Histoire d’Oran

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*Au début, il n’y avait pas de port, mais juste une petite plage….

Les géographes et chroniqueurs du XIe siècle, comme El Idrissi, El Bekri, et plus tard l’Andalou Hassan El-Ouazzan (Léon l’Africain), rapportent que le site primitif d’Oran est une petite plage où les bateaux pouvaient être tirés, le soir, sur le rivage, non loin d’un ravin arrosé de façon permanente en eau douce, susceptible d’alimenter une faible population et des jardins potagers.

Dans ses travaux de recherche, le Dr Saddek Benkada, un historien émérite de la ville d’Oran, signale qu’il n’y avait pas de port mais une petite plage avec un mauvais débarcadère. Les navires qui ravitaillaient la ville s’abritaient sous le fort de Mers El-Kebir. Pour être plus précis, l’ensemble se composait de la mer et d’une plage, de la montagne dominante, d’un plateau encadré par deux ravins : Ras El-Aïn, à l’ouest, le Ravin Blanc à l’est, d’un arrière-pays immédiat, de larges plateformes étagées, coupées de ravins et faciles à gravir. Cette position est située à un carrefour de routes de terre, venant de l’ouest par la rive nord de la Grande Sebkha, du centre (Mascara) par les vallées convergentes de Oued Sig et Oued Habra, et de l’est du plateau mostaganémois par le pied du Sahel d’Arzew et la baie de la Macta, nous rappellent ces mêmes sources.

Ce concours de voies terrestres très faciles est resté très important dans un pied du Sahel où la circulation était uniquement pédestre et équestre, jusqu’à l’orée du 19e siècle, où les populations furent très mobiles à cause de différents facteurs liés aux émigrations politiques, aux migrations saisonnières, aux invasions venues de la mer, comme du continent. La présence de matériaux les plus divers offrait des possibilités de construction, comme la pierre à bâtir à partir du calcaire ou du tuf, faciles à tailler, de l’argile susceptible de fournir des briques et des tuiles qu’on trouvait à Mers El-Kebir et à Aghbal, est-il relevé dans  les documents de la Société de géographie et d’archéologie de la province d’Oran. Il y a aussi le bois du maquis qui couvrait le djebel Murdjadjo et le massif de djebel Ak’har (montagne des Lions).

L’attention des romains

Ces zones fournissaient des perches de Thuya, un bois imputrescible pour les poutres des terrasses et du diss, pour la couverture légère des toits. «Le cadre naturel -mer, montagne, plateau, maquis- n’est pas sans beauté et sans variété : le spectacle des yeux aidait au choix du site urbain», signalait Robert Tinthoin, géographe, ancien membre de cette société savante, dans une étude consacrée au «Peuplement musulman d’Oran». Cependant, il y a lieu de rappeler que l’agglomération oranaise n’entre dans l’histoire écrite qu’au 10e siècle, quand elle fut fondée (902-903) par des marins andalous, alliés à des tribus locales semi-nomades. Bien qu’aucun document épigraphique ne le confirme, le site d’Oran se compose de sa colline, son «Accra» du pic d’El-Haïdour -poste de surveillance merveilleux et de correspondance par feu, du cap Falcon à la pointe de l’Aiguille, d’Est en Ouest- et de sa petite plage, au débouché du ravin de Ras El-Aïn où marins puniques, à l’image des célèbres raïs Dali Mami ou Kheireddine Baba Arroudj (Barberousse) trouvaient abri et escale, comme le font prévaloir les recherches archéologiques sur la côte occidentale plus sauvage.

A une époque plus lointaine, les criques du port de Mers El-Kebir, mieux abritées, avaient attiré l’attention des Romains, sous le nom de Portus Divini (Port divin), par rapport à Portus Magnus (Grand port) de Bethioua. Les matériaux anciens qui gisent encore sous les constructions urbaines actuelles témoignent de l’ancienneté de l’occupation humaine dans cette zone portuaire. De fait, si le port de Mers El-Kebir a conservé sa fonction durant des siècles, grâce à sa protection naturelle contre les vents, la vocation portuaire d’Oran s’est effacée durant une longue période.     Après sa fondation au 11e siècle, Oran a connu, il est vrai, une période de lustre aux 13e et 14e siècles, comme organisme officiel du royaume de Tlemcen, avec une population, considérable pour l’époque, de 25 000 habitants, en liaison avec le port de Mers El-Kebir et en relation avec l’Espagne, Gênes, Venise, Pise (Italie) et Marseille (France).

Sous l’occupation espagnole (1509-1792) – simple Presidio – avec la position maritime de Mers El Kebir, Oran fut à la fois garnison militaire, bagne, poste puissamment fortifié, petite cité de marchands, de couvents et d’églises, de 3 000 habitants. Elle dut son importance à sa position, face à Carthagène (Espagne), fermant la Méditerranée occidentale aux incursions de corsaires de la Régence d’Alger, comme les célèbres et  puissants Raïs Dali Mami ou Khireddine Baba-Arroudj, devenus les maîtres de la course en haute mer pour barrer la route et s’emparer du butin et des richesses que transportaient les voiliers de commerce des puissances européennes. Oran est devenue cité ottomane de 1708 à 1732, quand elle fut libérée par Bey Bouchelaghem et de 1792, lorsque le bey Mohamed El-Kebir mit fin à l’occupation espagnole, jusqu’au mois de janvier 1831, date du débarquement du corps expéditionnaire français dans la ville sans que le Bey Hassan, le dernier représentant de la Sublime Porte, opposa de la résistance. (El Watan-29.08.2010.)  Par Abdallah Bendenia 

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**Chroniques oranaises

Deux grands évènements ont marqué l’histoire de cette ville méditerranéenne fondée en 902 par des marins andalous alliés à des tribus locales : la peste de 1557 et le terrible tremblement de 1792, date de référence de la libération d’Oran de l’occupation espagnole par le bey Mohamed El Kebir. Du premier fléau, les chroniqueurs de l’époque en firent de longs récits, que ce soit les soldats de la garnison espagnole ou les voyageurs qui parcouraient le Maghreb…Hassan Corso, intrépide marin, corsaire de renom, chef militaire hors pair, après s’être reposé quelques jours à Alger, prit la route d’Oran. Il arriva le mois d’août 1556. Le gouverneur d’Oran n’avait pas essayé de l’arrêter. Il se contenta d’empoisonner tous les puits situés sur son chemin et d’envoyer une petite troupe de reconnaissance. Don Gabriel de la Cueva qui la commandait eut une escarmouche avec les combattants turcs, mais se replia aussitôt. Les soldats de Hassan Corso vinrent à la place d’Oran et débarquèrent leur artillerie. Comme toujours, ils s’établirent près des sources qui alimentent la ville, près de Ras El Aïn. Le comte d’Alcaudete, gouverneur d’Oran, ne pouvait les leur abandonner et il envoya des soldats défendre la Tour des Saints qui commandait cette position. Mais ces soldats voulurent non seulement repousser les Turcs, mais les poursuivre. Ils furent alors rejetés en désordre vers la ville et subirent des pertes qui se chiffraient à treize soldats espagnols tués. Durant la nuit, les forces ottomanes établirent sur cet endroit une batterie dirigée contre la Porte de Tlemcen. Une seconde batterie, placée sur la montagne, à l’ouest de la ville, menaçait La Casbah de l’actuel Sidi El Houari.

La canonnade dura plusieurs jours. Mais la population ne parut pas s’en émouvoir et les femmes continuèrent à aller laver leur linge à la rivière qui coulait en bas du Château Neuf. A ce moment se produisit un évènement imprévu : la nouvelle de la mort du dey d’Alger, Salah Raïs. Ce qui détourna le sultan de Constantinople des projets nourris par ce dernier. Selon les historiens et chroniqueurs de l’époque, il craignait peut-être que la victoire de Hassan Corso ne donnât trop de prestige à ce chef ou que les ravages que la flotte espagnole de Doria exerçait en Méditerranée l’obligeraient à rappeler en toute hâte les galères turques qui se trouvaient en rade d’Oran. Quel que fut le motif de cette résolution, elle fut rapidement connue car la galère qui avait rapporté à Constantinople la nouvelle de la mort de Salah Raïs ne mit pas vingt jours à en revenir. Il fallait donc renoncer à l’entreprise. On ne pouvait donner l’assaut.

Le siège d’Oran fut levé. Le rembarquement des pièces de l’artillerie se fit avec tant de précipitation qu’on abandonna une partie du matériel. La flotte reprit la mer et les soldats rentrèrent à Alger par la terre ferme. Cette défense de la ville d’Oran fut célébrée comme une glorieuse victoire par la garnison espagnole… Quelques jours après le siège, une terrible épidémie de peste vint visiter la ville. Comme ce fléau sévissait à Alger au moment du départ des Turcs, il est fort probable qu’ils l’aient apporté avec eux, selon les récits des chroniqueurs de l’époque. Le fléau se propagea surtout en 1557 et fit de nombreuses victimes parmi les femmes et les enfants. La population de la campagne voisine fut aussi très éprouvée. De nos jours, il existe à Oran, sur le flanc du Murdjadjo, dans l’agglomération de Ras El-Aïn le « cimetière des pestiférés », datant de cette période.

Quant aux troupes espagnoles, le gouverneur d’Oran, le comte d’Alcaudéte, les fit camper hors de la ville, changeant chaque jour l’emplacement des tentes. Il avait fait établir sur le flanc de la montagne un hôpital de campagne pour les pestiférés… L’épidémie sévit plus de six mois et, entre autres victimes, elle frappa le sultan de Tlemcen, Moulay Hassan. Lorsqu’elle fut en baisse, mais avant qu’elle ne prenne fin, le comte s’embarqua pour l’Espagne. Il voulait hâter, raconte-t-on, la réalisation de ses vastes projets et, en faisant valoir l’alliance avec le sultan du Maroc, obtenir des forces suffisantes pour combattre les Turcs… Quelques siècles plus tard, les habitants firent ériger la Sainte Vierge de Santa Cruz, qui domine la ville des hauteurs du Murdjadjo, pour les protéger, cette fois-ci, de l’épidémie du choléra, un fléau qui visita la ville à la fin du XVIIIe siècle. (El Watan-31.08.09.)

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*Hassan le calabrais, Dali Mami et Raïs Corso à l’assaut d’Oran…

Les criques du port de Mers El Kebir, mieux abritées, ont toujours retenu l’attention des conquérants, aventuriers et autres célèbres navigateurs, comme les Romains qui le surnommèrent « Portus Divini » (Port Divin, par rapport à « Portus Magnus » (Grand Port) de Bethioua, transformé actuellement en un important port méthanier du pôle pétrochimique d’Arzew.Presque toutes les pièces archéologiques datant de cette période ont été vandalisées, volées et revendues quand le site industriel était un vaste chantier de construction de complexes pétrochimiques. Le port de Mers El Kebir a conservé sa fonction durant des siècles, grâce à sa protection naturelle contre les vents. D’ailleurs, la fonction portuaire d’Oran s’est effacée durant une longue période. Fondée en 903, à la suite d’une convention entre marins andalous et tribus locales, Oran a connu une période faste au XIIIe et XIVe siècles, comme organisme officiel du royaume de Tlemcen, avec une population considérable pour l’époque, de 25 000 habitants, en liaison avec le port de Mers El Kebir et en relation avec les ports d’Espagne, Gênes, Venise, Pise et de Marseille. Sous l’occupation espagnole – simple préside- avec la position maritime de Mers El Kebir, Oran fut à la fois garnison militaire, bagne, poste puissamment fortifié, petite cité de marchands, de couvents et d’églises, de 3000 habitants. Elle dut son importance à sa position, face à Carthagène, fermant la Méditerranée occidentale. En cette période datant de la première occupation espagnole, au moment où le maître de Montesa vint à Oran comme capitaine général de cette ville, il y avait comme bey à Alger, en 1567, Ouchali, surnommé « Fortass » (le teigneux).

On l’appelait Fortass pour le différencier de Allouchali qui fut caïd de Tlemcen du temps où le teigneux s’adonnait à la course en haute mer. C’est un renégat originaire de Calabre qui succéda ensuite au grand pacha de la flotte ottomane. Quand le maître débarqua à Oran, Ramadhan pacha était gouverneur de la Cité et de l’arrondissement de Tlemcen. Le mardi 9 septembre 1565, se montrèrent devant les places d’Oran et de Mers El Kebir, quatre galiotes des trois fameux Turcs d’Alger : Hassan le Calabrais, Dali Mami, Raïs Corso, originaire de la Corse. C’étaient les mêmes qui, l’année précédente, en 1566, se trouvaient aux environs d’Oran lorsque les soldats espagnols attaquaient une des galiotes venue chercher de l’eau douce. Ils libérèrent de nombreux esclaves chrétiens et tuèrent quelques marins turcs. A présent, les trois corsaires sont venus avec la détermination de se venger et de faire tout le mal qu’ils pourraient aux soldats espagnols d’Oran, en capturant les navires de marchandises qui viennent d’Espagne pour approvisionner la garnison. D’un commun accord, ils décidèrent que Mami le Grec monterait sans cesse la garde devant la baie d’Oran et le port de Mers El Kebir. Les autres galiotes devaient rester au large de la baie d’Arzew. En fait, ils avaient été informés qu’une flotte de bateaux chargés de produits alimentaires et d’eau était prête à quitter le port espagnol de Malaga.

C’est pourquoi, les trois galiotes turques ne s’éloignaient pas beaucoup afin de prêter main forte à Dali Mami, si cela était nécessaire. Mais la galiote fut repérée par les gardes espagnols du haut de la forteresse de Santa Cruz, sur les hauteurs du Murdjadjo. Les espagnols se rendirent compte que tous les matins, la galiote turque se rapprochait de la terre, en face du Cap de la Pointe de l’Aiguille, à l’endroit surnommé Hardada, pas loin de Kristel. A ce moment, un brigantin espagnol d’Oran, de retour de Carthagène, se trouvait près de la Pointe de l’Aiguille, la galiote se plaça en travers de sa route pour le capturer. Mais le brigantin était très léger, bien armé de rames et de voiliers et pas trop chargé. Avec l’avantage de plus d’une lieue d’avancée, à partir du moment où il avait reconnu l’ennemi et avec un temps qui lui était favorable, il put s’échapper et rentrer à Oran sous la protection de l’artillerie espagnole. Le corsaire, ne pouvant pas s’en emparer, revint dans sa cale du cap de la Pointe de l’Aiguille, d’où il était sorti. Le maître de Montesa, lui-même, vit toute cette manœuvre du haut du mirador de Rosalcazar, le Château- Neuf. Il avait été averti par les sentinelles du fort de Saint Grégoi, de même qu’il avait appris que tous les matins, les galiotes entraient dans cette baie.(El Watan-28.08.09.)

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WAHRAN

* LA VILLE D’ORAN : Oran (arabe : وهران, Ouahrân (Wahran), en Arabe
signifiant « des deux lions », surnomée El Bahia (« la radieuse »), est une
ville portuaire du nord-ouest de l’Algérie, chef-lieu de la wilaya du même nom
sur le golfe d’Oran., une ville méditerranéenne qui se situe à 432 km à l’Ouest
d’Alger. Elle est limitée au Nord par la France, l’Italie et l’Espagne,
A
l’Ouest par Aïn Temouchent, au sud par la ville Sidi-Bel-Abbès et Mascara et
enfin à l’Est par Mostaganem.
Oran contemporain, tel que le voyageur,
arrivant par mer, peut en embrasser le panorama comme une immense cité dont on
suit le développement ininterrompu depuis la pointe du Cap Falcon a droite,
suivi du Djebel Santon au pied duquel il y a le Font de Mers El-Kébir, appelle
la baie d’Oran.
Le site sur lequel ont été bâtis l’ancien Oran et sa ville
satellite Mers El-Kébir, grossi de sa banlieue, est particulièrement accidenté
et raviné. Le point culminant du massif de l’Aidour (Murdjadjo) – 407 mètres,
est a vol d’oiseau a peine éloigné de 2kilométres de la mer. L’agglomération
s’étale de part et d’autre du profond ravin de l’oued El R’hi.
La chute vers
le Sud, le Sud-Est et le Nord-Est se fait par un éventail de croupes coupées de
paliers et séparées par des ravins profonds.

Dans l’histoire du développement de cette grand cité, Oran, par sa situation
sur la Méditerranée face à l’Espagne, proche de Carthagène (Espagne) et
d’Almería, naît vers l’an 900 en pleine période des Idrisside vantait son
commerce et ses artisans après ce petit village que fréquentent les marins
andalous, émissaires des Omeyyades de Cordoue, il offre surtout un refuge aux
contrebandiers et aux pirates.

* PÉRIODE PRÉHISTOIRE ET ANTIQUITÉ : Le site d’Oran a été une station
préhistorique mise en évidence par des fouilles archéologiques entreprises aux
XIX. Des traces datant d’au moins 100000 ans ont été relevées. Des grottes du
paléolithique et du néolithique ont été mises en évidence. Les grottes du
Cuartel, de Kouchet El Djir et celles des carrières d’Eckmühl, dites abri Alain,
ont été les lieux où ont été effectués des fouilles entreprises par François
Doumergue et Paul Pallary en 1892. De nombreuses pièces archéologiques ont été
récoltées dont certaines sont déposées au musée Ahmed Zabana, comme un bloc
stratigraphique et une multitude d’outils composés de lissoirs, haches polies,
lamelles, couteaux… La plupart des sites, classés de surcroît, ont aujourd’hui
disparus par l’extension des carrières et de l’habitat précaire. Plusieurs sites
ont été recensés dans les environs d’Oran. Ils révèlent une présence punique et
romaine notamment. La période punique Ier siècle av. J-C se matérialise par
l’immense nécropole des Andalouses, et la fourniture de beaucoup d’objets
d’artisanat, (vases, coupes, urnes…). Ces sites ont été révélés lors de
l’agrandissement de la zone touristique de la Les Andalouses (station balnéaire
algérienne) plage des Andalouses à 30 km à l’ouest d’Oran. Beaucoup d’autres
objets sont récoltés régulièrement de nos jours dans les régions limitrophes de
Bousfer et celle d’El Ançor.
Cette région a fourni beaucoup de mosaïques et
statues comme celles qu’on peut apercevoir au musée Ahmed Zabana (Poséidon,
Hercule, Bacchus, Apollon). L’histoire antique nous apprend que les tribus
judéo-berberes installés depuis 20 siècles au Maghreb en provenance de Judée ont
été chassées par l’armée de Titus. L’arrivée des juifs a bousculé complètement
le destin de l’Algérie, du Maroc et de la Tunisie. Les habitants d’Oran
(Azdadja).
* WAHRAN : Son nom arabe Ouahrân (Wahran) emprunté à l’arabe et
signifiant « des deux lions » dérive du mot singulier Ouahr. Les Cinq noms de
lion en Arabe, Ouahr – Assad – Laith – Fahd – Sabaâ. Note précédente. Le nom de
Wahran a été donné par Sidi Maakoud Al Mahaji et Khrouti Bel Mekssoud Al Mahaji
Anciens chasseurs de lions à Oran. Il existe devant la mairie d’Oran deux
grandes statues représentant deux grands lions mâles, d’où vient l’appellation
de Wahran. La légende dit qu’a l’époque, il y avait encore des lions dans la
région, les deux derniers lions chassés se trouvaient sur la montagne prés
d’Oran et qui d’ailleurs s’appelle la montagne des lions. Le tombeau de Sidi
Maakoud Al Mahaji se trouve sur la montagne de l’Aidour (Murdjadjo). Et le
tombeau de Sidi Khrouti Bel Mekssoud Al Mahaji se trouve à Djenane Djato a la
limite territoriale des quartiers : Lamur, Médioni, Médina J’dida. Dont Oran est
la transcription européenne, Le nom Oran apparaîtra pour la première fois dans
un portulan génois en 1384. Oran portait avant également le nom Ifri qui
signifie en berbère littéralement « la caverne ». Les récits concordants
établissent en effet une certitude concernant l’histoire de la ville d’Oran au
sujet de Sidi Maakoud Al Mahaji. Ce dernier possédait deux lions qu’il avait
apprivoisés personnellement.

Dynastie IDRISSIDE : Ses ancêtres remontent à Idriss II (fondateur de la
dynastie Idrisside 788-985 à la fin du 8 ème siècle) par son fils Mohammed et le
fils de ce dernier Ahmed. Aura naissance de la première dynastie musulmane,
d’origine moyenne- oriental, Ce descendant s’est installé en Algérie et a fondé
son arche d’ Al Mahaja dans un village qui s’appelle Sidi Ben Amer prés de
Tlemcen. Après des années le village a pris de l’ampleur et une partie de sa
population a émigré vers un autre nouveau village M’Cid (école coranique) près
de la ville Sfisef Wilaya de Sidi Bel Abbés. Zidoria près de Mascara, et une
autre partie vers un village d’El Gaada prés d’Oran. Après avoir connu quelques
vicissitudes l’époque ou Idrissi vantait son commerce et artisans.
Chorafas
se sont décernés ou fait décerner des sajara ou abres généalogiques les
rattachant a El Hassan fils de Ali et Fatima la fille du prophète Mohamed.
Vivent en majeure partie au Nord du Maroc et à l’Ouest de l’Algérie. La famille
est connue alors sous le nom de Al-Mahaja, comme le veut la tradition
familiale.
Les premières banlieues Oranaises (El Gaada et le premier village
a Oran situé a 39Km au sud-Est et s`étalent sur une superficie de
5000Ha.).
Les Douars ils paraissent être une des premières tribus constituées
dans l’ Oranie occidentale, avant l’arrivée des Fatimides au Maghreb, ils
constituaient les douars, Ain Affeurd, Chorfa, Souahia et El Aaraiba. Se sont
installés dans cette région à cause de l’eau douce de la rivière appéllée Ain
Chorfa (Source Aristocrate) en l’honneur d’Al Mahaja.
Exemple. Oran devient
au-delà de tout, une capitale économique du Maghreb. La cité d’or va donc
devenir, une fois de plus, une place enviée,
Les Douars des Al Mahaja devenu
un relais obligé pour des caravanes venant des quatre coins du Maghreb pour le
commerce au port d’Oran et ce village par la suite appelé El-Gaada qui signifie
littéralement Caravansérail.
* PÉRIODE ISLAMIQUE : Entre 910 et 1082, Oran
devient un perpétuel objet de conflit entre Omeyyades d’Espagne et Fatimide de
Kairouan. La ville passe sous domination des Almoravides, dynastie berbères
originaire de la Mauritanie du Sahara occidental (Saguya El Hamra), Jusqu’en
1145, lorsque le sultan Ibrahim Ben Tachfin y périt en luttant contre les
troupes Almohades déjà victorieuses devant Tlemcen. La présence des Almohades
est marquée dès 1147 par le début des persécutions contre les juifs d’Oran.
L’empire qui domine le Maghreb depuis plusieurs décennies s’émiette peu à peu
pour finalement donné naissance à des dynasties plus locales en 1238, les
Zianides de Tlemcen puis des Mérinides de Fès jusqu’en 1509. En 1287, premier
arrivée des juifs de Majorque à Oran. La protection de l’émir, le système
douanier (tarifs), le commerce avec Marseille, et les républiques italiennes de
Gênes et de Venise, avec lesquelles Oran signe en 1250 un traité de Commerce,
pour une durée de quarante ans, font d’Oran une ville prospère, à tel point que
vers la fin du XIV le célèbre historien musulman Ibn Khaldoun la décrivait ainsi
: « Oran est supérieure à toutes les autres villes par son commerce. C’est le
paradis des malheureux. Celui qui arrive pauvre dans ses murs en repart riche ».
La ville excelle en effet dans l’exportation du plomb, de la laine, des peaux,
des burnous fins, des tapis, des haïks, du cumin, des noix de Galle, mais aussi
la traite des esclaves noirs. Notons que les Mérinides, qui règnent sur le
royaume de Grenade (Espagne) et le Maroc, occupent une partie de l’Algérie guère
plus loin d’Oran. Ils sont localisés prés de hammam bouhadjar appelés les
zmalas. Et a fondé leur village Tamzoughra. Le règne de ces dynasties musulmanes
se démantèle progressivement par les offensives espagnoles au début du XVI.
*
PÉRIODE ESPAGNOLE : Nous sommes au début du XVI. 1287 première arrivée des juifs
de Majorque a Oran. 1391 Arrivée des juifs d’Espagne, Les juifs d’Oran
S’adaptent à cette nouvelle civilisation. Au mois de juillet 1501, bien avant
les Espagnols les Portugais lancent une expédition pour tenter d’accoster sur la
Les Andalouses (station balnéaire algérienne) plage des Andalouses. Il faudra
attendre le débarquement de Mers el-Kébir, en 1505, pour voir l’Espagne
s’engager dans la première expédition organisée contre Oran. La cité comptait
alors six mille feux, soit environ vingt-cinq mille habitants. La prise de la
ville par l’armée du cardinal Francisco Jiménes de Cisneros commandée par Pedro
Navarro, est effective le 17 mai1509. En 1554, le gouverneur comte d’Alcaudete
fit alliance avec le sultan marocain Mohammed ech-Cheikh contre les Turcs alors
installés à Alger, et parvient à maintenir encore la présence espagnole. Les
espagnols procédèrent à des travaux de restauration de la forteresse destinée à
loger les gouverneurs de la ville. « Les fortifications de la place se
composaient d’une enceinte continue, surmontée de fortes tours espacées entre
elles, du château proprement dit, ou casbah ». Le gouverneur espagnol « établira
son quartier général dans ce donjon ». Longues de plus de deux kilomètres et
demi, ces fortifications comprenaient de nombreux forts, bastions et
tours-vigies. Au XVI, les Espagnols font ainsi d’Oran une place forte et
construisent une prison sur un éperon rocheux prés de la rade de Mers El Kabîr.
Ce lieu était peuplé par de nombreux singes ( »los monos » en espagnol) qui
donnèrent son nom à la forteresse, Les déportés espagnols enfermés à La Mona
pouvaient apercevoir leur familles une fois par an, le dimanche de paques. En
1563, Don Álvarez de Bazán y Silva, marquis de Santa-Cruz, fit construire au
sommet du pic de l’Aïdour, du fort de Santa-Cruz. Les juifs qui habitent Ras El
Ain et le Ravin Blanc sont expulsés hors d’Oran par les Espagnols à partir de
1669 ils ont habité dans la montagne de La corniche Supérieure (Misserghin).
Malgré ces fortifications, la ville était l’objet d’incessantes attaques
jusqu’au pied même des remparts. C’est ainsi qu’en 1707 Moulay Ismaïl, sultan du
Maroc ayant tenté de forcer la défense, voit son armée décimée. La ville dès
lors, connaît une croissance continue : il lui faut gagner de l’espace et de
l’air. Elle voudra faire éclater l’insupportable corset de pierres qui
l’étouffe. La démolition des murailles est menée à bien sur plusieurs années,
C`était en ce moment la, les espagnols coincés, s`enferment a l’intérieur du
fort, par manque de ravitaillement ils se nourrissent pour la première fois la
fameuse calentica. En Espagnols CALIENTE (chaud). La porte du Santon Bab
El-Hamra (ancien jardin weldsford) est construite en 1745. En 1770, Oran est une
ville de 532 maisons particulières et 42 édifices, une population de 2 317
bourgeois et 2 821 déportés libres se livrent au négoce. 1780, les Espagnols
entament des pourparlers avec l’Angleterre en vue d’un échange avec Gibraltar.
1790 autorisa à détruire les monuments, pour organiser rapidement le culte
chrétien à Oran, le cardinal Ximénie ordonna que la première église d’Oran.
Notre Dame de la victoire.

1792, le port d’Oran sa construction commença par des travaux entrepris
tardivement par les Espagnols.
* PÉRIODE OTTOMANE : Les Espagnols restent
maîtres de la cité jusqu’en 1708 ; ils en sont chassés par le Bey turc Mustapha
Ben Youssef, dit Bouchelaghem. Les Turcs sont restés pendant 24 ans ce qui a
permis le retour des exilés juifs. En 1732 les Espagnols reviennent en force
pour réoccuper Mers el-Kébir avec l’armada du duc de Montemar après la victoire
remportée à Aïn-el-Turck.
Le mois d’octobre. Ces deux villes furent de
nouveau désertées par leurs habitants et les juifs sont de nouveau expulsés,
1790 va plonger, d’une façon foudroyante, la ville d’Oran dans la désolation et
dans le deuil. Dans la nuit du 8 au 9, un violent séisme fit plus de trois mille
victimes en moins de sept minutes. À la suite de ce terrible événement, le roi
d’Espagne Charles IV d’Espagne ne vit plus l’intérêt d’occuper Oran, qui
devenait de plus en plus onéreuse et périlleuse; il entame des discussions qui
dureront plus d’une année avec le Bey d’Alger. Un traité est signé le 12
septembre 1792. Après un long siège et un nouveau tremblement de terre qui
désorganise les défenses espagnoles, le Bey Mohamed Ben Othman, dit Mohamed El
Kébir, prend possession d’Oran le 8 octobre de la même année.1799 Cheikh Sidi
Mohamed Es-Senni Al Mahaji auprès de Bey Mohamed El-Kébir à Oran un savant
érudit qui fut l’un des conseillers et exerçait comme inspecteur principal sous
le règne du bey Mohamed El kbir, Et accorda diverses faveurs aux juifs pour
qu’ils se réinstallent à Oran. En 1794, des pèlerins venus de la Mecque
apportent une nouvelle épidémie de peste et la ville redevient pratiquement
déserte. En 1796, la Mosquée du Pacha, mosquée dite  »Pacha » en l’honneur
d’Hassan Pacha, dey d’Alger, est construite par les Turcs avec l’argent
provenant du rachat des prisonniers espagnols, après le départ définitif de ces
derniers Le premier Imam Arabe de la Mosquée, Cheikh Sidi Mohamed Es-Senni Al
Mahaji C’est un savant érudit qui fut l’un des conseillers du Bey d’Oran et
exerçait comme inspecteur principal sous le règne du bey Mohamed El Kèbir
(1778-1799) et comme responsable de la grande mosquée du Pacha. Fut enterré dans
un cimetière qui porte le nom de l’un de ses disciples Sid-El-Bachir situé à
quelques encablures à l’est d’Oran, 1813, le Bey d’Oran se révolte contre le Dey
d’Alger. Jusqu’en 1830, les Beys firent d’Oran leur capitale au détriment de
Mascara.
* Sid El Houari : Sid el houari (m’rabat) par son vrai nom Ben-Amar
El houari. Né en 1350 a Bellevue (près de Ain Tadless) willaya de Mostaganem a
l’age de dix an, ce grand imam savait déjà par cœur le coran et avait acquis par
cela même le titre de Hafid venu a Oran chercher des grand théologiens de
l’islam Étudier lés sciences coraniques dans les zaouïa des chorafa de Al Mahaja
Il se rendit à la Mecque ; à son retour, il s’installa définitivement à Oran où
il ouvrit une médersa d’enseignement coranique. Parmi les disciples connus qui
ont été des compagnons de l’imam Sidi El Houari, nous citerons Sidi Ibrahim Tazi
et Sidi Saïd (m’rabet de hassi Ghella). Il et Mort le 12 septembre 1439 ,son
mausolée (Goubba) Fut édifie en 1793 par le Bey ottoman le borgne, C’est aux
familles Bensetti et aux descendants Benmerzouka qu’échut le privilège de
pérenniser le rôle de Mokaddem du Goubba de Sidi El Houari.
* Sidi lakhdar
ben Khlouf : qui a appris le Coran appartenait à la tribu des “Azafria”Très
jeune, vers 1516, il se souvenait du protectorat espagnol sur Ténès et ses
environs et de l’Emir Yahia Ziani et de Khaïredine Bacha Abdellah, qui a passé
toute sa jeunesse à Mazagran, participa à la bataille contre les Espagnols qui a
eu lieu en 1558. Il fut la gloire de la poésie populaire algérienne. Les
descendants de famille de la tribu d’Al Mahaja habitent toujours a mostaganem.
Ils sont la depuis la guerre de Mazaghrane.
* Denité Oranaise En 1770 ; Oran
est une ville de 532 maisons particulières et 42 édifices, une population de 2
317 bourgeois et 2 821 déportés libres se livrent au négoce. Lorsque les
Espagnols quittent Oran en 1792, il ne reste qu’un seul européen, un Français le
sieur Gaillard et naturalisé espagnol sous le nom e Galardo.
* Ben Abdelkader
Ben Abdellah Mohamed Tahar Al Mahaji : En XIXéme Siècle théologien, cadi,
chercher, verse dans les sciences de fiqh, selon le rite malékite, il fit ses
études a Oran, en suite a Fès, il obtint le poste de cadi d’Oran qu’il conserva
jusqu’a sa mort.
* PÉRIODE FRANCAISE ; La ville de formatnum:10000 habitants
est encore possession de la Sublime Porte (Empire ottoman) lorsqu’une escadre
sous les ordres du capitaine de Bourmand s’empare de Mers el-Kébir, le 14
décembre 1830.
*1831 : après l’arrivée des Français, Il y avait a peine
18.000 habitants dans Oran et ses faubourgs. Aux plus beaux temps de sa
prospérité, il ne semble pas que la population y ait dépassé le chiffre de
30.000 habitants. La communauté juive comprend 3531 personnes (et dans la ville,
on compte seulement 750 Chrétiens et 250 Musulmans). Beaucoup de juifs se
livrent au commerce. La maison Bacri-Busnach qui avait obtenu le monopole du
commerce des céréales dans toute la Régence, étend son privilège au port d’Oran
en 1801.
C’est dans une cité en ruine et misérable, peuplée de formatnum:2750
âmes, que, le date 4 janvier|1831, s’installent les Français commandés par le
général comte Denys de Damrémont. Dès septembre 1830, un commissaire du Roi,
faisant fonction de maire, est installé à Alger. En septembre 1831, le général
Berthezène nomme à Oran, avec les mêmes attributions, Liste des maires d’Oran
Pujol, capitaine de cavalerie en retraite, blessé à la main droite sous
l’Empire. L’une des premières mesures de l’administration militaire française
fut de faire raser toutes les habitations et autres masures qui masquaient les
vues du côte de l’est, entre Château Neuf et le Fort Saint Philippe. On fit de
même, par la suite, pour tous les gourbis qui, du côte du Ras El Ain, pouvaient
favoriser des embuscades et permettre a des assaillants de se glisser jusqu’aux
remparts de la ville.
*1832 : à la tête de cinq mille hommes, un jeune Emir
répondant au nom d’Abd El Kader marche sur Oran. Selon l’une des nombreuses
légendes, il semblerait que L’émir Abdelkader, dans sa quête de vérité, chercha
à savoir si le fait de faire la guerre aux français était un acte de « Djihad »
(la lutte contre l’occupant) . Il avait alors demandé à son père El Hadj
mahiadine comme a son grand-père El Hadj Mostefa, qui était le cheikh et chef
spirituel de la Zaouïa soufie (qadiria) d’el guetna, pour une fatwa. On le
dirigea alors vers les territoires des tribus d’Al Mahaja, seule à même de
pouvoir lui rassembler (40) quarante Imâms pour prononcer la fatwa et Sidi Amer
Lekhal en tête. Ce qui fut fait. Les quarante imams sont jusqu’à l’heure
actuelle enterrés au cimetière du village M’Cid (École Coranique). D’où le nom
de Al Mahaja « Les quarante chéchias » ce qui veut dire les quarante
(Goubbas).
* Découpage administratif de l’état de l’émir Abdelkader ;
Mascara. Première capitale Ensuite Tagdempt (Smala) Le premier Khalifa
(Gouverneur) de Mascara, c’était Mohamed Benfreha Al Mahaji.
* Mostefa Ben
Brahim : Né en 1800 à Boudjebha (prés a Sfisef) Est mort en 1867, Il a enterré
dans le cimetière du M’Cid Mostfa ben Brahim, Desendant des Tribus de Al Mahaja,
était un homme sage et respectueux de la région, par Ouled Slimane de Sfisef et
Beni Ameur de Sidi Bel Abbés L’administration Française l’installe à Sidi Bel
Abbés en tant que caïd (parrain) de la ville. On lui ordonna de faire la quête
auprès des indigènes et cultivateurs. Mais celui-ci s’opposa à cet ordre. Relevé
de son poste, prend l’exil au Maroc a la ville de Fès. (Jelabti oua setre m’aaha
ouala k’yadet bel abbés oua dele m’aaha) Plus tard il rejoindra les rangs des
résistant avec l’Émir Abdelkader.
*1833 : à la suite d’un dissentiment avec
le duc de Rovigo, commandant en chef, le général Boyer, qui vient d’enlever
Arzew, quitte Oran et est remplacé par le baron Louis Alexis Desmichels. La
ville, attaquée par Abd el Kader, tient bon.
*1834 : Traité secret signé en
Février avec Desmichels pour la gouvernance du port d’Arzew, Donc l’Émir
Abdelkader un homme historique qui à combattre pour la nation algérienne pour
l’honneur et l’indépendance d’un peuple, Et aujourd’hui vous voulez salir ce
grand homme pour sauver la face et la réputation des Zmalas et Douars.
*1835
: Ce traité fut source de conflit, les tribus des Zmalas et des Douairs refusant
de payer la zakât (Achoura) a l’émir Abd El-Kader. Il abouti à l’accord du camp
des Figuiers ( »El Kerma ») le 16 juin 1835, entre les Aghas Mustapha Ben Ismail
chef des Douairs, Kadour Ben El Morsly chef des Beni Aâmer (Nomade) et Benaouda
Mazari chef des Zmala d’un côté, et le général Camille Alphonse Trézel de
l’autre. D’après les anciens, les Oranais maudissaient les Zmalas et les Douairs
( »allah yan’aal Zmalas oua Douairs wine ma tlakou »). L’Aghalif des Zmalas
englobe deux tribus : les Zmalas dits Beni Aâmer (Nomade) et la deuxième tribu
de l’époque Berbère (Mérinides) et pendant l’occupation française, cette tribu
était divisée en deux groupes : les Tenazet à l’est et les Meftah à l’ouest. Le
mots Zamel et inspiré de Zmala a cause de la trahison (karita) qui l’on faite le
16 juin 1935.
*El Ghoualem : Rappelons que son surnom du Almoravide vient de
l’arabe (M’rabtine). Sidi Ghalem (m’rabet), Et de descendance des Almoravide, Ce
qui a donné Naissance de La tribu d’El Ghoualem, Almoravide berbère du Sahara
occidental, (Saguya El Hamra).
*El Gherabas : Parmi les tribus qui vivaient à
Oran, El Gherabas (Ahl M’hamed), appelé aussi a cette époque les
Hemianes.
*1836 : Le général de Létang transforme les glacis du Château Neuf
en une promenade qui porte son nom.
*1837 : Le général Thomas Robert Bugeaud
débarque à Oran pour négocier un nouveau traité (la convention de la Tafna, 20
mai) avec l’Emir Abdelkader. Le 14 novembre, l’Emir Abdelkader signe un traité
avec Desmichel, qui reconnaît son autorité sur l’ouest de l’Algérie, sauf Oran,
Mostaganem et Arzew.
*1840 : Le général Lamoricière voulut débarrasser les
abords de la place Kléber des habitations indigènes, car la vieille ville était
considérée comme un quartier européen. Il fixe alors cette masse flottante
originaire des tribus des Al Mahaja, El Gherabas, El Ghoualem et Zmalas. 1845,
au Village des djalis situé sur un emplacement revendiqué par le domaine entre
la lunette Saint-André, le cimetière juif et celui de Sidi Bachir. Le général
Lamoricière a créé le premier quartier d’Oran principalement habité par des
étrangers, des proscrits, des renégats et en particulier les hommes de couleur,
d’où l’appellation (Village nègre). C’est en 1887 que les indigènes des
banlieues ont habité le quartier de nouveau, telles les tribus : El Gherabas, El
Ghoualem, Al Mahaja Et Zmalas, le quartier est devenu M’dina-Jdida (ville
nouvelle). Ce village a constitué le principal centre d’agglomération des
musulmans algériens dans la ville d’Oran.
*1845 : Hôpital Baudens, est le
premier hôpital militaire construit par les français et ouvert au public en
1849.
*1847 : Suite à une sècheresse dramatique de plusieurs mois, une
terrible épidémie de choléra frappe et décime une large part de la population
d’Oran.
*1848 : Oran devient préfecture du département homonyme. Création du
petit bassin du Vieux Port (quatre hectares). Un hôpital civil est édifié.
*
Le port d’Oran, A l’arrivée des Français tout était a refaire, pour doter une
ville naturellement. Les premiers travaux d’envergure commencèrent en 1848 et ne
finiront qu’en 1962.
*1849 : Construction de la chapelle de la Vierge pour se
protéger du choléra.
*1856 : création du Village Lourmel (El Amria) par
décret de L’empereur Napoléon III, Le village européen prendra officiellement le
nom de Louremel.
La gare d’Oran a vu le jour par décret impérial. Le 8 avril
1857 naissait la ligne ferroviaire Alger – Oran.
*Les membres du premier
conseil général d’Oran, nommés par l’empereur Napoléon III, se réunissent le 5
décembre 1858 à la préfecture, sous la présidence de Jules du Pré de
Saint-Maur.
*1860 : La construction du Marché couvert appelé Marché et Place
Karguentah (Place Zeddour Mohamed Brahim Kacem), il brûla en 1986.
*1860 :
Cimetière chrétienne (Tamazhouet) a été construit sur la terre rouge (El Hamri)
de la ferme Lamur, en extra-muros des remparts existant en ce temps-la, et après
la désaffectation du cimetière espagnol du fort San Fernando de Ras El Ain, a la
suite de sa saturation après les terribles épidémie du choléra a Oran en
1849.
*1866 : 25 juillet, Création du diocèse d’Oran.
*1870 : 22
septembre, Saint-Denis du Sig deviendra une commune de plein exercice, qui a élu
le premier maire.
* El- Hachemi Bensmir : Né en 1877 en son temps était l’un
des maîtres incontestés du genre bédouin, son grand succès fut la chanson (Biya
dek El mor).
*1880 : La Maison BASTOS, manufacture de tabacs construite vers
1880 a Oran. Elle est considérée comme la première industrie naissante dans la
ville. Sans oublier la cimenterie de la Cado, la première grande usine de
l’industrie Oranaise.
*1880 : Début de la construction de la Grande synagogue
d’Oran. Oran connaît une grande extension à partir de la place d’Armes. Le ravin
de l’Oued Rouina est comblé. La synagogue d’Oran est sur boulevard Maata (ex
boulevard Joffre). Ce lieu de culte est devenu, en 1975, la mosquée Abdellah Ben
Salem, celui-ci était un riche juif médinois qui se convertit à l’islam et resta
fidèle à sa nouvelle foi en Dieu jusqu’à la fin de sa vie. Le premier imam fut
cheikh Zoubir Abdelkader.
*1881 : Apparition des premiers omnibus traînés par
deux chevaux.
*1886 : Inauguration de l’hôtel de ville.
*1887 : Le lycée
Louis Pasteur ouvrit ses portes à Oran en 1937. Le lycée devint de ce fait, par
rapport au nombre d’élèves, l’un des plus grands lycées français.
*1892 :
dans les jardins de l’orphelinat de Misserghin, Le père Clément va récupérer les
fleurs de L’arbre et en faire un semis. La clémentine est née. Elle recevra son
nom officiel en 1902 par la société algéroise d’agriculture.
*1896 : il y
avait 15 524 Marocains en Algérie, le département d’Oran regroupait 11820. Le
nombre de Maroc dans le département d’Oran en 1936 est de 19902, dont 4395
vivaient dans la ville d’Oran.
*1899 : Premiers trams électriques desservant
la ligne de chemin de fer dite (Bouyou-You) et qui reliait la ville d’Oran au
village de (Hammam Bouhadjar).
*1900 : Le seuil des 90 000 habitants est
atteint.
*1903 avril : Émile Loubet, président de la République française en
visite à Oran.
*1907 : Édification du théâtre.
*1909 : 14 décembre, sur un
terrain de la Es-Senia, Julien Serviès effectue le premier vol retentissant en
Oranie, avec un monoplan Sommer. Le 9 janvier suivant, un grand meeting
rassemble quarante mille personnes, toujours à la Es-Senia, en présence du
Lyautey.
*1912 : Ouverture de la première école coranique libre et moderne de
Cheikh Tayeb Al Mahaji (Zaouïa de si Tayeb Al Mahaji) à Oran M’dina-Jdida
(Tahtaha). Après sa mort le vendredi 17 octobre 1969 il fut enterré au cimetière
Moul-Douma a Oran, il lèguera un patrimoine culturel de grande valeur dont les
œuvres traitent d’histoire, de linguistique et des sciences religieuses.
*DAR
EL KADI : Les bâtiments administratifs se composaient de la Mahkama (Dar El
Kadi), tribunal chargé des affaires relevant du statut musulman, d’un
commissariat de police, de l’hospice Bendaoud, petit hôpital et en même temps
dispensaire.
*1913 : Ouverture au culte de la cathédrale du
Sacré-Cœur.
*1920 : Création du premier club musulman à Oran, Union sportive
musulmane d’Oran (USM Oran) et finaliste de la coupe d’Afrique du Nord en
1954.
*1921 : AS Marine (Oran), est le premier club d’Oran Champion d’Afrique
du Nord de Football
*1925 : Le docteur Molle est élu maire d’Oran, et «
député anti-juif ».
*1927 : On construisit vers la fin des années vingt le
lycée Ardaillon aujourd’hui baptisé (Ben Badis).
*1930 : Création de nouveaux
quartiers, moins denses et plus luxueux, achevant l’urbanisation de la première
couronne, dans sa partie orientée vers l’intérieur du pays ; ces quartiers sont
Gambetta supérieur, Bon Accueil, les Castors, Médioni, Boulanger, Cité Petit… Ce
développement se poursuit tous azimuts avec la création de quartiers encore plus
somptueux, débordant la première couronne (quartier de Saint-Hubert, Les
Palmiers, Point du Jour, Gambetta…).
*1930-1932 : Oran Es-Senia est
l’aérodrome utilisé sur lequel sont établis plusieurs records mondiaux de durée
et de distance en circuit fermé.
*1930 : Il y a également La Mosquée et la
Médersa El-Hayat gérées par l’association des Oulamas (Islah) et le grand
dramaturge égyptien Youssef Wahby.
*1931 : CDJ. Est Le premier club d’Oran
vainqueur de la coupe d’Afrique du Nord de Football. Cette coupe est crée en
1930 sous l’égide de la Fédération française de football, cette compétition qui
prend pour modèle la coupe de France rassemble de nombreux clubs des cinq ligues
d’Afrique du Nord. CDJ (Club des joyeusetés) du quartier Derb qui joue au stade
du Calo. Derb El Houde, le quartier juif d’Oran qui a conservé très longtemps
son aspect pittoresque, très visité par les touristes. Il s’agit du quartier
Israélite ou « Derb ». Dés l’an 1000, la communauté s’est structurée. Et aux
13ème et 14ème siècles, les juifs de la méditerranée occidentale coopèrent avec
les commerçants juifs d’Oran.
*1932 : Début de la construction d’une route
longeant la corniche oranaise partant de la petite anse du Fort Lamoune,
anciennement appelé (Bordj El-Houdi), contournant la pointe au-dessus de ce
promontoire, pour gagner à flanc de montagne Sidi Dada-Youb, la rade et le fort
de Mers El Kabîr, soit plus de six kilomètres, dont 2 Km 400 furent taillés dans
le roc. La route fut achevée en avril 1835.
* Jetée, Cet endroit c’est le
fort Lamoune anciennement appelé Bordj El Houdi à la suite de la trahison d’un
juif qui a renseigné les troupes d’invasion espagnoles en 1509. Ce site est
celui qui a été à l’origine bien modeste du port d’Oran la pointe rocheuse de
Lamoune, qui termine la montagne du Murdjadjo.
* La Cueva d’El Agua, le mini
plage aux pieds des falaises était la station balnéaire populaire ou une grande
partie de jeunes s’y rendaient pour se baigner. Une grande pierre de forme
cubique qu’on appelait (la pierre rousse) servait de tremplin pour les meilleurs
plongeurs. La descendre par le Ravin Blanc ou le chemin de la Mina et dans le
Port en trouve des petits bateaux de plaisance, l’homme le plus célèbre de ces
bateaux fut celui à la pipe aux lèvres, qui avait le sobriquet de (Zem –
Zem).
*Sidi Dada-Youb (Bain de la Reine). Ce centre de plaisance balnéaire a
fonctionné pendant des siècles. Sidi Dada-Youb grand saint ayant guéri des
dizaines de malades par le miracle.
* L’Hôtel Royal, fréquenté par la
noblesse oranaise, était célèbre par son élégant restaurant le Grillon, un
endroit chic et distingué. C’était un lieu de rencontre des colons, des
bachaghas et de hauts fonctionnres.
* ASM Oran, fondé en 1933, s’inscrit dans
la foulée des grands clubs Nationalisme, par opposition aux clubs de Pieds
Noire, durant la période coloniales. Sa fondation serait due à des divergences
politiques entre les dirigeants du doyen des clubs oranais, en l’occurrence
l’USMOran. Certains dirigeants, en effet, sous la houlette de Feu Baghdad
Aboukébir, ex gardien de but, puis dirigeant influent, membre de l’Association
des oulémas musulmans algériens (Médersa El Falah) sous l’égide de Cheikh El
Miloud Al Mahaji a Oran.
*1935 : Construction par Vincent Monréal du stade
qui porte son nom, Appelé par la suite stade (Habib Bouakeul).
*1935-1939 :
Djenane Djato Une vaste zone occupée par d’anciens vergers. Servait d’espace
vide entre les quartiers de M’dina J’dida, Lamur, et Médioni. Elle était libre
de toute construction au début des années trente, hormis un mausolée abritant la
tombe de Sidi Khrouti Bel Mekssoud Al Mahaji. La première édification fut la
prison civile d’Oran, sans oublier l’ancienne prison d’Oran qui s’appelait alors
Bab El Hamra situé au quartier les planteurs.
*1937 ; MÈDERSA EL-FALAH :
L’association El-Falah a été créée sous l’égide de Cheikh El Miloud Al Mahaji,
ce Travail exaltant et de longue haleine fut entamé par la construction de la
première Medersa libre (El-Falah) de Médina J’dida (Tahtaha). Mort le 17 juin
2001, il fut enterré au cimetière de Ain Beida à Oran. Cheikh El Miloud Al
Mahaji, le premier étudiant de l’ouest algérien du cheikh Ben Badis à
Constantine (Algérie) , Sans oublier que la familles de Cheikh El Miloud Al
Mahaji qui s’est installée a Oran vers la fin du 18e siècle auprès du Bey
Mohamed El Kébiie a Oran.
*DARA (Ronde) avait aussi ses derviches et ses
personnages de légende, comme le violoniste aveugle Benyamina, avec son
inséparable compagnon Harrandou.
*1940 : Début de la construction de la
nouvelle préfecture.
*École Avicenne (Ibn Sina), Il se trouve dans le
Quartier Lyautey première école des indigènes.
*1940 : 3 juillet, la flotte
française de l’Atlantique basée à Mers el Kébir, est bombardée par la flotte
britannique, en provenance de Gibraltar, entraînant la perte de trois cuirassés
: le  »Dunkerque », le  »Provence » et le  »Bretagne ». Mille deux cents marins
périssent.
*1941 : 14 janvier, Le prix Nobel de littérature Albert Camus
arrive à Oran avec Francine Faure, la jeune Oranaise qu’il épousera à Lyon en
France à l’âge de 28 ans, il s’installe a présent avec sa femme dans un
appartement prêté par sa belle-mère Christiane sur la Rue d’Arzew (actuellement
Larbi Ben M’Hidi).
*1941 : les jeunes juifs d’Oran frappés par le numerus
clausus imposé par le gouvernement de Vichy, quittent l’école Française. André
Benichou ouvre sa fameuse école privée ou a enseigné Albert Camus.
*1942 : 8
novembre, prélude au débarquement en Italie ; c’est au tour des Britanniques et
des Américains de débarquer à Arzew et sur les plages des Andalouses, les
troupes (pétainistes) du régime de Vichy pro-allemandes, procèdent à des tirs à
partir des batteries de Gambetta. Le 10 novembre, Oran capitule, Le commandant
en chef des troupes américaines était le général Eisenhower. L’Année des Bons
(3am el boune), Chéragas les habitants de l’Est d’Oranie Mazouna et Relizane,
ont subi l’exode vers la ville d’Oran. Ces derniers on semaient la dégradation
sur la ville oranaise, pendant ce temps la ville d’Oran est devenue très
insalubre, et malsaine. Les Citadins d’Oran ont donnaient l’Appellation (Chéraga
raga raga el h’bouba wa deraga).
*1942 : lors du débarquement Américain à
Oran, Blaoui El Houari il fut engagé comme pointeur aux docks du port. Sans
oublier que le martyr Ahmed Zabana fut l’ami d’enfance du grand cheikh de la
chanson oranaise ils ont étudié ensemble le coran en compagnie du martyr Hamou
Boutlelis à la zaouïa de Cheikh Tayeb Al Mahaji, il puisera dans le répertoire
des vieux bédouins oranais. Ses maîtres seront cheikh el khaldi, cheikh Madani
et Mostefa Ben Brahim. Blaoui El Houari lui-même un révolutionnaire qui fut
incarcéré en prison qui est située dans une ferme utilisée comme camp de
concentration (ferme Cola) a Sig (Algérie) aujourd’hui occupée par une fabrique
de chaussures, et ce durant la guerre de libération (1954-1962).
* Cimetière
chrétien au quartier de Petit-Lac appelé le cimetière des Alliés construit en
1942 pour recevoir les dépouilles des militaires tués lors de la deuxième Guerre
mondiale.
*1943 : Les années noires de la Deuxième Guerre mondiale, En ce
temps-la, ni la veuve, ni la personne âgée, ni l’orphelin, toute la ville a
connue la famine a cette époque, la période la plus difficile, L’alimentation
était rare et les soins aléatoires en face des grandes épidémie, telle que le
typhus (aâme typhus).
*1943 : Le café El-Widad a été crée par un groupe de
militants nationalistes en plein centre ville européen d’Oran. Cet établissement
jouera un important rôle dans le développement du patriotisme algérien. Au fil
du temps, il devient un centre de regroupement des différentes tendances
représentatives des partis de l’époque.
*1945 : La police des renseignements
généraux, a regroupé par la force, les nationalistes de tous bords, Oulémistes
et les partisans du P.P.A, a la suite des graves événements de Sétif ,Guelma et
Kherrata..
*1945 : Durant les évènements du 8 mai 1945, elle sera à
l’avant-garde en menant des opérations humanitaires et de solidarité envers les
orphelins de la région de Sétif, Guelma, Kheratta. La Médersa El Falah d’Oran
dirigée par Cheikh El Miloud Al Mahaji et de ses proches collaborateurs du
comité de La Médersa Cheikh Saïd Zemouchi, Si Ali et le dynamisme de Setti Ould
Kadi (Caida Halima) et Keira Bent Bendaoud, elle organisera le placement
d’orphelins dans l’ouest du pays et notamment dans la ville d’Oran, elle n’avait
pas placé les orphelins de manière anarchique. Elle a choisi des familles de
l’époque et elle leur a demandé de les accueillir comme un service patriotique à
rendre à la nation. C’était la meilleure façon de leur rendre la vie moins
difficile qu’elle ne le soit à l’époque.
MC Oran : 14 mai 1946, veille de la
fête musulmane Leilat el Mawlid Ennabaoui Echarif, que se réunissent cinq
personnes dans un salon de coiffure a la palace sahara au quartier Lamur –
l’actuel (El Hamri) chez si Ahmed le coiffeur, c’est la ou les cinq oranais se
sont mis d’accord pour fonder le Mouloudia Club d’Oran (MC Oran). Omar Rouane
Serrik (premier président du Club), Le cérémonial de fondation du Mouloudia
s’est déroulé en présence de Cheikh Saïd Zamouchi, le représentant de l’influent
Cheikh Tayeb Al Mahaji le grand Imam de la ville d’Oran.
*1946 : El-Jrad a
Oran, au printemps le ciel s’assombrit subitement. Une tempête de sauterelles
s’abat sur les toits, se rue sur les arbres et les espaces verts, tout devient
noir. (Aame jrad).
* SCM Oran, Fondation du Club avant 1946, le club
s’appelait d’abord (LE BRILLANT) qui regroupe des joueurs issus du quartier
Boulanger habité par les espagnoles et Médioni habité par une majorité
musulmane, Apres 1946, le club ne représente plus que le quartier Médioni avec
la nouvelle dénomination SCM Oran.
*1947 : Oran est devenue la ville de la
peste ce qui a inspiré à Albert Camus son fameux livre ( »La Peste »), sachant
qu’il est natif de Mondovi, actuellement appelée Dréan ville appartenant a la
willaya d’El-Taraf de l’extrême Est algérien.
*1948 : Dar El-Chakouri:
Edifice de style hispano-mauresque d’une grande beauté architecturale construit
en 1948. Cette institution était la maison des combattants musulmans (Dar
El-Askri), soldats de l’armée française libérés a la fin de la seconde Guerre
mondiale (1939-1945) Elle possédait un service administratif pour les pensions,
un service d’aide sociale, un service de l’état civil.
Un événement survint
en 1948, à Oran, qui mit aux prises les deux communautés juive et musulmane. Ce
fut la création de l’Etat d’Israël par les Nations unies. À l’occasion de la
célébration de la Pâque juive, en avril 1948 en sortant du cimetière juif de la
Ville Nouvelle. Des bagarres éclatèrent, faisant de nombreuses victimes. Depuis,
cette nouvelle situation engendra une profonde déchirure entre les deux
communautés d’Oran.
*1949 : la construction du front de mer.
*1949 :
avril, dans un hôtel d’Oran « Hôtel de Paris » Ahmed Ben Bella, Hocine Aït Ahmed
deux responsables de l’os du PPA en compagnie de Hamou Boutlelis avaient préparé
l’attaque de la poste d’Oran.
*Sahâb El Baroud wal Karabila : L’association
folklorique Banda Ezzahouania (Banda Joyeuse) et Nedjma (l’Etoile), les deux
troupes créées au début du siècle activaient dans les quartiers musulmans dont
Tahtaha. Elle officiait lors des fêtes religieuses durant la semaine du Maoulid
En-Nabaoui.
*1950 : Oran compte 256661 habitants. La population oranaise
originaire d’Espagne est estimée à 65 % du total des Européens, eux-mêmes plus
nombreux que les musulmans.
Le Grand Casino, est Ce fameux cinéma qui a été
reconverti en 1950 en garage pour véhicules appelé le (GARAGE DE LA
PAIX).
*1952 : la ville d’Oran est marquée par de profondes mutations dont la
plus importante fut celle de l’approvisionnement en eau douce. Vieux projet du
maire d’Oran, entamé par l’abbé Lambert dans les débuts des années quarante,
Mais c’est sous l’autorité de monsieur Henri Fouquès-Duparc, le maire d’Oran,
qu’il fut réalisé.
*1952 : Ouverture de la Cantine Scolaire par le maire
d’Oran Henri Fouquès-Duparc.
*1953 : Ouverture du Grand Marché Sidi Okba à
M’dini Jdida par le maire d’Oran Henri Fouquès-Duparc. Profanation du cimetière
juif d’Oran.
*1954-1962 : C’est la guerre d’Algérie les juifs, dans leur
grande majorité, resteront plus ou moins neutre. Mais devant l’inexorable destin
d’une Algérie indépendant, un grand nombre de juifs rallia l’OAS quelques rares
autre sont restés aux côtés du FLN.
*1954 : le martyre Ahmed Zabana (Zahana)
a tenu une réunion avec son groupe de combattants au cours de laquelle furent
réparties les missions et définis les objectifs ainsi que le point de ralliement
à Djebel El Gaada, a Ghar Boudjelida (grotte de chauve souris) banlieue d’Oran
qui était le P.C (poste de commandement) de la ville d’Oran pendant la
révolution (Willaya v).
*1954 : la bataille de Ghar Boudjelida à El Gaada, le
8 novembre 1954 au cours de laquelle Ahmed Zabana (zahana) fut capturé par
l’ennemi colonialiste après avoir été atteint de deux balles. Ahmed Zabana
(Zahana) le premier martyre qui fut transféré vers la prison Barberousse
(Serkadji) pour être guillotiné. Ahmed Zabana (Zahana) Descendant de l’un des
Tribus de Al Mahaja.
* Ghar Boudjelida : il se trouve à El Gaada, prés d’Oran
qui était le P.C. (Le poste de commandement), de la ville d’Oran pendant la
révolution (Willaya v). Dans l’Histoire de la révolution du 8 Novembre 1954, La
Grande bataille de Ghar Boudjelida.
*1954 : le 2 novembre 1954, Zeddour
Mohamed Brahim Kacem (fils de Cheikh Tayeb Al Mahaji), l’un des « cerveaux » de
la révolution algérienne, fut arrêté par les forces de répression quelques jours
seulement après son retour d’Égypte, ou il était étudiant et en même temps l’un
des animateurs directs du mouvement nationaliste au Caire. Il est le premier
martyre étudiant de la révolution. En effet, Il succomba à Alger, quelques jours
après son arrestation, sous la torture par les agents de la DST. Si Kacem fut
enterré dans une fosse commune dans le cimetière chrétien de fort-de-l’eau
aujourd’hui appelé (Bordj El Kiffan).
*1954 : ouverture des abattoirs
municipaux sur la zone industrielle de Saint-Hubert, On abattait le matin de
bonne heure les bêtes, bovins, moutons et chèvres destinés à la consommation de
la population Oranais. Sans oublier les abattoirs les plus anciens d’Oran situés
au quartier Saint Eugène.
*ARÉNES D’ORAN, 1956 Corrida les arènes servirent
de centre de tri aux forces de répression. A l’indépendance en 1962 on essaya de
trouver un plan de charge culturel pour animal cette imposante infrastructure
(TORO – BALL).
*1956 : Février, le FLN lance un mot d’ordre de grève. À Oran
ce sont les dockers, en grande majorité des musulmans, constitués en un puissant
syndicat affilié à la CGT qui donne le départ au mouvement le 2 février et
décide de se rendre en cortège, de la ville arabe jusqu’à la
préfecture.
*1956 : le préfet d’Oran (Igame) Lambert procéda à la fermeture
de la Médersa El-Falah qui devint un centre de tortures et d’interrogatoire de
l’armée France|française durant la révolution.
*1957 : Hamou Boutlelis a été
enlevé par les militaires français a la veille de sa libération après 8 ans
passés en prison a cause de son militantisme au sein du Parti du peuple
algérien|PPA]] et jusqu’a nos jours on n’a plus retrouvé sa trace. Hamou
Boutlelis natif d’Oran ou il a étudié le Coran à la Zaouyet du cheikh Tayeb Al
Mahaji, sa famille est originaire de la tribu des Douar M’lata (El
Ghoualem).
*1957 : Ahmed Wahbi (Driche Ahmed Tidjani), Il rallie la troupe du
FLN avec laquelle il sillonne les capitales de l’ex-bloc socialiste, de la
majorité des pays arabes et de l’Asie (République populaire de Chine notamment).
Devant les djounouds des camps des frontières Est, il chante (El Djoundi). Après
l’indépendance du pays, il compose et enregistre bon nombre de ses œuvres
clés.
*1958 : Construction du stade municipal baptisé « Henri
Fouquès-Duparc », dans le quartier Lyautey d’une capacité de quarante-cinq mille
places. Et l’inauguration du stade par Un Grand match de gala opposant RÉAL
MADRID (ESP) – STADE DE REIMS (FRA), Real Madrid est Champion d’Europe, Reims
est Champion de France. Le stade municipal appelé par la suite stade du 19 juin
aujourd’hui rebaptisé stade Ahmed Zabana.
*1958 : 2 janvier, Ali Chérif
Chriet, le dernier chahid à être exécuté par la guillotine. Sa famille est
originaire de la ville de Sig.
La Cueva d’El Agua, la mini plage aux pieds
des falaises était la station balnéaire populaire ou une grande partie de jeunes
s’y rendaient pour se baigner. Une grande pierre de forme cubique qu’on appelait
(la pierre rousse) servait de tremplin pour les meilleurs plongeurs.La descendre
par le Ravin Blanc ou le chemin de la Mina et dans le Port en trouve des petits
bateaux de plaisance, l’homme le plus célèbre de ces bateaux fut celui à la pipe
aux lèvres, qui avait le sobriquet de (Zem – Zem).
*1958 : 6 juin, visite du
général de Gaulle à Oran.
*M’Hamed Benzerga : Né en 1936 a Misserghin et mort
en 1959 écrivain public a Oran comme Ahmed Saber, il taquine aussi bien la muse
théâtrale que musicale. Benzerga enregistre en 1957 aux éditions (Tam Tam) à
Marseille son premier disque. Sa trajectoire fulgurante qu’un accident de
voiture arrêtera brutalement.
*1960 : Construction du plais des sports
baptisé par le maire d’Oran Henri Fouquès-Duparc.
*1960 : Premières
barricades.
* 1960 : profanation du cimetière juif d’Oran.
*1961 : Août,
apparition de OAS. Les statistiques donnent à Oran 400 000 habitants : 220 000
Européens et 180 000 musulmans. Le couvre-feu est décrété 0 21 heures. La ville
est partagée en deux. Le FLN contrôle les 180 000 musulmans de M’dina Jdida, des
faubourgs Médioni, Lyautey, Lamure et Petit Lac sur lesquels flotte le drapeau
vert. L’O.A.S contrôle les quartiers du centre, Gambetta, Eckmühl, Saint Eugène
et la Marine.
*1962 : Recrudescence des attentats. L’un des chefs de l’OAS,
Edmond Jouhaud, est arrêté le 25 mars. Juin : incendie du port. Dix millions de
tonnes de carburant en feu obscurcissent le ciel de la ville. Massacre du 5
juillet 1962. Fin de la présence Française.
*1962 : le 5 juillet (Fête de
l’indépendance), l’enlèvement et l’assassinat par le FLN de plusieurs milliers
de Pieds Noirs. Au bas de la rue de la révolution, à 11h15 du matin, des coups
de feu éclatent entraînent une panique générale. La foule se lance dans un
massacre vengeur de tous les occidentaux. Il y eu de nombreuses victimes et
parmi celles-ci 10 juifs d’Oran. Cheikh Tayeb Al Mahaji condamna ces crimes.
Plus tard le président Ahmed Ben Bella a arrêté les commanditaires de ces
massacres.
*1962 : Place Jeanne d’Arc la statue a été rapatriée après
l’indépendance à Caen.
*1962 : En septembre, Médersa El-Falah réouvre ses
portes afin de donner de nouveau de l’enseignement religieux. Beaucoup de
medersas annexes El-falah furent entre temps créées dans la ville d’Oran, Lamur,
Sidi El Houari et Carteaux.
* Casbah, travers les siècles cette résidence
fortification fut appelée successivement la citadelle, la casbah ou caserne
neuve, érigée par la dynastie musulmane des mérinides au XIVéme siècle, puis
conquise et occupée par les Espagnols de 1509 a 1792, ensuite par les beys turcs
de 1792 a 1831, enfin par les Français de 1831 a 1962. Récupérée par l’ANP en
1962.
*1962 : En septembre, Élection de Ahmed Ben Bella à la présidence de la
république.
*CENTRE HOSPITALIER D’ORAN : En 1962 le premier directeur Arabe
du hôpital d’Oran
C’était Docteur Mostefa Naît.
*Benacer Baghdadi, connu
sous le nom d’artiste Ahmed Saber, il a fréquentera régulièrement l’école
coloniale Avicenne (Ibn Sina) au quartier Lyautey et ce jusqu’a 1950, très
studieux il passera en sixième dans le lycée lamoriciére (Pasteur) et fera ses
premiers pas dans la musique en composant sa première chanson (zine fi el alali)
qu’il enregistrera d’ailleurs en 1960, avait fait partie de la catégorie minime
au MCO. Le régime de Ahmed Ben Bella avait incarcéré Saber en prison à cause de
la fameuse chanson (Bouh-Bouh wal khadma wallet oujouh) (Iji n’harek ya El
Khayen) critiquant ce régime despotique. Durant son incarcération, Saber avait
contracté une grave maladie qui le mina jusqu’à l’ultime échéance, il est mort
en juillet 1971.
*1963 : Il ne restera que 850 juifs à Oran qui rejoindront
soit la France ou Israël, quelques années après.
*1965 : 17 juin Oran Le
Grand Match Amical du siècle en Algérie opposant l’Algérie au Brésil a été joué
au stade Municipal (Ahmed Zabana) devant 60 000 Spectateur. Monsieur Ahmed Ben
Bella le premier Président de la République Algérienne, et ancien joueur de
l’OMarseille était présent pour saluer les géants du Brésil (Manga, Santos,
Dudu, Vava, Pelé et Garrincha) et les grands joueurs Algériens de l’époque
(Zerga – Melaksou, Bourouba, Zitouni, Salem – Lekkak, Defnoun – Soukhane,
Mekhloufi, Oudjani, Mattem (Firuk), Bouhizeb, Nassou, Hachouf, Attoui, Ould-Bey,
entraîné par Abderrahmane Ibrir). A rappeler que le président Ben bella est le
fondateur de l’équipe de football de sa ville natale, IRB Maghnia.
*19 juin
1965 : deux jours après le match amical Algérie – Brésil qui se déroula à Oran
au Stade Municipal (Ahmed zabana) auquel Ben Bella avait assisté, il fut
renversé par son propre ministre de la Défense Houari Boumediene Son vrai nom
Mohamed Boukharouba.
*Le Martinez : À la fin des années soixante, le célèbre
hôtel Le (Martinez) dont la construction remonte au XIX, a souffert des
glissements de terrains ce qui a incité les autorités à sa démolition pure et
simple.
* Souyah El Houari Né le 21 septembre 1915 souiyah houari,
représentant de commerce, est le secrétaire général de la section d’Oran des
A.M.L en 1944. Membre du comité régional de l’Oranie du PPA, il est arrêté à la
suite de l’événement de mai 1945. Libéré, il participe à la conférence des
cadres de la Bouzareah en 1946. Houari Souiyah est adjoint au maire d’Oran et
tête de liste du M.T.L.D à l’élection municipale du avril 1953. Au moment de la
crise du M.T.L.D, avec A.Bouda et M. Ben Boulaid, il rencontre Messali à Niort
les 23 mars 1953, Il entre au comité central à la suite du congrès d’avril, et
prend position pour le cours centraliste. Arrêté en 1954, puis libéré en 1955,
il aide à la constitution des groupes armés du F.L.N à Oran. Après
L’indépendance, Houari Souiyah devient préfet d’Oran, député a L’Assemblée
nationale algérienne en septembre 1962, membre du comité central du F.L.N en
1964 – 1965.
* LA MAIRIE D’ORAN, Le premier d’entre est BENABDELLAH, nommé
directement après l’indépendance en juillet 1962 une Année après, le 18 juin
1963. BOUDRAA BEL ABBES l’remplacé Le troisième de la délégation spéciale que la
mémoire de ces collaborateurs retient encore est SEGHIER BEN ALI, IL a été
précédé par HADJ BRAHIM TAYEB MOKHTAR Al MAHAJI dont le règne n’a duré que
quelque mois. Le 20 juillet 1965, SEGHIER BEN ALI a été installé. Il Sera deux
ans plus tard élu comme premier maire de la ville d’Oran.
*Cheikh Fethi. Le
maître de la chanson Rai. Né en 1957 à Oran et mort en novembre 2001. Son style
est typiquement oranais de voix nasonnée. Son père Didene, alias Boumediene, fut
animateur avec le chanteur Blaoui El Houari. Après son divorce qui fut un
traumatisme indélébile et ses chansons en reflétaient son vécu, c’est-à- dire
elle sont teintées de tristesse et de nostalgie. Cheikh Fethi a influencé Cheb
Hasni qui ne chantait que son répertoire sentimental. D’ailleurs c’est Cheb Hani
qui l’a appelé pour la 1ere fois Cheikh Fethi dans sont Album.Cheikh Fethi Ses
Maîtres seront Cheikh El Khaldi et Cheikh Mostefa Ben Brahim .Suite à une longue
maladie, Cheikh Fethi s’est éteint en 2001 et enterré au cimetière de Ain-Beida.

*Personnalités Pieds-noirs de la Ville d’Oran.

• Jean Benguigui, né en 1944, acteur français
• Pierre Bénichou, né en
1938, journaliste français.
• Louis Bertignac, né en 1954, musicien
français.
• Albert Camus (1913-1960), écrivain français.
• Alain Chabat
(1958-), comédien français.
• Etienne Daho (1956-), chanteur français.

Orane Demazis (1894-1991), comédienne française.
• Jean-Pierre Elkabbach, né
en 1937, journaliste français.
• Renée Gailhoustet, né en 1929, architecte
française
• Nicole Garcia, né en 1946, actrice française.
• Sophie Garel,
née 1942, animatrice de télé et de radio.
• Maurice El Médioni, né en 1928,
musicien.
• Régis Obadia, né à Oran en 1958, chorégraphe français de danse
contemporaine.
• Emmanuel Roblès (1914-1995), écrivain français.
• Yves
Saint-Laurent, né en 1936, couturier français.
• Karin Viard, née le 24
janvier 1966 à Oran, actrice français.

*Les Saints patrons (Aoulias El Soulah) de la Ville d’Oran. Sidi El Bachir,
Sidi Mokhtar, Sidi El Hasni, Sidi Snousi, Sidi Mokhfi, Sidi El Houari, Sidi El
Fillali, Sidi Bennacef, Sidi Blel, Sidi Abdelkader Moul-Douma, Sidi Ahmed El
K’bayli, Sidi Abdelbaki Benziane, Sidi Moussa a Kristel et la grande Zaouïa d’Al
Mahaja.
*Les vrais habitants de la ville d’Oran jusqu’au XV sont les
descendants des tribus : El Gherabas, El Ghoualem, Al Mahaja, et
Zmalas.
Arrondissements d’Oran :
• 1er: Sidi El-Houari (Casbah, St-Louis,
Vieux Port)
• 2nd : Sidi El Bachir (St-Charles, Plateaux, Centre Ville)

3e : Ibn Sina (Victor Hugo, Cavaignac, Delmonte)
• 4e : El-Makkari
(Saint-Eugène, Les Castors, Petit Lac)
• 5e : El-Hamri (Medioni, Lyautey,
Lamur, Saint-Hubert)
• 6e : El Badr (Boulanger, Choupot, Magnan,
Sananès)
• 7e : Es-Seddikia (Carteaux, Point du Jour, Gambetta,
Falaises)
• 8e : El Menzeh (Canastel)
• 9e : El Amir (Miramar, Bel Air,
Saint-Pierre)
• 10e : El Othmania (Maraval, Cuvelier, les Palmiers)
• 11e
: Bouamama (Cité Petit, Planteurs)
• 12e : Es-Saada (Ekhmühl,
Saint-Antoine).
*Sans oublier que la ville de Wahran se compose de part son
histoire de plusieurs peuples qui ont toujours vécu ensembles de différentes
communautés ethniques (Phéniciens, Vandales et Romain, ainsi les Juifs, les
Turcs, les Espagnols, les Berbères, les Arabes, les Français et enfin par les
Algérien.
*SOURCE : Certains passages de ce texte ont été tirés de certains
livres d’histoire d’Oran, d’autres oralement et par internet.

**Trouvé dans le site: decouverte-algerie.fr

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Oran – Monte-Cristo le port Mers El Kébir – juillet 1962

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un site sur Oran et son histoire: El GAADA et la Porte D’Oran

un site de photos d’Oran

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1  122 réponses à “Histoire d’Oran”

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