au nom de la fleur

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Cette fleur magnifique est nommée « sabot de vénus » …c’est une plante protégée qui appartient à une des familles les plus représentées en nombre, celle des orchidées.

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* rose trémière

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la rose – il y a environ 300.000 espèces de plantes à fleurs connues dans le monde

 JE NE SUIS PAS UN OISEAU - Est oui s'est vrai je suis une jolie fleur hélas je ne vole pas

 *Oiseau de Paradis

Oiseaux du paradis

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*Rocouyer.

Heliconea

*Héliconéa.

Fleurs des antilles

*Orchidée.

Fleur tropicale

*Fleur de Kalanchoes.

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  +la forme des plantes.. et ses secrets.

comment se forme… la forme des plantes. Qu’est-ce qui pousse une plante à produire tantôt des feuilles, des racines, des boutons floraux, toutes choses qui ont une forme différente? Cette question de la forme des organes est étudiée de longue date, chez les animaux comme chez les plantes. Qu’un amas de cellules embryonnaires indifférenciées produise des membres, un cœur, une tête, une fleur, est un processus qui a fasciné des générations de scientifiques. Au cours des trente dernières années, on a découvert quelques clés de ce mystère. Des gènes dits «architectes» ont été isolés, qui contrôlent la production de protéines impliquées dans le dessin des organes. Chez les plantes, des gènes similaires ont été découverts, qui contrôlent, par exemple, la forme des pétales. Ces gènes architectes sont nombreux ; ils opèrent en cascade, l’effet de l’un interagissant sur l’autre. Cependant, on sait que ce réseau de régulations génétiques ne détermine pas seul la forme des plantes. Il y a d’autres facteurs. Lesquels ? On a découvert récemment que la forme des plantes dépend non seulement de certains gènes, mais aussi de facteurs physiques comme les forces mécaniques . On a étudié les méristèmes, ces cellules souches végétales qui forment les feuilles et les fleurs. Les chercheurs ont montré que les cellules du méristème résistent aux forces résultant de la croissance cellulaire. Sous cette contrainte mécanique, leur «exosquelette» – qui détermine la rigidité de la plante – réagit, ce qui permet au tissu de se plier et aux fleurs de se détacher du méristème. En l’absence de cette réaction, on assiste à la formation d’une boule de cellules difformes surmontant le méristème : cela se produit chez certains mutants qui n’ont pas, pour des raisons génétiques, cette capacité de réponse aux stress mécaniques. Ce dialogue entre génétique et physique que a été mis en évidence chez les plantes apparaît comme fondamental dans tout le vivant. Il a également été repéré, récemment, chez l’embryon animal : la pression exercée par une cellule sur l’autre joue un rôle dans la détermination de leur fonction respective ultérieure. On a fait cette découverte sur la forme des plantes grâce à une collaboration entre généticiens, physiciens (qui ont analysé les forces mécaniques) et mathématiciens (qui ont modélisé plusieurs réponses possibles de la plante selon les hypothèses formulées). Ce travail s’inscrit dans un domaine de recherche en pleine ébullition : celui qui explore les systèmes complexes. Ce sont des systèmes où différents facteurs interagissent en boucle. Ils existent en physique, en mathématiques, en biologie, mais aussi en économie… De façon intéressante, ils sont régis par les mêmes phénomènes que l’on commence à analyser en détail. De fait, l’étude des systèmes complexes embrasse aussi bien la crise financière que la croissance des plantes ! ( Travaux publiés dans Science du 12 décembre.)

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*Il y a au moins 1.000 milliards d’odeurs différentes

*L’homme peut distinguer au moins 1.000 milliards d’odeurs différentes, soit bien plus que le chiffre de 10.000 jusqu’ici retenu par la science, assure une étude américaine publiée jeudi 20.03.3014.

Depuis des décennies, la littérature scientifique estimait que le nez humain ne pouvait détecter que quelque 10.000 effluves, rappelle Leslie Vosshall, directrice du laboratoire de neurogénétique de l’Université Rockefeller à New York, co-auteur de ces travaux publiés dans la revue américaine Science.
« C’est le nombre généralement accepté », dit-elle. « Mais notre analyse montre que la capacité humaine à faire la distinction entre les variations d’odeurs est beaucoup plus étendue que ce qui est généralement soupçonné », souligne la chercheuse. Selon elle, il aurait été surprenant que la capacité olfactive humaine puisse avoir été aussi limitée, étant donné que les autres sens sont beaucoup plus développés. 

Pour cette étude, les chercheurs ont soumis 26 personnes à de multiples combinaisons complexes de 128 molécules odorantes différentes qui seules peuvent évoquer l’herbe, des agrumes ou différents produits chimiques. « Nous ne voulions pas que ces odeurs soient facilement reconnaissables ainsi la plupart des mélanges que nous avons créé étaient très désagréables et étranges », explique la scientifique. « Nous avons fait en sorte que les participants se concentrent bien… », précise-t-elle.
Les chercheurs ont demandé à ces volontaires de faire 264 comparaisons de ces différentes combinaisons avec des odeurs connues. A partir de ces échantillons ils ont extrapolé pour estimer combien d’odeurs une personne moyenne pouvait distinguer si on lui soumettait toutes les combinaisons possibles de ces 128 molécules odorantes, ce qui représente un nombre astronomique. Ils ont déterminé qu’un sujet moyen était capable de faire la distinction entre au moins 1.000 milliards d’odeurs. * Source: Belga-jeudi 20.03.3014.

*Les 10 catégories d’odeurs les plus répandues

SCIENCE – « Pop-corn », « citron », « écœurant »: voici trois des dix genres d’odeurs que nous pouvons sentir selon les résultats des recherches d’une équipe de scientifiques publiées récemment dans la revue PLOS ONE.

C’est à partir d’une base de données datant de 1985 (Atlas of Odor Character Profiles, d’Andew Dravniek) que ces scientifiques ont mené leur étude. Il s’agissait d’une liste de 144 combinaisons olfactives. A partir de ces odeurs, telles que cannelle, floral ou bois de cèdre, les chercheurs ont voulu mettre le doigt sur les principales, celles qui sont les plus récurrentes.

De 144 odeurs à 10 catégories

Leur méthode mathématique à base d’algorithmes est complexe. La revue Live Science la résume de la façon suivante: « la technique est similaire à une compression d’un fichier numérique, dont la taille réduit sans sacrifier les informations utiles ».

De leurs analyses, dix catégories tirent leur épingle du jeu: « parfumé », « boisé, résineux », « fruité, autre que citron », « écœurant » (qui revient une seconde fois), « chimique », « mentholé, menthe poivrée », « sucré », « pop-corn ». La catégorie « pop-corn » est par exemple décrite par les termes suivants: brûlé, enfumé, beurre de cacahuètes ou encore amande et gras.

Ces catégories sont plus complexes qu’elles n’en ont l’air. Dans « pop-corn » on retrouve la description « boisé, résineux », qui est elle-même une catégorie. Les chercheurs expliquent ceci par le facteur du langage: on n’a pas assez de vocabulaire pour décrire l’incroyable complexité des odeurs.

Pourquoi 10?

Alors, pourquoi 10 catégories? « La question reste ouverte de savoir combien de types fondamentaux d’odeurs existent », admet Jason Castro de l’université de Bates, l’un des auteurs de cette étude. Il explique que le nombre de catégories aurait très bien pu être arrêté à 9 ou 11, mais que 10 était le plus petit nombre capable de capturer les caractéristiques intéressantes des odeurs.

Les recherches dans le domaine de l’odorat ne s’arrêteront donc pas à cette étude. Des cinq sens, c’est celui qui est le plus compliqué à étudier et comprendre. On sait par exemple qu’il existe cinq types de récepteurs gustatifs (sucré, salé, acide, amer, glutamate). On connaît également la longueur d’ondes des couleurs. Mais pour les odeurs, c’est une autre histoire. En ce sens, cette classification en dix catégories est une belle avancée.

Sur le site ABC, le neuroscientifique spécialiste des sens David O’Carroll le souligne: « Ce qu’ils ont fait pour la première fois, c’est l’utilisation d’une intelligente technique mathématique pour rassembler ces différentes odeurs en dix groupes liés les uns aux autres en termes de produits chimiques qui les stimulent. »

Voir et prévoir les odeurs

L’enjeu majeur de cette recherche? Pouvoir « voir » les odeurs, c’est-à-dire reconnaître leur composition chimique. Ce serait une avancée de taille pour certains secteurs, celui de la parfumerie en premier lieu, qui pourrait ainsi identifier les odeurs sans les sentir. Connaître la « forme » des odeurs pourrait également permettre de prévoir ce qu’on va sentir, et reproduire des odeurs de la vie de tous les jours (déodorants, savons, café…)

Cette idée un peu folle était d’ailleurs expérimentée dans le cadre du Olfactive Project qui se tenait à Paris jusqu’au 15 septembre. On pouvait alors transmettre une odeur de cappuccino par une machine intitulée Ophone. Qui sait, peut-être qu’un jour on pourra se transmettre des messages et des appels olfactifs comme on s’envoie des photos par email ou des MMS. Si c’est le cas, le prochain article sur ce sujet sera accompagné de l’odeur du café de la rédaction.

*Le HuffPost | Par Marine Le Breton-: 20/09/2013

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*L’odorat permettrait de détecter des émotions

ÉMOTIONS – Si l’on vous disait que l’émotion humaine avait une odeur, le croiriez-vous? Des chercheurs, de l’Université d’Utrecht aux Pays-Bas, ont déduit qu’il était possible de « flairer », au premier sens du terme, des émotions humaines comme la peur ou le dégoût grâce à des signaux chimiques excrétés par le corps.

À la suite de leur expérience, ils ont également observé que ces signaux chimiques, « sentis » par d’autre personnes, provoquaient exactement la même réponse émotionnelle.

Pour l’étude, publiée dans la revue Psychological Science, les chercheurs ont choisi un groupe d’hommes. Ces derniers ont été soumis à un régime spécial pendant deux jours avant l’expérience, afin que leur hygiène de vie et leur alimentation ne viennent pas accentuer leur odeur corporelle.

Pour ce faire, interdiction leur a été faite de consommer des aliments trop odorants, de fumer, de boire, ou encore de faire du sport. Leurs produits d’hygiène quotidiens tels que déodorants et mousse à raser ont aussi été remplacés par des produits sans odeur.

C’est quoi cette odeur? Un film d’horreur

Le jour de l’expérience, les chercheurs ont demandé aux hommes de regarder des films provoquant soit un sentiment de peur, comme un film d’horreur, soit un sentiment de dégoût. Une fois que les participants avaient regardé le film, les chercheurs ont prélevé des échantillons de sueur sur la peau de chacun d’entre eux.

Pour la deuxième étape de l’expérience, les chercheurs ont réuni un groupe de femmes afin de procéder à des tests de vision. C’est en tout cas ce qu’elles croyaient puisque celles-ci devaient faire des exercices avec leurs yeux, comme regarder en haut, en bas, à droite ou à gauche.

Mais ce qu’elles ne savaient pas, c’est qu’elles étaient en même temps exposées aux échantillons de sueur des participants masculins, diffusées dans la salle où elles se trouvaient.

Alors que des caméras enregistraient le regard et l’expression faciale de ces femmes, les chercheurs ont pu se rendre compte a posteriori que, lorsqu’ils diffusaient l’odeur des hommes ayant regardé les films faisant peur, l’expression et les mouvements oculaires des femmes furent ceux de la peur.

De la même manière, lorsqu’ils ont diffusé les odeurs des hommes ayant vu des films

provoquant le dégoût, la réaction fut la même du côté des femmes, bien qu’elles aient été complètement ignorantes des odeurs auxquelles elles étaient exposées.

On sent mieux les émotions chez son partenaire

La revue Psychological Science rapporte également que ce n’est pas la première fois que la possibilité de sentir les émotions des autres a été démontrée.

Une autre étude, présentée lors de la rencontre de l’Association for Psychological Science en 2010, a montré que les gens qui vivaient une relation romantique étaient capables de sentir des émotions comme la peur, la joie et le désir sexuel chez leur partenaire.

« La familiarité dans un couple aide à détecter les émotions chez l’autre à travers son odeur », dit la psychologue Denise Chen, de l’université Rice de Houston.

Difficile de résister, en abordant le sujet, à la tentation de repasser cette scène culte de « C’est Arrivé près de chez vous ». **Le HuffPost-12/11/2012

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*Les odeurs et la communication émotive

Les odeurs jouent un rôle essentiel dans un échange d’affection. Génétiquement, notre cerveau sait reconnaître et réagir aux odeurs que dégage le corps de notre partenaire. Un corps humain dégage des odeurs qui diffèrent en fonction de la région d’où elles proviennent. Ainsi, l’odeur des pieds n’a pas le même effet que l’odeur du cou. Nos odeurs corporelles changent en fonction de nos états émotifs et certaines sont répulsives quand nous sommes en présence d’une personne qui nous est désagréable.

Les émotions passent plus facilement par le toucher et l’odorat. Lorsqu’on touche une personne, on sent inévitablement son odeur. Les deux actions: « toucher » et « sentir » sont indissociables dans l’échange d’affection; il faut d’ailleurs toujours renifler avant de toucher. En effet, comme l’odeur nous calme et nous sécurise, elle nous aide à retirer nos façades pour faciliter l’abandon émotif. L’odeur monopolise l’activité du cerveau: lorsqu’on hume profondément le parfum d’un corps humain, on arrête de penser parce que notre niveau de conscience se modifie. On perd alors la capacité de se concentrer et d’évaluer le temps. L’exemple le plus probant pour appuyer mes propos est le suivant: si la faim se fait sentir au moment où nous sommes en train d’effectuer un travail, l’odeur de la nourriture nous déconcentre. Cette monopolisation du cerveau par les sensations olfactives permet l’abandon émotionnel par le toucher. Or l’affection constitue un bain d’émotions bonnes et douces. En se parfumant, on modifie ainsi notre odeur naturelle et par le fait même, on camoufle nos émotions. Le parfum nuit donc considérablement à un échange d’affection parce que celui-ci exige une authenticité et une transparence de la part des deux partenaires.

Les odeurs corporelles peuvent stimuler le système nerveux parasympathique ou sympathique, dépendemment de la situation. Les odeurs désagréables nous font fuir, nous rendent nerveux et mal à l’aise alors que celles qui stimulent le parasympathique sont agréables, apaisantes et sécurisantes. La région du cerveau qui analyse les informations olfactives possède dans sa mémoire des données inscrites génétiquement pour différencier les odeurs corporelles. À chaque odeur reconnue s’associe une réaction du corps qui lui est spécifique. Les réactions du corps sont toujours de deux ordres, soit émotionnel et physiologique.

Pour bien comprendre le fonctionnement du corps en relation avec les odeurs, prenons l’exemple de la nourriture. La première réaction du corps est émotionnelle; en effet, l’odeur de la nourriture est une sensation agréable. De cet état émotionnel s’ensuit une réaction physiologique qui enclenche le processus réflexe de la digestion. Celui-ci débute par l’augmentation de la salivation qui correspond à la première étape de la digestion, suivie de la circulation sanguine au niveau du tube digestif, de la production des sucs gastriques et de la bile par le foie, etc.

Certaines odeurs ont un effet inhibiteur des fonctions cérébrales, comme dans l’exemple précédent où il y a perte de capacité de concentration lorsqu’une odeur de nourriture survient. Or la sensation de la faim constitue une urgence pour le corps parce qu’il ne peut survivre sans nourriture. La faim se révèle donc une souffrance, et comme toute souffrance, elle pousse le corps à produire une hormone pour la combattre. C’est cette hormone anti-douleur qui nuit à notre concentration.

L’odorat constitue l’aspect émotionnel dans l’action de se nourrir. En effet, sans l’odeur des aliments, on perd le plaisir de manger (par exemple, lorsqu’on a le nez bouché par un rhume, la nourriture perd toute saveur). Le goût et l’odorat fonctionnent ensemble; ils utilisent d’ailleurs le même type de récepteurs, qu’on nomme chimiorécepteurs, pour différencier les substances chimiques. C’est par l’addition des informations olfactives et gustatives que nous pouvons évaluer le goût d’un aliment. Le goût serait, quant à lui, le côté rationnel de l’action de se nourrir. Il comporte un aspect culturel ou appris: ainsi, chaque peuple a des mets colorés de saveurs particulières que lui seul sait apprécier. Les Japonais, par exemple, ont des mets que très peu de gens oseraient goûter au Québec, tels que du poisson cru séché et des algues.

L’odeur des aliments nous donne de l’appétit et celui-ci s’associe au plaisir de manger. D’ailleurs, on manque d’appétit quand on a le nez bouché. Finalement, se nourrir constitue une action essentielle pour notre survie: les personnes qui perdent l’odorat perdent de l’intérêt pour la nourriture, elles maigrissent, puis elles font des dépressions. Ce qui prouve l’importance du rôle émotionnel des odeurs. Elles sont paradoxalement plus importantes que la nourriture elle-même. De la même manière, les odeurs corporelles de sa partenaire sont essentielles pour désirer un échange d’affection.

Elles portent des messages que le centre olfactif du cerveau sait reconnaître. Ainsi, pour chaque odeur corporelle reconnue, il y a une série de réactions correspondantes. Les odeurs corporelles jouent également un grand rôle dans la communication non verbale puisque celle-ci se fait au niveau du spontané et de l’instinctif, c’est-à-dire au niveau émotionnel. L’autre niveau de communication est intellectuel et c’est par celui-ci qu’on se distingue des autres animaux. Celle-ci se fait en grande partie par la parole et elle est la résultante d’une réflexion. Réfléchir signifie pouvoir utiliser le concept d’espace-temps pour effectuer des comparaisons, des jugements, des analyses, des découvertes par essais/erreurs dans le but d’interpréter les évènements. Le langage verbal fait donc en grande partie appel à notre intelligence. C’est grâce à notre intelligence que nous pouvons prendre conscience de nos émotions afin de les analyser.

Quand on exprime verbalement nos émotions, leur signification demeure au niveau intellectuel. Par contre, l’intonation de la voix a une signification émotive. Je peux donc exprimer à quelqu’un par des paroles que je suis triste d’avoir perdu mon emploi tout en exprimant le contraire avec mon non verbal (expression du visage et intonation de la voix). Il y a donc une différence entre comprendre des paroles et ressentir des émotions puisque celles-ci ne circulent pas au niveau intellectuel, mais à travers les réactions spontanées de notre corps. Elles constituent des informations qui font réagir notre corps et elles s’interprètent à l’aide de notre intelligence. Comme les hommes vivent autant d’émotions que les femmes, la différence provient du fait que celles-ci intellectualisent plus facilement leurs émotions alors que les hommes ont de la difficulté à y mettre des mots. Face à cette différence, les hommes doivent redoubler d’efforts pour essayer d’exprimer leurs émotions à leur partenaire et les femmes, s’efforcer de s’imaginer les émotions vécues par leurs vis-a-vis. Les émotions sont un sujet de discussion fascinant pour la femme et faire des efforts pour comprendre sa partenaire constitue de l’amour.

Malgré leur plus grande facilité à intellectualiser l’expérience émotionnelle, les femmes se situent dans une position comparable aux hommes face à la communication émotive, étant donné que celle-ci se déroule spontanément. Un échange d’affection sollicite essentiellement une communication émotionnelle. Le défi dans l’affection est le même pour les deux sexes, soit d’être capable de s’abandonner physiquement l’un à l’autre. Pour s’abandonner émotionnellement, il faut se concentrer sur notre ressenti intérieur afin de neutraliser notre tendance à intellectualiser nos sensations.

Le fait d’intellectualiser notre vécu à l’excès constitue ainsi une façade. Celle-ci fait baisser le tonus du parasympathique, ce qui nous empêche de s’abandonner à notre vécu émotif. Paradoxalement, autant l’intellectualisation de nos émotions peut nuire au comportement affectueux, autant elle peut en être le déclencheur. En effet, par expérience, on peut rationnellement recréer les éléments et les situations qui favorisent l’apparition d’un échange d’affection.

Un tel échange débute toujours par l’action d’humer profondément le corps de sa partenaire. Son odeur, comme dans le cas des aliments lorsqu’on a faim, provoque la sécrétion d’une hormone qui modifie notre état de conscience. Comme le besoin d’affection survient lorsqu’on souffre d’insécurité, cette hormone a donc pour effet de faire diminuer cet état de souffrance et de nous faire perdre la notion du temps, de sorte que nos facultés intellectuelles diminuent. En arrêtant ainsi de réfléchir, on s’abandonne plus facilement. L’abandon physique enclenche la sécrétion d’autres hormones contribuant à l’état de bien-être et qui caractérisent l’affection. Un échange d’affection dépend donc de l’effet paralysant des odeurs corporelles sur le cerveau.

La technique pour humer le corps de sa partenaire comporte une visualisation suivie d’une inspiration profonde. La visualisation est une technique de concentration permettant de centrer son esprit sur une seule chose. Or, nous sommes continuellement préoccupés par quelque chose tout au long d’une journée. Et tout ce que l’on voit ou entend doit être digéré par le cerveau afin d’éliminer de notre mémoire les informations peu importantes. Cette digestion nous fait penser constamment aux évènements qui se succèdent. Alors entre en jeu la concentration pour interrompe cette rumination de pensées et être présent à une seule chose à la fois. Les tâches exigeant de la dextérité manuelle et qui comportent un danger et une grande responsabilité comme le pilotage d’avion demandent beaucoup de concentration. Plus on se concentre sur son travail, plus on le fait bien et rapidement. De cette façon, on ne voit pas le temps passer et on oublie toutes les autres préoccupations de notre vie. Cette sensation décrit bien ce qu’est de vivre le moment présent. Les athlètes de haut niveau, par exemple, utilisent la technique de visualisation dans presque toutes les disciplines. Ainsi, le plongeur revoit dans sa tête tous les mouvements qu’il doit faire pour réussir une bonne performance. Cette intériorisation l’empêche de penser à autre chose, de se faire distraire par la foule et lui permet de mieux gérer son stress.

Pour ce qui concerne l’affection, la visualisation consiste à faire naître une image et une pensée qui soit valorisante pour sa partenaire. Il faut ainsi voir notre partenaire comme la femme la plus belle et la plus sensuelle qui soit; et il faut s’arrêter pour réaliser à quel point elle est importante, agréable, douce et fine pour nous. Cette visualisation crée une ouverture émotionnelle envers notre partenaire, nécessaire à un échange d’affection. Elle permet aussi de mettre de côté toute préoccupation pour être entièrement présent mentalement et physiquement à sa tendre moitié.

Pour humer l’odeur de sa partenaire, il faut se coller le nez à sa peau en inspirant lentement l’air (par le nez) tout en se fermant les yeux, puis faire un court arrêt respiratoire avant d’expirer rapidement l’air (par la bouche). En se concentrant à renifler, on se laisse plus facilement emporter par l’effet de l’hormone que notre corps sécrètera. Son effet nous fait perdre la maîtrise de soi, facilitant ainsi une communication émotive.

La mémoire existe grâce aux émotions. Ainsi, le cerveau fixe en mémoire toutes les informations captées par nos organes des sens à propos d’une situation en les associant aux émotions vécues durant celle-ci. Plus un évènement nous a fait vivre des émotions fortes et plus on en gardera un souvenir durable. Comme les odeurs sont intimement liées aux émotions, cela explique notre plus grande capacité à se souvenir de celles-ci plutôt que de toute autre chose. On peut même dire que nous gardons en mémoire des évènements uniquement par le fait qu’ils sont associés à des odeurs particulières. Les odeurs sont donc évocatrices: en retrouvant par hasard une odeur avec laquelle nous étions en contact dans notre enfance, des souvenirs refont surface spontanément: on revoit la situation dans sa tête et on revit les émotions vécues à ce moment-là.

Nous vivons dans une univers d’odeurs à lesquelles sont associées presque toutes nos émotions. Et on n’a pas toujours conscience de toutes les odeurs qui nous entourent. Ainsi, à l’endroit où l’on habite, il y a une odeur qui nous appartient mais que seuls les étrangers détectent. De même, dès les premiers instants lorsqu’on va visiter un ami, on détecte son odeur; mais après un certain temps, on ne la ressent plus. En effet, le cerveau nous envoie des informations concernant surtout les changements d’odeurs de notre environnement. Par contre, même si on ne ressent pas l’odeur de notre résidence, notre inconscient en tient compte.

Ainsi, l’odeur que dégage notre corps nous donne une information inconsciente sur notre état émotif. Cela fonctionne selon une boucle de rétro-action (feedback) permettant au corps de s’ajuster en fonction du moment. Cette auto-régulation fonctionne comme suit: à partir de l’émotion de fatigue, notre corps dégage une odeur qui fera sécréter une hormone agissant comme un somnifère. Dans le même contexte, notre corps dégage une odeur calmante et sécurisante lorsque nous sommes tendus. Il y a donc un lien direct entre le centre olfactif et le système limbique (le centre des émotions): ils fonctionnent en synergie. Notre odeur stabilise nos émotions. Prenons l’exemple de la tristesse: l’odeur va tranquillement faire diminuer l’intensité de cette émotion pour en faire naître une autre.

L’identité émotionnelle est définie par l’odeur du corps: ce parfum naturel contribue à forger la personnalité et donne la sensation d’exister. Nos odeurs favorisent l’affirmation face aux autres pour obtenir le respect. Elle portent des messages émotionnels qui font réagir notre entourage en fonction des circonstances. Ainsi, on envoie une odeur agréable aux personnes avec qui on est bien et aux autres, une odeur pour les éloigner. Les odeurs corporelles tissent des liens sociaux: l’odeur agréable d’une personne nous incite à engager une discussion avec elle.

Une odeur provenant de la région de l’anus nous différencie les uns des autres. Les animaux de la forêt nous détectent grâce à elle: « ça sent l’être humain, ça sent l’anus des humains ». Cette odeur s’imprègne dans notre lieu de résidence et elle s’associe à une émotion de réconfort qui nous sécurise. Elle délimite notre intimité ou notre espace émotionnel: notre logement est donc un lieu physique et un lieu émotionnel par notre odeur intime.

L’odeur de l’anus joue un rôle dans la relation amoureuse. En général, nos odeurs corporelles sont reliées a nos émotions de faiblesse et de vulnérabilité. L’anus est la partie la plus intime de notre corps par le fait qu’elle est associée à la fonction de défécation. Nous vivons tous un grand sentiment de vulnérabilité en rapport avec celle-ci par les odeurs fortes que nos matières fécales dégagent. Vulnérable aussi parce que c’est une chose gênante bien qu’essentielle pour notre survie. En réalisant que notre partenaire peut détecter l’odeur de notre anus, on devient mal à l’aise: cela signifie que l’on n’est pas prêt à partager notre intimité. Dans le cas contraire, c’est que l’on se sent assez en sécurité pour un échange d’affection. L’odeur de l’anus de notre partenaire nous donne la sensation de faire partie de son intimité la plus profonde. Cette odeur renforce les liens dans la relation de couple par les émotions fortes qu’elle nous fait vivre et elle nous aide à nous abandonner physiquement. Lorsque nous avons pris connaissance de l’odeur de nos anus respectifs, nous n’avons plus de secrets l’un envers l’autre.

La région génitale, de même que celle des aisselles, comporte un type de glandes sudoripares appelées apocrines qui sécrètent un liquide laiteux et odorant. Elles sont responsables en grande partie des odeurs que dégage notre corps. Les odeurs provenant de ces régions du corps entrent en jeu dans la sexualité: elles sont responsables de l’attirance sexuelle dans la rencontre de l’âme soeur; elle sont aphrodisiaques en stimulant la libido; elles sont finalement érotiques. On peut dire que le principal effet de ces odeurs est l’excitation sexuelle. Celle-ci provoque une érection chez l’homme et la lubrification du vagin chez la femme. Plus un homme est excité, plus son éjaculation va être claire et abondante, favorisant ainsi la mobilité des spermatozoïdes.

Les glandes apocrines sécrètent aussi des phéromones. Celles-ci sont inodores mais elles sont détectées par le système voméronasal caché dans une fossette à l’intérieur de la cavité nasale. Elles portent des messages chimiques qui influencent inconsciemment le comportement des personnes. Les aisselles des hommes sécrètent l’androstérone qui stimule la libido de la femme et favorise la régularité de ses menstruations. Ces phéromones doivent jouer un rôle pour faciliter un échange d’affection. Quand je parlais précédemment des effets des odeurs corporelles, j’incluais aussi les phéromones.

Chaque partie de notre corps dégage une odeur particulière. Mais généralement, elles jouent toutes un rôle dans l’abandon physique. Chaque odeur de notre corps fait réagir différemment notre partenaire au plan émotionnel et physiologique. Il est donc possible de faire la carte olfactive du corps de sa partenaire afin d’humer une région pour obtenir l’effet désiré. Ainsi, si on désire être excité sexuellement, on ira renifler sa partie génitale; si on désire être réconforté et calmé, on ira sentir dans son cou ou entre ses deux seins; si on désire discuter avec elle, on ira sentir dans ses mains; si on se sent déprimé, on ira sentir ses cheveux pour se remonter le moral; si on a besoin d’affection, on ira sentir ses aisselles; et ainsi de suite. En connaissant les effets des odeurs, on les utilise pour son propre bien-être.

Notre odeur est la chose qui nous est la plus intime. On se sent plus à l’aise à se montrer nu qu’à se faire sentir par sa partenaire. Si nous ou notre partenaire vivons une gêne face à ses odeurs, cela crée un froid qui nous empêche de s’abandonner émotionnellement. En retirant ses vêtements, on se dénude physiquement alors qu’en se laissant renifler le corps par sa partenaire, on se dénude psychologiquement. L’intimité correspond donc à ce que nous sommes émotionnellement, sans nos façades.

Le parfum sert à camoufler nos odeurs naturelles et du même coup, nos émotions. Nos vêtements nous protègent de l’environnement physique et préservent notre intimité. Habiller ses odeurs avec le parfum est socialement acceptable, mais dans une relation de couple, le parfum rend un échange d’affection presque impossible. Il crée une façade et fait une coupure émotionnelle nous empêchant ainsi de révéler notre intimité à l’autre. Le parfum nous énerve tandis que l’odeur de notre partenaire nous sécurise. Les odeurs corporelles nous permettent d’avoir une bonne communication dans le couple en révélant des informations sur nos états émotionnels respectifs.

On s’attache à sa partenaire grâce à ses odeurs corporelles. Tous les sentiments que l’on ressent envers elle sont reliés à une odeur en particulier. Durant une absence prolongée, c’est de ses odeurs que nous nous ennuyons plutôt que de toute autre chose. Cela s’explique par le fait qu’en sa présence, son aura odorante (son parfum) nous sécurise, nous calme et nous fait se sentir bien. Les odeurs corporelles de notre partenaire stabilisent notre état émotionnel. En effet, elles contribuent à maintenir une bonne santé psychologique en nous empêchant de faire de l’anxiété et de l’angoisse. C’est au cours du premier échange d’affection que nous associons les odeurs de notre partenaire à du bien-être. Lorsqu’on est célibataire, c’est notre propre odeur corporelle qui nous sécurise et qui assure notre stabilité émotive, mais beaucoup moins que si nous vivions en couple. En effet, la vie de couple procure un meilleur équilibre psychologique et une meilleure santé physique. Les gens vivant en couple ont en général une meilleure qualité de vie que les personnes seules.*source:missplump.net

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pluie de fleurs …En voyage, on a habituellement plus de temps pour apprécier les paysages et la nature. J’adore observer la faune et la flore ; c’est pourquoi je fais toujours des excursions dans les parcs nationaux chez-nous et en voyage.Un arbre assez surprenant est le Citrus hystrix  qui possède des feuilles utilisées en cuisine. Hey oui, les feuilles de Kaffir ou feuilles de citronelle, ça vous dit quelque chose ?!! En fait, j’ai remarqué qu’un homme thaïlandais coupait chaque matin des branches et feuilles de cet arbre. J’ai alors réalisé que l’arbre était bien utile – comme nos fines herbes dans un jardin ! Le frangipanier est aussi un arbre très intéressant – surtout pour  ses fleurs qui ont un  parfum fort agréable . Il peut atteindre jusqu’à 10 mètres de hauteur et son nom vient d’un italien Frangipani, qui a développé un parfum avec ces fleurs. Les fleurs sont aussi comestibles et surtout utilisées en pâtisserie.

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orchidées - 

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lotus

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*Zinnia

Originaire des prairies sèches du centre du Mexique, les zinnias illuminent, de leurs couleurs éclatantes, massifs et bordures, pendant tout l’été. Seules les races à fleurs doubles sont cultivées. Elles sont classées selon leur taille, naine à élevé . Pour les jardins, on préfère les cultivars mi-élevés comme ‘Merveille précoce’, ‘Butterfly’ jaune pur, ‘Fandango’ rouge cerise, ‘Fiesta’ rouge foncé, ‘Gypsy’ orange foncé, ‘Padre’ écarlate. Ou les cultivars nains comme les ‘Lilliput’ dont ‘Chaperon rouge’ écarlate ou les ‘Cupidon’ et ‘Snowdrop’ blanc. Il s’agit de plantes annuelles, au port raide. Leurs feuilles opposées, sessiles, entières, en forme de cœur, arrondies, ovales et parfois aiguës, rudes au toucher, d’un vert doux, emboîtent une tige raide, dressée, de 30 cm à 1 m de longueur. Les fleurs, en capitules solitaires de 5 à 12cm de diamètre, ont des coloris éclatants. Au printemps, les zinnias se multiplient aisément à partir de semis: sur place, en région chaude et à l’abri (couche, petite serre) dans les régions froides 

*Période de floraison: En plein été, de juin aux gelées.

*Rusticité: Les zinnias résistent très bien aux fortes chaleurs, et se plaisent en plein soleil à condition de ne pas oublier de les arroser.

*source: lefigaro.fr/11/03/2015

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467 réponses à “au nom de la fleur”

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