Internet et réseaux informatiques
** «Meilleures Start-up IT»
* le Salon Med-IT revient…les 24, 25 et 26 septembre 2012 à Alger
Cette année, le thème de l’innovation IT sera à l’honneur avec l’organisation des Trophées MED-IT 2012 qui portera sur les «Meilleures Start-up IT».
Et c’est reparti pour un nouveau tour. Au grand bonheur des professionnels, ainsi que les amateurs des TIC, le Salon Med-IT revient pour une neuvième fois. En effet, la 9e édition de ce salon se tiendra les 24, 25 et 26 septembre 2012 au Palais de la Culture sous le haut patronage du ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication.
Organisé depuis 2004, le Salon Med-IT est devenu au fil des années un rendez-vous incontournable pour les professionnels du secteur des technologies de l’information.
L’événement, qui se tient dans l’un des plus beaux sites d’Alger, le Palais de la Culture, accueille chaque année plus de 5 000 visiteurs professionnels et 150 exposants dont les principaux acteurs algériens du secteur des technologies de l’information ainsi que 30% d’entreprises étrangères parmi lesquelles les grandes multinationales. On peut donc dire que le Med-IT est une vitrine des technologies innovantes à la disposition des entreprises et des professionnels du secteur.
Les décideurs des entreprises publiques et privées y viennent régulièrement pour s’informer sur les grandes tendances du marché et découvrir de nouveaux matériels et solutions IT. Med-IT permet aussi de nouer des partenariats entre entreprises du secteur IT.
Un outil gratuit accessible sur le site Web du salon permet aux visiteurs et exposants de programmer à l’avance leurs rendez-vous.
Enfin, au-delà des outils et des solutions présentés, Med-lT s’affirme aussi comme une plate-forme de réflexion sur l’actualité et l’évolution des TIC. 50 conférences et ateliers sont organisés sur trois jours suscitant un vif intérêt du public.
Cette année, le thème de l’innovation IT sera à l’honneur avec l’organisation des Trophées MED-IT 2012 qui portera sur les «Meilleures Start-up IT».
Ce concours sera un véritable accélérateur pour propulser de nouvelles sociétés à fort potentiel dans le domaine IT.
L’événement permettra de découvrir et de mettre en lumière de jeunes talents ayant lancé une start-up particulièrement innovante dans le domaine IT.
Les projets qui seront retenus concernent le domaine de l’informatique, de l’Internet, des télécoms et des nouvelles technologies en général: applications Web ou mobiles, logiciels, services en ligne, e-commerce, réseaux sociaux, jeux.
Voilà donc l’occasion offerte aux jeunes entrepreneurs dans le domaine des IT de faire connaître leurs start-up.
Alors si vous êtes concernés par ce concours, courez vite vous inscrire sur le site: www.med-it.com (rubrique Trophées), c’est l’occasion de votre vie…(L’Expression-25.03.2012.)
**Règlement et participation…Peut participer à ce concours tout dirigeant officiel d’une start-up âgé de moins de 35 ans au 1er mars 2012, de nationalité algérienne et résidant en Algérie. La start-up doit avoir été créée depuis moins de trois ans et son activité principale liée au domaine des IT. Les projets seront retenus sur les critères suivants: innovation majeure et technologique, objet de la création de la start-up, expertise de l’équipe porteuse du projet, perspectives de développement et de rentabilité sur le marché algérien et international. Un trophée et des cadeaux récompenseront les 4 lauréats. Ces présents seront offerts par les entreprises partenaires de l’opération. Les lauréats présenteront leur start-up It lors de la cérémonie officielle de remise des trophées qui se tiendra le mercredi 26 septembre 2012 à 16h00 au Salon Med-IT. Les inscriptions sont ouvertes jusqu’au 31 juillet 2012 à l’adresse mentionnée ci-dessus. (L’Expression-25.03.2012.)
**Premier colloque international sur le Web … les 25 et 26 avril 2012…
à l’Université d’Oran Essenia, Faculté des sciences humaines et civilisation islamique
Sous le thème «L’accès à l’information à l’ère du Web 2.0: nouvelles approches, nouveaux paradigmes», l’Université d’Oran Essenia, Faculté des sciences humaines et civilisation islamique, par le biais de son département de bibliothéconomie et sciences documentaires, organise le premier colloque international sur le Web 2.0. En partenariat avec le ministère des Postes et Technologies de l’information et de la communication, ce congrès aura lieu les 25 et 26 avril 2012, à Oran.
Pour ceux qui ne le savent pas, le Web 2.0 est une évolution du Web vers une simplicité et une interactivité, ce qui permet à chacun de contribuer sous différentes formes. Pour son menu, ce congrès débattra une très riche thématique, à savoir les usages éducatifs du Web 2.0, le Web 2.0 et la fracture numérique, les futurs leviers du Web 2.0 et l’accès à l’information, les défis pour les professionnels de l’information et de la documentation et les enjeux et les risques du Web 2.0.
De même, cet événement scientifique aura pour objectif de mobiliser les compétences et échanger les résultats de travaux scientifiques et d’expériences en vue d’identifier les dernières évolutions du Web 2.0 et du Web mobile ainsi que leur impact sur l’information, la documentation et la communication.
Il est question également d’établir des orientations de partenariat entre le secteur public et privé en vue de contribuer à l’édification de la société algérienne de l’information et à l’instauration d’une culture du Web 2.0.
Il n’échappe à personne que la société de l’information reflète l’état de la société qui produit et consomme l’information en masse et y accède facilement.
A cet effet, étant clairement reconnu par ses plates-formes de blogs, wikis, Facebook, Twitter, linkedin, YouTube, etc. et considéré comme une innovation vers l’interactivité entre les utilisateurs, le Web 2.0 devient de plus en plus, une source incontournable de production, de diffusion et d’accès à cette information. Ainsi, il a révolutionné nos pratiques professionnelles, associatives et personnelles.
De plus, le Web 2.0 participe au rétrécissement de la planète et conduit des populations aux héritages parfois différents à communiquer et à travailler ensemble en réseaux.
En fait, les sites de réseaux sociaux touchent actuellement tout le monde, consommateurs et entreprises, et ne sont plus réservés uniquement à la génération qui a grandi dans un monde où l’ordinateur personnel et Internet sont devenus de plus en plus accessibles.
Le moment donc est venu pour généraliser l’utilisation du Web 2.0.
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*Internet dans le monde
Internet est un ensemble de réseaux informatiques privés et publics interconnectés grâce à un protocole de communication commun. Son principe a été imaginé par les milieux américains de la défense et de la recherche, à la fin des années 1960, puis il s’est progressivement généralisé au domaine civil et commercial. Limité à un millier environ en 1985, le nombre d’utilisateurs d’internet est passé à plus de 2 millions en 1994 et à près de 1,250 milliard en 2007.
« Réseau des réseaux », « nouveau média », « conversation mondiale sans fin » , les qualificatifs ne manquent pas pour décrire la pénétration massive et soudaine des technologies de l’information et de la communication (TIC) dans nos sociétés. C’est un des phénomènes majeurs de la fin du XXème siècle et du début du XXIème, qui bouleverse les modes de fonctionnement traditionnels de la plupart des sociétés contemporaines, comme l’économie numérique, la dématérialisation des administrations ou la multiplication des applications interactives représentatives d’une nouvelle étape du web (le web 2.0) l’illustrent avec force.
En quelques années, internet a touché un public de plus en plus nombreux et satisfait des besoins de plus en plus variés, de la mise en réseau de la recherche, au commerce à distance en passant par les services administratifs en ligne ou la communication et le partage de fichiers, photos, documents entre particuliers, sans oublier les utilisations malveillantes (spam), frauduleuses ou délictueuses.
La flexibilité d’internet souligne le rôle des TIC comme technologie générique, susceptible d’être utilisée dans un nombre infini d’activités, comparable à d’autres innovations du passé, telles la machine à vapeur ou l’électricité.
Toutefois, la croissance exponentielle d’internet ne doit pas cacher que la grande majorité des internautes vivent dans des pays industrialisés et de nombreuses initiatives sont lancées pour aider à développer les infrastructures des TIC et réduire les inégalités de connectivité et d’accès à internet. Par ailleurs, la multiplication des usages d’internet rend nécessaire son encadrement par le droit, une tâche encore loin d’être achevée, au plan national et au plan international, alors que n’est pas résolue la question de la gouvernance d’internet, qui, en raison de son origine singulière, ne repose pas sur des instances multilatérales solides.
***Historique du réseau
*De la recherche militaire au réseau international
L’origine d’internet vient d’une initiative du département américain de la défense, prise au temps de la Guerre froide, à la fin des années 60, et visant à réaliser un réseau de transmission de données à grande distance entre différents centres, capable de résister à une destruction partielle. Il s’agit de l’ARPANET(ARPANET..Premier réseau de communication financé et conçu par l’ARPA (Advanced Research Project Agency) en 1969. )- dont le développement a été assuré par l’Advanced Research Project Agency en 1969. Ce réseau reposait sur le principe d’un maillage dépourvu de centre, ce qui devait permettre de préserver l’essentiel des données si une partie du réseau venait à être détruite dans un affrontement Est-Ouest. Mis en œuvre par des centres de recherche universitaire, grâce au financement du ministère de la défense, il relie tout d’abord les universités de Stanford, de Los Angeles, de Santa Barbara et de l’Utah, puis s’étend progressivement jusqu’à connecter une quarantaine de sites dès 1972. Parallèlement, des réseaux informatiques autonomes reliant des centres de recherche se multiplient sur le territoire américain, ainsi qu’en Grande-Bretagne et en France. La prolifération incontrôlée de ces réseaux soulève alors la question des standards de communication.Mais la connexion entre tous les réseaux existants, c’est-à-dire « l’internet » proprement dit, n’est devenue possible qu’avec la définition de normes communes, notamment le protocole de communication TCP/IP (Transmission Control Protocol/Internet Protocol… »Transmission Control Protocol over Internet Protocol » désigne les protocoles utilisés par internet, permettant l’interconnexion généralisée entre réseaux hétérogènes. Le protocole TCP assure la liaison entre les ordinateurs et contrôle l’émission et la réception des messages, quel qu’en soit le contenu. Le protocole IP régit l’attribution des adresses IP et l’acheminement des paquets de données entre l’émetteur et le destinataire identifiés grâce à leur adresse IP. )…, qui est élaboré en 1974 par Vint Cerf et Robert Kahn. Ce langage commun permet de relier tous les ordinateurs et tous les réseaux existants. En 1983, la partie militaire du réseau (MILNET) est isolée, ARPANET devenant civil, mais principalement destiné à la communication entre les établissements scientifiques. Le réseau ARPANET adopte alors officiellement la norme TCP/IP : c’est le démarrage d’internet, avec à l’époque environ un millier de postes utilisateurs. La National Science Foundation (NSF) lance, en 1986, le réseau NSFNET en réponse à l’afflux des nouveaux arrivants sur ARPANET qui provoque un phénomène de surcharge. En 1990, ARPANET est intégré au réseau de la NSF qui en finance le développement jusqu’en 1995. A partir de 1992, les particuliers et les entreprises privées accèdent au réseau. L’Internet Society (ISOC) est créée. Cette organisation américaine à but non lucratif a pour rôle de promouvoir et de coordonner le développement des réseaux informatiques dans le monde. Elle intègre l’Internet Activities Board (IAB), organisme chargé d’élaborer les normes et standards d’internet.
*La création du World Wide Web
Internet s’ouvre véritablement au grand public avec la création, lors du Conseil européen pour la recherche nucléaire (CERN), en 1991, du World Wide Web, par Tim Berners-Lee. Il s’agit d’un système d’interface graphique, très ergonomique et très facile d’utilisation, qui permet de passer d’une page ou d’un site à un autre en « cliquant » sur un lien dit « hypertexte » (Ce terme inventé par Ted Nelson désigne un système non linéaire de recherche et de consultation de documents qui contiennent des liens établissant des correspondances avec d’autres documents connexes. Toute l’organisation du web se fonde sur la notion d’hypertexte.) . La navigation sur la « Toile » devient ainsi extrêmement aisée. Le web ouvre donc le réseau à de nouveaux utilisateurs peu familiarisés avec l’informatique. En quelques mois, les sites web se multiplient. Phénomène technique et social de grande ampleur, le World Wide Web a dû se doter, en 1994, d’un consortium pour gérer son évolution afin que ce puissant instrument de publication demeure ouvert, fidèle en ceci à l’esprit d’internet. Le World Wide Web Consortium ou W3C s’est placé sous la responsabilité du Massachussets Institute of Technology (MIT) aux Etats-Unis et de l’Institut national de recherche d’informatique et d’automatique (INRIA) en France.
*L’essor d’internet
Depuis lors, internet a connu une expansion planétaire et a permis, grâce à la convergence de l’informatique, de l’audiovisuel et des télécommunications, la multiplication de services de toute nature sur le World Wide Web comme la messagerie électronique, les groupes et forums de discussion, le commerce électronique, la consultation d’informations, la diffusion d’images fixes, de fichiers audio et vidéo…
Et les outils et techniques continuent d’évoluer, avec le développement des réseaux haut débit filaires (ADSL) ou sans fil (WIFI et Bluetooth) ou de l’internet mobile (WAP), ou encore avec les technologies et produits du web 2.0 qui renouvellent les modes d’usages et d’appropriation des services internet par les utilisateurs (RSS, blogs, wikis, outils de partage de photos, de videos…).
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1,2 million de noms de domaine .be en 2011
Le nombre de noms de domaine .be a augmenté l’an dernier de près de 11% par rapport à 2010, passant de 1,1 million à 1,2 million, selon des statistiques publiées jeudi par DNS.be, le gestionnaire officiel des noms de domaine .be.
« Ce résultat met l’accent sur l’importance qu’ont les noms de domaine et nous donne confiance dans l’avenir », déclare Piet Spiessens, président du conseil d’administration de DNS.be.
Les personnes exerçant une profession libérale ont enregistré 16% de noms de domaine .be en plus, à la suite d’une campagne de publicité qui était principalement destinée aux médecins de famille, aux spécialistes et aux infirmiers.
« La collaboration avec DNS.be pour sensibiliser les indépendants quant à l’importance d’être présents sur la toile a manifestement porté ses fruits », selon Christophe Wambersie, secrétaire général de l’Union des Classes Moyennes (UCM).
Enfin, il ressort que près d’un nom domaine .be sur cinq a été enregistré par un Néerlandais ou une organisation néerlandaise. Les Belges gèrent quant à eux 0,68% des noms de domaine .nl. « Les Néerlandais ont également l’esprit commerçant sur internet », conclut DNS.be. (Source: belga.be-07.06.2012.)
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