Les grottes de Beni Add-Tlemcen

**Un site datant de 65.000 ans

Les grottes de Beni Add-Tlemcen les-grottes-de-beni-add

Vidéo: GROTTES DE BENI- ADD

GROTTES DE BENI- ADD.2

Les grottes merveilleuses Algérie

Parmi les endroits les plus prisés, durant cette période estivale dans la wilaya de Tlemcen, les grottes de Beni Add qui figurent en très bonne position grâce au charme et à la beauté que procure ce site féerique, outre la fraîcheur que retrouvent les visiteurs en son enceinte.Situées à une quinzaine de kilomètres du chef-lieu de la wilaya et à mi-distance de la commune de Aïn Fezza qui les gère, ces grottes se font remarquer par l’extrême élégance des dessins naturels, fruits des mélanges entre stalactites et stalagmites. Datant d’environ 65 000 ans, selon les techniciens du Parc national de Tlemcen, celles-ci ont été découvertes par les Berbères entre la période de la 1re ère et la 2e ère, rappelle-t-on. En route pour ce site, l’on découvre de hautes falaises encadrant un ravin profond par l’oued Mefrouch, nom donné au barrage surplombant la ville de Tlemcen. Les escarpements roses et rouges de l’oued ont donné naissance aux célèbres Cascades d’El Ourit, qui ont fait la fierté de Tlemcen un certain temps pour disparaître depuis la construction du barrage. La route sinueuse qui monte aux grottes offre, pour sa part, des paysages magnifiques allant jusqu’aux plaines de Ouled Mimoun (33 km de Tlemcen). Sur place, les visiteurs découvrent une importante cavité creusée dans la roche calcaire du massif de Tlemcen, comportant une galerie et plusieurs salles bien aménagées et disposant d’un éclairage suffisant. Les concrétions calcaires dessinent des stalactites et stalagmites aux formes les plus variées et de toute beauté. Dans son ensemble, la galerie est sensiblement rectiligne avec deux élargissements importants qui constituent les salles, auxquelles s’adjoignent de nombreuses niches. Le tout est d’un charme qui satisfait les plus exigeants. Ces merveilleuses grottes qui ont servi, un certain temps, d’entrepôt pour les agriculteurs de la région, pour la conservation de leurs produits, notamment, la pomme de terre, les oignons, la tomate et les fruits, ont été rouvertes en juillet 2006, après leur fermeture durant la dernière décennie. Entièrement rénovées, les grottes de Beni Add font l’objet, depuis, de visites guidées, notamment les week-ends et les jours fériés. Les visiteurs, venant des quatre coins du pays, pour admirer cette curiosité géologique, découvrent un site de toute beauté, dont la galerie et plusieurs salles et ou une variété de configurations de toute beauté, à l’instar d’animaux et de fruits et légumes, s’offrent à leurs regards. On peut, aussi, admirer une relique de la statue de la Liberté, le désert, le chameau, le chimpanzé. L’imagination faisant le reste, le visiteur contemple, à sa guise, toute forme qui émerveille son esprit dans l’énorme trou creusé dans la roche calcaire du massif de Aïn Fezza, sur plus de 700 m. En cette période de grosses chaleurs, les admirateurs traversent la galerie et les salles à une température « fixe » de 13°C, ce qui leur donne la sensation d’être au bout du monde, certains mêmes, « frileux », tentent de se réchauffer dans cet espace de fraîcheur et de froid « rigoureux ». Durant les autres saisons, la température est modérée, selon les connaisseurs. Situées à 1143 m d’altitude, les grottes s’incrustent dans un ensemble du jurassique supérieur donnant une gamme de formes karstiques. Cet ensemble, réparti en trois galeries menant à des salles, a été utilisé par les moudjahidine comme refuge, durant la guerre de Libération nationale. Ils y accédaient par une faille pour aboutir à la troisième salle des grottes. Selon certaines sources, ces grottes aboutissaient à Ghar Boumaza (40 km plus loin), un système hydrologique souterrain qui constitue, selon des spécialistes, le plus grand réseau caverneux souterrain connu en Algérie. Une fois au courant de ce passage, l’armée coloniale bloqua le chemin, précise-t-on.(APS-15.07.2007)

*****Une merveille à 700 mètres sous terre

Et un mystère incrusté à plus de 1200 mètres d’altitude, que les différents techniciens, géologues et anthropologues du monde entier n’ont pu percer…

Selon Saïd Kazi, le responsable du Parc national de Tlemcen, «ces grottes, découvertes par des Berbères, comportent une galerie de plusieurs salles bien aménagées et disposent d’un éclairage naturel suffisant. Le visiteur a tout le loisir de remarquer l’extrême élégance des dessins naturels, fruits des mélanges entre stalactites et stalagmites…».

Pour s’y rendre, il faut longer des routes tortueuses et des falaises surplombant une rivière, oued Mefrouch. Une configuration géographique exceptionnelle qui a inspiré les autorités locales à construire un barrage alimentant la ville de Tlemcen et les localités limitrophes, dans un premier temps, avant que l’Etat algérien ne décide d’alimenter cette population avec de l’eau de mer dessalée.

A l’intérieur, l’on est fasciné par des dessins représentant des endroits des cinq continents, comme la tour de Pise, en Italie, la statue de la Liberté aux Etats-Unis, ou encore l’orgue africain… Selon le guide, un véritable spécialiste de ces vestiges, «ces grottes, divisées en trois galeries menant à des salles, aboutissent à Ghar Boumaza (40 km plus loin), un système hydrologique souterrain qui constitue, selon des spécialistes, le plus grand réseau caverneux souterrain connu en Algérie».

Pendant la Guerre de Libération, selon notre source toujours, les moudjahidine utilisaient ces lieux comme refuge, avant que l’armée coloniale ne s’en rende compte et obstrue la faille par laquelle passaient les combattants. Cependant, cette richesse a été longtemps délaissée par la commune de Aïn Fezza (gérante des lieux).

Le tourisme en Algérie n’est pas le fort des responsables, une situation qui a permis aux agriculteurs de la région de stocker leurs produits, notamment la pomme de terre, les oignons et des fruits.

«La température s’y prête, c’était pour nous des chambres froides naturelles qu’on exploitait sans payer un centime à l’Etat», confesse un fellah.
Fermées pendant la décennie noire, elles ont été rouvertes au public en juillet 2006, après leur restauration.

Cependant, ces grottes — hormis leur beauté naturelle — n’ont pas été accompagnées par des infrastructures aux alentours, comme un hôtel, des restaurants ou encore des cafés, si l’on excepte les quelques échoppes sans charme qui enlaidissent les lieux plus qu’ils ne les mettent en valeur. Toujours est-il, ce que l’homme ignore, que la nature nous subjugue par ses secrets…*el watan / CHAHREDINE BERRIAH  / mardi 31 juillet 2Z018

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*Un complexe touristique à proximité des grottes de Béni Add-Aïn Fezza.(Tlemcen)….

Une enveloppe de 200 millions de dinars a été allouée pour la réalisation d’un complexe de tourisme de montagne à proximité des grottes de Béni Add, site naturel de la commune d’Aïn Fezza.Initié par la direction de l’Environnement en coordination avec l’APC d’Aïn Fezza, le projet porte également sur la réalisation d’espaces commerciaux, de loisirs et de détente. Il est prévu également le traçage d’une nouvelle route pour faciliter le transport, selon la même source. Les grottes de Béni Add, situées au sommet de la montagne de la commune d’Aïn Fezza, à environ 10 km de la ville de Tlemcen, constituent une véritable curiosité naturelle. Ce site est très visité par les habitants de la région et par les touristes de passage à Tlemcen. Les visiteurs viennent découvrir les voûtes de ces grottes ainsi que les stalagmites et les stalactites formés au fil des siècles et dont les formes évoquent des silhouettes humaines, des paysages et autres objets dont on devine la nature. (APS-02.08.2012.)

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**LES GROTTES MAGIQUES DE BENI-ADD À AÏN FEZZA À TLEMCEN 

  Pour un meilleur développement du tourisme dans la région.

Dire que Tlemcen est une ville d’art et d’histoire ne relève guère d’une pure fantaisie car au vu de sa grande richesse sur les plans historique et culturel, cette appellation est loin d’être usurpée. Des hommes prestigieux ont fait la grandeur de la « perle du Maghreb », et la topographie de la ville et de ses alentours n’est pas étrangère également à cette réputation enviable. Les sites naturels d’une beauté exquise ne manquent pas dans l’ancienne Pomaria et sa région. On citera à titre d’exemple la zone humide d’importance mondiale « Dayet El Ferd », située au coeur d’une zone steppique, à quelque 60 km au Sud du chef-lieu de la wilaya. Cet endroit est le point de convergence saisonnier de milliers d’oiseaux migrateurs, témoins d’une riche biodiversité. Il y a également « Ghar Boumaza », la source de la Tafna, à 1100 m d’altitude dans la partie Sud des monts de Tlemcen, site classé zone humide d’importance internationale en juin 2003. Les grottes de Beni-Add, objet de notre reportage, constituent un autre site naturel touristique vers lequel convergent, en familles, de nombreux visiteurs durant les weekends, jours fériés et autres vacances. Et autres curiosités.

UNE DESTINATION PRISEE PAR LES AMATEURS DE NATURE ET DE DETENTE
Les grottes de Beni-Add, à 1143 m d’altitude, sont situées à 7 km de Aïn Fezza et à 18km du chef-lieu de la wilaya. Elles font partie de ces endroits majestueux qui font rêver les amateurs de beauté à l’état naturel. Le site est fréquenté par les gens de la région mais aussi par des visiteurs qui viennent d’Oran, de Aïn Sefra et des quatre coins du pays. Il est également la destination d’un certain nombre d’étrangers qui commencent timidement à programmer la visite de l’Algérie dans leur agenda après que notre pays ait figuré sur la liste noire pendant de longues années, suite aux troubles de la décennie noire. Ils étaient 22 700 visiteurs à avoir choisi ce site pour leurs sorties de détente durant la saison touristique écoulée. Ibrahim Abdelhak, le responsable des lieux table sur plus de 30 000 pour la saison en cours à la suite des travaux d’aménagement des lieux entrepris à l’intérieur et à l’extérieur des grottes pour rendre le cadre plus accueillant. Les grottes de Aïn Fezza, découvertes par les Berbères, remontent à des temps immémoriaux : quelque 65 000 ans, dit-on. Sitôt à l’intérieur de cette grande cavité creusée dans la roche calcaire du massif de Tlemcen, le visiteur est subjugué par la magnificence des lieux qui ne ressemblent en rien à ce qu’il a l’habitude de voir. Au cours de la visite, qui peut être guidée, il se retrouvera dans une première salle, la plus grande, elle atteint 18 m de hauteur ; puis dans une seconde, appelée la salle du roi et enfin une troisième dénommée la salle des épées ou des Moudjahidine pour avoir abrité ces derniers durant la Révolution. Les grottes, ou du moins celles qui sont ouvertes aux visites, s’étalent sur 700 m, avec une profondeur atteignant 57 m. En fait, les galeries souterraines vont beaucoup plus loin, « elles atteignent 145 km de long et passent par « Ghar Boumaza avant de déboucher sur le Maroc», nous précisera Ibrahim. Durant la guerre de libération, les forces de l’occupation ont obstrué le passage avec pas moins de 60 m3 de béton armé pour empêcher tout mouvement des Moudjahidine à partir de et vers Tlemcen.

LES GROTTES, UN PAYSAGE KARSTIQUE FASCINANT
Dans les différentes salles ouvertes à la visite, le spectacle offert par dame Nature est grandiose. L’architecture façonnée des siècles durant, oeuvre d’une chimie naturelle particulière, est tout simplement éblouissante. La « construction », d’une durée séculaire, commence par de fines gouttelettes qui s’infiltrent lentement à travers de petites fissures, parviennent dans la cavité et se transforment progressivement en petites concrétions par suite de la perte d’une partie du dioxyde de carbone (dégazage) ou de l’évaporation d’une partie de l’eau. « Dans le cas de ces grottes, les concrétions grandissent d’un centimètre par siècle », nous révèlera Ibrahim. Au fil des siècles, les petits blocs de calcaire se sont entassés les uns sur les autres. Façonnées par les agents atmosphériques, les stalactites, concrétions calcaires formées par ces gouttelettes tombant de la voûte des grottes, s’allongent, à certains endroits, jusqu’à donner l’impression de frôler un peu les stalagmites qui s’élèvent du sol. Dans d’autres coins, ces concrétions, parfois longues de plusieurs mètres – vont jusqu’à s’entremêler pour donner des dessins et des formes qui feraient pâlir d’envie les mains humaines les plus expertes en la matière. Ces concrétions ont, en effet, pris diverses formes impressionnantes allant du chameau au visage de Socrate en passant par la statue de la liberté ou l’orgue africain et tant d’autres curiosités. Les visiteurs éblouis par un paysage renversant de beauté ne manquent pas de faire crépiter leurs appareils photos ou laisser tourner leurs caméras à chaque coin illuminé pour figer sur cliché ou immortaliser dans un film des formes d’une étrangeté ahurissante ou encore des moments d’une rare intensité.

L’ACCES DIFFICILE TEMPERE UN PEU CERTAINES ARDEURS
Pour accéder à ce site fabuleux à partir de la RN 7, au niveau de la localité de Aïn Fezza, il n’y a qu’une seule piste carrossable d’une distance de 7 km. L’état de cette route constitue, peut-être, son talon d’Achille dans la mesure où cela freine, quelque peu, le rayonnement de ce site naturel de toute beauté. Cette voie publique étroite permet très difficilement le passage de deux voitures venant en sens inverse ; elle est, de plus, dans un état de dégradation tel que les automobilistes doivent se montrer attentifs, d’autant plus qu’il s’agit d’une route montagneuse qui peut être dangereuse dans la descente lorsque l’on sait qu’aucune protection n’est érigée dans les endroits présentant le plus de risques. À une question se rapportant à l’état déplorable de cette route, Abdelkrim Medjdoub, P/APC de Aïn Fezza, souvent présent sur les lieux, répliquera : « Il est vrai que l’état de la route constitue un handicap pour les visiteurs, c’est ce qui empêche, d’ailleurs le site de recevoir plus de touristes ; mais le problème est sur le point d’être réglé puisque l’APC a bénéficié d’un programme visant la réhabilitation de la route d’accès. En fait, en plus de la réfection de la voie existante, une autre, dont l’étude est déjà faite, sera aménagée de façon à créer un circuit touristique doté de deux routes l’une réservée aux arrivées et l’autre aux départs. Une fois les travaux achevés, la circulation sera aisée et cela ne manquera certainement pas de drainer un plus grand nombre de visiteurs».

DES EFFORTS POUR RENDRE LE CADRE PLUS ACCUEILLANT
Dans le cadre de la promotion du tourisme dans la région, le P/APC nous informera que sa municipalité a bénéficié de plusieurs autres projets relevant du programme communal de développement (PCD) en dehors de celui destiné à faciliter l’accès au site. Ainsi, en collaboration avec le Parc national de Tlemcen (PNT), la commune de Aïn Fezza a planté d’arbres un hectare et projette le reboisement de quatre autres, au courant de cette année 2010, pour atteindre une superficie globale de 5 ha. Par ailleurs, le site est alimenté en eau potable depuis l’année précédente, et on envisage maintenant l’extension, avant la saison estivale, des installations sanitaires publiques et des aires de stationnement pour faire face au rush attendu des visiteurs. Après avoir aménagé un espace où les visiteurs peuvent s’asseoir pour prendre leurs repas, déguster un thé ou tout simplement se reposer et un autre où ont été installés des équipements de jeux pour permettre aux enfants de passer des moments agréables, on compte lancer la construction de locaux afin de valoriser le travail artisanal, notamment la poterie, l’une des spécialités de la région. Le P/APC évoque également la volonté des autorités d’installer un camp pour jeunes destiné à accueillir des associations sportives et/ou culturelles qui veulent séjourner dans les lieux. Comme on peut le constater, l’ambition et la volonté de dynamiser davantage ce coin naturel et promouvoir encore plus le tourisme dans la région sont réelles comme est réel aussi l’appel suivant lancé aux investisseurs par le chef de l’exécutif communal : « Des terrains peuvent êtres mis à la disposition des investisseurs qui se sentent capables de contribuer à l’essor touristique du site. Ceux qui s’y intéressent peuvent se rapprocher de nos services, ils seront les bienvenus ». Il faut mentionner que la revalorisation des grottes de Aïn Fezza entre dans le cadre d’un projet ambitieux initié, depuis quelques années, par le wali de Tlemcen qui, il faut le reconnaître, ne ménage aucun effort pour l’embellissement de Tlemcen et ses environs.Voici à la fin, les mots par lesquels a voulu terminer Abdelkrim Medjdoub, le P/APC de Aïn Fezza : « Chers lecteurs du journal « Le Courrier d’Algérie », je vous invite à faire une virée du côté des grottes de Beni-Add. N’hésitez pas à le faire, vous ne le regretterez pas !» (Le Courrier d’Algérie-07.01.2010.)

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**Cascades d’El Ourit : Une merveille de la nature

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Le pont d’El Ourit: un ouvrage d’art réalisé par l’illustre Gustave Eiffel au 19ème siècle.

Situées dans une zone montagneuse, à 7 km de la ville de Tlemcen, en allant vers AïnFezza où se trouvent une autre merveille (Les grottes de Béni Add), les Cascades d’El-Ourit font suite aux escarpements roses et rouges de l’oued Mefrouch. Un viaduc ferroviaire enjambe le torrent des cascades d’El Ourit. Cet ouvrage d’art du XIXe siècle a été réalisé par la société Gustave Eiffel et compagnie. Depuis 1993, elles font partie du Parc national. Selon la légende, des roches imposantes dominaient un nid de verdure où coulaient, jadis, différentes sources s’abîmant sur des dalles de pierre.

Les gorges d’El-Ourit déversaient, en aval du barrage du Mefrouche, leurs eaux d’une hauteur d’environ 68 mètres, engendrant de merveilleuses chutes. Dans les années 1970, et en pareille saison, les jeunes se dirigeaient en grand nombre vers ce site pour se rafraîchir et se baigner, notamment dans la Guelta Zerga (lac bleu) dont l’eau, de très basse température, donnait à la peau des baigneurs une couleur bleuâtre, d’où son nom.  Le poème «Ourit, Ourit», du poète tlemcénien Ibn Khamis, devint par la suite un hymne interprété par les jeunes filles qui se rendaient à ce lieu pour prendre un bain rafraîchissant ou pour laver le linge et même la laine.

Abandonné dans les années 1990, en raison de la situation sécuritaire déplorable, El Ourit a été restauré et rouvert au public au milieu des années 2 000.*Par Chahredine Berriah-12.09.2013-El Watan

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14 réponses à “Les grottes de Beni Add-Tlemcen”

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