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quelque chose sur Wahran El Bahia

 ** connaitre quelques choses sur Oran

Il semblerait que le nom “Wahran” (Oran en Arabe) vient du mot arabe “wahr” =(lion”) et de son duel ( aàn=deux)…  Wahran =(deux lions). La légende dit qu’a l’époque (vers l’an 900 et même plus tard, au début de la colonisation française,) il y avait encore des lions dans la région oranaise et en d’autres endroits de l’Algérie.. Les deux derniers lions chassés se trouvaient sur la montagne près d’Oran et qui d’ailleurs s’appelle “la montagne des lions”. Il existe, devant la mairie d’Oran, deux grandes statuts sumbolisant les deux lions en question.

quelque chose sur Wahran El Bahia

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Vidéos: tornade à Oran

Oran rue de la bastille.date du 01 04 1962

Algerie, 2 juillet 1962

La Guerre d’Algérie Un documentaire Explosif

la vrai histoire de l’indépendance d’algérie 1

histoire de l’Algérie: 1830-1962

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coopération Algerie France Europe 2012

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* L’éternel face-à-face d’une ville à la mer….

N’en déplaise à certains narrateurs nostalgiques, le boulevard surplombant le port illustre parfaitement l’image du face-à-face de l’éternel duel opposant la mer à la cité.

Sur ce noble tableau, d’un éventail de couleurs chatoyantes, figure également la statue de la sainte vierge Marie, trônant majestueusememt sur son piédestal, sur les hauteurs d’Oran. Elle témoigne du merveilleux et prestigieux passé de la cité Sidi El Houari qui n’a rien à envier aux grandes métropoles du monde. L’odorat, devancé par la vue, est agréablement taquiné par l’air iodé embaumant ce long boulevard jalonné de buildings, de crémeries et autres établissements de commerce achalandés où s’épanouit la badauderie. Le mausolée Sidi M’hamed Benaouda, qui agrémente cette toile de haut prestige, délimite à l’est ce balcon dominant le port de la ville que, ni l’érosion et encore moins les mignardises de la nature, n’ont eu raison de lui. Ce grand ouvrage d’art offre au regard contemplatif un panorama époustouflant.

En saison estivale notamment, l’essentielle de l’animation des lieux est rehaussée par un rituel va-et-vient de cortèges nuptiaux. Les véhicules, enjolivés pour la circonstance, effectuent un aller-retour dans une ambiance de joie où les youyous font écho aux klaxons. Les gazouillements sans intermittence d’une multitude d’oiseaux migrateurs, nichant sur les palmiers longeant d’un bout à l’autre ce boulevard, ajoutent une note de gaîté à cette ambiance festive annonçant les grandes vacances. La grande affluence de promeneurs, qui y règne durant cette période, est judicieusement exploitée par une faune de petits revendeurs, proposant une variété d’articles de saison. Les candélabres s’illuminent quelques instants après l’apparition de l’étoile du berger, signe précurseur de la tombée de la nuit qui se fixe au-dessus de la mer dans un paysage teinté en pourpre. Le magistral coup de pinceau de la nature adjoint le magnifique à cette aquarelle représentant l’éternel face-à-face d’une ville à la mer. (El Watan-18.12.09.)

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Les images de l’actualité.12 669612799pxOranHteldeville

Oran- entrée de la mairie

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un morceau du plan d’Oran

Ouverture-lundi-a-Oran-de-l-assemblee-executive-du-CME

une vue magnifique de la ville d’Oran

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*une ville, une histoireIl est si rare de rencontrer souvent de vieux oranais discuter du temps passé pour faire revivre ces anecdotes croustillantes qui se superposent dans la mémoire collective et rappellent à bien des égards de merveilleux souvenirs qui ont eu pour théâtre des quartiers populaires, des places et esplanades, des lieux-dits transformés par commodité en repères pour mieux se situer par rapport à l’histoire de la ville, la vieille. D’ailleurs, dans une étude consacrée à l’espace urbain et la structure sociale à Oran de 1792 à 1831, date marquant la libération de la cité de l’occupation espagnole par le bey Mohamed El Kébir, Dr Saddek Benkada, historien émérite, rappelle le champ toponymique urbain des lieux-dits à travers l’analyse du processus de formation historique du paysage urbaine. Par exemple, à propos du mot « eddar » (la grande maison). L’identité de « eddar » se manifeste par le nom protecteur du chef de lignage, auquel chacun des membres de la communauté domestique va se référer chaque fois qu’il lui faudra se faire connaître. Ainsi, on trouve à Oran, Dar Mahieddine, Dar Bachtarzi, Dar Boungab. Le mot eddar peut être aussi bien rural qu’urbain. A ce titre, l’on retrouve dans la plaine de M’lata, l’arrière-pays d’Oran, Dar El Lazari, Dar Ould Cadi, Dar Ben Smaïl. Souvent eddar est désigné par une particularité. Comme cette fameuse Dar El Arich (Maison de la treille) où, en 1828, le bey Hassan fit emprisonner Cheikh Mohieddine et son fils Abdelkader, le futur Emir. La Blança (El Blanssa), déformation du mot espagnol Plaza pour désigner le centre de l’ancienne ville de Sidi El Houari. Koudiat El Khiar est situé au sud d’Oran, où fut tué, en 1686, le bey Chaâbane lors d’une bataille qu’il livra à la garnison espagnole. Djebel Haïdour : il indique à l’origine une partie de la montagne du Murdjadjo. Il porte en fait le nom de Sidi Haïdour qui aurait vécu au IIIe siècle de l’Hégire sur cette montagne qui domine la ville. Djebel El Meïda est la partie dorsale de cette montagne séparée du Djebel Haïdour par le col. Maqaâd El Bey rappelle le campement (bivouac) du bey, situé sur le plateau El Meïda d’où le bey Mohamed El Kébir ripostait avec son artillerie contre le siège espagnol du fort de Santa Cruz (Bordj Murdjadjo).

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 Les forts de garde et d’observation espagnols ont aussi leur nom, comme Bordj El Marsa (fort de Mers El Kébir), le fort de San Ferdinand était appelé Bordj Ras El Aïn. A Oran, il y a aussi des lieux magiques qu’on découvre à présent en quittant le « Vieil Oran », une cité pittoresque. Ainsi, à partir de la promenade de Letang, très boisée, on est retenu par la grâce des divers tableaux. Ici, la pêcherie et l’ancienne amirauté ferment l’extrémité ouest du port. Là, un bout de quai et des navires. Tout près, au dessus d’un pin parasol, c’est l’horizon et la mer bleue soutenant de blanches embarcations, une image toujours attrayante de l’invitation au voyage caressant les rêves des jeunes, tentés par l’aventure de la dangereuse traversée vers l’autre rive de la Méditerranée.Deux itinéraires conviennent le visiteur à abandonner ce lieu enchanteur : en suivant la rampe du Château Neuf, il sera surpris de voir à la pointe haute du rempart, s’avançant comme l’éperon d’un navire, le Pavillon de la Favorite. Un joli nom et de lointains souvenirs, puisque cette belle demeure fut édifiée pour la bien aimée du dernier bey d’Oran, le bey Hassan, avant l’entrée du corps expéditionnaire colonial français, en 1832, dans la cité. A l’opposé, le square du Théâtre de verdure est un jardin qui abrite actuellement des concerts de musique. Il est le point de départ d’une grande bretelle de la voie littorale bordée de tours : le boulevard du Front de mer. Car, Oran qui, née sur le versant occidental d’un ravin (Ras El Aïn), s’est étendue au cours du XIXe siècle pour déborder sur un plateau. Le site peut être décomposé en trois parties qui sont le massif forestier du Murdjadjo, le ravin de Ras El Aïn où coulaient jadis, à ciel ouvert, les eaux limpides de Oued Er R’hi (Rivière des Moulins), et enfin le plateau qui s’étend jusqu’à l’est de la ville. Ce site a constitué le premier noyau urbain, choisi par ses habitants au début du Xe siècle pour la présence du cours d’eau qui arrosait de luxuriants jardins, faisait tournait les moulins à blé et alimentait la population. La ville, dit-on, était défendue par quelques forts, tels Ras El Ksar, le Rozalcasar espagnol, transformé par les garnisons du cardinal Ximenes en citadelle (Château Neuf), appelé maintenant Palais du bey Mohamed El Kébir, le libérateur d’Oran de l’occupation espagnole en 1792. Les travaux avaient été multipliés vers l’est où s’élevaient sur le plateau même, les murs reliant le palais aux forts Saint’André et San- Philippe. Et puis l’on se retrouve sur la vaste place d’Armes débaptisée Place du 1er Novembre 1954, bordée par le majestueux Théâtre régional d’Oran et l’Hôtel de ville, à l’entrée duquel trônent deux superbes lions. Notre visiteur prend une halte devant Derb Lihoud, l’ex-quartier juif. Ce quartier a constitué le premier conglomérat d’habitations à l’époque où le bey Mohamed El Kébir lança les travaux d’urbanisme hors de la ville. La promenade prendra fin sur ce site chargé histoire, car, Oran, à l’orée du XIXe siècle sera le théâtre de célèbres batailles dirigées par le père de celui qui deviendra l’Emir Abdelkader, en reprenant le flambeau de la résistance pendant 17 ans contre les troupes d’occupation. (El Watan-16.08.09.)fleu3*

Le Palais du Bey, un ensemble architectural monumental….

 Les journées « Portes ouvertes » sur le Palais du Bey d’Oran à l’initiative de l’Agence Nationale d’Archéologie de la région d’Oran, ont été l’occasion pour les visiteurs de découvrir une grande bâtisse délabrée et insalubre, pour avoir été longtemps abandonnée aux aléas du temps et aux actes de vandalisme. A l’époque, l’Agence avait saisi la direction du Plan par la présentation d’un rapport sur la situation générale du Palais du Bey Mohamed El-Kebir, qui a retenu le principe de la restauration d’un des plus importants monuments historiques de la région Ouest. Ce projet comporte une estimation de tout l’ensemble architectural, son étude et sa restauration. Il est vrai que la résidence et le « Diwan » sont très menacés avec l’apparition de grandes fissures du sol dans la partie est de ce site historique. Les dégradations se sont amplifiées avec l’ouverture du chantier de construction d’un hôtel dans l’enceinte du Palais. Le passage des engins de travaux publics et les vibrations répétées ont fini par précipiter la vétusté de ce patrimoine archéologique. Même la porte d’entrée de « Château Neuf », une belle pièce architecturale, classée en 1952, a été endommagée par les camions qui emportaient, sur l’étroit passage, des morceaux de pierre composant le bas-relief. Une opération de restauration, lancée au cours des années 90, n’a pas eu l’effet escompté en raison du manque de professionnalisme de l’entreprise chargée des travaux, qui a apporté quelques aménagements dans la boiserie et le bain. En 2008, la wilaya vient d’octroyer une enveloppe conséquente pour entamer un autre projet de restauration, en souhaitant qu’il sera fait appel à des architectes et des spécialistes en la matière.

Pour l’histoire, le « Palais du Bey » d’Oran fait partie d’un ensemble architectural monumental beaucoup plus vaste que l’on appelle communément le Château Neuf. C’est dans l’enceinte de ce palais que le Bey Mohamed Ben Othman dit « El-Kebir », s’installa après avoir repris Oran aux Espagnols en 1792. Il y a lieu de rappeler que le Château Neuf a été épargné par le terrible tremblement de terre d’octobre 1790, qui a détruit la cité de Ras El-Aïn à Sid El-Houari. Ce vestige, de par son site naturel privilégié, constituait une position stratégique unique dans la ville en surplombant le port et en contrôlant l’arrière-pays. Le vaste promontoire avait toujours suscité la convoitise des marins qui passaient au large de la baie d’Oran. Les premiers documents relatifs à cet emplacement datent du 14ème siècle, lorsque le Sultan mérinide Aboul-Hassan donna l’ordre de construire un fort, « Bordj Lahmar », pour renforcer la surveillance de la ville, du côté de la mer. En fait, le « Bordj Lahmar » allait servir de base au « Rozalcazar » des Espagnols, où les premiers gouverneurs s’y installèrent de 1514 à 1792. Ils construisirent sur le même site des édifices qui feront d’Oran, le préside espagnol, la « Corte Chica » (la petite cour). Désormais, « Rozalcazar » allait devenir la meilleure place forte de la ville jusqu’en 1708, date à laquelle le Bey Bouchelaghem réussit à l’occuper jusqu’en 1732. De la deuxième occupation espagnole (1732-1792) datent la muraille actuelle du front nord et les galeries souterraines qui communiquaient avec les ouvrages avancés et les forts extérieurs de la cité. Durant cette période, de nombreux travaux furent exécutés, travaux où une inscription espagnole, gravée au-dessus de la porte de Château Neuf, rappelle que « sous le règne de Charles III et sous le commandement de Don Juan Zermano, on fit construire les voûtes pour le logement de la garnison et on édifia le château, en ce qui concerne la partie qui regarde la mer ». Une seconde inscription en arabe, placée au-dessus de la première, à l’entrée de « Rosalcazar », célèbre la libération d’Oran en 1792. Le Bey Mohamed El-Kebir fit donc de ce palais, le siège de son administration et aussi sa résidence. Aux réalisations entreprises par les Mérinides et ensuite par les Espagnols, le Bey ajouta sur le mur sud, le moins exposé, un autre palais où étaient situés ses appartements, ses bureaux ainsi que le « Pavillon de la Favorite » pour accueillir son épouse bien-aimée, au milieu de deux magnifiques jardins agrémentés d’une volière. Malheureusement, cet ensemble architectural et archéologique, qui résume à lui seul sept siècles d’histoire, est actuellement dans un état de délabrement avancé sans oublier le pillage systématique de nombreux objets d’ameublement et autres décorations, comme la faïence qui garnissait les murs de certaines salles du palais. Les lustres en cuivre ajouré et toute la boiserie ont disparu juste après l’indépendance, comme ont pris d’autres destinations, les belles reliques, griffons et statuettes de la période espagnole qui ornaient l’entrée des édifices, les places et les fontaines du « Vieil Oran ». (El Watan-10.08.08.)

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 Le Méridien hôtel-Oran: Un balcon sur la méditerranée

Oran s’éveille au tourisme d’affaires. Les hôtels de grand standing ont planté leur décor et invitent à l’évasion. Le Méridien hôtel et convention Centre se veut être à lui  seul une destination à part. Il mêle habilement charme, confort et modernité et jouit d’une situation tout aussi parfaite au cœur de la ville.

A l’occasion de la célébration de la First night, il a ouvert ses portes à des invités pour se faire connaître et leur permettre d’apprécier les lieux. Et pour garantir le maximum de retombées médiatiques, l’enseigne n’a pas hésité à faire appel à une agence de gestion événementielle : TBWA\DJAZ qui s’est chargée de ramener des journalistes d’Alger. Avec son design contemporain réalisé par Rockwell Group Europe et sa vue imprenable sur la Méditerranée, cet hôtel offre le plus grand centre de congrès d’Afrique du Nord. C’est sa valeur ajoutée dans un secteur qui commence à prendre de l’ampleur. Oran est connu pour son front de mer, la jovialité de ses habitants, ses chanteurs raï qui enchaînent les morceaux et les éclats de rire d’une jeunesse qui a soif de vivre son époque. Aujourd’hui, la ville peut s’enorgueillir d’avoir le parc hôtelier le plus important d’Algérie et même des hôtels de renommée internationale. Le Sheraton est allé, il y a quelques années, à la reconquête touristique.

Le Royal Hôtel, dont le propriétaire est Djillali Mehri, a réussi la gageure de transformer en palace le plus luxueux d’Algérie. Aujourd’hui, Le Méridien promet à ses visiteurs de la découverte et des frissons… Propriété de Sonatrach, cet hôtel s’inscrit dans un projet d’urbanisation diversifiée qui inclut un centre de congrès et d’exposition adjacent, une esplanade, ainsi qu’une promenade en front de mer. Situé sur la côte méditerranéenne au nord-ouest de l’Algérie, l’hôtel Le Méridien Oran se dresse au sommet d’une falaise offrant une vue imprenable sur la Méditerranée. Les chambres mêlent un héritage algérien à un style très contemporain et au confort de la marque.L’hôtel intègre aussi le concept nouvellement défini, Le Méridien Hub, qui réinterprète le lobby d’hôtel classique et le transforme en un lieu de rencontres pour converser, débattre et échanger. Le Méridien Hub aménage une atmosphère créative où tous, clients ou non, peuvent venir apprécier des œuvres contemporaines sélectionnées. Nimbé d’une douce lumière méditerranéenne, l’hôtel se penche sur les flots bleus avec langueur. De nombreux restaurants sauront vous séduire par leurs menus gastronomiques. Une expérience culinaire que vous pourrez poursuivre sur les terrasses en découvrant un univers sensoriel inédit, notamment par des dégustations de nouveaux arômes de café. Le Méridien a fait l’objet d’une refonte complète de son image de marque au cours des six dernières années, depuis son rachat par Starwood. Les cartes d’accès aux chambres et suites sont uniques.Illustrées de dessins d’artistes, elles permettent d’accéder au musée Ahmed Zabana. Aucun détail n’est laissé au hasard. Des recherches exclusives menées auprès des clients montrent que les dix premières minutes passées dans un hôtel déterminent l’impression que l’on garde du séjour. L’expérience débute dès que le client arrive devant l’hôtel, sort de son véhicule, franchit le seuil de l’établissement et s’enregistre ou demande un conseil à la réception. (El Watan-14.06.2012.)

**Présentation: Situé à Oran, sur la côte méditerranéenne du Nord-Ouest de l’Algérie, Le Méridien Oran Hotel & Convention Center se dresse au sommet d’une haute falaise offrant une vue époustouflante sur la Méditerranée et le centre-ville d’Oran. L’hôtel fera partie intégrante d’un complexe plus vaste comprenant un centre de conférences et d’expositions et une promenade en bord de mer. Les hôtes de notre établissement apprécieront notre superbe piscine extérieure et notre centre de remise en forme situé au deuxième étage et offrant une vue sur l’infini de la mer. L’hôtel disposera également d’un spa moderne équipé de salles de soins privées, d’un hammam (bain turc), d’un jacuzzi et d’un salon de beauté. Notre centre de conférences comprendra un impressionnant auditorium de 3 000 places doté des technologies dernier cri, ce qui en fera le plus grand établissement de conférences d’Algérie et l’un des seuls d’Afrique capable d’accueillir des conférences de grande envergure. Cet hôtel de 296 chambres intègre l’ensemble des derniers éléments qui caractérisent l’enseigne Le Méridien, avec un accent tout particulier mis sur l’alliance entre la culture contemporaine et l’héritage européen, permettant ainsi à nos hôtes de découvrir de nouvelles destinations. On est prêt à vous accueillir au Méridien Oran Hotel & Convention Center, situé dans l’une des villes les plus dynamiques d’Afrique.

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**Kristel

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* Kristel, petit village de pêcheurs situé à quelques kilomètres d’Oran, veut sortir de l’isolement et de l’oubli… Des paysages délicats.. des scènes d’oiseaux migrateurs que révèle la zone montagneuse et les dépressions le long de la côte..lui confère un charme naturel certain..Malgré des handicaps liés à l’enclavement et au relief accidenté de son territoire, Kristel est avant tout une localité à vocation piscicole qui veut sortir de l’oubli. Avec des projets ambitieux et son architecture prématurément vieillie, Kristel est marqué par son destin de village à l’orée de la mer. Certes, de nouvelles habitations ont été édifiées par les « Kristelis » émigrés  pour loger leurs familles. Mais en vérité, Kristel, située en un point particulièrement stratégique en bordure des villes d’Oran et d’Arzew, est avant tout un nœud de communication maritime et terrestre. Les habitants de « Kerchet Ettel » voient la beauté du site rétrécir comme une peau de chagrin. En effet et vue de près, l’abandon à outrance de cette paisible localité a fini par provoquer des disparités parmi la population dont une majorité a préféré plier bagages. Pour des raisons évidentes liées à l’absence de politique sociale, des superficies importantes ne sont plus exploitées par les petits agriculteurs.. et sur une trentaine de fellahs qui exploitaient les jardins potagers, seuls 10 maraîchers ont pu s’accrocher à leurs modestes exploitations.

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Murdjajo-Oran

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321 réponses à “quelque chose sur Wahran El Bahia”

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  1. 14 11 2011
    Videos Physics (02:35:58) :

    Thank you for your thoughtful post!

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