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*Le 1er mai 2009 en Algérie
* Entre chiffres artificiels et réalité du terrain …
Le monde entier a célébré, hier la Journée internationale du travail. L’Algérie n’a pas dérogé à la règle. Les travailleurs, tous secteurs confondus, ont célébré, chacun à sa façon cette date mémorable. Sauf que cette fois-ci, il semble que la conjoncture est différente des précédentes. Comment ? La situation sociale n’est guère reluisante. Le marasme social est à son apogée. La protestation s’accentue. Elle n’épargne aucun secteur, aucune activité…bref, le mal est partout. Pis encore, les choses vont de charybde en scylla. Conséquence : la plaie est profonde. La paix sociale est menacée. Et rassurez-vous, ce n’est surtout pas les augmentations salariales décidées par le gouvernement qui ont pour effet de réduire la colère des fonctionnaires… des syndicalistes. Ces derniers ne ratent aucune occasion pour montrer en créneau et réclamer l’impérieuse nécessité de prendre en charge leurs revendications, salariales, notamment. Il convient de souligner, sur ce point tout autant important que sensible, que les pouvoirs publics ont procédé par le passé aux augmentations salariales. Qui dit augmentations salariales dit revalorisation du Salaire national minimum garanti (Snmg) : celui-ci, faudra-t-il le rappeler est passé de 6 000DA en 2006 à 12 000DA actuellement, a indiqué le Secrétaire général de l’Union générale des Travailleurs algériens pour qui, les augmentations des salaires ont progressé de pas moins de 25%. Cependant avec, une petite dose de persévérance, l’on s’interroge sur l’effet direct de ces mesures sur l’amélioration du pouvoir d’achat des ménages ? Et là, les réponses ne manquent pas : d’aucun parmi les économistes, mais aussi les politiques, soutient que les augmentations salariales adoptées jusque-là par le pouvoir en place sont infimes pour ne pas dire nulles. Pour la Secrétaire générale du Parti des travailleurs, l’augmentation du Snmg à 15 000 DA n’aura aucun effet si l’État n’améliore pas le pouvoir d’achat des citoyens…
Emploi, le règne de la précarité…
Quid du secteur de l’emploi ? C’est là, la question : La réalité est pour beaucoup, experts et professionnels, très critique. C’est le « rège de la précarité et consorts ». Tous les systèmes mis en place ont montré- à défaut de dire échoué- leurs limites pour donner du punch à ce secteur des plus névralgiques. Et ce n’est pas les exemples qui font défaut : l’on cite entre autres, les « célèbres » contrats à durée déterminée (CDD), alors que les contrats à durée indéterminée (CDI) ont disparu définitivement de la circulation, au grand dam des demandeurs d’emploi. Même les contrats portants insertion des jeunes, inclus dans la nouvelle politique de l’emploi adoptés l’année passée ont montré, aujourd’hui, leur limites sur le terrain. Il s’agit du contrat d’insertion des diplômés (CID) qui concerne les diplômés de l’enseignement supérieur et les techniciens supérieurs, contrat d’insertion professionnelle (CIP) destinés aux diplômés de la formation professionnelle et les jeunes sortant du cycle secondaire et enfin le CFI (contrat de formation insertion) destiné aux demandeurs d’emploi sans formation ni qualification. Et ce n’est pas tout, les contrats de pré-emploi n’ont pas, à en croire certains spécialistes, apporté les résultats escomptés. Et pourtant, ces derniers ont été mis en oeuvre dans l’ambition de réduire, cahincaha, le taux du chômage qui ne cesse de prendre de l’ampleur. Et les fameuses conventions de branches et collectives lancées, en grande pompe en 2006, et signées entre les représentants des entreprises et des travailleurs ? La réponse n’est pas du tout rassurante : leur application s’est avérée timide. Les résultats sont mitigés. Et portant, celles-ci (conventions) ont été mises en place dans l’objet de mettre en lumière les normes de travail, les salaires de base minimums correspondants, les indemnités et les primes, les modalités de rémunération… mais aussi elles fixent les conditions d’emploi et de travail, telles que définies par l’article 120 de la même loi et portant notamment sur la classification professionnelle. Mais voila que la réalité est toute autre : le secteur de l’emploi est devenu un monde de précarité par excellence. Rien n’a changé. Le syndrome du chômage guette aussi les fonctionnaires. Cet état de fait on ne peut plus « regrettable, renseigne si besoin est, que les nouvelles dispositions de création de l’emploi n’ont pas atteint les objectifs assignés et ce de l’aveu même des responsables.(le Courrier d’Algérie- 02.05.09.)
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*Les syndicats autonomes tirent la sonnette d’alarme ….
Comme chaque année l’Algérie célèbre le 1er Mai, Journée mondiale des travailleurs, comme pour les autres pays à travers le monde, dans un contexte de crise économique. Une situation guère favorable à l’amélioration du pouvoir d’achat des travailleurs. En Algérie, le chemin est encore long pour les syndicats dans leur lutte pour les droits des travailleurs. Afin d’établir un aperçu sur ce qui a été réalisé depuis l’avènement du pluralisme syndical, nous avons pris attache, hier, avec des représentants des syndicats autonomes. Pour Meriane Meziane, Secrétaire général du Syndicat national autonome des professeurs de l’enseignement secondaire et technique (Snapest), le multi-syndicalisme, depuis 1886 jusqu’à ce jour, est une réalité dans le monde. Cependant, selon notre interlocuteur, en Algérie, les syndicats sont encore à mener une lutte quasi-quotidienne et sans relâche pour une reconnaissance des syndicats autonomes comme partenaire social à part entière. Ailleurs, le syndicat constitue un acteur incontournable dans la prise de décision dans les sphères économiques et sociales contrairement à ce qui se passe chez nous où le législateur fait complètement l’impasse sur le rôle que peut jouer le syndicat autonome dans la vie socio-économique du pays, a ajouté Meriane Meziane, avant de regretter le fait que l’Algérie célèbre le 1er Mai cette année dans un climat de détérioration du pouvoir d’achat des travailleurs. Ce qui inquiète plus le SG du Snapest et « le reniement du droit syndical et la destruction systématique de tout mouvement social ».Avec un « salaire de misère » que les travailleurs appellent le « sérum de survie », a-t-il dit, a engendré la disparition de la classe moyenne. Pour conclure, concernant les entraves que rencontrent les syndicats autonomes dans leur lutte, Meriane Meziane a rappelé les dernières paroles du syndicaliste américain, Augustin Spies, exécuté en 1886 : «Le jour viendra où notre silence deviendra plus puissant que nos voix que vous étranglez aujourd’hui.» De son côté, Lyès Merabet, Secrétaire général du Syndicat national des praticiens de la santé publique (Snpsp), a estimé que la situation sociale des travailleurs algériens est « des plus précaires ». Selon lui, de nouveaux problèmes engendrés par la mondialisation se sont greffés à ceux qui existaient déjà, rendant la vie plus pénible pour les travailleurs tous secteurs confondus. Abordant la question des libertés syndicales, Lyès Merabet a déploré « la négation » par les pouvoirs publics du droit d’exister aux syndicats autonomes en tant que partenaires sociaux à part entière. Selon lui, bien que la loi 90/14 garantisse le pluralisme syndical, il n’en demeure pas moins que des entraves à la création des syndicats et à leur fonctionnement existent. Le SG du Snpsp a estimé que « la journée mondiale des travailleurs est encore en fois fêtée dans la déception lorsque l’on sait que le chemin qui reste à parcourir pour la conquête des droits syndicaux est encore long ». Même constat du côté du Syndicat autonome des travailleurs de l’éducation et de la formation (Satef). Dans le monde entier, le 1er Mai est une occasion pour compter et célébrer les acquis des travailleurs ; malheureusement, en Algérie, cette occasion est devenue, selon Mohamed Salem Sadali, Secrétaire général de ce syndicat, « une journée où l’on compte les acquis perdus et le rétrécissement des libertés syndicales». Le SG du Satef s’est montré particulièrement pessimiste quant à la situation sociale des travailleurs algériens dont le pouvoir d’achat « ne cesse de se détériorer d’une manière drastique à tel point que le SNMG vaut l’équivalent de pas loin de deux sacs de pomme de terre ». Mohamed Salem Sadali est du même avis que ses camarades de Snapest et du Snpsp concernant les libertés syndicales qui connaissent, a-t-il souligné, de plus en plus de restriction. Pour conclure, notre interlocuteur a lancé «un appel pressant à toutes les forces sociales saines pour assumer leurs responsabilités historiques » et aller vers une mobilisation unitaire afin d’imposer pacifiquement un changement économique et social du pays ». (le Courrier d’algérie)
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* Mai et libertés…. Le syndicalisme a marqué le pas en Algérie.Tout comme l’ensemble des activités liées aux libertés, notamment collectives. L’Union générale des travailleurs algériens demeure encore l’unique organisation syndicale ‘‘tolérée’’, officiellement reconnue et associée par les pouvoirs publics dans les consultations préalables à la prise de mesures sociales. Pourtant des syndicats (administrativement agréés ou non) existent en dehors de l’UGTA et le pluralisme syndical est consacré par la législation nationale. D’aucuns et à différents niveaux (gouvernement, UGTA, observateurs, opinion publique) sortent vis-à-vis des syndicats dits autonomes la tare de manque de représentativité de manière générale et en particulier, s’agissant de leur agrément, d’une incapacité à obtenir le taux minimal prévu par la loi. A propos de ce dernier point (précis), des syndicalistes et s’appuyant sur des avis de juristes font remarquer que, sur le plan législatif, la création d’organisations syndicales n’est pas soumise, comme c’est le cas pour les partis politiques, au régime d’agrément, un acte déclaratif étant suffisant. En fait, les deux types d’organisation sont intrinsèquement liés, s’agissant de représenter des groupes d’individus rassemblés par des intérêts partagés ou des courants de pensée. Cela est d’ailleurs parfaitement et doublement illustré par les soubresauts d’ordre organique que connaît actuellement –et depuis son dernier congrès– l’UGTA, traversée par des luttes intestines fraternelles (pas fratricides, les différends étant ‘‘gérés’’, à la méthode de chez ceux du Système) entre le FLN et le RND, juxtaposées à ce qui se passe au niveau de l’Alliance présidentielle. Car, la politique, Sidi Saïd en fait de façon directe ; attitude apparue au grand jour à la dernière élection présidentielle où il n’a pas seulement rendu public son soutien pour le candidat Bouteflika mais a animé des meetings en sa faveur. Ce qui ne manque pas de vider encore plus l’UGTA de son essence syndicale, qu’elle a graduellement perdue au fil du temps. Certes, elle a toujours été dans le giron du Pouvoir, au moins depuis l’époque des ‘‘organisations de masse’’ ; il n’en demeure pas moins que des composantes, comme la Fédération des travailleurs de l’éducation et de la culture et des structures syndicales d’entreprises ou de branches qui pesaient tels le syndicat du complexe sidérurgique d’El-Hadjar ou celui du port d’Alger, se sont distinguées pour leur combativité, une certaine autonomie, distance de la direction de la centrale et une liberté de ton et d’action. Cet espace de la lutte syndicale organisée laissé vacant est quelque peu investi par la nébuleuse des syndicats qui aiment à se qualifier d’‘‘autonomes’’ en signe de démarcation de l’UGTA. A l’image des journaux privés nés de l’ouverture post octobre 1988 qui accolaient à leur logo le terme rébarbatif d’ ‘‘indépendant’’ pour se démarquer de la presse publique ouvertement (parce que se dire indépendant ne suffit pas pour être libre) gouvernementale. Comme le syndicalisme, la presse écrite (le segment audiovisuel des médias ayant été gardé impénétrable) a stagné –pour ne pas dire qu’elle a reculé. Dans le champ des libertés –politiques, syndicales, de presse– tout est lié. Même par le rapprochement de dates qui ont perdu sens et substance sous un ciel de mai sans fleurs.(Le Courrier d’Algérie)
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* Dans une grande indifférence….
Les Algériens, à l’instar de toute l’humanité, ont fêté hier le 1er mai, une date qui se veut valorisante à plus d’un titre de toutes les luttes des travailleurs. D’entrée, le 1er mai en Algérie n’est rien d’autre qu’une date qui a toujours su faire appel à ce rituel où la sphère officielle ainsi que les syndicalistes se lancent dans des activités commémoratives en vue de rappeler l’espace d’un jour les vertus d’une date hautement symbolique. Ainsi est-il devenu coutumier d’entendre à chaque arrivée du 1er mai un Sidi Saïd complètement en déphasage avec la dure réalité sociale de pans entiers d’Algériens dont le pouvoir d’achat s’use chaque jour un peu plus, vanter les « acquis» des travailleurs. Compte tenu des maigres salaires d’une majorité écrasante de la société, combien sont-ils ceux qui peuvent se targuer de vivre une existence digne, dans des conditions décentes leurs permettant de subvenir aux besoins les plus élémentaires? De nos jours, n’est-ce pas qu’un Algérien choisi dans le tas, qui trime du lever du jour jusqu’au crépuscule dans une entreprise publique où privée n’est même pas capable de s’offrir un bidon de 5 litres d’huile avec ce qu’il gagne de sa journée. Triste époque que nous vivons où la pomme de terre et même la sardine, ces traditionnels plats des pauvres, sont cédées à des prix qui crachent du feu, si même le commerçant s’embarrasse dans plusieurs cas à les annoncer. Les Algériens dans leur majeure partie mènent une vie dure et de telles réalités crues sont toujours d’actualité. Ainsi et pour beaucoup de nos concitoyens intégrés dans le monde du travail, la date symbole du 1er mai ne véhicule qu’un seul sens, celui d’une journée chômée et payée. Il est des signes qui ne trompent pas dans cette Algérie qui peine a recouvré, du moins sur le plan social, ces années de faste où le pouvoir d’achat se plaçait au bas de l’échelle des soucis de la population. Il existe indéniablement comme une certaine coupure entre les préoccupations actuelles du peuple et la symbolique que véhicule une date comme le 1er mai. Une telle réalité dénote incontestablement d’un recul et d’un rétrécissement des ces terrains de luttes qui ont pour objectifs de préserver au mieux les droits des travailleurs. Le monde du travail bute à d’énormes difficultés. En sus des salaires médiocres que perçoivent les ouvriers, d’autres conditions si affligeantes les unes que les autres se greffent à leur environnement professionnel causant ainsi un état de démotivation générale parmi tant de corporations. Osons le dire franchement, ce n’est guère par amour de leur métier que beaucoup d’Algériens qui ont marre du népotisme, du favoritisme et autres passe-droits qui empoisonnent leurs milieux professionnels respectifs, se rendent à leurs travail. C’est juste qu’ils soient tenus par cette obligation de nourrir leurs familles respectives. Et pour cause, le nombre exponentiel des départs volontaires et autres retraites anticipées sollicités dans le secteur de l’emploi toutes catégories confondues. Ce sont là entre autres quelques une des raisons qui font que la commémoration du 1er mai n’a point de répercussions bien palpables dans beaucoup de milieux professionnels en Algérie. Ce qui constitue assurément une anomalie qui n’a que trop duré et qu’il faudrait assurément corriger en procédant des les meilleurs délais à la normalisation de toute activité professionnelle dans ce pays. Normalisation nécessitant d’abord et avant tout une humanisation des milieux professionnels de façon à rendre la profession plus attrayante aux yeux de celui qui l’exerce. Et c’est seulement de cette manière qu’une date comme celle du 1er mai pourrait peut être avoir un sens auprès des travailleurs .(02.05.09.)
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*Place au sang jeune……Je me demande comment certains ont pu trouver la force, le courage, le sourire (et tout ce qui va avec) pour s’en aller fêter le 1er mai. Car, ma foi, il est des fêtes qui sont défaites. Avant et après tout. Jamais, sans doute, le pouvoir (pourquoi dire toujours pouvoir ?) ou plutôt la faiblesse d’achat des citoyens n’a été aussi forte. Même les études les plus subjectives, télécommandées donc, n’arrivent pas à cacher le soleil avec un tas … mis. Car il est aussi des tas qui ne sont pas mie. Ici, il est question de pain. Car, après tout, il est impossible de ne vivre que de pain et de lait. Et encore, comment honorer l’ensemble des factures au moment où l’électricité, le gaz, le loyer (chez les spéculateurs qui prennent à eux seuls les logements que le pouvoir construit, à cause de ce fameux « bricolage » dont a parlé un jour Ouyahia en réponse à ma question), toutes ces redevances, dis-je, coûtent de plus en plus cher. Affreusement cher même. Le 1er mai n’est pas une fête pour nous. Ils nous parlent d’une prochaine augmentation du SNMG. Soit. Ils nous parlent aussi de la création de je ne sais combien d’emplois. Re-soit. Mais ce qu’ils oublient de préciser c’est qu’il faudrait carrément doubler le SNMG pour assurer à l’Algérien une vie décente et stopper ainsi sa continuelle… descente aux enfers. Quant aux emplois, je ne pense pas trahir quelque secret que de dire qu’ils sont, pour leur écrasante majorité, précaires, n’assurant qu’un salaire situé à la limite de l’injure. Avec tout ça, ils nous disent que le fric existe. Si cela est vrai (car nous n’en avons jamais vu la couleur), c’est que nous vivons une grave crise d’hommes et d’idées. Alors, pourquoi ne pas céder (s’aider) la place ? Place au sang jeune. Basta aux sans gêne ! (Le courrier d’Algérie)
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