Le mouton algérien en vedette

**Dans les pays voisins et chez les touristes étrangers qui viennent visiter notre pays, le mouton algérien est trés apprécié pour la qualité de sa viande et le reste…

Le mouton focalise l'attention et ravit la vedette lors de ce Salon

*La mesure de suppression de la TVA sur les intrants, décidée récemment par les pouvoirs publics, ne s’est pas répercutée sur les prix des aliments et du mouton qui ont connu une augmentation, estiment des éleveurs rencontrés sur les lieux.

Le deuxième Salon national de l’élevage et de la production laitière s’est ouvert, hier matin, à la surface du Lac de la ville de Béjaïa. Organisée par un comité composé de l’association des éleveurs et des producteurs de lait de la wilaya, la direction des services agricoles et la Chambre de l’agriculture de Béjaïa, cette deuxième édition a été marquée par la présence d’éleveurs et producteurs de lait connus sur la scène nationale et plus particulièrement dans cette wilaya. Tout au long des trois jours que durera ce Salon, plusieurs communications sont retenues. Il s’agit notamment de celles liées aux dispositifs de soutien à la filière lait, à la nutrition animale, la qualité du lait, l’assurance du cheptel, la situation de la production de lait, l’impact du Fndra sur le développement durable du cheptel bovin en zone de montagne, l’abeille et la croissance saine du veau. La manifestation s’achèvera demain jeudi par une série de recommandations.
Le Salon a été inauguré sur fond d’inquiétudes pour les éleveurs et producteurs de la filière laitière. Lesquels attendent un soutien de l’Etat, à la hauteur de leurs attentes. En effet, la mesure de suppression de la TVA sur les intrants décidée récemment par les pouvoirs publics ne s’est pas répercutée sur le prix des aliments qui ont connu une augmentation, estiment des éleveurs rencontrés sur les lieux. Intervenant à la veille de la fête de l’Aïd El Kébir, cette manifestation n’a pas échappé aux commentaires et autres inquiétudes des consommateurs quant au prix élevé du cheptel.
Le mouton focalise l’attention et ravit la vedette lors de ce Salon. Justement, un accord a été signé dans ce sens par la Chambre de l’agriculture pour l’achat de moutons et leur écoulement à Béjaïa à des prix raisonnables. Une décision qui reste une solution provisoire, sachant que la filière a plus besoin de mesures plus incitatives.
Le mouton était roi. Le stand qu’il occupait a connu un véritable engouement. Il en est de même dehors où, comme à l’accoutumée, les petits éleveurs et les maquignons d’occasion ne se font pas prier pour occuper les espaces les mieux exposés dans la ville et sur les routes pour proposer des moutons à des prix loin d’être abordables. Un mouton de trois ans est négocié à plus de 50.000 DA, alors que le plus petit, soit six mois d’âge, coûte au minimum 30.000 DA et un mouton moyen 40 000 DA. Une hausse assez sensible par rapport aux prix affichés l’an dernier.
Cette hausse s’explique, affirmait hier un exposant, par les conditions météorologiques qui n’ont pas été favorables à l’engraissement ovin à moindre frais. Entendre par là, les prix des aliments, dont la paille et le fourrage, qui sont si excessifs que cela s’est répercuté sur le prix des bêtes. La botte coûterait plus de 500 dinars. Interrogé sur la différence de prix entre les bêtes proposées dans des espaces occasionnels, et celles vendues au marché à bestiaux, il dira que celle-ci «n’est pas très importante». Il est clair que ces prix ne sont pas à la portée des bourses, qu’elles soient faibles ou moyennes. Les ménages consentiront des sacrifices. Il est utile de relever aussi la loi de l’offre et de la demande qui régule incontestablement le marché. Pour revenir à la manifestation, elle a connu la participation de nombreux opérateurs intervenant dans l’élevage et la production de lait. Ces derniers ont mis en valeur des productions de qualité du terroir. Du lait sous toutes ses formes, beurre, fromage, bref, toute une panoplie. Une soixantaine d’opérateurs ont pris part à cette rencontre: producteurs de lait cru, entreprises nationales de fabrication d’aliments ou d’équipements de bétail, vétérinaires, spécialistes en génétique et en nutrition animale, producteurs de miel, de cailles, etc. L’objectif visé à travers ce Salon s’articule, selon Abdelhak Rahmani, président de l’association des éleveurs de la wilaya de Béjaïa, autour de la nécessité «d’organiser les éleveurs, développer et professionnaliser cette filière dans le pays, et surtout à Béjaïa». Il s’agit pour lui aussi d’«encourager à long terme les éleveurs et producteurs de lait cru pour diminuer l’importation de la poudre de lait, donc, une indépendance de ce secteur sensible». Pour rappel, la première édition de ce Salon s’était déroulée, en mai 2011, à Amizour (Béjaïa). Les quelque 1 400 éleveurs produisent 33 millions de litres de lait.
Une production qui reste faible comparativement à la demande. Il est attendu que les différentes communications prévues tout au long de ce salon mettront un peu plus de lumière sur ce secteur, qui reste un des piliers économiques, à même de faire baisser de manière significative les dépenses publiques en matière d’importation.*L’Expression-17.10.2012.

**Les prix flambent à l’approche de l’Aïd

    Le mouton moyen à 40.000 DA

*A quelques jours de la fête de l’Aïd El Adha, le mouton focalise les attentions et ravit la vedette aux autres soucis du quotidien.

*Peu de familles, pour ne pas dire rares, se permettront le luxe de consentir le sacrifice suprême cette année

Comme à l’accoutumée, les petits éleveurs de la région ne se font pas prier pour occuper des espaces les mieux exposés au passage des automobilistes empruntant la RN5 et la RN18. Et comme à l’accoutumée aussi, les prix proposés par ces éleveurs occasionnels sont très loin d’être abordables.

Un mouton de trois ans est négocié à hauteur de 50 000DA, alors que le mouton du même gabarit n’a pas dépassé les 40 000 dinars, l’an dernier. Cette hausse sensible du prix est justifiée, expliquent les éleveurs, par les conditions météorologiques de cette année qui ne sont pas favorables à l’engraissage ovin à moindre frais.

Le marché à bestiaux de Bouira, considéré comme l’un des plus importants du pays et vers où convergent les gros éleveurs des wilayas limitrophes et des wilayas du sud  et du sud-ouest réputées en la matière (Djelfa,Tiaret, Laghouat…), reste l’espace le plus visité et où l’on espère faire une bonne affaire. Le marché en question, implanté à la sortie sud-ouest du chef lieu,  est « approvisionné » par des milliers d’ovins et bovins une fois par semaine.

Cela étant, et en prévision de l’Aïd, le marché ne désemplit pas, les autres jours de la semaine. A priori et vu l’envergure du marché à bestiaux, on est enclin à croire que toutes les bourses y trouveraient leurs comptes. En fait, la différence des prix entre les bêtes proposées dans des espaces occasionnels les prix affichés au marché à bestiaux n’est pas très importante.  Au plus, le citoyen y réussirait à économiser quelques 3000 dinars, puisque  le mouton moyen y avoisine les 46.000 dinars.

Il y a lieu de souligner que beaucoup de maquignons, comme ceux de Djelfa et autres régions pastorales du pays, cèdent leurs bêtes en gros. Et dans ce cas de figure, le prix du mouton ne va pas au-delà de 40 000 dinars. Seulement, les clients du gros ne sont en fait que des revendeurs en quête d’une bonne affaire.

Autrement dit, les moutons cédés en gros seront remis dans le marché, dès le lendemain, voire toute de suite après les négociations.  Au bout du compte, le simple citoyen est « roulé dans le foin ». Il est clair que ces prix affichés ne sont pas à la portée des bourses dites faibles, mais ne le sont pas non plus à celles de la classe moyenne.

Cela étant et quel que soit le prix à payer, le père de famille y consentira les sacrifices qu’il faut pour faire le bonheur des enfants.

Dans l’espoir de voir les prix revus à la baisse, beaucoup préfèrent attendre les deux derniers jours, voire la dernière minute, pour acheter le mouton. Il arrive souvent que cette « patience paye ». En fait, soumis à la loi de l’offre et de la demande,  le marché finit par céder. Cela ne serait  toutefois pas évident, si les marchés implantés çà et là enregistraient la même affluence.*16 Octobre 2012,   La Dépêche de Kabylie

**Des prix assassins

Cette année, c’est plus que certain: l’on fera de la ménagère qu’une seule et unique bouchée; c’est que peu nombreux, pour ne pas dire rares, seront ceux qui se permettront le luxe de consentir le sacrifice suprême, ne serait-ce qu’un agneau de lait», décoche d’entrée Rabah, un boucher qui a pignon sur rue, rencontré hier vendredi au marché couvert de la ville de Tiaret.

En effet, à près de quinze jours des fêtes de l’Aïd El- Adha, il y a le feu aussi bien dans les étalages chez les bouchers de la ville que dans les marchés à bestiaux de la région. Jeudi dernier encore, au marché couvert de la ville, la viande ovine était cédée contre la modique somme de mille cent dinars le kilogramme.

Que dire alors de la volaille qui a pris carrément l’ascenseur ces derniers jours avec des prix rédhibitoires, puisque le poulet de chair a atteint ce weekend le «pic» infranchissable des 450,00 dinars le kilo. A Sougueur, dans le deuxième plus important marché à bestiaux du pays et même au Maghreb, un antenais d’une vingtaine de kilogrammes avait fière allure et était cédé cette semaine à 39.000 dinars sous le regard médusé du chaland désemparé.

Même la race caprine, peu appréciée par rapport à l’ovin, flirte avec des niveaux inégaux, puisqu’une chèvre d’à peine vingt kilogrammes est proposée à plus de vingt mille dinars/pièce. Après la «coupe réglée» du Ramadhan et de l’Aïd, suivie une encablure plus loin par «l’essorage » de la rentrée scolaire, la ménagère n’a même pas eu le temps de faire la «soudure» avec l’autre Aïd, qu’elle a déjà un genou par terre.

Ceci sans parler des nombreux Algériens qui seront obligés de faire le sacrifice… (sans mauvais jeu de mots) sur une fête à la charge symbolique des plus fortes chez la famille algérienne. Il n’y avait pas grand monde tôt dans la matinée de lundi dernier au marché à bestiaux de Sougueur.

«Même si d’aucuns gardent espoir d’acquérir une bête auprès des fermes pilotes où les prix sont plus abordables, les gens sont ruinés; ils n’ont plus d’argent, c’est la dèche totale», confie, d’une voix nouée, un homme enturbanné qui ne cache pas son inquiétude de voir le chaland se faire de plus en plus rare. Véritable baromètre de toute la région pour la mercuriale des prix des viandes rouges, le marché de Sougueur a de tout temps été considéré comme le principal pourvoyeur en bêtes vivantes de pratiquement l’ensemble des wilayas du pays.

«Des camions, en provenance de toutes les régions du pays commencent à arriver à Sougueur pour emporter des cargaisons entières de moutons », s’inquiète un éleveur de Aïn Dheb qui nous dit «craindre Dieu pour ne pas vendre ses bêtes au prix coûtant».

«Mais comment expliquer, et encore moins justifier qu’une région qui compte un cheptel ovin parmi les plus importants du pays, le prix de la viande soit si cher», s’interroge un fonctionnaire à la commune de Frenda, venu tâter le pouls, à trois semaines du jour J.

Pour les gens au fait des «voies impénétrables» du monde de la terre, le renchérissement horrible de l’aliment du bétail sur le marché international, avec des répercussions directes sur le marché local, le mouton vend très cher sa peau cette année. Dans un coin reculé du marché, un autre maquignon, sirotant un café fumant sous un abri de fortune, nous parle du «piége» dans lequel risquent de tomber de nombreux pères de famille, celui d’acheter un mouton… sentant fort le poulet.

En plus clair, notre interlocuteur nous explique, avec force détails, qu’à chaque fois que l’aliment de bétail prend l’ascenseur, les éleveurs sont obligés de nourrir leur cheptel avec un aliment préparé à base de farine de volaille, «ce qui a pour conséquence d’engraisser rapidement les bêtes mais surtout leur donner une forte odeur de poulet une fois sacrifiées», nous confie-t-il d’un sourire malin.

Dans ce véritable capharnaüm qu’est le marché à bestiaux de Sougueur, les moutons sont agglutinés par pelotons entiers mais les prix vont certainement continuer à monter jusqu’au 26 octobre, date prévue de la fête du sacrifice.

Peu avant la fermeture du marché à bestiaux, une vigoureuse bête encornée est soigneusement tenue en laisse par un maquignon, au regard vif. Il joue de l’oeil dans toutes les directions à la recherche d’un client qui ne viendra sans doute pas. Parce que pour lui, cette année, «logiquement, une bête encornée, tout juste moyenne, ne peut pas être cédée à moins de 35.000,00 dinars» jure-t-il par tous «ses» dieux.

LE DIKTAT DES MAQUIGNONS

Cette année encore et en vertu d’une «loi» non écrite (vieille comme le monde), les prix des viandes comme ceux d’ailleurs des fruits et légumes s’emballent à chaque fois que le ciel se montre généreux, comme c’est le cas cette saison.

L’orge, aliment de bétail par excellence, est disponible en quantités largement suffisantes avec des prix hors de portée des éleveurs. «Qu’il est loin ce temps où, à la suite d’une longue période de sécheresse, les éleveurs étaient obligés, la mort dans l’âme, de sacrifier une bête pour nourrir trois autres», soupire un boucher fort connu, installé depuis des lustres au marché couvert de la ville de Tiaret.

Au marché à bestiaux de Tiaret, si le nombre de têtes de mouton et autres caprins proposés à la vente est très important, les prix battent tous les records: un antenais d’à peine dix-huit kilos est proposé vingt-neuf mille dinars. Qui dit mieux ? Un homme vêtu d’un costume rutilant tâte la toison d’un mouton, comme pour montrer à son «proprio» qu’il n’a nullement l’intention de se laisser berner.

Un autre chaland, flanqué de ses deux enfants, vérifie la dentition de la bête encornée pour tenter de déterminer son âge. Il finira par l’acquérir moyennant le tarif «assommant » de 42.000,00 dinars, sous le regard ravi de ses deux rejetons. Mais ce qui risque de tirer encore plus les prix vers le haut, ce sont ces intermédiaires et autres spéculateurs zélés qui font dans la rétention des cheptels jusqu’au dernier moment.

Depuis plus de deux années, à Tiaret comme ailleurs dans le pays, le métier de boucher périclite à vue d’oeil. Pour la seule capitale du Sersou, plus de cent trente bouchers ont mis la clef sous le paillasson, selon un représentant de l’Union générale des commerçants et artisans algériens (UGCAA).

Pour un autre boucher au marché de «Volani», la hausse vertigineuse des prix de la viande fraîche s’explique aussi par l’envahissement du marché local par des quantités astronomiques de viandes congelées.

La «période de soudure», comme on dit dans un autre marché, représentée par le grand pèlerinage et l’Aïd El- Adha, est une période où, traditionnellement, les prix des viandes prennent l’ascenseur sans crier gare.

Après un Ramadhan «ruineux», suivi dans la foulée par une rentrée scolaire tout aussi «essoreuse», la priorité de la ménagère est-elle disposée à recevoir un… autre coup de corne à son porte-monnaie en sacrifiant à un rite quasi inévitable, quoi qu’il en coûte ? Rien n’est moins sûr.

«Et avec le poulet qui reprend son envol vers les hautes altitudes, nombreux sont ceux qui ne goûteront pas à un traître morceau de viande avant longtemps» commente, la voix éteinte, une ménagère rencontrée vendredi au marché de Sonatiba. Même si, pour ce boucher d’un certain âge, assis sur un tabouret déglingué au marché couvert de la ville, à attendre un improbable client, on ne peut jamais avoir la peau de l’ours sans l’avoir tué…

Pour Bachir, un maquignon de «père en fils», comme il se plaît à se présenter lui-même, des «personnes aux gros bras» ont déjà acquis des troupeaux importants de moutons à partir de Djelfa, Biskra, Laghouat, Tissemsilt et Tiaret pour «régenter le marché à leur guise et ce dès la semaine prochaine», soutient- il mordicus.

LA BLUE TONGUE, ENCORE ET TOUJOURS !

Cette année encore, la blue tongue fait peur aux éleveurs. En effet, depuis fin août dernier, de nombreux cas ont déjà été enregistrés.

Des appels au confinement des cheptels ont même été lancés par les services de l’Inspection vétérinaire pour éviter la contamination des troupeaux à plus grande échelle. Maladie virale transmise par des moucherons piqueurs, la fièvre catarrhale touche les ruminants d’élevage, les moutons notamment. Les symptômes de la maladie se caractérisent par une salivation excessive, la destruction des muqueuses du museau, une langue enflée et colorée de bleu, fatigue générale et manque d’appétit.

Les moyens de lutte contre la blue tongue consistent en la désinctisation totale des étables et autres enclos et procéder à un enfouissement complet des bêtes mortes de la même maladie. Une maladie si redoutable qu’elle ne fait pourtant pas peur aux éleveurs, soucieux de garder leurs troupeaux jusqu’à la dernière «ligne droite » précédant l’Aïd El-Adha.

«La faible prévalence de la maladie et la disponibilité des médicaments pour lutter contre la maladie sont aussi des facteurs qui expliquent pourquoi les éleveurs tiennent à faire dans la «rétention » des troupeaux pour ne pas agir à la baisse sur le niveau des prix des moutons, explique un peu doctement un docteur vétérinaire, fin connaisseur des arcanes du monde agricole. «Assurément, au rythme où vont les choses, de nombreux Algériens seront contraints de faire l’impasse sur une fête qui n’appartient plus qu’aux gens à gros sous…».*17 Octobre 2012,   Le Quotidien d’Oran

**Hausse « démentielle » des prix des viandes rouges à Djelfa

Les prix des viandes rouges ont enregistré ces derniers jours une hausse « démentielle » à travers de nombreux marchés de la wilaya de Djelfa, a constaté l’APS.
Le cours du kilogramme de viande de mouton a atteint des pics de 1200 DA dans cette wilaya réputée, pourtant, pour sa prolifique production de viandes carnées, contre 900 DA le kg dans un passé récent.
Le prix de la viande ovine a, lui aussi, augmenté en atteignant 950 DA le kg, contre 800 DA il y a quelques jours.
Pour les spécialistes au fait des arcanes du marché local, les prix des viandes rouges dans la wilaya sont « demeurés quasi- identiques à ceux pratiqués durant les fêtes de l’Aid El Adha, car les cours des têtes ovines n’ont pas connu de baisse ».
En effet, un mouton sur pied de 15 à 20 kg est, actuellement, cédé entre 28.000 et 30.000 DA, contre une fourchette de 18.000 a 22.000 DA dans le passé, tandis qu’une brebis, dont le prix était négocié a 22.000 DA auparavant, a vu son cours s’envoler à 30.000, voire 33.000 DA récemment.*APS-03.01.2013.

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Le mouton algérien en vedette 19970-kebda-melfouf

 

*Kabda malfouf , (foie de mouton enroulé de crépine)

Malfouf ou brochettes de foie de mouton

Foie de mouton, de la crépine (choisir les parties les plus fines), sel, poivre, cumin et paprika
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Bien laver et laisser égoutter le foie. Rincer la crépine et la faire sécher en la tendant de préférence à la manière d’un linge. Mettre le foie à cuire à feu doux sur les deux côtés environ 10 min. Le couper en morceaux puis les ouvrir dans le sens de la largeur et les remettre sur le feu. Dès qu’ils sont presque complètement cuits, les découper en dés réguliers, les mettre dans un saladier et les assaisonner. Couper la crépine sèche en bandelettes de la même largeur que les dés de foie et les assaisonner de la même façon. Enrouler chaque morceau de foie dans la crépine et remplir les brochettes avec.
* Faire cuire à feu doux en veillant à ce que la crépine ne brûle pas.

Servir avec du thé et pourquoi pas de la harira aussi .

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5 réponses à “Le mouton algérien en vedette”

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