Aït Menguellet le chantre de la musique amazighe
**Aït Menguellet fait vibrer El Bahia
dans tous les passages de Lounis à Oran, la ville a ouvert grandement ses portes à l’artiste.
Il était l’un des invités de taille qui, comme de coutume, ne laisse rien au hasard berçant ses fans sous les effets du verbe pudique et expressif. Il s’agit de Lounis Aït Menguellet qui a, encore une fois, récidivé en faisant vibrer le Théâtre de verdure d’Oran et cela, dans le cadre des Journées portes ouvertes sur la wilaya de Tizi Ouzou, organisées depuis dimanche à Oran.
A peine annoncée, l’information a, en un laps de temps, telle une traînée de poudre, fait le tour de toute la wilaya d’Oran. Les Oranais, eux, n’ont pas hésité à se rendre en masse très tôt au Théâtre de verdure d’Oran.
A 21h, le théâtre affichait complet. Comme prévu et sans aucun retard le chanteur, respectant les règles de la ponctualité, a fait une entrée triomphale sous un tonnerre d’applaudissements. C’est ainsi qu’a commencé l’habituel jeu interactif entre le chanteur et son public oranais.
Aucune surprise, encore moins un quelconque trac n’ont été relevés chez l’artiste qui est très connu à Oran, ville qui a, dans tous les passages de Lounis, ouvert grandement ses portes à l’artiste. C’est alors que le «messager» de la wilaya de Tizi Ouzou à Oran s’est mis à chanter la vie tout en étalant son verbe laissant tantôt le spectateur réfléchir et souvent danser sous la cadence des rythmes propres à Lounis Aït Menguellet. «Aït Menguellet est chez lui dans sa deuxième ville», a lâché un cadre de la wilaya d’Oran, membre de la délégation officielle qui a pris part à la mémorable soirée kabyle animée dans la deuxième ville du pays, El Bahia. Lounis Aït Menguellet, qui ne ménage aucun effort pour rendre heureux ses admirateurs, a, encore une fois, réussi un pari, dans une ville où la musique au verbe cru est en vogue, notamment pendant la saison estivale marquée, annuellement, par une forte production des chebs et chabate. De son côté, Djaffar Aït Menguellet, qui jouit d’une grande aura à l’ouest du pays a, pour sa part, répondu aux attentes de ses fans présents au Théâtre de verdure d’Oran.
Les portes ouvertes sur la capitale du Djurdjura à El Bahia, qui sera clôturée sous les effets de la musique pop kabyle de la troupe des Abranis, se poursuivent. Hier soir, une autre figure de la chanson kabyle, et pas des moindres, a été à l’honneur. Il s’agit de l’indétrônable Nouara qui s’est exprimé sur le podium du Théâtre de verdure Hasni- Chakroune. (L’Expression-28.06.2011.)
************************
*Des esprits malades en colère contre Aït Menguellet et Idir
Lundi 23 mai 2016, une rencontre de l’Office national des droits d’auteur (ONDA) autour du piratage des œuvres d’art a été organisée à Alger. Y ont participé, sans aucune surprise, des artistes dont Aït Menguellet, Idir, Lounis Yasmina, Takfarinas, Rabah Dariassa… Au total, ils étaient 300 à avoir assisté à cette rencontre. Abdelmalek Sellal, présent pour le discours inaugural, a serré la main aux deux chanteurs kabyles. Par malheur ou exprès, les caméras de la télé étaient braqués sur eux. Des images qui ont fait «polémique».
On les accuse d’être des «traîtres». Sur les réseaux sociaux, c’est le buzz depuis lundi passé. Sur le site officiel du chanteur Aït Menguellet, la réponse : «Quand on veut informer, il faut avoir le courage de dire la vérité. La désinformation est un acte de lâcheté. Si une personne qui se bat pour ses droits dans notre pays est considérée comme ‘‘traître’’, cela veut dire que nous ne sommes pas encore sortis de l’auberge !»
Dans les commentaires des internautes, dont la majorité était contre cette attaque indigne des deux grandes figures de la chanson kabyle, on retrouve celui de Chafaa Bouaiche, chef du groupe parlementaire qui exprime : «Non, Aït Menguellet et Idir ne sont pas au service de Sellal ou du gouvernement.
Ce sont des artistes. Ils existent par eux-mêmes, par leur art. Ils étaient là pour défendre les droits d’auteur et ils se font insulter par ceux qui défendent le droit d’être menteur.» «Ceux qui les insultent n’ont probablement rien compris. Ces artistes n’ont pas commis de crime, ils sont artistes et libres de leurs faits et gestes.
Dicter à un artiste ce qu’il doit ou ne doit pas faire est grave, c’est une atteinte à sa liberté», commentent d’autres. Dicton berbère repris dans les réseaux sociaux : «Quand tu craches au ciel, ça retombe sur ton propre visage». Une manière de dire, selon Arezki Iberiziene, journaliste, que toute cette polémique «relève de l’ingratitude. Insulter ces grandes figures de la chanson amazighe, c’est s’insulter soi-même». *Nassima Oulebsir/ vendredi 27 mai 2016/ el xatan
*********************************
**Il se produit à Alger le 18 juillet : Lounis Ait Menguellet en tournée
Le chanteur Lounis Ait Menguellet animera un gala le 18 juillet 2012 à partir de 21h à Riadh El Feth (Alger), rapporte le site officiel de la vedette de la chanson kabyle.Selon la même source, Lounis Ait Menguellet se produira le 16 septembre à Paris (Cité de la musique) à partir de 16 h 30 et au théâtre de Licorne de Cannes le 7 octobre (16h). Il est aussi attendu à Lille (théâtre Sébastopol) le 18 novembre à 16 h.Toujours d’attaque à 62 ans, le ciseleur du verbe, comme le surnommait le regretté écrivain Kateb Yacine, a animé un concert le 1er juin dernier à la salle Olympia de Montréal après 17 ans d’absence artistique dans ce pays. (24.06.2012.)
***********************
**Lounis Aït Menguellet se produira au Centre culturel algérien de Paris, les 1, 2 et 3 juillet prochain …
L’écrivain et directeur du Centre culturel algérien de Paris, Yasmina Khadra, rend hommage à un des maîtres de la chanson algérienne, Lounis Aït Menguellet, qui se produira les 1er et 2 juillet à 20h30, et le 3 juillet prochain à 17h, au CCA.
Si je devais mettre une figure sur l’Algérie de nos prières, je m’inspirerais de celle de Lounis Aït Menguellet : la figure de l’enfant du pays. Tout, chez cet artiste emblématique, m’apaise et me réconforte dans mon algérianité. Son charisme droit sorti de la sagesse ancestrale, sa hauteur étincelante de neiges djurdjuraennes, son amour indéfectible pour les siens font de son chant une rédemption.
Je crois avoir adhéré à cet homme avant même de le rencontrer. Je ne comprenais pas ses paroles, mais je me reconnaissais dans ses chansons, et sa voix de chantre tranquille m’insufflait un sentiment de plénitude comme lorsque le vent du désert balaie mes angoisses. Lounis Aït Menguellet est un havre de paix, une oasis féerique qui transcende, à elle seule, ces espaces mortifères que sont devenus nos silences tandis que nos rêves menacent de s’effilocher au gré des désillusions. Il sait dire ce que nous taisons par crainte d’être entendus : notre fierté égratignée, nos joies chahutées, nos aspirations laminées.
Plus qu’un barde, Lounis est ce refus viscéral de céder devant l’adversité, l’impératif devoir de renouer avec la beauté au cœur même des laideurs abyssales qui ont failli nous défigurer. Lorsqu’il chante, Lounis, les aigreurs retiennent leur souffle car, d’un coup, nous sommes en phase avec ce que nous croyons avoir perdu de vue, à savoir le goût de la fête.
Qui a dit que nous étions morts et finis ? Quand bien même nos colères se voudraient amarres, un mot de Lounis, et déjà nous sommes ailleurs, loin des chaînes de nos frustrations et de nos galères mentales. Lounis ne chante pas, il apprivoise la vie, nous la restitue dans ce qu’elle a de plus grisant et de plus tentant ; subitement, nous avons envie de tout avoir, de tout mériter, les instants de bonheur comme les moments de folie, et nous sommes heureux d’être là, dans cette salle qui devient, au fil du répertoire, une grande maison familiale où toutes les complicités sont permises et où personne n’est jamais esseulé.
Nous redevenons, le temps d’un concert, ce que nous sommes d’abord : des Algériens en liesse. Dieu a créé notre pays un jour de grande jouissance, et s’il arrive à certains de gâcher ses festins, d’autres sont là pour nous faire recouvrer, une à une, l’ensemble de nos ivresses. Parmi ces derniers, Lounis Aït Menguellet que l’on ne remerciera jamais assez pour l’immense faveur qu’il nous fait : de continuer d’aimer la vie malgré tout. Béni soit cet homme par qui l’éveil aux bonnes choses arrive, béni soit sa musique et sa grande générosité. Une nation ne s’enorgueillit que par la verve de ses idoles, et Lounis en est l’une des plus belles que notre fierté ait connues.
Il est la preuve vivante que, chez nous, au bled comme partout où l’âme algérienne frémit, rien n’est tout à fait perdu.(Liberté-16.06.2011.)
************************
*Aït Menguellet au Zénith…(17.05.09.) ….Après le récital à guichets fermés, donné à l’Olympia en octobre 2008, où de nombreux spectateurs n’ont pu l’écouter et les récents spectacles réussis à Lyon et à Marseille, Lounis Aït Menguellet retrouve à nouveau, aujourd’hui à 16h, la grande salle du Zénith (19e arrondissement de Paris), pour un concert rare. Celui-ci ne manquera pas, sans aucun doute, de faire le bonheur des milliers de fidèles qui le suivent maintenant depuis des années et tous ceux qui aiment la poésie propre et truffée de sens. Un concert unique considéré par l’artiste comme « une sorte de rétrospective qui répondra aux attentes de chacun ». Et Dieu seul sait combien sont distinctes les attentes de tous ceux qui ont pris l’habitude de « boire » ses mots et de « voyager » à travers les images que son cerveau façonne depuis près de quarante ans. Entre chansons d’amour, chansons à connotations sociétale ou politique, tout le monde trouvera, à coup sûr, son compte. Aït Menguellet a promis de « régaler » ses admirateurs avec un programme varié comprenant une bonne trentaine de chansons choisies d’une façon objective, mais retraçant, au final, les différentes étapes de sa carrière artistique. « Chaque chanson est un coup de cœur », a avoué l’artiste dans une conférence de presse tenue quelques jours avant le concert. Aït Menguellet sera accompagné sur scène de cinq musiciens dont son fils Djaâfar, qui joue aussi le rôle de chef d’orchestre. Excellent instrumentiste, doué musicalement, ce dernier a enrichi les chansons du père avec de nouvelles sonorités, grâce notamment à l’introduction de nouveaux instruments, comme la flûte, le banjo ou le gumbri, comme ce fut le cas lors de l’avant-dernier album. Lounis se dit fier de travailler avec son fils : « Je suis ravi qu’il ait choisi la chanson. Je lui écris les textes. Je suis content de la voie qu’il s’est tracée et il réussit bien. » Symbole de toute la Kabylie, respecté et aimé au-delà, l’artiste refuse toutefois le titre de chanteur engagé. « C’est un titre qui m’a été imposé. Mes chansons parlent des choses de la vie, de l’amour, pas seulement ce sentiment que l’on éprouve pour une femme, mais aussi pour les siens, pour sa culture, pour son pays. Mes textes sont des cris d’amour. » Loin de la politique et de ses tourments, le concert d’Aït Menguellet promet d’être dégoulinant de bonheur et de poésie. Un moment intense et exceptionnel qui maintient toujours tendu ce fil invisible qui lie ce monument de la chanson kabyle à ses millions d’admirateurs.(El Watan- 17.05.09.)
***
*Lounis Aït Menguellet à la salle Atlas
Un vrai régal
La salle Atlas était archicomble, pleine comme un œuf. Elle a connu, hier après-midi, l’ambiance des grands jours. Lounis Aït Menguellet a drainé, comme à l’accoutumée, la grande foule. Il a rassemblé, l’espace de deux heures, plusieurs générations de ses admirateurs, du grand-père au petit-fils. Un beau spectacle que celui de voir une vieille dame et sa petite-fille reprendre en chœur les œuvres du chanteur.
Des familles entières ont fait de longs déplacements pour assister à l’unique concert du chanteur programmé depuis environ 8 ans à Alger. C’est son fils Djaffer, artiste plein de talent qui a donné le “la” en interprétant, à la flûte, un morceau de musique. Son père, Lounis, accueilli avec des applaudissements nourris à son entrée sur scène, a enchaîné en interprétant “Tajra ilili” (laurier rose), suivie par neuf autres chansons, dont la JSK, la chanson fétiche des supporters de l’équipe de Kabylie des années 70 et 80.
Aït Menguellet a consacré la première partie du concert à ses premières chansons, celles avec lesquelles il avait débuté dans le monde artistique, il y a une quarantaine d’années, telles que A tviv dawiyi composée par Kamel Hamadi. La petite piste séparant la scène de la salle a été envahie à plusieurs reprises par les spectateurs et les spectatrices. La deuxième partie était dédiée aux chansons à textes. Un vrai régal. (Liberté-21.02.2010.)
***Lounis Aït Menguellet envoûte son public
Dix-neuf ans après avoir donné un concert à l’Atlas, dans un climat délétère, ‘’Da Lounis’’ revient et se produit pour la énième fois dans la même salle sise à Bab El Oued.
15 heures, soit presque une heure avant le début du concert, une foule compacte se pressait devant les portes de l’Atlas. On doit jouer des coudes pour pouvoir y accéder. D’ailleurs, ils étaient nombreux, les admirateurs de notre Brassens kabyle, qui n’ont pu y assister. Incontestablement, le concert de Lounis Aït Menguellet est l’évènement phare de la semaine. «Ça fait longtemps qu’on n’a pas vu autant de monde ici…», nous fait remarquer Karim qui habite juste à côté de la salle.
16 heures passées de quelques minutes, le spectacle commence. Ce sont ses amis, Ben Mohamed et Kamel Hamadi qui montent les premiers sur scène, pour parler de Lounis: «Nous sommes très contents qu’il soit parmi nous aujourd’hui, et on espère que ce ne sera pas la dernière fois», diront-ils. Quelques minutes après, c’est le grand artiste-poète qui fait son apparition sur scène, sous les youyous des femmes et les applaudissements de l’assistance.
Même à 60 ans, le sage d’Ighil Bouhamès, à l’allure athlétique, fait vibrer son public et l’emporte dans une promenade musicale et poétique.
Il entame son concert par ses fameux titres des années d’or. Tout à tour, le chanteur interprète Içhal ihedhregh fellam, (J’ai longtemps parlé de toi), Ikhef itrun (Larmes), Warasdhelmagh, ainsi que d’autres chansons qui ont fait le succès de ce fier montagnard.
Le public en grand connaisseur du répertoire de cette figure de la chanson kabyle, reprend en choeur certains titres.
Des chansons sentimentales, il enchaîne avec ses chansons engagées de la fin des années 1980.
Tantôt à caractère politique et tantôt à caractère social, comme Achimi (Pourquoi), Amedyas (Le poète) ou encore Atas Atas Mazal El Hal, il faut dire que ces textes sont la preuve que les changements politiques en Algérie à la fin des années 1980 et puis le début de la tragédie nationale ont laissé leur empreinte sur l’oeuvre de Lounis.
Dans cette période, l’artiste met en musique des textes quelque peu différents des précédents. Il écrira des poèmes, dans lesquels il abordera d’autres questions sociales et politiques.
C’est au cours de cette période d’ailleurs que ce révolté fait preuve d’un engagement inaltérable en faveur de l’identité berbère du peuple algérien.
A peine 19 heures, celui que Kateb Yacine considérait comme le plus grand poète algérien, quitte la scène.
«J’espère qu’on aura souvent l’occasion de se rencontrer…», dira-t-il avant de saluer son public qui se disperse entonnant toujours les chansons merveilleusement interprétées par leur idole.(L’Expression-22.02.2010.)
***********************************
* Le 31 décembre 2008, ont pris fin les festivités de la 1re édition du Festival culturel national de la chanson et de la musique amazighes qui s’est tenue dans la capitale de l’Ahaggar depuis jeudi dernier. L’honneur est revenu au chantre de la chanson et de la musique amazighes dans son expression kabyle, Lounis Aït Menguellet en l’occurrence, de clôturer ce grand événement culturel en ce Jour de l’An qui marquera la fin d’une année pour en accueillir une nouvelle depuis la capitale de l’Ahaggar, qui ne connaît pas l’engouement habituel en raison de la crise financière mondiale, responsable de beaucoup d’annulations de séjours des touristes étrangers..
* Question..vos sentiments après votre participation ?.. Réponse – Je suis honoré, content et fier de participer à ce grand événement de la musique et de la chanson amazighes. Personnellement, c’est ma façon de contribuer à cette noble cause qui est la promotion de la chanson et de la musique amazighes..
* Q… au sujet de votre présence à ce festival de Tam?
– Je suis un chanteur compositeur de la chanson et de la musique amazighes dans leur spécificité kabyle, donc ma foi, le lien est vite fait et de manière très claire. Je cautionne et j’encourage ce genre d’initiatives.
* Q… cette initiative est-t-elle venue un peu tard?
–Non, pas du tout. Chaque chose en son temps. Personnellement, je m’attendais à ça, c’était juste une question de temps. Par ailleurs, c’est aussi l’aboutissement de tout un travail et d’une revendication juste et légitime.
* Q… Quelle vision avez-vous de la chanson amazighe aujourd’hui?
–Elle est ce qu’elle est réellement avec des hauts et des bas. La chanson amazighe, en général, et kabyle en particulier, subit beaucoup d’influences, c’est dire que la question est difficile à résoudre vue sous cet angle, beaucoup de facteurs entrent en jeu.
* Q..Le mot de la fin?
– L’objectif de ce festival est clair à mon avis, c’est la promotion de la chanson et de la musique amazighes dans toutes leurs composantes, dont la finalité est le rapprochement entre les différentes cultures régionales. Sinon, avec un encadrement de qualité et une formation adéquate, on peut faire émerger de nouvelles têtes sur la scène artistique.( source.(.L’Expression)
There are actually plenty of particulars like that to take into consideration. That could be a great level to convey up. I offer the thoughts above as basic inspiration but clearly there are questions like the one you bring up where an important thing will be working in sincere good faith. I don?t know if finest practices have emerged around issues like that, but I am certain that your job is clearly identified as a fair game. Both boys and girls feel the impact of just a moment’s pleasure, for the remainder of their lives.
An impressive share, I just given this onto a colleague who was doing a bit of analysis on this. And he in truth bought me breakfast because I found it for him.. smile. So let me reword that: Thnx for the treat! However yeah Thnkx for spending the time to debate this, I really feel strongly about it and love reading more on this topic. If attainable, as you become expertise, would you mind updating your blog with more particulars? It’s highly helpful for me. Large thumb up for this weblog publish!
Very effectively written information. It is going to be worthwhile to anyone who usess it, including myself. Sustain the nice work – for certain i’ll take a look at extra posts.
Being Inexperienced Im constantly discovering on-line for reports which will help me. Thank you
What is here it is a great article. But first of all I must salute all every one. Bounjour. And second I must say that I m thinking to post http://niarunblog.unblog.fr/la-vie-culturelle/musique-andalouse24-noubas-une-pour-chaque-heure-du-jour/ait-menguellet-le-chantre-de-la-musique-amazighe on my Twitter profile. I will do this because finally I found what I was looking for. What you give us here is really the best post. When I saw this tittle, ELAyam-2 » Aït Menguellet le chantre de la musique amazighe, in my google search I was very happy. Maybe I found something that have the same ideea here http://www.toplevel-traduceri.ro, I’m not sure but I thing it was the same. My regrds
the website is very good. i very like it. you are my my god… come here
This is my first time i visit here. I found so many interesting stuff in your blog especially its discussion. From the tons of comments on your articles, I guess I am not the only one having all the enjoyment here! keep up the good work.
What is here it is a great piece of information. But first of all I must say all every one. Hello. After this I must say that I m thinking to post http://niarunblog.unblog.fr/la-vie-culturelle/musique-andalouse24-noubas-une-pour-chaque-heure-du-jour/ait-menguellet-le-chantre-de-la-musique-amazighe on my Digg profile. And this because at long last I found what I was looking for. What you say here is really the best sharing. In the minute I saw this tittle, ELAyam-2 » Aït Menguellet le chantre de la musique amazighe, on my google search I was very glad. Maybe I found something like this here http://www.bluffaway.com, I’m not sure but I thing it was the same. My regrds
This it is an interesting piece of information. But first of all I must salute all every one. Bounjour. After this I must say that I m thinking to post http://niarunblog.unblog.fr/la-vie-culturelle/musique-andalouse24-noubas-une-pour-chaque-heure-du-jour/ait-menguellet-le-chantre-de-la-musique-amazighe on my Digg profile. I will do this because at long last I found what I was looking for. What you say here is really nice sharing. When I saw this tittle, ELAyam-2 » Aït Menguellet le chantre de la musique amazighe, on my google search I was very glad. I think I found something that have the same ideea here http://www.bonsmara.biz, I’m not sure but I thing it was the same. My regrds
This it is an interesting piece of information. But first of all I must salute all the visitors. Hello. And now I must say that I will post http://niarunblog.unblog.fr/la-vie-culturelle/musique-andalouse24-noubas-une-pour-chaque-heure-du-jour/ait-menguellet-le-chantre-de-la-musique-amazighe on my Facebook profile. And this because at last I found what I was looking for. What you say here is really respectable sharing. When I saw this tittle, ELAyam-2 » Aït Menguellet le chantre de la musique amazighe, in my google search I was very happy. It is possible I found something with the same ideea here http://www.writte.com, I’m not sure but I thing it was the same. My regrds
Fantastic document, this is great material you provide man.Boekhoudkantoor Oostende
What you have here it is an interesting article. But first of all I must salute all the visitors. Hello. And second I must say that I m going to post http://niarunblog.unblog.fr/la-vie-culturelle/musique-andalouse24-noubas-une-pour-chaque-heure-du-jour/ait-menguellet-le-chantre-de-la-musique-amazighe on my Digg profile. And this because at last I found what I was looking for. What you say here is really good sharing. When I saw this tittle, ELAyam-2 » Aït Menguellet le chantre de la musique amazighe, in my google search I was very glad. It is possible I found something that have the same ideea here http://ivauk.com/debt-management.php, I’m not sure but I thing it was the same. Thank you
Hey, you used to write great, but the last several posts have been kinda boring… I miss your great writings. Past few posts are just a little bit out of track! come on! »Partake of some of life’s sweet pleasures. And yes, get comfortable with yourself. » by Oprah Winfrey.