Salon national du livre-Alger

**9e Salon national du livre du 20 au 30 décembre 2012 à la SAFEX

Le 9eédition du Salon national du livre se déroulera du 20 au 30 décembre 2012, au Palais des expositions à la SAFEX (Pins Maritimes) et plus précisément, au pavillon central.

Organisé par le SNEL (Syndicat national des éditeurs du livre) et la Société algérienne des foires et exportations (Safex), le salon regroupera une centaine d’éditeurs issus des différentes wilayas et verra la participation des ministères des Moudjahidine et des affaires religieuses, la Fondation Emir Abdelkader, les Scouts musulmans, le Palais de la Culture Moufdi Zakaria, les associations des Oulémas musulmans, El Djahidia, Rabitat Ibdaâ chir el melhoun ou encore l’Union des écrivains algériens.

Des communications portant sur le cinquantenaire de l’indépendance de l’Algérie et des ventes-dédicaces figurent au programme. Un espace ludique et de matières d’éveil est prévu pour les enfants*El Watan-16.12.2012.

**8ème Salon natioanl du livre, du 12 au 21 avril 2012, au Palais des expositions des Pins maritimes- Alger

      participation de 120 éditeurs nationaux

Le Syndicat national des éditeurs du livre (SNEL), en partenariat avec la Safex (Société algérienne des foires et expositions), organise le 8e Salon natioanl du livre, et ce, du 12 au 21 avril 2012, au Palais des expositions des Pins maritimes, à Alger.

Diversité livresque et conférences

**Diversité livresque et conférences

Ce jeudi, s’ouvre officiellement la 8e édition du Salon national du livre. Cette manifestation, organisée conjointement par le Syndicat national des éditeurs du livre et la Safex, compte donner un nouvel élan aux professionnels locaux du secteur. Cette édition verra la participation de pas moins d’une centaine de maison d’édition, des libraires, des distributeurs, etc. Selon les organisateurs de cette rencontre livresque «la 8e édition du Salon national du livre se veut une opportunité pour les lecteurs d’obtenir des ouvrages à des prix attractifs. Car, les visiteurs se procurent des ouvrages directement chez l’éditeur avec un abattement du prix. «Nous savons tous que le livre produit localement est moins cher que le livre importé. Dans les salons précédents, le livre importé, en dépit de sa cherté, avait enregistré un succès plus que significatif par rapport au produit national. La foire de ce printemps est une occasion pour les producteurs locaux de rencontrer les lecteurs. C’est-à-dire, l’éditeur vend directement au client. Il n’y a pas d’intermédiaire. «L’objectif de cette foire est de vendre le maximum de livres avec des petits prix», nous a déclaré Ahmed Madi, président du Snel. Il a également évoqué les problèmes auxquels fait face l’éditeur dans l’exercice de ses fonctions, notamment en ce qui concerne la commercialisation du livre, expliquant cela par le désengagement des ministères de l’Education nationale et de l’Enseignement supérieur en dépit des efforts consentis par plusieurs maisons d’édition dans l’impression et la traduction des livres académiques et manuels scolaires. Par ailleurs, au programme du salon, qui se tiendra jusqu’au 21 avril, il est prévu 14 conférences traitant des sujets différents. Youcef Merahi, écrivain et président du Haut Commissariat à l’amazighité, ouvrira le bal des conférences du programme du Salon. Demain, le vendredi 13, il parlera de la situation de l’édition du livre en tamazight. On note l’intervention du célèbre journaliste Paul Balta qui a exercé en Algérie avant et après l’Indépendance. Cet ami de l’Algérie témoignera sur les événements qu’il avait vécus en Algérie durant la guerre. Cette intervention s’inscrit dans la cadre du 50e anniversaire de l’Indépendance de l’Algérie qui sera célébré le 5 juillet prochain, selon les organisateurs du Salon. Le thème «La vision d’historien sur l’Indépendance de l’Algérie» sera abordé par le docteur Mohand Amar Ouamar. Parmi les activités annexes du Salon, il est question du sujet relatif au soufisme en Algérie. Le Dr Mohamed Ben Birk dissertera sur le sujet de «La calligraphie soufie en Algérie», sous ses différents angles. A raison de deux conférences quotidiennes, une le matin et l’autre dans l’après-midi, des thèmes en rapport avec «L’écriture théâtrale, le défi de la littérature pour jeunes, le livre et le savoir, etc.»
En somme, le retour du Salon national tombe à point nommé pour apporter une diversification culturelle et dévoiler les nouveautés livresques de cette année en particulier.(L’Expression-12.04.2012.)

**Comment exporter le livre

«Il faut réfléchir à une stratégie à mettre en place pour exporter le livre produit et édité en Algérie», souhaite l’ancien directeur général de la Bibliothèque nationale.

Un important rendez-vous littéraire

Sous un ciel pluvieux et un temps maussade, a été inauguré jeudi dernier le 8e Salon national du livre. Cette édition a été ouverte par le l’ex-ministre de la Communication et de la Culture Mohamed Abbou, accompagné de Amine Zaoui, l’ancien directeur général de la Bibliothèque nationale, en présence du président du Syndicat national des éditeurs du livre et du président-directeur général de le Safex, Rachid Gasmi.
Le Salon national du livre, dont la dernière manifestation remonte à 2010, a été marqué cette année par la participation de 90 éditeurs sur les 108 inscrits. Parmi les participants, on note la présence de délégation de la République arabe sahraoui RASD. Parmi les nouveautés de cette édition, on relève également la participation du Palais de la culture.
Le présence de cette institution est la première depuis la création de cet événement livresque national.
Le plus important rendez-vous des éditeurs algériens après le salon international du livre. S’exprimant sur la manifestation, l’ancien ministre, qui s’est dit honoré d’être l’hôte du Snel, a indiqué que l’Algérie doit faire du livre une priorité, car d’après lui, «le peuple cultivé est un peuple qui saura défendre son pays en toutes circonstance et en tout lieu. Nous devons trouver des moyens pour la démocratisation dans l’accès au livre.» Dans son intervention, Mohamed Abbou, qui est aussi écrivain, a expliqué que «le livre est au centre des civilisations». Pour lui, «un pays est sur une bonne voie de développement et de rayonnement culturel, s’il fait du livre une préoccupation essentielle permettant à sa population de se cultiver et accéder au savoir et à la science».
Pour les spécialistes de la question, il a été relevé dans cette manifestation la diversité des thèmes de livres exposés. Mais ce qui a attiré les visiteurs c’est plus la qualité des ouvrages. «Je suis agréablement surpris par la qualité des livres exposés. Je pense que l’éditeur algérien maîtrise parfaitement son métier», relève Amine Zaoui.
Dans cette perspective, «il faut réfléchir à une stratégie à mettre en place pour exporter le livre produit et édité en Algérie», souhaite l’ancien directeur général de la Bibliothèque nationale.
En parcourant les allées du Salon, les éditeurs étaient unanimes à se féliciter du retour du Salon du livre qui se veut «un rendez-vous annuel pour les professionnels de la filière du livre», souligne le responsable de l’Anep qui a édité depuis sa création, il y a 30 ans, environ 600 ouvrages.

*****La 8e édition du Salon national du livre regroupera 120 éditeurs nationaux présentant 4000 nouveaux titres. Du manuel parascolaire au roman en passant par les beaux livres, l’essai ou encore l’ouvrage didactique. Ainsi que plus de 800 titres relatifs à l’histoire, et ce, dans le cadre de la célébration du cinquantenaire de l’indépendance de l’Algérie. Un vaste et riche programme a été élaboré pour coller à cet événement. De front, le programme proprement dit du salon comptera des conférences, des rencontres-débats et autres forums aux thèmes variés comme «Le livre pour enfants», «La vulgarisation de la lecture et ses prolongements», «Le texte théâtral», «Le livre et le 50e anniversaire de l’indépendance de l’Algérie», «Les droits d’auteur», «Les médias culturels», «L’inventaire et la vulgarisation des anciens manuscrits en Algérie»… Ainsi que des rencontres littéraires et autres ventes-dédicaces. Un centre de presse équipé est prévu lors de cette manifestation livresque.

Exporter des livres, pourquoi pas ?

Ahmed Madi, président du SNEL (Syndicat national des éditeurs du livre) indiquera à propos du 8e Salon national du livre d’Alger : «Tout d’abord, la Safex nous a ouvert toutes les portes et offert toutes les commodités. Mon objectif, en tant que président du SNEL, est d’œuvrer pour la lecture. L’Etat aide, soutient et encourage le livre. Depuis 2003 à ce jour, 7000 titres ont été édités. Nous pouvons concurrencer ce qui se fait à l’étranger. Je ne serai satisfait que lorsqu’on pourra exporter nos livres. Mais il existe un problème à ce niveau-là. Nous voulons acheter les droits des livres, les traduire et les publier en Algérie. Pourquoi importer des livres ?

La question, c’est comment investir dans le livre ? Et par conséquent, investir dans le livre en tamazight… Nous avons une jeunesse consciente. Nous devons prendre soin des enfants. L’Algérien apprend l’arabe, le français, l’anglais et le tamazight. Mon vœu est que l’éditeur puisse traduire des titres venant des autres pays à l’arabe et pourquoi pas de l’hébreu à l’arabe. L’heure a sonné pour un travail sérieux en matière du livre et de sa promotion. Par ailleurs, je m’interroge. Qu’est-il advenu du Centre national du livre (2009) ? Où est-il ? Que devient-il ?»…(El Watan-28.03.2012.)

**La réalité du livre en Algérie: stratégies et défis» …. thème du colloque national, prévu les 23 et 24 avril 2012 à Oran.

«La réalité du livre en Algérie: stratégies et défis» sera le thème générique du colloque national, prévu les 23 et 24 avril courant à Oran, a-t-on appris auprès des organisateurs. La rencontre, à laquelle participeront des spécialistes dans le monde de l’édition et des professeurs de diverses universités du pays, s’inscrit dans le cadre de la célébration de la Journée mondiale du livre, coïncidant avec la journée du 23 avril, a souligné la directrice locale de la Culture, Mme Rabéa Moussaoui. Ce colloque vise à présenter des initiatives et des expériences au service du livre et de la lecture. Il a pour objectif également de contribuer à la promotion du livre et à la compréhension des stratégies et des enjeux à travers la réalité du livre en Algérie. Les participants débattront de plusieurs problématiques comme «la distribution et la diffusion du livre», «les écrivains et les médias», «les bibliothèques numériques», «le marketing du livre», «la législation dans le domaine de l’édition et la distribution», «les droits de propriété intellectuelle numérique» et «la problématique de la lecture du livre». Les travaux porteront sur cinq axes, dont «le livre imprimé», «le livre et les TIC», «la commercialisation du livre imprimé et l’e-book» et «la législation, les droits de propriété et le copyright». (L’Expression-14.04.2012.)

 

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*SEPTIÈME ÉDITION DU SALON NATIONAL DU LIVRE

74 éditeurs algériens participent à l’événement

Avec pour slogan “Un Livre dans chaque main”, le Salon national du livre revient, après deux ans d’absence, et se tiendra au Pavillon G de la Safex, du 15 au 25 avril prochain.

Hier matin, le président du Syndicat national des éditeurs du livre (Snel), Ahmed Madi, a coanimé, à la salle El Djazaïr (Safex), une conférence de presse, avec Mohamed Tahar Guerfi, éditeur, Fayçal Houma, éditeur et vice-président du Snel, et Mouloud Slimani, directeur de la Safex.
À l’ordre du jour était inscrite l’annonce de la tenue de la septième édition du Salon national du livre, du 15 au 25 avril prochain, au pavillon G de la Safex (Pins Maritimes). Après deux années d’absence, le Salon se tiendra pour la première fois à la Safex, après avoir été coorganisé par la Bibliothèque nationale d’Algérie. “Ce Salon revient après un arrêt de deux années, mais notre joie ne sera totale que lorsqu’il y aura complémentarité entre ce Salon national et le Salon international”, a déclaré
M. Madi. De son côté, Mohamed Tahar Guerfi, a estimé que cette édition, placée sous le signe “Un Livre dans chaque main”, “est la plus importante au niveau participation, car nous avons atteint le nombre de 74. Or, lors des éditions précédentes, le nombre ne dépassait pas les 50”.
Et c’est l’une des raisons qui a contraint les organisateurs de délocaliser le Salon et de le tenir à la Safex, cette dernière étant un partenaire dans l’organisation de ce Salon.
Trois mille  mètres carrés ont été aménagés en stands et le Salon s’est autofinancé, puisque ne disposant et ne bénéficiant d’aucun budget, mis à part les éditeurs qui ont, naturellement, payé leurs aires d’exposition. En outre, les organisateurs ont révélé qu’ils avaient écrit au ministère de la Culture pour annoncer l’organisation de ce Salon et espèrent la présence d’un représentant de cette institution le jour de l’inauguration, prévue le jeudi 15 avril à 11 heures. Fayçal Houma a, pour sa part, insisté sur les difficultés qui ont heurté et heurtent encore les organisateurs de ce Salon, tout en soulignant que l’un de ses objectifs est la rencontre entre les auteurs, les éditeurs et les lecteurs.
Selon M. Guerfi, les points forts de ce Salon sont au nombre de deux, car “la production du livre algérien s’est beaucoup améliorée et nous avons constaté depuis 2007, un intérêt pour le livre et une forte production. Le deuxième point est le nombre important d’exposants entre éditeurs, importateurs et institutions”. Parmi les exposants, notons la participation pour la première fois de la zaouia Tidjaniya. Il y aura également le Haut Conseil de la langue arabe, le Haut Conseil islamique, le Haut-Commissariat à l’amazighité. Parmi les éditeurs, l’OPU, l’Enag, l’Anep, Dar El Hikma, Maerifa, El Houda, Média Sport, Baghdadi, Edif 2000, Omega prendront part à ce Salon dont l’invité d’honneur est la Palestine.
Par ailleurs, le programme d’animation est riche et plusieurs conférences se tiendront, notamment celle en trois langues sur “la culture amazighe entre expérience et perspectives”, qui sera animée par Youcef Merahi, secrétaire général du Haut-Commissariat à l’amazighité, ou encore celle qui concerne “la distribution et médiatisation du livre en Algérie”.
Le 23 avril, Journée internationale du livre et des droits d’auteurs, sera une véritable aubaine pour les lecteurs puisque des réductions seront proposées. Des séances de dédicaces quotidiennes seront également organisées. (Liberté-14.04.2010.)

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*LA PETITE BIBLIOTHÈQUE DE L’ÉTÉ 2010 (I)
Lire, un plaisir supérieur

Découvrir le plaisir de lire, c’est chose à la portée de tous.

J’entends dire, comme vous, «Aujourd’hui, on ne sait plus lire» ou encore «Aujourd’hui, personne ne lit plus» et d’autres, reprenant une citation d’Henry Bordeaux, avec une pointe d’humour: «… Sauf ceux qui écrivent.»
Évidemment, il faut d’abord aimer lire et, sans aucun doute, accepter auparavant de se donner un peu de peine. Il n’y a pas de lecture facile, si cela est, ce n’est pas de la lecture. La lecture élève mieux un homme que toute autre activité, estiment les pédagogues. Ils disent aussi, comme le philosophe et essayiste français Alain que «l’homme se forme par la peine; ses vrais plaisirs, il doit les gagner, il doit les mériter. Il doit donner avant de recevoir. C’est la loi.» Arrêtons-nous en ce point; nous le développerons tout au long de nos rendez-vous à «La Petite bibliothèque de l’été 2010» qui propose à la lecture quelques-uns des 48 ouvrages présentés chaque mercredi dans notre rubrique Le Temps de lire, 2009-2010.

CLASSES DES SAVANTS DE L’IFRÎQÎYA (traduction) par Mohammed Ben Cheneb, OPU, Alger, 2009, 416 pages. L’ouvrage, de ce «travailleur de l’esprit», publié aujourd’hui, est la réédition scannée de la traduction de l’arabe vers le français (1920) avec des annotations de ce chercheur, qui avait, en 1915, publié en arabe, ce travail, sous le même titre, soit Tabaqât ‘ulamâ’ Ifrîqîya. Espérons, avec Djafar Ben Cheneb, son fils, à qui nous devons l’initiative de la réédition des oeuvres de son père, et reprenant les termes de l’éminent chercheur français Georges Marçais (1876-1962), bien connu des grands professeurs des Universités d’Algérie, que: «Le livre si excellemment traduit et annoté par M.Ben Cheneb inaugure cette série de publications de la manière la plus honorable.»
De quoi s’agit-il?
Indiquons d’abord que sous ce titre Tabaqât ‘ulama’ Ifrîqiya, traduit Classes des savants de l’Ifriqiya, Mohammed Ben Cheneb édite le livre d’Aboû L-‘Arab (Kairouan de la 1re moitié du xe s.) qui a été continué par El Khachanî (Kairouan, mort en Espagne vers la fin du xie s.), le premier étant l’un des plus anciens monuments de la littérature des fameuses «classes» ou «tabaqât».
Ces deux manuscrits sont évidemment très anciens du fait qu’ils établissent les biographies des plus célèbres savants ayant vécu à Kairouan et à Tunis depuis l’établissement des musulmans jusqu’à la première moitié du ive s. de l’Hégire. Ils ont été traités minutieusement par Ben Cheneb qui a tout particulièrement étudié les manuscrits en les annotant, en les commentant, en rectifiant certaines informations inexactes, en signalant et en complétant les lacunes dans les textes et en ajoutant de nombreux index spécifiques, ce qui incite le lecteur chercheur à satisfaire son besoin d’en savoir davantage sur un milieu riche en événements historiques divers: politique, social, culturel, économique, religieux,… C’est une suite de vies, de tableaux, de scènes où les faits et gestes des personnages savants, princes, cadis, dévots, ascètes, paysans, citadins, petit peuple, peuple tout court, sont ceux d’un monde vrai, autrement dit là où l’on sait que «les vrais héros des tabaqât sont naturellement les savants.» Voilà tout un passé qui, encore par bien des aspects sociologiques et ethnologiques – une certaine mentalité, par exemple, qui est d’actualité chez nous -, pourrait éclairer le monde musulman d’aujourd’hui.
En attendant la réalisation de la «fondation Mohammed Ben Cheneb» qui tarde inexplicablement, le Maître Mohammed Ben Cheneb reste, incontestablement et infiniment un modèle algérien d’homme de science et de conscience pour nos intellectuels et spécialement pour la jeunesse studieuse de notre pays.

LA CHAMBRE DE LA VIERGE IMPURE d’Amin Zaoui, Barzakh Éditions, Alger, 2009, 173 pages. Quand la douleur n’a plus d’effet sur nous et que nous avons la conviction de posséder la vérité, plus rien n’a de sens… Mais pour qui? Voilà un aphorisme personnel complexe et puissant inspiré de la nirvâna bouddhiste et qui parcourt comme un sillon de feu brûlant les treize chapitres constituant le nouveau roman d’Amin Zaoui; et ce roman porte ce titre détonnant pour le commun, mais non provocateur pour le lecteur de la bonne littérature. Les habitués des thèmes, du style, des frémissements de la pensée d’Amin Zaoui, doivent savoir que cette oeuvre dépasse triomphalement la fiction doucement dérangeante du Festin de mensonges, paru en 2007.
Amin Zaoui a peut-être essayé seulement de poser le problème «politico-social», non pas religieux, de la virginité en l’exposant dans la fable qu’il a inventée et intitulée La chambre de la vierge impure qui n’est autre que le refuge de la vierge pudique lorsqu’elle a ses menstrues. Les ingrédients utilisés, dans le récit, sont nombreux et présentés, si j’ose dire, clairement par le narrateur dont la personnalité psychonévrotique ne fait pas de doute, ou, à tout le moins, dont le psychisme est sous l’influence de psychotropes en permanence. Là où le droit ouvre le droit; la liberté permet tout. Le désir, l’avidité, le réel, la possession chassent le mystère, l’inconstant, l’interdit. L’amour s’ensauvage, devient vice. Mais pourquoi ne serait-ce pas, en ce point précis, la vérité ultime où commence l’évolution libidinale dans la tête d’un adolescent sur lequel «la passion» avait pris comme un incendie ravageur d’âme «tombé du ciel»? (l’Expression-07.07.2010.) 


 

 

9 réponses à “Salon national du livre-Alger”

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