imposées par les sages du village : « Les téléphones mobiles sont une malédiction, surtout pour les filles. Ma satisfaction aurait été complète si les panchayats avait complètement interdit aux filles d’utiliser des téléphones portables », confie Tarun Chaudhary, un villageois. Sattar Ahmed, un autre habitant du village, considère quant à lui que « les mariages d’amour », contrairement aux mariages arrangés, « écornent la respectabilité » des familles et sont « une honte pour la société ». L’interdiction des mariages d’amour et les autres mesures prises au village d’Asara ont été condamnées par des associations de défense des droits des femmes. « Cette idée qu’une femme de moins de 40 ans a besoin de protection est un coup porté à toutes les normes de base », souligne Sudha Sundar Raman, secrétaire générale de l’Association des femmes indiennes démocratiques. Les autorités locales ont ouvert une enquête. (jolPress-28.07.2012.)

*Sur les 1.600 demandes de visa déposées par les Algériens pour la Belgique, seulement 175 ont été acceptées par les services consulaires du royaume de Belgique en Algérie au cours de l’année 2011, soit un taux de 11% seulement.
Alors que le ministre belge des Affaires étrangères, Didier Reynders, déclarait dans nos colonnes que des accords consulaires entre l’Algérie et la Belgique sont à l’étude, il est indéniable que les étrangers vivant hors de la zone euro rencontrent de plus en plus de difficultés à accéder au territoire belge.
Si les Européens circulent sans trop de difficultés dans les différentes régions du monde, il n’en est pas de même des non-Européens souhaitant voyager en Europe. Surtout lorsqu’on est moins argenté et que le séjour est lié à une demande d’hébergement.
Les chiffres sont éloquents et le quotidien indépendant bruxellois Le Soir vient de consacrer un dossier à ce durcissement de l’accès au royaume de Belgique. Ainsi, le nombre de refus d’entrée en Belgique a augmenté de 300% entre 2007 et 2011 en passant de 822 à 2 412. D’autre part, 73% des demandes de visas touristiques parvenues à l’Office des étrangers dépendant du ministère de l’Intérieur ont été refusées.
Le Maroc, la Russie et l’Algérie sont les pays les plus demandeurs. En 2011 sur 1 600 demandes de visas demandées par des Algériens, seulement 175 ont été accordées par l’Office des étrangers. Si on analyse l’infographie diffusée par Le Soir, on constate que sur les dix pays qui introduisent le plus de demandes de visas, ce sont les Algériens les plus sanctionnés puisque seulement 11% d’entre eux obtiennent une réponse favorables à leur demande (Maroc : 39%, Russie : 23%, Nigeria 23%, Pakistan 25%…)
Selon ce journal francophone, la police des frontières à Zaventem ‘ aéroport de Bruxelles-National ‘ effectue en moyenne 2,8 expulsions de voyageurs par jour et d’après les agents interrogés par le quotidien belge du groupe Rossel, les autorités politiques auraient fixé un objectif de 5 expulsions par jour. Un chiffre qui ne peut être atteint pour l’instant car 4 policiers seulement ont été mandatés pour assurer les retours forcés. On signale, par ailleurs, que les détenteurs d’un visa touristiques sont même invités à donner des précisions sur la vie touristique du royaume. On leur demande, par exemple, de situer Bruges ou Arlon sur une carte muette…
Avec l’aéroport de Zaventem, il existe 13 points de contrôle frontalier pour entrer en Belgique. Officiellement, les autorités belges veulent éviter les mariages blancs ou les demandes d’asile en manifestant un tel durcissement. Quoi qu’il en soit, de plus en plus de voyageurs étrangers vivant hors de la zone euro se voient refuser l’accès au territoire. Bruxelles, qui prend de plus en plus l’allure d’une citadelle assiégée, devient de plus en plus une citadelle européenne. (Liberté-30.07.2012.)

**Festin de mensonges …Le roman  » Festin de mensonges » publié chez les éditions Fayard/Barzakh par Amine Zaoui, l’ancien directeur de la Bibliothèque nationale, vient d’être traduit en plusieurs langues, selon l’écrivain. Le roman, en cours d’adaptation au cinéma par le réalisateur Malek Bensmaïl, peut désormais être lu en anglais (Marion Boyars), en italien (Bompiani), en serbe (Stylos) et en albanais (Dituria). (Liberté-30.07.2012.)

*Erreurs au niveau du fichier national de l’état civil…Se faire délivrer un document administratif en Algérie est devenu de l’ordre du parcours du combattant, et cerise sur le gâteau, dans la plupart des cas, les actes délivrés par les administrations sont entachés d’erreurs.
Depuis l’avènement de l’arabisation dans les années 1980 et l’informatisation du registre national d’état civil il y a quelques années, plusieurs fautes se sont introduites dans le fichier national. Les citoyens, pour se faire établir une carte d’identité nationale ou un passeport doivent obligatoirement joindre à leur dossier le fameux extrait de naissance S12 qui crée la polémique en ce moment.
Ce nouveau type de document devenu obligatoire pour l’établissement de pièces d’identité ne fait pas l’unanimité. Des erreurs dans la saisie des informations des citoyens sur le fichier informatique national sont courantes. La saisie ayant été faite par des personnes non qualifiées, issues du filet social ou du pré-emploi ont fait plusieurs coquilles dans l’inscription des données.
Ces erreurs se répercutent ainsi sur les citoyens qui doivent payer les erreurs d’autrui. Lorsque la personne concernée retire son S12, il est fréquent qu’elle trouve des erreurs. Dans la majeure partie des cas, la faute se situe au niveau du fichier national et non une erreur de frappe lors de la saisie d’informations. Dans ce cas, le citoyen doit recourir à la justice pour le correctif. Lorsqu’il s’agit d’une bavure qui ne change pas les déclarations dans le sens au niveau de l’acte établi tel que :
Ben Asted au lieu de Ben Astid, la rectification se fait par un simple jugement. Le concerné se dirigera au tribunal auquel il est affilié pour déposer une demande de rectification accompagnée d’un dossier administratif, et c’est au procureur de faire le changement par simple jugement. Par contre, si l’erreur modifie complètement le sens du nom patronymique, par exemple Benamsterdam au lieu de Ben Astid, le correctif se fera par ordonnance du président du tribunal et nécessite plus de temps. Mauvaise gestion des structures administratives
Ces procédures condamnent fortement les citoyens qui ne peuvent pas sortir du territoire national faute de passeport et se retrouvent dans des situations très inconfortables pour retirer par exemple de l’argent à la banque parce que leur carte nationale a expiré. Les intéressés sont d’autant plus dans l’embarras que c’est eux qui payent ces erreurs et qui sont obligés de se déplacer d’administration en administration à cause de la mauvaise gestion et du manque de formation des agents administratif.
Les Algériens sont confrontées à plusieurs complications durant les étapes de rectifications, et le comble, c’est qu’il arrive qu’en se faisant corriger ses papiers, d’autres erreurs s’y retrouvent. Aucune sanction n’a l’air d’être infligée aux agents de bureau qui multiplient les erreurs et qui ne semblent pas devenir plus soucieux dans la notion d’information.
Les citoyens sont épuisés au niveau des daïras et des APC d’Alger et des autres villes, courant dans tous les sens pour qu’on les oriente vers le service habilité pour les prises de renseignements nécessaires, alors que les administrateurs ne connaissent pas eux-mêmes les formalités. Ils ne comprennent pas aussi pourquoi il n’ y a pas plus de facilités dans les corrections alors qu’au niveau de la justice, l’erreur est connue et les magistrats savent pertinemment d’où elle vient.
Si les collectivités locales prenaient plus au sérieux ce type de problèmes, faisaient des formations régulières à leurs employés, prévoyaient une meilleure gestion dans les bureaux et des systèmes et sanctionnaient les travailleurs à chaque faute, peut-être qu’il y aurait moins de surcharge et de pression dans l’établissement des papiers. D’ici là, ce problème récurrent a encore de beaux jours devant lui et risque de devenir monnaie courante conduisant à une perte d’identité personnelle.(Le Temps.dz-28.07.2012.)

*Toutes  dans un très bel habit de parade…sauf la délégation algérienne. Magnifique aura été la cérémonie d’ouverture des Jeux de la 30e olympiade. Belles auront été les délégations des 205 pays qui ont défilé sur la piste du stade olympique londonien. Il y eut malheureusement un couac et il est venu de notre propre délégation, celle de l’Algérie. 99% des nations qui ont pris part à ce défilé ont mis un point d’honneur à se présenter sur la piste dans un très bel habit de parade.
Certaines d’entre elles n’ont pas hésité à faire usage de vêtements traditionnels propres à leur culture et à leur patrimoine. La majorité a opté pour des tenues dignes de la manifestation à laquelle elles prenaient part mais pas la nôtre qui s’est contentée de défiler en jogging aux couleurs de l’Algérie. Il n’y avait, pourtant, pas beaucoup d’athlètes algériens à Londres, à peine 39. Etait-il aussi onéreux que cela de confier à un couturier la mission d’habiller d’une manière uniforme et distinguée ces dames et messieurs ‘
La cérémonie d’ouverture a été suivie par plus d’un milliard de personnes à travers le monde. C’est l’image de marque de l’Algérie qui défilait ce soir-là sur la piste du stade de Londres. Consentir un effort financier pour vêtir décemment ces athlètes aurait contribué à améliorer cette image. Il semblerait qu’on n’ait pas compris cela du côté de ceux qui avaient en charge le déplacement de cette délégation en Angleterre. C’est l’Algérie qui en a pris un sérieux coup..(Le Temps.dz-28.07.2012.)

*Toute méchanceté vient de faiblesse

  et toute vulgarité vient de bassesse

A  travers  les siècles, toute société  arrivant au summum de la civilisation apparait sans faille avec  ses civilités, sa culture, son savoir, son identité  pour  véhiculer  tous les bons principes de l’éducation et les  bonnes manières d’une société civilisée car comme le dit si bien l’adage » Plus on est haut (cultivé), plus on est poli » et comme nous pouvons le  constater  en prenant à titre d’exemple  la civilisation arabo musulmane du fait de notre appartenance à elle en tant que musulman  détenait  à une certaine époque tous les  atouts  du savoir, de la culture ainsi que de la bonne éducation mais lorsque les musulmans  se sont atrophiés , tous s’est atrophié avec eux leur savoir, leur culture, leur éducation pour la plupart d’entre eux ainsi que leur langue qui après avoir été une langue de science et  de développement devient une langue réduite  car la langue est un moyen et donc les langues valent ce que valent les peuples qui la parlent. Cela nous amène à dire que  lorsque l’on perd ses valeurs morales, son savoir, sa culture et  son identité, on ne peut évoluer dans le bon sens. Ce qui nous entraine inévitablement à la décadence car lorsque l’on n’est pas adulte pour s’émanciper, on subit  la tutelle en silence.  C’est pour cela qu’on  ne singe les occidentaux que dans leur bassesse et leur vulgarité et donc lorsque l’on n’a pas la force intellectuelle pour répondre à une personne par le verbe on emploie la force physique et on profère des blasphèmes et des obscénités, ce qui prouve notre faiblesse. (Réflexion-24.07.2012.)

 «Nous ne sommes pas là pour prendre des coups.»

Agression contre un anesthésiste au CHU Mustapha-Pacha à Alger.

Violence – «Nous ne sommes pas là pour prendre des coups.»
Ce sont plusieurs hospitaliers sous le choc qui ont observé ce matin un rassemblement devant la Direction générale du CHU Mustapha-Pacha à Alger. Ces derniers ne comprennent toujours pas ce qui est arrivé, hier, vers 19 h à leur collègue, résident-anesthésiste «violemment pris à partie par un groupe de six personnes dont un policier», selon Mme Naïli, médecin à l’hôpital Mustapha et secrétaire générale de la Ligue algérienne de défense des droits de l’homme (LADDH).
«Une malade originaire de Hassi Messaoud ne pouvant être prise en charge par notre structure médicale pour manque de lit d’hospitalisation, a été transférée par nos soins vers l’hôpital de Birtraria. Cela semble avoir déplu à la famille de la malade.» Le médecin-anesthésiste a été désigné par la famille de la patiente comme responsable de ce transfert.
C’est là que la famille, soutenue par son cousin policier, agresse le médecin et fait un carnage au service des urgences de l’hôpital. Une plainte aurait été déposée par la victime au niveau de la sûreté urbaine de la place du 1er-Mai. Ce matin, nous avons également appris que la victime se trouvait, selon Mme Naïli, au tribunal d’Alger (Abane-Ramdane) pour être auditionnée par le procureur de la République. Lors du rassemblement des médecins et travailleurs de l’hôpital, les premiers arrivants disent être «choqués, mais également en colère suite à ces actes honteux qui visent le monde de la santé. Nous sommes là pour soigner les gens et non pour prendre des coups».«Il y en a assez de cette violence. C’est quotidiennement que nous sommes soumis à ce genre d’agressions. Nous recevons des coups, des crachats, des menaces de mort, nous sommes insultés», a poursuivi la secrétaire générale de la LADDH. «Nous demandons que les responsables de cette ignoble agressions soient sévèrement sanctionnés, en particulier le policier qui a donné le coup de starter à l’agression. Nous exigeons aussi un service de sécurité renforcé pour éviter les intrusions, un lien direct avec la police et le rétablissement des équipes chargées des relations avec les familles qui ont été supprimées faute de moyens». (Info Soir-25.07.2012.)

**      »Sachez que la vie présente n’est que jeu, amusement, vaine parure, une course à l’orgueil entre vous et une rivalité dans l’acquisition des richesses et des enfants. Elle est en cela pareille à une pluie, la végétation qui en vient émerveille les cultivateurs, puis elle se fane et tu la vois donc jaunie, ensuite elle devient des débris. Et dans l’Au-delà, il y a un dur châtiment, et aussi pardon et agrément de Dieu. Et la vie présente n’est que jouissance trompeuse. » (Sourate 57 verset 20)

*La bienfaisance est innée chez l’Algérien….Ness El kheir commence à tisser sa toile sur l’Algérie. Ces jeunes et moins jeunes se sont inspirés de leurs aïeux qui ne rataient aucune occasion de bienveillance. La bienfaisance est innée chez l’Algérien. Dès sa plus tendre enfance, notre compatriote apprend à partager avec ses frères et sœurs,  cousins et cousines, voisins et voisines. Parfois il risque de sa vie pour venir au secours de son prochain. Comme toute société « télévisée », l’Algérien a appris que la vie est aussi un peu d’égoïsme et un soupçon d’indifférence. Abdelkader est né juste avant le début de la seconde guerre mondiale. Donc bien avant le déclenchement de la guerre de libération et l’indépendance de son beau pays. Il fut harki puis Moudjahid de dernière minute avant de terminer geôlier. Il n’a pas choisi ce métier. Et derrière les hautes murailles, il apprit à mater les voyous, les maquereaux, les brigands et autres malfrats de tous bords. Son monde est plein de wled hram, comme on dit chez nous. Retraité au début des années 1990, il ne sut pas s’adapter et voyait en tout un chacun un ennemi potentiel. Drôle de mentalité ! Même ses enfants, ses proches et ses voisins en souffraient. Un jour, il se renferma définitivement puis s’enferma carrément. Personne ne savait ce qui l’avait pris pour adopter une telle réclusion. Si Abdelkader voyait partout l’ennemi, c’est qu’il existait vraiment. Il en a rencontré pour de vrai cette fois-ci. Reconnu par le receveur d’un autocar, il fut jeté manu militari en rase-campagne par le receveur qui ressentit l’angoisse, la douleur, l’effroi, le désarroi et surtout les expéditions punitives gratuites que lui infligeait le gardien de prison pour satisfaire son âme féroce, brutale et inhumaine. Il fallait y penser ! (Réflexion-23.07.2012.)

**Tlemcen: Une ville malade de ses «hallaba»

Rien ou presque ne manque à Tlemcen pour être un pôle touristique d’excellence de l’ouest du pays. Retapée à neuf à l’occasion des festivités de l’année culturelle islamique, la ville qui offre des variantes de sites et autres monuments historiques à visiter souffre néanmoins du manque terrible de carburants.
Des chaînes interminables se forment à longueur de journée dans les stations-service où il faut vraiment s’armer de patience avant d’être servi. Une moyenne de 30 minutes est nécessaire pour espérer arriver à la pompe et se faire servir, au milieu d’une cohue où chaque client tente de se frayer un chemin et griller la politesse à l’autre.
Dans ces conditions, les gens ont les nerfs à fleur de peau et une rixe est vite arrivée. La raison de cette situation n’est pas liée au manque de carburant ou au mauvais approvisionnement des stations, mais dictée par le phénomène de la contrebande de ces produits stratégiques. Les contrebandiers des carburants appelés dans cette région frontalière avec le Maroc «les hallaba» mettent la pression sur les stations en faisant le plein de leur véhicule à longueur de journée.

Une fois le plein fait, il est vidé et stocké quelque part. Ainsi de grandes quantités sont frauduleusement acheminées vers le Maroc, pas loin de la ville. Ces deux derniers jours, plusieurs citoyens du centre du pays qui sont venus dans la ville inscrire leurs enfants affectés dans les écoles et instituts de Tlemcen ont été «surpris» par cette «pénurie» et ont été pris au piège avec des réservoirs qui n’assuraient pas le retour vers chez eux. Voulant s’approvisionner dans la ville et faire le retour tranquille, ils ont été simplement choqués par le phénomène.

Dans une pagaille et au milieu des longues files de véhicules légers et lourds, il était impossible de se frayer un chemin ou de pouvoir parler à quiconque. Nullement découragé par cette situation, un citoyen a tenté de passer par devant et expliquer son cas au chef de la station qui ne voulait rien entendre. «Vous devez faire la chaîne comme tout le monde», lui a-t-il dit.
Au même moment, un pompiste lui expliqua qu’il devait demander la permission aux «hallaba» s’ils veulent bien le laisser passer en premier. Entre-temps, un commissaire de police en tenue de service accompagné de son chauffeur est venu supplier le chef de la station pour faire le plein de son véhicule personnel. Le citoyen a compris alors que c’était peine perdue que d’attendre et de perdre son temps. Les stations-service prises d’assaut, une situation vécue au niveau de toutes les villes de l’ouest et presque à 50 km à la ronde de Tlemcen. Il faut aller jusqu’à Sidi Bel Abbès pour s’approvisionner en carburant.
C’est d’ailleurs au niveau du tronçon autoroutier de cette ville que sera érigée une station-service. Les contrebandiers de carburants qui opèrent au vu et au su de tout le monde constituent à eux seuls un phénomène qu’il faut éradiquer pour encourager les visiteurs à aller vers cette belle ville, sans avoir la hantise d’une panne sèche. (Le Temps.dz-28.07.2012.)

***Ouargla: 45° à l’ombre! … La canicule sévissant ces derniers jours dans les régions du sud du pays, avec des températures de plus de 45° C le jour et plus de 35° la nuit, a mis en alerte les populations locales qui suffoquent.
Pour se prémunir de cette vague de chaleur exceptionnelle et des insolations, elles ont opté pour la réhabilitation de pratiques anciennes et simples. Des effets vestimentaires légers, des casquettes, chèches, ombrelles, chapeaux de paille ou des parasols de fortune, ont, par la force des choses, été dénichés pour se protéger des dards du soleil.
Les citoyens de Ouargla, notamment anciens connaisseurs des régions, ne ménagent aucun effort pour venir en aide aux gens de passage en mettant à leur disposition des fontaines fraîches, placées généralement devant des locaux commerciaux et des domiciles, pour leur permettre d’étancher leur soif et de se rafraîchir. Certains, par précaution, préfèrent se calfeutrer chez eux, au moment ou d’autres vont s’installer dans les palmeraies où le climat est légèrement plus clément grâce surtout à la présence de bassins d’irrigation sitôt transformés en piscines.
Dans la wilaya de Laghouat, les revendeurs des équipements de climatisation sont pris d’assaut par des clients à la recherche d’un nouvel appareil «dernier cri».
Ce rush sur les moyens de climatisation a engendré, toutefois, une flambée vertigineuse des prix de ces produits auprès de certains revendeurs qui, encouragés par la forte demande, proposent à leurs clients la formule de vente par facilité de paiement. Pour fuir «l’enfer», les enfants et les jeunes préfèrent passer de longues heures à faire la queue pour accéder à la piscine Ahmed-Bensalem de Laghouat moyennant la modique somme de 50 dinars pour pouvoir enfin bénéficier de deux heures de baignade et de loisirs. Pour les moins chanceux, les jets d’eau publics sont là pour faire l’affaire
Dès le coucher du soleil, les rues de Laghouat commencent à s’animer et les habitants convergent, comme par instinct, vers les placettes et boulevards principaux pour profiter de la brise nocturne. Les habitants de la wilaya d’Adrar ne dérogent pas à la règle en cette période de canicule préférant, à l’instar des autres régions chaudes, se cloîtrer chez eux, pour une longue durée, afin d’éviter les insolations.
Malgré leur patience légendaire, les Adraris se voient, toutefois, confrontés aux récurrentes perturbations de l’alimentation en énergie électrique en ces jours de canicule qui les empêchent d’accomplir leurs activités et de se rafraîchir. Faisant contre mauvaise fortune bon c’ur, ils n’ont d’autre alternative que de s’en remettre aux services de la Sonelgaz qui tentent, tant bien que mal, de résoudre ce problème afin de les soulager et satisfaire la demande sans cesse croissante de cette énergie. Les Adraris attendent donc patiemment le crépuscule pour pouvoir humer avec délice l’air frais et sortir en famille (re)vivre dans les espaces verts, dont la région de Sebkhat Tamentit, ou encore les dunes de sable de la région de Bouda, qui offre un microclimat frais émanant des périmètres agricoles limitrophes. (APS-28.07.2012.)

**Au royaume du véhicule d’occasion…A mi-chemin entre la wilaya d’Alger et celle de Tizi Ouzou, dépendant administrativement de la wilaya de Boumerdès, le marché de Tidjelabine est considéré comme le royaume du véhicule d’occasion.
Tout y est. Toutes les marques de voitures et à presque tous les prix. On y vient de partout particulièrement des wilayas limitrophes (Bouira, Tizi Ouzou, Alger, Tipaza). On y vient même de Béjaïa, Sétif et de Bordj Arréridj.
Ouvert chaque jeudi, ce marché attire chaque semaine des milliers de curieux mais aussi ceux à la recherche d’«une bonne affaire». «Et ce n’est pas ce qui manque», selon des témoignages. Jeudi 6h 10. Des centaines de voitures d’occasions parquées sur l’esplanade du marché attendent les acquéreurs. Les propriétaires d’un côté, les «clients» de l’autre, chacun tente d’en sortir gagnant. «Ce n’est pas pour du tourisme que je suis là. J’ai passé presque la nuit hors de mon domicile afin de vendre ma voiture», répond un vendeur irrité par la proposition d’un client.
Ce dernier a tout de suite répliqué : «Si tu ne connais pas les règles du marché ce n’est vraiment pas ma faute. Il est vrai que je suis là pour l’achat d’une voiture mais pas au point de me ruiner. J’ai fait ma proposition et tu n’es pas obligé d’accepter si tu la juges insuffisante». Pour les habitués cet échange est courant ici. «Chacun cherche à tirer son épingle du jeu», souligne Ahmed, revendeur. Il s’est tout de suite proposé de nous servir de «guide» à l’intérieur du marché où il «n’y a pas de place pour les crédules». Contrairement à ce que l’on pourrait croire en effet, même dans les marchés de véhicules d’occasions les prix ne sont pas à la portée de tous. «Vous aurez l’occasion pendant que vous y êtes de voir de plus près les prix proposés particulièrement s’agissant de certaines marques. Les gens se font une fausse idée du marché d’occasion.
Il est vrai que certains véhicules sont proposés à des prix raisonnables mais ce n’est pas toujours le cas. J’ai souvent assisté ici même à des ventes avoisinant un milliard de centimes», a-t-il souligné. Se voulant plus explicite, il nous propose de «tendre l’oreille» et surtout de «ne jamais prendre la parole». On ne tarde pas à tomber sur «une négociation». Une Renault Mégane Beret année 2004 est proposée pour 100 millions de centimes.
Quoique, extérieurement, elle semble n’avoir aucun défaut, le client d’une trentaine d’années semble hésiter préférant «faire un tour et revenir». «C’est le genre de voiture que j’ai toujours voulu acheter. J’ai de tout temps eu une préférence pour ce véhicule et sincèrement je suis peiné de ne pas pouvoir me l’offrir eu égard à son prix loin de ma portée, moi qui croyais que ce n’était pas aussi coûteux», nous dit Rachid, cet informaticien habitant Birkhadem. Non loin de là, Belkacem semble avoir toutes les peines du monde à convaincre le propriétaire d’une Maruti année 2011 qui se négociait autour de 50 millions de centimes. «A ce prix, il m’est préférable d’attendre l’hiver pour pouvoir reprendre mon activité. En attendant, je verrai du côté de mon quartier s’il y a une occasion à saisir», a tranché Ahmed le revendeur. (Info Soir-28.07.2012.)

**Tunisie: forte demande de boissons alcoolisées…  La vente et la production de bière ont augmenté de près de 20% environ durant le premier semestre 2012 par rapport à la même période de 2011, selon les chiffres de la Société de fabrication des boissons de Tunisie (SFBT) publiés hier par la presse locale. Les quantités de bière vendues ont progressé de 3,52% durant le deuxième trimestre et de 17% au premier trimestre », selon la SFBT.
La production de bière a également suivi la même tendance, augmentant de 19,53%, selon la même source. Ces chiffres ont été publiés en plein Ramadhan, mois de jeûne musulman durant lequel la consommation et la vente d’alcool sont interdites pour les musulmans. La vente d’alcool avait dû être rationnée dans les grandes surfaces en raison d’une trop forte demande durant les jours qui avaient précédé le début du Ramadhan. (Liberté-28.07.2012.) 

 **Tunisie: Démission du ministre des Finances… Le ministre tunisien des Finances, Houcine Dimassi, a démissionné en raison de désaccords avec la politique du gouvernement dirigé par Hamadi Jebali, a indiqué hier une source gouvernementale tunisienne. ‘Je confirme cette démission qui a été acceptée », a déclaré Ridha Kazdaghli, membre du cabinet de M. Jebali. Dans une lettre, M. Dimassi a expliqué sa démission par des divergences avec le gouvernement en matière de politiques économique, monétaire et sociale. M. Dimassi a notamment critiqué le limogeage du gouverneur de la Banque centrale, Mustapha Kamel Nabli, et ‘la manière arbitraire » avec laquelle son successeur Chedly Ayari a été désigné cette semaine par l’Assemblée constituante à l’issue de plusieurs séances de débats enflammés. Un des rares ministres indépendants, M. Dimassi, est le deuxième à claquer la porte depuis l’entrée en fonction en décembre 2012 du gouvernement tunisien. En juin dernier, Mohamed Abbou, ministre de la Réforme administrative (Congrès pour la République), avait démissionné pour protester contre des entraves dans la lutte contre la corruption dans l’administration.  (Liberté-28.07.2012.)

**Nouvel attentat à l’explosif contre un tribunal de Benghazi-Libye …Des inconnus ont tenté de jeter vendredi à l’aube (27.12.2012.) une grenade sur la façade de la cour d’Appel de la ville de Benghazi, apprend-on de sources sécuritaires libyennes. La tentative n’aurait pas causé de dégâts, à part un petit trou dans le mur contre lequel la grenade a été jetée, rapporte le journal Qurayna. On rappelle qu’une explosion avait secoué à la fin du mois d’avril dernier les bâtiments du tribunal de première instance du nord de Benghazi, dans le centre de la ville, causant des dégâts importants et la dispersion des dossiers et documents.
La déflagration n’avait pas fait de victimes, mais sa puissance avait soufflé les verres des fenêtres de bâtiments résidentiels et un hôpital situé en face du tribunal.
Selon certains analystes et observateurs de la situation en Libye, l’incident est lié à l’infiltration en avril dernier à l’intérieur de la prison de Al-Koueyfiya d’hommes armés qui l’ont attaquée pour faire évader quelques prisonniers impliqués dans des affaires criminelles.(Maghreb Emergent-29.07.2012.)

**Plus de 12.000 bénévoles ont été mobilisés par le Croissant rouge algérien (CRA) au niveau national dans le cadre du programme de solidarité en prévision du mois sacré de ramadhan. L’opération de solidarité « se fera en coordination avec les autorités publiques, les communes et les directions de l’action sociale (DAS) », a déclaré, jeudi à Alger, le secrétaire général du CRA, Lahcene Bouchakour, soulignant que le CRA, établi dans les 48 wilayas, compte sur 35.000 bénévoles activant au sein de comités. La distribution des couffins de ramadhan se fera à domicile ou au niveau des locaux du CRA à travers le territoire national, tout en préservant « la dignité des citoyens », a-t-il dit.Concernant le nombre des restaurants « Rahma », M. Bouchakour a précisé que « le nombre n’a pas été fixé, car il est appelé à être augmenté durant le mois de ramadhan ». La wilaya d’Alger ouvrira 10 restaurants le premier jour du ramadhan pour atteindre 17 le troisième jour, a souligné le responsable, ajoutant que chaque restaurant offre entre 150 et 200 repas/jour.Rappelant que durant l’année dernière, « 278 restaurants ont été ouverts au niveau national », le secrétaire général du CRA a affirmé que l’autorisation d’ouverture de nouveaux restaurants obéit à des conditions rigoureuses en matière d’hygiène.Le programme de solidarité lancé par le CRA ne se limite pas à la restauration et à la distribution des couffins de ramadhan, mais concerne également la circoncision de 10.000 enfants durant ce mois, outre les visites de malades dans les hôpitaux et la distribution de cadeaux et de vêtements durant les jours de l’aid. (Réflexion-23.07.2012.)

**7.000 médecins spécialistes algériens ont quitté le pays pour l’Europe

Le professeur Kheir Eddine Mourad Boudia , chef de service cardiologie à l’hôpital universitaire Mustapha Bacha a déclaré avant-hier que 7000 médecins spécialistes  ont quitté le pays pour s’installer dans les plus grands pays d’Europe à cause de la situation  difficile qui sévit dans le secteur de la santé. Par ailleurs, il y’a lieu de signaler que la déclaration du Professeur est venue dans un contexte  de valorisation des réalisations de l’Algérie dans le secteur de la santé depuis 50 ans d’indépendance. L’orateur n’as pas manqué de porter son appréciation sur les grands efforts consentis par l’Etat dans le cadre de la formation, néanmoins a-t-il avancé être sincèrement désolé de la réalité de ses praticiens qui ne résistent guère aux offres parfois alléchantes certes proposées par les pays d’Europe au détriment de leur pays. Le professeur a également mis l’accent sur la gestion de la médecine gratuite qui doit changer de méthode du fait qu’elle ne répond plus au changement de la société selon lui. Le professeur a également soulevé les points faibles du secteur de la santé durant les 50 années d’indépendance  et a mis l’accent sur le manque constaté dans l’organisation  qui fut l’une des causes principales qui a influé sur la qualité de service, incitant  l’exemple des malades qui affluent de toutes les régions du pays vers les différents services des hôpitaux sans un rendez vous au préalable. Le professeur a également soulevé le problème de la gestion des hôpitaux dans notre pays qui reste très loin du modernisme notamment l’outil  informatique qui est devenu indispensable  dira t’il.  Selon le professeur Boudina, les EPH ne répondent plus aux critères internationaux en matière de gestion tout en précisant que le tiers du staff médical aux laboratoires passe son temps à délivrer ou à recevoir des malades des hôpitaux des analyses médicales  au détriment des missions qui leurs sont dévolues.  Selon ce spécialiste, le secteur souffre de l’absence d’une stratégie dans le domaine de la formation. Le professeur a soulevé également que le problème de complémentarité entre le secteur privé qui opère individuellement et le secteur publique. (Réflexion-23.07.2012.)  

Des récits merveilleux devenus des mythes

**Les contes merveilleux de notre enfance… Il s’agit de contes populaires hors du commun et qui ont bercé notre enfance par leur aspect merveilleux. Mais aujourd’hui, on se pose des questions sur leurs origines, leur transmission orale et leur passage à la forme écrite.
L’éminent professeur Bencheikh les a réactualisés en les traduisant au début des années 2000 dans un style moderne qui rende leur lecture accessible à tous. Jadis, on les croyait réservés aux enfants par la fonction magique de quelques objets récurrents comme la lampe merveilleuse d’Aladin, le tapis volant de Sindbab grand voyageur et la baguette magique. Lorsqu’on est petit, on y croit, mais dès qu’on devient adulte, on se rend compte que ce qui est raconté relève plutôt du rêve. Mais ces contes sont d’un contenu et d’une forme tels qu’ils incitent à se poser des questions sur leurs origines. Des venus d’ailleurs et transmis par la boucle d’une reine atypique qui a réussi à séduire le roi sanguinaire malgré lui. Chaque matin il tuait la femme qu’il avait épousée la veille. Puis, un jour, est venue Shahrazade pour mettre fin à la malédiction qui s’était installée au palais royal depuis un temps qui semble n’avoir jamais été déterminé. Lorsqu’on parle de meurtre au quotidien, on doit chercher à en connaître les raisons. Ce que firent des investigateurs des contes populaires qui affirment que les femmes en sont les principales responsables pour leur infidélité. Le roi lui-même, son frère et d’autres hommes du même palais, après avoir subi la tromperie de leurs épouses, ont eu soudainement cette envie de les punir en leur faisant subir le pire des châtiments. Les rois et les princes époux ont acquis la certitude que les femmes obéissent à un instinct lié à leur nature : trahir à la moindre occasion, y compris avec de s partenaires noirs. Le roi Schahriar applique la règle sans pitié : il fit décapiter un soir son épouse, ses servantes et ses esclaves, contrairement aux autres hommes de la famille royale à l’exemple de son frère Schahzamen. Les deux frères, selon les traducteurs chercheurs qui ont cherché à percer tous les mystères, ont clairement justifié les meurtres. Et pour être plus crédibles, ils vont ensemble pour un long voyage, laissant leurs épouses livrées à elles-mêmes, à leur instinct de trahison. Eux avaient acquis la conviction qu’il n’y a point de femme vertueuse (Bencheikh, Miguel). Ces histoires fictives ne sont-elles pas le reflet de cette mentalité rétrograde selon laquelle l’homme doute de la bonne foi de sa femme ou refuse de croire à ses qualités humaines ‘ Elles peuvent être adressées à une époque lointaine, à la société pour qu’elle se tienne en garde contre l’élément féminin qu’on avait diabolisé en installant dans les esprits la croyance selon laquelle toute femme est tentée de tromper son époux dès que celui-ci est absent. Une fille de vizir, Shahrazade, fait irruption dans l’univers royal. Elle va arrêter le massacre et permettre la survie de la famille par la stabilité, la procréation sur la base du serment sacré du mariage engageant chaque partie à rester fidèle à l’autre. Avant de se lancer dans la gueule du loup, Shahrazade avait suivi les conseils de son père pour ne pas subir le sort de celles qui l’avaient précédée dans la chambre nuptiale. Le père, vizir du même roi, avait tenu à avertir sa fille sur la mission à bien mener : avoir la vie sauve, arrêter le massacre. «Que ce qui est arrivé à ces marchands ne t’arrive pas ma fille», dit le vizir. «Qu’est-il arrivé à ce marchand ‘», demande la fille. Pour n’avoir pas voulu dire un secret à sa fille sous le prétexte qu’il devait mourir en le divulguant, il décida de réagir violemment contre sa femme en la battant presque à mort. Celle-ci comprit même que son époux avait le droit de la tuer si elle s’obstinait à perpétuer son indiscrétion en cherchant à connaître les secrets de son époux lorsque ce dernier répondait négativement à sa demande. Le secret de ce marchand est que celui-ci était capable de comprendre ce que les animaux pouvaient se dire. Il avait pour travailler ses terres un b’uf et un âne qui n’arrêtaient pas en son absence de comploter contre lui. Un jour, après accord avec l’âne, il fit le malade pour ne pas aller au champ ; le marchand emmena son compagnon pour labourer quelques parcelles. Et en présence de sa femme il surprit les deux animaux en train de parler pour dire du mal de leur maître. Ce dernier éclata de rire au grand étonnement de son épouse qui l’avait soupçonné de se moquer de lui et qui cherchait à en connaître les raisons. C’est ce genre de récit que Shahrazade raconte au roi assassin. Durant mille et une nuits, elle l’émerveilla au point de lui changer son état d’esprit et de lui faire passer l’envie de tuer chaque matin. Avec Shahrazade est venu le temps de la stabilité et de l’apaisement dans le couple. Elle donnera à son époux une descendance en lui redonnant confiance dans le monde. Après avoir tué des milliers de jeunes filles, la cité a failli disparaître. Beaucoup de familles s’étaient exilées pour ne pas subir le sort malheureux, le roi ayant le droit à l’époque de prendre pour épouse la jeune fille qu’il voulait. Shahrazade a transformé son mari sanguinaire en père conscient de l’avenir de son palais, de son royaume et d’une progéniture capable de perpétuer la descendance. Elle même s’est transformée en modèle d’épouse. La vie de ce royaume se transforme aussi par la transmission des contes qu’elle avait racontés au roi durant mille et une nuits et qui finirent par devenir une thérapie et des modèles de récits à imiter pour les plus doués qui se mirent à produire des récits de toutes sortes. Ce fut aussi le début d’une littérature populaire qui allait apporter un changement dans les mentalités et en bien. (Nouvelle République-24.07.2012.)

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**Un été à Alger..la cinquième semaine.…Il fait chaud à Alger, c’est le début du ramadan et la cinquième semaine d’Un été à Alger. Lamine Ammar-Khodja part en balade avec les étudiants, Hassen Ferhani est en quête d’un mystérieux personnage le long du boulevard Cervantès, Amina Zoubir investit un café maure avec des femmes, et Yanis Koussim s’enfonce dans la nuit et tombe sur l’amour. A Alger ce sont plutôt les hommes qui occupent les cafés, comme le veut la tradition des cafés maures. Amina Zoubir invite des femmes à prendre leur place, en investissant un café le temps d’un après-midi, et ça change complètement le décor ! A vous de voir…ici sur…UN ETE A ALGER diffusé en exclusivité sur algerie-focus.com – Un documentaire multimédia - 6 semaines de cinéma live – imaginé par Aurélie Charon et Caroline Gillet avec Lamine Ammar-Khodja, Hassen Ferhani, Yanis Koussim et Amina Zoubir .

*200.000 diabétiques risquent l’amputation du pied…Selon le président de la fédération algérienne des associations de diabétiques, Noureddine Boucetta  200.000 malades du diabète risquent de subir une amputation du pied. Ce dernier a expliqué que cette grave situation  est liée la disponibilité irrégulière des médicaments nécessaires. M. Boucetta a appelé les responsables dans le domaine  à « mettre en place des  quantités suffisantes en médicaments « épulotiques injectables » au niveau du pied malade pour éviter la gangrène et ainsi l’amputation, précisant que ces médicaments « sont disponibles en Algérie mais en « petites quantités ». Appelant les ministères de la santé, de la sécurité sociale et de la solidarité à trouver des solutions en faveur de cette catégorie sans couverture sociale, notamment les enfants (25 %), le président de la fédération des associations de diabétiques a exhorté les pouvoirs publics à approvisionner tous les établissements hospitaliers à travers le territoire national avec ces injections afin de sauver les malades, y compris les non-assurés. Il a également demandé la création de structures spécialisées pour le suivi des malades souffrant du pied diabétique au niveau de tous les hôpitaux du pays ainsi que leur intégration aux caisses de la sécurité sociale « pour qu’ils n’aient plus recours à la médecine alternative », allusion au traitement par les herbes que M. Boucetta trouve inefficace. De nombreux enfants non-assurés et souffrant du diabète du pied ont eu des complications ayant abouti à la perte de la vue ou l’insuffisance rénale.  (Réflexion-23.07.2012.)

Les salafistes veulent raser les Pyramides d'’Egypte !

**Les salafistes veulent raser les Pyramides d’’Egypte !     Après l’appel, l’an dernier, des responsables du parti salafiste égyptien An-Nour à recouvrir les pyramides de cire afin de les rendre invisibles aux touristes et mettre ainsi fin au culte « païen » qui leur serait rendu, plusieurs hauts représentants de l’islam sunnite, comme le cheikh saoudien Ali Ben Said al-Rabi’i ou le cheikh bahreïni Abd al Latif al Mahmoud, ont demandé au nouveau président Mohamed Morsi de détruire purement et simplement ces vestiges de l’Égypte Ancienne. Selon ces docteurs de la loi coranique, la démolition des pyramides représenterait l’accomplissement de la volonté du prophète Muhammad et de son compagnon Amr Ibn al-As, lequel envahit et conquit l’Égypte aux alentours de l’année 641 mais ne put, en son temps, réaliser cette démolition. La référence à ce dernier dans les propos de ces personnalités religieuses n’est pas un hasard. A la suite de l’implantation de l’Islam en Égypte à cette époque, de nombreuses reliques de l’Égypte ancienne furent en effet détruites car jugées blasphématoires. Rappelons également que pour la majeure partie des historiens, l’ordre d’incendier la bibliothèque d’Alexandrie fut donné par le calife Omar en 642 et exécuté par le même Amr Ibn al-As, même si cette hypothèse fait aujourd’hui débat[3. Cette théorie fut pour la première fois remise en question par l’anthropologue et sociologue Gustave Le Bon au XIXème…(Réflexion-20.07.2012.)          

**Les trottoirs confisqués aux piétons…Au centre-ville du chef-lieu de la wilaya de Batna (comme partout ailleurs dans les villes algériennes) , les trottoirs,  très larges ou étroits, sont la plupart du temps encombrés de panneaux publicitaires, de poubelles, de barbecues, de rôtisseurs, de barrières et de marchandises exposées à même le sol. Les exposants et les marchands ont fini en ce mois de ramadhan par confisquer les trottoirs et forcer les piétons à marcher sur la chaussée.
Chaque jour, de nouvelles surprises les attendent. Même des véhicules occupent impunément les trottoirs. C’est à ce spectacle récurrent qu’assistent, impuissants et résignés, les pauvres piétons. A leurs risques et périls, ils sont souvent contraints d’emprunter la chaussée ou de se faufiler pour se frayer un passage.
Les mamans avec poussettes, les personnes âgées pour qui descendre sur la chaussée représente une épreuve pénible et dangereuse, les enfants, les non-voyants, les handicapés, tous les piétons en général sont astreints à ce calvaire quotidien qui, pourtant, porte d’énormes préjudices au paysage urbain de la ville de Batna.
Indubitablement, dans l’esprit chauvin et étriqué de ces commerçants, de ces exposants, de ces conducteurs inciviques, vendre ou se garer sur un passage protégé ou sur un trottoir pendant quelques heures ne dérange certainement personne. De tels agissements, malheureusement, sont considérés socialement comme des incivilités légères ou «normales», pire encore, tout piéton qui se plaindrait ne serait même pas écouté.
Dans leur for intérieur, ces intrus ont la ferme conviction que vendre sur les trottoirs et stationner sur ces espaces publics sont un dû ou plutôt un droit. Le plus absurde, si ce n’est le plus hallucinant, est que ces mêmes commerçants et ces automobilistes sont tous des piétons. Tolèrent-ils à ce moment-là de trouver une voiture garée sur «leur» trottoir, ou sur «leur» chemin ‘ Aujourd’hui, les piétons assistent désarmés à ces dizaines de mètres de trottoirs entièrement occupés par les exposants, les commerçants et les voitures. Il est courant de voir ces incivilités envahir la ville de Batna, souvent contre le mur et même en travers des portes d’accès aux logements.
Ce phénomène des expositions, de la vente et du stationnement sauvage a tendance à prendre des proportions alarmantes. Il a pour origine, outre la paresse et l’incivisme des marchands et des automobilistes, le manque de parkings et d’espaces de stationnement, notamment au centre-ville. Quand donc des efforts louables seront-ils entrepris pour la réhabilitation du tissu esthétique de la cité de Batna ‘
Il est possible, à l’initiative du conseil de la ville et des autorités locales, de juguler le commerce et le stationnement sur trottoir par des actions pérennes associant répression et communication. Il est temps de réagir avant que «squatter» les trottoirs ne devienne un droit pour les exposants, les marchands de fruits et légumes et les automobilistes. (Le Temps.dz-24.07.2012.)

**1.523 morsures de scorpions, durant le premier semestre 2012 à Adrar…Mille cinq cent vingt trois (1.523) cas d’envenimation scorpionique ont été enregistrés durant le premier semestre 2012 à travers la wilaya d’Adrar, et aucun décès n’a été déploré, a-t-on indiqué auprès de la direction de la Santé.
Pas moins de 700 cas de piqûres scorpioniques ont été relevés pour la seule période comprise entre le mois de mai dernier à la mi- juillet courant, une période considérée comme points culminants durant l’été de la prolifération de cette insecte dangereux , a précisé le chef de service de la prévention M. Abdelkader Oumairi.
L’activité de ramassage des scorpions restera un moyen efficace dans les efforts de lutte contre l’envenimation scorpionique, a-t-il estimé, en rappelant qu’une vingtaine d’opérations de collecte de scorpions ont été organisées cette année à travers les communes de cette wilaya, les plus touchées par ce problème.
Ces initiatives ont généré des postes d’emplois au profit des jeunes de ces communes, soit 17 jeunes pour chaque opération en moyenne. Tout en signalant un manque de sérum antivenimeux, M. Oumairi a assuré cependant que des instructions ont été données aux différentes structures de la Santé afin de renforcer la coordination entres elles pour garantir la disponibilité de ce vaccin.(L’Expression-24.07.2012.)

**5.832 accidents domestiques touchant des enfants enregistrés à Oran…Au moins 5.832 cas dÆaccidents domestiques touchant des enfants de moins de 15 ans ont été enregistrés à Oran durant le premier semestre 2012, a-t-on appris auprès du service prévention de la Direction de la santé et de la population.
Ces cas pris en charge au niveau des différentes structures sanitaires de la wilaya représentent 3% du total des enfants consultés ou traités durant la même période, soit 168.797 cas, a ajouté la même source.
Ces accidents se produisent à domicile, notamment dans la cuisine, dans le balcon ou dans l’entourage de la maison durant les vacances scolaires et la période estivale. La couche des moins de 15 ans est la plus touchées.
Les plaies sous diverses formes viennent en tête de ces accidents, avec 2.123 cas pris en charge, suivies des chutes (1.518 cas), des brûlures de la peau (820 cas), alors que les accidents liés à l’ingestion de produits abrasifs (produits de nettoyage et autres) sont estimés à 99 cas, a indiqué la même source.
Le phénomène d’accidents causés par des corps étrangers au niveau de l »il a connu une expansion chez les enfants ces dernières années, où le service de la prévention a compté 133 cas durant ce semestre, soit une moyenne mensuelle de 27 accidents. «Parmi les causes de la propagation de ces incidents figurent l’évolution et la complexité de l’environnement de l’enfant, l’exiguïté des logements ainsi que l’absence d’une culture sanitaire chez de nombreuses familles », a expliqué le chef du service de la prévention, Dr. Daharib Larbi.
Selon un pédiatre, interrogé par l’APS, ces accidents peuvent être mortels ou entraîner des séquelles irrémédiables chez l’enfant, qui trop souvent, doit suivre un traitement de longue durée avant de se rétablir.
Pour la prévention des accidents domestiques, la Direction de la santé et de la population a initié, au cours de l’année 2012, des actions de sensibilisation au niveau des cellules d’information et d’éducation réparties à travers les différents établissements sanitaires de proximité. Celles-ci sont supervisées par une cellule installée au niveau du service de la prévention de la Direction de la Santé et de la population.
La semaine de prévention, organisée chaque année par la DSP au centre-ville, contribue à la diffusion de l’éducation sanitaire parmi la population. De même qu’elle informe les citoyens et les sensibilise sur les risques d’accidents domestiques.
Cependant, en dépit de ces initiatives visant à lutter contre ces accidents, celles-ci restent peu efficaces, d’où la nécessité d’intensifier les spots publicitaires dans les médias, de sensibiliser les parents par le biais des mourchidates des mosquées et des associations chargées de la prise en charge infantile, a souligné un médecin..(L’Expression-24.07.2012.)

** perturbations du réseau internet et téléphoniqueDes perturbations du réseau internet et téléphonique ont affecté du 20 au 21 juillet plusieurs localités du pays, plongées dans l’isolement. Il s’agit de Sidi Abed, Tessala El Merdja, Birtouta, Ouled Belhadj ainsi qu’Algérie Poste (AT). Le groupe précise dans un communiqué de presse que ces perturbations sont «complètement indépendantes de la volonté de ses services techniques».
La même source affirme que ces perturbations «sont occasionnées par le sabotage de cinq chambres téléphoniques et le sectionnement de deux câbles en fibre optique sur tout le tronçon». Les équipes techniques se sont, selon AT, «immédiatement rendues sur les lieux pour le rétablissement des supports endommagés». Algérie Télécom tient à présenter ses excuses à sa clientèle ainsi qu’à celle d’Algérie Poste pour les désagréments subis tout en les assurant de la mobilisation de tous ses moyens humains et techniques pour rétablir dans les meilleurs délais toutes les liaisons touchées par les sabotages. Une plainte contre X a été déposée en date du 21 juillet 2012.  (Le Temps.dz-24.07.2012.)

**les sculpteurs marocains-clandestins…très recherchés. 

Les éléments de la direction régionale contre l’immigration clandestine de Maghnia ont, au début de ce mois de Ramadhan, arrêté 51 marocains entrés clandestinement en Algérie à travers les frontières de l’ouest. Selon une source proche de ces services, ces immigrants marocains, pour la plupart des jeunes
, ont été arrêtés le long de la bande frontière et sur les axes routiers reliant Maghnia à Tlemcen et d’après leur affirmation, ils ont traversé la frontière à la recherche d’un travail en fonction de leur qualification, à savoir la sculpture sur plâtre, la mosaïque, les travaux publics et bâtiments, un créneau pour lequel plusieurs entrepreneurs ont, dans le passé engagé, des spécialistes marocains clandestins pour l’embellissement de luxueuses villas et même certains édifices publics. Parmi ces derniers, le salon d’honneur de l’aéroport Messali-Hadj, le mausolée de Sidi Boumediène, le palais de la culture d’Imama et plusieurs mosquées. Il faut reconnaître que dans ce créneau, les sculpteurs marocains restent indétrônables et plusieurs propriétaires de villas les ont engagés pour effectuer des travaux d’embellissement.
C’est pour cela que ces clandestins continuent d’affluer dans les régions de l’ouest. D’un côté, c’est un travail qui est très recherché et d’un autre, il est très bien rémunéré, contrairement à leur pays d’origine où cette spécialité est très répandue et donc mal payée. Dans cette optique, un responsable de la direction de la lutte contre l’immigration clandestine n’a pas hésité à rappeler «l’arrestation des sculpteurs marocains arrêtés à Tlemcen au moment où ils étaient recrutés par entrepreneur pour la sculpture des toits de la nouvelle cour de Tlemcen et le salon de l’aéroport». Cette affaire a d’ailleurs fait couler beaucoup d’encre et les 17 immigrants marocains ont été arrêtés et reconduits à la frontière. (Le Temps.dz-24.07.2012.)

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*Mort, son fantôme joue à la balançoire …..Depuis 2007, le Brésil est en émoi devant une balançoire qui bouge toute seule. Dans le village de Firmat, la population oscille entre crainte et bonheur. Crainte de voir un fantôme perturber leur paisible existence et bonheur de voir le flot ininterrompu des touristes de l’étrange leur apporter devises et notoriété. L’histoire contée et racontée par de nombreux médias commence, en fait, bien avant 2007. Quelques années plus tôt lorsqu’un petit garçon traverse la place du village et se fait renverser par une voiture. Il est tué sur le coup et l’automobiliste, pris de panique, s’enfuit sans plus s’inquiéter de l’enfant. Durant quelques mois, les parents du petit garçon viendront déposer des fleurs à l’endroit même où le chauffard a ôté la vie à la chair de leur chair, mais le traumatisme est trop fort. Un matin d’été, la maman se suicide dans sa maison, toute proche du lieu du drame. Le papa, comme s’il s’agissait d’un geste de survie, quitte le village et cherche depuis à être le plus discret possible. D’aucuns y voient l’origine de ce    phénomène étrange, le petit Emilio ne supportant pas de voir ses parents s’éloigner de lui… Parce qu’Emilio n’aurait jamais quitté les lieux de l’accident. Certains kinésistes estiment que des âmes sont    incapables de se détacher de l’attraction terrestre. Elles attendraient l’acceptation des proches qui font leur deuil plus ou moins rapidement. Pour Emilio, la tâche s’avère impossible, sa maman    ayant choisi de ne jamais accepter l’inacceptable et son papa étant parti sans laisser la moindre adresse. Alors, lorsque le maire de Firmat décide d’installer    une balançoire sur la place où a eu lieu le drame, personne ne s’attend à ce qui va se passer. Le lendemain de l’inauguration des lieux, là où le maire indiquait quelques heures auparavant qu’il    était temps de redonner un sentiment de vie à un endroit marqué à jamais par la mort, la balançoire s’est mise à bouger… toute seule. Phénomène éolien ? Supercherie menée par une région en    mal de tourisme ? Les plus grandes universités du pays, mais aussi du monde, n’hésitent pas un instant. Dans la lignée de la recherche scientifique, il faut couper l’herbe sous le pied aux    phénomènes paranormaux et vite. Malheureusement, dès que les chercheurs approchent    avec leurs instruments de mesure, la balançoire cesse ses va-et-vient, annihilant toute chance de donner une explication cartésienne à ce qui se passe. Au contraire, dès que les équipes repartent, la    balançoire reprend de plus belle, respectant même des horaires fixes. Les autorités locales appellent alors les dignitaires religieux du pays à la rescousse. Si, dans un premier temps, l’afflux de touristes était    positif pour le village, celui-ci devient le théâtre de scènes d’hystérie, de bagarres pour s’asseoir sur ladite balançoire. C’est qu’une personne sans doute mal intentionnée a laissé se répandre    la rumeur selon laquelle la balançoire aurait des vertus thérapeutiques. Il n’en faut pas plus pour attirer à soi les chasseurs de miracles et proposer à la vente t-shirts et autres tasses    représentant le curieux jeu d’enfants. Le plus surprenant dans cette histoire, c’est le    nombre de témoins qui se comptent par centaines, s’amassant le long de la clôture posée par les autorités locales. Des vidéos sont tournées, des journalistes expliquent, en direct durant des    journaux télévisés, qu’ils vivent un événement paranormal de grande ampleur. Sauf qu’un beau jour de 2008, tout s’est arrêté. Malgré des vents parfois violents, la balançoire n’a    plus bougé d’un millimètre. Les badauds sont partis, la commune a retiré ses barrières. Un employé communal indique alors que, durant un an, personne n’a entretenu la plaine de jeux. Jusqu’au    jour où quelqu’un a demandé l’autorisation d’aller tondre la pelouse parsemée de mauvaises herbes. Autorisation accordée.
Le lendemain, la balançoire s’est remise à bouger.    Pour les personnes qui croient, aujourd’hui encore, que le petit Emilio est la cause de ces mouvements, la conclusion est claire : le petit garçon n’aime pas jouer dans un environnement    sauvage. Certains sont même repartis à la recherche du père    afin de savoir si, de son vivant, le fils de la famille avait des attitudes quelque peu maniaques. En attendant, les barrières ont retrouvé leur place et    les marchands du temple vendent désormais des fioles contenant quelques brins d’herbe. Quant aux vraies raisons de ce phénomène, plus personne ne cherche vraiment.(Source: rtl.be)

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