Autoroute Est-Ouest longue de 1216 km
«Le projet du siècle» par les chiffres
***Une autoroute aux normes internationales
Il est important de souligner que la réalisation de l’autoroute Est-Ouest répond aux normes internationales. Les tronçons déjà livrés sont déclarés conformes aux normes internationales par des bureaux d’études internationaux.
Les résultats des inspections de travaux, l’examen des dossiers de réception contradictoire des travaux et l’analyse des conclusions, des rapports des experts et des dossiers d’essais du bureau canadien de contrôle et de surveillance SNC Lavalin avec Assistance à maîtrise d’ouvrage Dessau International, ont permis de conclure que la réalisation de quelques tronçons, suivis par ces bureaux, sont conformes aux normes internationales et aux spécifications techniques contractuelles. Ce qui veut dire que la mise en service de ces tronçons permet la mise en circulation sécuritaire pour les usagers.
********Les quatre dossiers d’un projet pharaonique
Le mégaprojet de l’autoroute Est-Ouest d’un linéaire global de 1720 km, est constitué de quatre grands dossiers importants. Il s’agit en premier lieu de l’ancien programme, le PEC, qui concernait 400 km. Ce dernier a été pratiquement réalisé par les entreprises publiques nationales. Il a été engagé depuis 1985. Décembre 2009 était la date fixée pour l’achèvement de tous les travaux. A la suite des efforts déployés, le ministère des Travaux publics a procédé à plusieurs livraisons anticipées, c’est-à-dire avant les délais contractuels. Le second dossier est lié au nouveau programme d’un linéaire de 1320 km. Les appels d’offres internationaux ont été lancés vers la fin 2005. L’octroi des marchés aux entreprises japonaises et chinoises est intervenu fin 2006. Les travaux sur chantier ont débuté durant le premier trimestre de 2007 pour un délai de 40 mois et un montant plafonné à environ 11 milliards de dollars. Les délais contractuels de l’achèvement des travaux sont fixés à fin juillet 2010. Plusieurs sections ont été réceptionnées plus d’une année avant les délais contractuels. Le ministre Amar Ghoul affirme et atteste que la majorité de ce programme neuf sera achevée en 2009. L’avant-dernier dossier est relatif aux échangeurs qui ont été prévus par l’étude de péage réalisée par un bureau d’études en 2009. Par anticipation, tous les échangeurs seront réalisés une année avant la fin 2010, délai contractuel. La quasi-totalité de ces échangeurs sera réalisée en 2009! S’agissant du dernier dossier, il concerne les travaux d’exploitation et d’équipement des 1720 km d’autoroute. L’étude de péage a été finalisée en 2009. L’inscription pour la réalisation de ces travaux est prévue par la loi de finances 2010. La durée de réalisation ne doit pas dépasser deux ans. Aujourd’hui, le dossier est au niveau de la Commission nationale des marchés (CNM) et les appels d’offres nationaux et internationaux seront lancés au courant des mois de septembre et octobre 2009.
*****************Le projet du siècle
Est-il possible de réaliser en 40 mois à partir d’un relief montagneux, des oueds, des zones de glissement de sol, une autoroute longue de 1216 km que les Algériens peuvent parcourir en 12 heures? Cette question était sur toutes les lèvres vers la fin 2006. Tout le monde était unanime à dire que c’est une utopie. Et pourtant! Le défi a été lancé. L’Algérie s’est engagée à réaliser le plus grand projet de son histoire. La tâche a été attribuée à Amar Ghoul, ministre des Travaux publics. Un homme de terrain qui connaît bien son domaine. En dépit des nombreuses et différentes contraintes rencontrées dans plusieurs chantiers, les travaux du «projet du siècle» connaissent une très bonne cadence.
Il est important de noter que le linéaire global de l’autoroute est de 1720 km. Quant au linéaire de l’axe principal, il est de 1216 km. Pour la consistance physique du programme neuf de l’autoroute, il est de 1321 km, alors que celui de l’axe principal de l’autoroute est de 927 km. Qu’en est-il aujourd’hui, depuis le lancement de l’ordre de service le 18 septembre 2006? Les chiffres sont éloquents. Selon les derniers chiffres officiels communiqués par le ministère des Travaux publics, le taux d’avancement global a atteint 86% au mois de juillet 2009, tandis que le taux d’avancement des terrassements généraux est de l’ordre de 90%. Sur les trois lots, centre, est et ouest, le second cité est le plus avancé. Sur un linéaire de 169 km, le lot centre a atteint un taux d’avancement global de 92% et un taux d’avancement des terrassements généraux de 95%. Dans les wilayas de Bouira, Boumerdès et Bordj Bou Arréridj, connues pour la complexité de leur topographie, le taux d’avancement a atteint respectivement, 87%, 84% et 92%. Pour le taux d’avancement des terrassements généraux, il a atteint 99% à BBA, 95% à Bouira et 94% à Boumerdès. Concernant le lot est qui s’étend sur 399 km, le taux d’avancement global a atteint 80%, alors que le celui des terrassements généraux est de l’ordre de 85%. Dans les wilayas de Sétif, Constantine, Bordj Bou Arréridj et Mila, le taux d’avancement global est en moyenne de 92%. Les travaux de l’autoroute Est-Ouest ont connu une accélération sans précédent, lors de ces deux dernières années. L’évolution des chantiers est très appréciable. Chiffres à l’appui.
A titre illustratif, le taux d’avancement sur un linéaire libre de 779 km qui était en 2007 à 84,7%, est passé en 2008 à 99,2% sur un linéaire libre de 912,3 km. Rien que pour le premier semestre de l’année en cours, il est passé à 99,3% sur un linéaire libre de 913,3 km. Idem pour les terrassements généraux. Le taux qui était de 1,84% en 2007 sur un linéaire libre de 17 km, est passé à 40,7% en 2008 pour un linéaire libre de 387,5 km pour atteindre en 2009 un taux de 90,6% pour un linéaire de 840,7 km. L’avancement du projet ne se traduit pas seulement par le taux d’avancement, mais aussi par d’autres missions prises en charge par le département de Amar Ghoul, à l’instar des expropriations et les opérations de relogement. Les expropriations qui étaient à 51% en 2007 pour 6345 unités ont atteint 83,2% en 2008 pour 10.351 unités. Pour le premier semestre de l’année en cours, elles sont de l’ordre de 96,57% pour un nombre de 12.019 unités. Le reste des expropriations est en voie de règlement. Il reste environ 400 opérations sur l’ensemble des 12.445 cas recensés.
Les opérations de relogement des familles ont dépassé les 98%. Sur les 978 familles recensées, 960 sont déjà relogées. Selon les derniers chiffres du département de Amar Ghoul, les 18 familles restantes seront relogées dans un proche avenir au niveau des wilayas d’El Tarf et de Skikda. A cela s’ajoutent les libérations d’emprise, c’est-à-dire le déplacement des réseaux techniques (hydrauliques, électriques, etc.). Des centaines de milliers de réseaux ont été déplacés dans au moins une dizaine de wilayas. Parler de la consistance physique globale du projet, c’est évoquer systématiquement les ouvrages d’art. Ces derniers sont estimés à 2634 unités réparties comme suit: 683 ponts, 122 viaducs, 14 tunnels dont 2 tranchées couvertes sur 16.880 mètres linéaires, 1829 ouvrages hydrauliques, 76 échangeurs et barrières pleine voie et 128 aires annexes. En outre, depuis son lancement, ce mégachantier a contribué à la création de plusieurs postes d’emploi et d’entreprises qui ont vu le jour. L’autoroute Est-Ouest a généré 55617 emplois directs et environ 100.000 indirects. Il est important de souligner que ces performances ont été réalisées malgré les nombreuses contraintes topographiques rencontrées à travers les différents chantiers. Depuis le début du projet, plusieurs sortes de contraintes ont été constatées. Il s’agit de la libération de l’emprise, des opérations d’expropriation et de relogement, de déplacement des réseaux techniques et d’expropriation. Une fois le projet lancé, d’autres contraintes «géologiques et géotechniques» ont surgi. Sur les 1730 km, 1300 km sont situés dans des zones accidentées, difficiles d’accès et dont la topographie est très complexe. En dépit de tous ces aléas, le projet de l’autoroute a connu, comme souligné, une avancée très appréciable. L’implication des entreprises étrangères, japonaises, chinoises, portugaises, italiennes, turques et canadiennes, a permis de dépasser ces difficultés grâce à d’éminents experts et spécialistes des consortiums et bureau de contrôle. D’un autre côté la présence de la main-d’oeuvre étrangère qualifiée a, également, permis à la main-d’oeuvre locale d’acquérir un certain savoir-faire et une nouvelle expérience. Il s’agit du transfert de technologie et de savoir-faire.
D’ailleurs, cette politique reste la devise du ministre Amar Ghoul. Ce dernier a toujours fait de l’investissement dans la ressource humaine une de ses priorités. Il a toujours prôné une politique visant à assurer la formation des futurs cadres appelés à gérer et à diriger les grands ouvrages de son secteur. Pour mieux illustrer cette politique, le ministère des Travaux publics envoie annuellement des délégations d’étudiants, majors de promotion des Ecoles nationales des Travaux publics, en Chine et au Japon. Des centaines d’ingénieurs ont bénéficié des stages de formation de deux mois et plus, depuis l’année 2008. Après formation, ces ingénieurs renforcent les compétences nationales qui seront chargées de la conduite de programmes autoroutiers conformément au Schéma directeur 2025.
Le ministre a dégagé tout un plan d’orientation et de gestion des ressources humaines de son secteur. La création de deux grands instituts spécialisés en travaux publics confirme le fort engagement de M.Ghoul à assurer une main-d’oeuvre qualifiée à travers la formation des futurs cadres appelés à gérer et à diriger les grands ouvrages du secteur des travaux publics. Le premier centre sera créé par les Chinois, plus précisément par l’entreprise Cetic. Il sera chargé d’assurer la formation des ingénieurs spécialisés dans la gestion des grands projets destinés au secteur des travaux publics en Algérie. Le second est pris en charge par le consortium japonais Cojaal. Il aura pour mission la formation des ingénieurs spécialisés dans le contrôle de la qualité et de la formation en matière de travaux publics. (L’Expression-13.09.09.)
************************
*Les dommages collatéraux de l’autoroute Est-Ouest
C’est l’été. Le mois de l’évasion et des grandes vadrouilles. C’est surtout un mois béni pour quantité de petits métiers qui vivent du trafic routier, à l’image de tous ces bouibouis et autres commerces de circonstance qui longent la route : cafés, rôtisseries, magasins de poteries et autres produits du terroir, alimentation générale, petits vendeurs de fruits de saison, vulcanisateurs, bouchers proposant des carcasses de viande fraîche, kiosques à journaux, pharmaciens, taxiphones, vendeurs de tabac… bref, tout ce petit monde y trouvait son bonheur. Seulement voilà.
Depuis la mise en service de la nouvelle autoroute, c’est la mort subite pour une pléthore de ces commerces qui fleurissaient au bord des anciennes routes nationales. Des milliers de petits boulots menacés H’madna, petite localité située à environ 140 km d’Oran, dans la wilaya de Relizane. Cette ville « routière » est surtout connue pour la qualité de ses grillades. Un fait attire d’emblée l’attention du visiteur : plusieurs commerces y ont baissé rideau, notamment les restaurants et ceux qui sont encore de service ont petite mine. Exit les ambiances gargantuesques des années où ils carburaient à plein régime, où les automobilistes, les taxis longs trajets, les bus et autres camionneurs se bousculaient au portillon de ces chouayine aux effluves savoureuses. Djilali est propriétaire d’une de ces rôtisseries.
A notre passage, ses tables étaient désertes. Zéro client. « El hala rahi miyta », se plaint-il. « La situation est très difficile. L’autoroute a signé notre arrêt de mort. Deux ou trois jours à peine après sa mise en service, nous avons tout de suite senti la différence en termes d’affluence. La clientèle a baissé net, si bien que, quelques mois après, comme vous pouvez le constater, plusieurs commerces et restaurants ont fermé. Moi-même, je ne vais pas tarder à mettre la clé sous le paillasson », dit Djilali. Et de nous montrer son présentoir lugubre au contenu peu attrayant. « Je n’ai que ça à proposer aux clients : des salades et des omelettes. On ne fait plus les viandes, de peur qu’elles s’altèrent inutilement », reprend-il. Djilali nous confie qu’il a dû congédier ses quatre employés faute de rentabilité. « Et c’est partout pareil sur cet axe. Des dizaines d’emplois sont partis comme ça. »
Ainsi, au moment où dans sa com’, Amar Ghoul insiste beaucoup sur le volet emploi en assurant que le « projet du siècle » a généré quelque 100 000 emplois durant la phase travaux et un nombre incalculable d’emplois indirects, force est de constater que cela a fait perdre leur job à quelques centaines, voire quelques milliers de personnes, si l’on compte toutes les villes de l’ancien itinéraire qui sont largement dépendantes du trafic routier et qui, de Tlemcen à El Tarf, périclitent à vue d’œil. Autant dire que c’est carrément la structure de l’économie de ces villes qui s’en est trouvée chamboulée. « Même les routiers ne s’arrêtent plus comme avant. Les patrons des sociétés de transport obligent leurs chauffeurs à économiser du temps pour rentabiliser leur flotte », souligne Djilali. Les seuls rescapés de la clientèle traditionnelle sont peut-être les « taxieurs », encore que même eux sont de moins en moins chauds à faire une pause-déjeuner, surtout que l’accès à ces zones de restauration est souvent compliqué et oblige à faire des détours laborieux.
Les relais routiers, un autre marché juteux
Pour notre part, notre pause-déjeuner, nous l’avons effectuée dans un restaurant nommé Essalam, situé à la lisière de Oued Fodda, à une quarantaine de kilomètres de la ville de Chlef. Comme ses « homologues » de H’madna, le resto Essalam vit une situation délicate. La salle principale, bien que climatisée et fort bien achalandée, est quasi déserte. Le serveur « historique » ne se souvient pas avoir connu plus triste péripétie. « Avant, les gens se bousculaient pour avoir une table chez nous. A midi, le resto affichait souvent complet. Plus maintenant ! L’activité a nettement baissé », dit-il. Comme d’autres commerçants avec lesquels nous avons discuté, ce qui inquiète notre restaurateur, c’est le partage du gâteau une fois opérationnels les relais tant promis. A Merdja Sidi Abed, une station-service arbore le même spectacle désolant. Hormis la pompe à essence et une salle de prière adjacente, tous les commerces agglutinés autour sont hors service : un café, une gargote, un taxiphone.
Tout est off. Heureusement que la salle de toilette est encore fonctionnelle. A Boumedfaâ, c’est la détresse des vendeurs de poteries traditionnelles qui nous interpelle. Hocine, jeune marchand veillant sur un de ces magasins où s’entasse une panoplie de produits de l’artisanat local, confie : « Le commerce est mort. Les clients qui restent sont ceux qui sont forcés de faire une incursion à Boumedfaâ pour se rendre à Hammam Righa. Sinon, c’est la dèche totale. Et tous les commerces de Boumedfaâ et de Oued Djer sont dans la même situation. » Quid des relais routiers ? Hocine est pessimiste : « Même s’ils nous casent au niveau de ces relais, ça ne sera jamais pareil. Nous n’aurons pas la même surface. Où mettre toute cette marchandise ? »
Petit trafic contre gros business
Le ministre des Travaux publics, Amar Ghoul, vient d’assurer depuis Constantine que 42 stations-service vont couvrir l’ensemble du réseau autoroutier. Le marché sera confié à Naftal, un choix justifié par la volonté de « gagner sur les délais, d’une part, et consolider les capacités nationales, d’autre part », indique un document du ministère. « Les cahiers des charges ont été déjà finalisés et l’attribution des marchés aura lieu avant la fin de l’année pour réaliser un premier lot de 14 stations-service », a affirmé M. Ghoul. Comme nous l’évoquions tantôt, ce qui turlupine les petits commerçants, c’est l’accès à ces nouveaux territoires induits par le « gros business » de l’autoroute Est-Ouest. Des petites villes comme Oued Fodda, H’madna, Sidi Lakhdar, Sidi Khettab, Djediouia, Oued El Djemaâ, Oued Rhiou, Boukadir, pour ne citer que les localités riveraines de la RN4, dépendaient dans une large mesure de la clientèle drainée par l’ancien axe routier.
Avec ce détournement des flux, combien auront la chance de se placer dans la nouvelle infrastructure ? Combien possèdent les capitaux, la technicité et les relations nécessaires pour se connecter à ce réseau qui est d’un tout autre calibre ? Que l’on songe, en effet, à tous ces petits boulots, cette « faune » de petits camelots qui n’avaient pas besoin de registre du commerce pour vendre galettes, cigarettes et quelques bouteilles d’eau ou une corbeille de figues et qui, du jour au lendemain, se voient mis en demeure de se recycler à l’échelle de « machrou’e el qarn », avec ses avis d’appel d’offre abscons et son lobbying de haut vol. Les voici de but en blanc confrontés au grand capital des grandes boîtes qui vont accaparer le marché des grands relais. Ils le savent intimement : ils n’ont aucune chance de rivaliser avec les chaînes de fast-foods autoroutiers qui se profilent, les investisseurs au long cours (et aux longs bras) et un Etat tentaculaire qui laisse peu de marge aux petits trabendistes de la vie qui végètent sous un parasol en carton au bord de l’humanité…(El Watan-13.07.2010.)
Balises :Petits conseils pour la route
En ces temps de canicule, prévoir avant d’embarquer une ou deux bouteilles d’eau fraîche. Faire le plein de préférence dans la ville de départ. Cela devrait vous suffire pour couvrir l’ensemble du trajet. Prévoir également quelques victuailles pour la route, surtout pour les enfants : fruits, biscuits ou sandwichs. Pour des repas plus copieux ou pour faire le plein de carburant, les automobilistes peuvent emprunter l’une des bretelles menant vers les petites villes que traverse la RN4. Si vous roulez de nuit et que vous avez des appréhensions quant à la sûreté du trajet, il est préférable d’emprunter l’ancienne route. Elle est de toute façon désengorgée le soir, et davantage encore depuis que l’autoroute Est-Ouest lui a ravi la vedette. Dernier conseil pour la route : avoir dans son carnet d’adresses des numéros utiles au cas où… : mécano, police secours, etc.
********************************
L’autoroute des Hauts-plateaux lancée avant fin juin prochain
Le projet de l’autoroute des Hauts-plateaux, une infrastructure autoroutière qui s’étendra de Tébessa à Nâama sur 1.300 km, sera lancée en travaux avant la fin de l’année 2014
« Les études techniques détaillées du projet ont été achevées.l’autoroute des Hauts-plateaux devrait coûter moins que le projet d’autoroute Est-Ouest qui a nécessité un montant équivalent à 11 milliards de dollars.
« Le recours aux entreprises étrangères dans la réalisation des projets du secteur ne se fait que lorsqu’il s’agit de projets complexes qui requièrent l’utilisation de techniques non maîtrisées jusque-là par les entreprises nationales »,
Dans le cadre de ce genre de projets, des entreprises nationales sont associées aux sociétés étrangères dans le cadre de groupements pour acquérir la maîtrise de la qualité, des coûts et des délais de réalisation.
Il a précisé que ce nouveau projet s’inscrit dans le cadre du schéma directeur routier et autoroutier à l’horizon 2030 qui vise à prendre en charge le réseau routier national en prenant en considération le développement économique des différentes régions du pays et les populations.
il a été ouligné l’importance de l’autoroute des Hauts-plateaux sur le plan socio-économique, une fois opérationnelle, elle sera un trait d’union entre le nord et le sud du pays et entre l’est et l’ouest.
Scindée en trois tronçons, Est (220 km), Centre (495 km) et Ouest (305 km), cette autoroute qui traverse 12 wilayas du pays sera reliée à l’autoroute Est-Ouest ainsi qu’à plusieurs axes routiers importants à travers de nombreuses pénétrantes.
Cette autoroute va aussi desservir plusieurs centres urbains comme Sidi Bel Abbès, Saida, Tiaret, Djelfa, Ain Oussara, Bou Saada, M’sila, Biskra, Batna, Oum El Bouaghi, Khenchela et Tébessa.*APS-2013/03/22
*******************************************************
This really answered my problem, thank you!
http:/www.marizonilogert.com
This post comes across somewhat terse-you’re often incredibly eloquent in your lines of thinking.
https://drugwiki.org/index.php?title=User:UlrichRalston
over the internet,You should not search for the best way to present to families, you have many men and also mans companions. Mainly because that will certainly not crave you actually individuals basically look down on people.
https://hjjbjkkjknks6.net/
I genuinely enjoy reading through on this web site, it holds good articles. « The living is a species of the dead and not a very attractive one. » by Friedrich Wilhelm Nietzsche.
http://www.electricpercolatorcoffeepot.com/yellow-coffee-machines/
Thank you for writing this great write up. Good site, totally what I needed. I know top Tumblr experts would agree with your write up. I wants to be a teacher in this topic. Your websites really makes me think a lot. There is basic, but then there’s you.
http://da47.highprbookmarking.com/story.php?title=the-fact-about-santa-ynez-wineries-that-no-one-is-suggesting#discuss
It was hard to get a grip on everything, since it was impossible to take in the entire surroundings of scenes.
http://www.repairmanuals.net