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Santé et bien-être

25052009

*Qualité de l’air intérieur : les bons gestes

**Les conseils à observer pour maintenir (ou améliorer) la qualité de l’air à l’intérieur de nos logements.

Certains gestes peuvent assurer le maintien (ou l'amélioration) de la qualité de l'air à l'intérieur de nos logements.

On aurait tort de penser que la pollution de l’air ne concerne que l’extérieur. Formaldéhyde, fumée de tabac, composés organiques volatiles (Cov), allergènes… L’intérieur de nos logements est exposé à de nombreux polluants, dont certains peuvent présenter des risques non négligeables, notamment pour les personnes les plus sensibles (jeunes enfants, femmes enceintes, seniors).

Dans un guide publié sur son site Internet, l’Observatoire de la qualité de l’air intérieur (www.oqai.fr) identifie les origines et les risques de la pollution intérieure et fournit la marche à suivre.

**Ventilez sans modération

Les fenêtres ouvertes, c’est tous les jours (même l’hiver) pendant au moins dix minutes… à condition, évidemment, qu’on n’annonce pas des résultats exécrables en matière de pollution extérieure. Le conseil vaut particulièrement après le montage de nouveaux meubles, souvent bourrés de formaldéhyde, un composé irritant reconnu comme cancérogène.

**Gare aux animaux domestiques

Les poils de nos amis les bêtes peuvent véhiculer de puissants allergènes. Brossez régulièrement l’animal (à l’extérieur, il va sans dire), interdisez-lui l’accès aux chambres et passez l’aspirateur au moins deux fois par semaine.

**Se débarrasser de l’humidité

C’est un fait connu : les moisissures provoquées par l’humidité sont susceptibles d’être à l’origine de pathologies allergiques. Si les murs ou les surfaces noircissent, lavez sans délai à l’eau de javel. Dans la mesure du possible, tâchez de régler le problème à la source.

***Le tabac à l’intérieur, c’est niet !

Les fumeurs sont d’importants contributeurs à la production de substances polluantes (le formaldéhyde notamment, encore lui). Ils sont chaudement invités à griller leurs cigarettes à l’extérieur.

**Limitez les désodorisants

Les bougies parfumées, les encens et autres diffuseurs, y compris quand ils affichent des vertus naturelles, doivent être utilisés avec parcimonie. Les experts sont unanimes : ces produits émettent un grand nombre de substances souvent toxiques.

**Avis aux amateurs de bricolage

Revêtements de sol et de murs, peintures, vernis… Privilégiez les matériaux peu émissifs en polluants. Comment les reconnaître ? Les fabricants sont désormais tenus d’afficher le niveau d’émissions en Cov de leurs produits (de « A + » pour les plus inoffensifs à « C » pour les émissions les plus élevées).

**Du bon usage des produits ménagers

Respectez les dosages et les consignes d’utilisation mentionnées sur les étiquettes. Préférez un nettoyage humide au balayage simple afin d’éviter la mise en suspension des poussières ou utilisez des aspirateurs équipés de filtres Hepa (Haute efficacité pour les particules aériennes).*Ouest-France/ mardi 14 mars 2017

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*thé,  miel et citron. sont-ils vraiment efficaces contre les maux de gorges?

Santé et bien-être

Votre grand-mère vous a toujours dit que pour soigner votre mal de gorge un thé, complété par du miel et du citron suffisait ? Mais ce remède légendaire est-il réellement efficace ? Trois médecins se sont intéressés à cette question sur la National Public Radio (NPR).

Premier constat : peu d’études ont été réalisées sur l’usage de thé, du miel et du citron. Selon le Docteur Maya Sardesai, professeur agrégée d’oto-rhino-laryngologie et de chirurgie à l’université de Washington, des études de haute qualité nécessitent l’utilisationde placebo en guise de comparaison. Il est compliqué dans ce cas d’y parvenir, puisque les gens seront capables de dire s’ils boivent bien du thé ou du miel.

Le thé est-il efficace ?

Le docteur Edward Damrose, chef de laryngologie à Stanfort Health Care, le reconnaît lui-même : « Lorsque j’ai des patients malades, je leur demande souvent de siroter un thé chaud« . Mais il souligne tout de même qu’il n’est pas « sûr que ce soit le thé lui-même qui ait ces propriétés bénéfiques, ou si l’eau chaude traverse les mucosités, permettant aux patients de se sentir bien ». Il explique également que pour lui tout liquide peut être susceptible de soulager les cordes vocales.

Mais le thé en lui-même pourrait également aider à soulager un pharynx gonflé. Des recherches ont montré que le thé vert a des propriétés anti-inflammatoires. Cela pourrait aider un patient à soulager son irritation de la gorge.

Pour le Dr Damrose, il est important de préciser que lorsque les gens boivent un liquide comme le thé, le fait de siroter et d’avaler empêche la toux irritante. Pour le docteur Jennifer Long et le docteur Sardesai, il faut cependant prendre un thé contenant peu de caféine… puisque la caféine peut être responsable de la production accrue d’acide dans la gorge, ce qui a pour effet d’irriter encore plus la gorge. Le débat n’est donc pas tranché.

Le citron divise

Du côté du miel, rien ne permet d’affirmer ou de démentir un effet bénéfique sur la gorge. En effet, le miel pourrait parfaitement être un agent naturel contre la toux même si rien ne permet de le confirmer. D’un autre côté aucun médecin ne suggère que le mielpourrait nuire à la gorge et à la santé en général.

Le bilan du citron est plus partagé. Pour le docteur Long, le citron étant acide, il peut provoquer des irritations dans la gorge si le patient en consomme trop. Mais le docteur Sardesai tient à préciser que « le citron contient de la vitamine C, et la vitamine C est considérée comme utile au début de certaines infections ». 

De son côté, pour le docteur Damrose il faut également ajouter que le citron possède des propriété antibactériennes qui pourraient aider à lutter contre les maux de gorge bactériens.

En bref, pas de miracle pour les adeptes des cures « thé, miel, citron », mais aucune catastrophe non plus. Bien qu’aucune étude ne démontre l’efficacité de ce mélange, il semble que pris à part ils aient tous des bienfaits pour la gorge et le mélange de trois ne semble aucunement déconseillé pour les personnes souffrant de maux de gorge.

Cependant les médecins recommandent surtout le repos, les inhalations de vapeurs et de se taire (pour les pertes de voix). Ainsi les symptômes devraient disparaître dans les deux semaines et si ce n’est pas le cas, pensez à consulter un médecin.

Comprendre comment fonctionne un mal de gorge

Pour rappel, la gorge est divisée en deux : le pharynx et le larynx. Les deux parties peuvent être infectées ensemble ou séparément. En effet, nous utilisons notre pharynx pour avaler la nourriture ou du liquide. Les infections bactériennes ou virales peuvent faire gonfler le pharynx et entraîner un mal de gorge.

Le larynx, de son côté, contient les cordes vocales. Il est donc essentiel à la parole. C’est pourquoi, quand les infections virales compliquent la vibration des cordes vocales, elles provoquent la perte de la voix. 

Pour le docteur Jennifer Long, professeur adjoint de chirurgie cervico-faciale à l’école de médecine David Geffen de l’UCLA « nous avons beaucoup de théories, mais pas de réponse définitive » sur le mécanisme provoquant la perte de la voix. Une théorie suggère que les globules blancs prennent d’assaut les cordes vocales, les faisant gonfler et empêchant la vibration. Une aussi piste accuse les virus, qui endommageraient la surface des cordes vocales, rendant ainsi les vibrations difficiles.*source: e-sante.fr / lundi 26 février 2018

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Selon l'Anses, les carafes filtrantes pourraient rejeter des substances indésirables dans l'eau.

*Carafes filtrantes. Une efficacité remise en cause

***L’Agence nationale française de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) a rendu ce lundi son avis sur les carafes et bouteilles filtrantes. Sans se prononcer sur les éventuelles répercussions sur la santé des consommateurs, l’agence pointe le relargage de différentes substances indésirables (ions argent, sodium, potassium, ammonium) dans l’eau.

L’utilisation de carafes filtrantes ne serait pas si efficace, selon un avis rendu ce lundi par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses). L’autorité s’est saisie du dossier après des signalements auprès de la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) concernant la libération de substances indésirables dans l’eau.

20 % des foyers français équipés

L’Anses ne juge pas les carafes filtrantes dangereuses, mais recommande des règles de bon usage pour préserver la santé des consommateurs. Selon l’agence, 20 % des foyers français en seraient équipés. « L’usage de carafes filtrantes peut conduire au relargage de différents contaminants (ions argent, sodium, potassium, ammonium) dans l’eau de boisson » prévient l’Anses.

Les fabricants assurent que les propriétés filtrantes des appareils permettent d’améliorer le goût de l’eau, d’éliminer le calcaire ou certains métaux comme le plomb. Les carafes affectent également le pH de l’eau en l’abaissant.

L’Anses se félicite que la plupart des appareils filtrants respectent les « normes concernant la diminution de l’odeur, la saveur, des concentrations en chlore, plomb et cuivre ». L’autorité estime cependant que les données manquent pour évaluer pleinement toutes les carafes vendues dans le commerce.

L’Agence considère que « les revendications d’efficacité devraient systématiquement être vérifiées par des essais normalisés et les pourcentages de réduction des paramètres testés observés devraient figurer sur les emballages et/ou notices d’utilisation des cartouches filtrantes. » L’Anses recommande de suivre les notices des fabricants scrupuleusement, et de n’utiliser les carafes filtrantes qu’avec de l’eau potable.*Ouest France avec agence /  mardi 14 mars 2017

****L’eau du robinet est polluée pour près de 3 millions de Français

La pollution de l'eau est due en majorité aux pesticides, aux nitrates ou au plomb explique UFC-Que choisir.

*En France, 2,8 millions de consommateurs n’ont accès qu’à une eau polluée, alerte l’ONG UFC-Que choisir ce jeudi.

La quasi-totalité des Français peuvent boire sans crainte l’eau du robinet, mais 2,8 millions de personnes n’ont accès qu’à une eau polluée notamment par des pesticides, des nitrates ou du plomb, indique ce jeudi une étude de l’UFC-Que Choisir.

« Le constat global est très rassurant », estime l’association de consommateurs qui a analysé les réseaux desservant les 36 600 communes de France, sur la base de données du ministère de la Santé : 95,6 % des consommateurs bénéficient d’une eau qui « respecte haut la main la totalité des limites réglementaires, et ce tout au long de l’année ».

Mais 2,8 millions de personnes, essentiellement des habitants de petites communes rurales, « reçoivent une eau non conforme », déplore-t-elle. La faute surtout aux pollutions agricoles par les pesticides et les nitrates, selon l’ONG.

*Les pesticides en tête des agents polluants

Les pesticides sont « de loin » la première cause de non-conformité. Ils contaminent l’eau de 2 millions de consommateurs, principalement ruraux, dans les régions d’agriculture intensive. « Les molécules retrouvées sont essentiellement des herbicides », comme l’atrazine, un herbicide « désormais interdit mais […] particulièrement rémanent dans l’environnement », précise l’UFC.

Les nitrates, quant à eux, polluent l’eau de près de 200 000 consommateurs, en particulier dans le Loiret, la Seine-et-Marne, l’Yonne, l’Aube, la Marne, le Pas-de-Calais et la Somme.

Troisième source de pollution : des « contaminations bactériennes dues aux défauts de surveillance ou à la vétusté des installations ». Elles concernent 200 000 personnes et touchent surtout les petites communes rurales de montagne (Alpes, Massif central, Pyrénées).

L’UFC-Que Choisir alerte aussi sur la présence de « composants toxiques » dans les canalisations des logements : du plomb, du cuivre, du nickel ou du chlorure de vinyle, « relargués par des canalisations vétustes ou corrodées ».

*Principe du « pollueur-payeur »

Elle souligne que cette pollution aux composants toxiques est mal mesurée, du fait d’« un très faible nombre de prélèvements » qui « ne permettent pas de connaître l’exposition réelle des consommateurs ». L’ONG juge les différentes pollutions de l’eau du robinet « d’autant moins acceptables que l’alerte est donnée depuis longtemps et que les bons remèdes ne sont toujours pas appliqués ».

Si l’eau du robinet est presque partout conforme aux normes, « ce n’est pas parce que l’agriculture aurait amendé ses pratiques » mais à cause d’une « coûteuse dépollution financée à 87 % par les consommateurs et seulement à 6 % par les agriculteurs », affirme l’UFC.

L’association réclame l’application du principe « pollueur-payeur » notamment par une augmentation de la taxation des pesticides, « un audit national » des composants toxiques des canalisations et une aide aux particuliers pour remplacer leurs canalisations en cas de pollution au plomb.

Les consommateurs peuvent se renseigner sur la qualité de l’eau de leur robinet en consultant une carte interactive sur le site de l’association.*Ouest-France/ 26 janvier 2017

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Avoir des enfants permettrait de vivre plus vieux

Avoir au moins un enfant augmente l'espérance de vie, en particulier chez les hommes.

*Avoir au moins un enfant augmente l’espérance de vie, en particulier chez les hommes, selon une vaste étude publiée ce mardi et menée auprès de plus d’1,4 million de Suédois. Selon les chercheurs, l’aide apportée par les enfants aux parents âgés pourrait expliquer ce phénomène.

Être parent d’au moins un enfant permettrait d’allonger l’espérance de vie. En cause : le soutien apporté par les enfants aux parents âgés, mais pas seulement. Les chercheurs, dont l’étude a été publiée ce mardi dans la revue médicale Journal of Epidemiology & Community Health, avancent aussi d’autres phénomènes possibles, comme le fait d’avoir adopté des comportements plus sains à l’arrivée de leur progéniture.

Pour parvenir à ces conclusions les scientifiques ont mené leurs travaux sur plus d’1,4 million de Suédois nés entre 1911 et 1925. Bilan : à 60 ans, l’espérance de vie était supérieure de près de deux ans chez les parents d’au moins un enfant par rapport aux personnes sans enfants. L’écart était un peu supérieur chez les hommes, de l’ordre de 1,8 an, contre 1,5 an chez les femmes.

Léger écart entre les hommes et les femmes

À 80 ans, les pères ayant eu au moins un enfant avaient encore une espérance de vie de 7,7 ans, contre 7 ans chez les hommes sans enfant, tandis que les mères pouvaient espérer vivre encore 9,5 ans au lieu de 8,9 ans pour les femmes sans enfant.

Autre enseignement de l’étude : l’avantage relatif observé chez les hommes ayant eu des enfants était encore plus important chez les hommes non mariés, « peut-être parce que les hommes mariés bénéficient également du partenaire en termes de soins et de soutien, alors que les non-mariés et les veufs seraient plus dépendants de leurs enfants adultes », concluent les chercheurs.*Ouest France /  mardi 14 mars 2017

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    7 avril, Journée Mondiale de la Santé

*Chaque année, le 7 avril, des centaines d’organisations célèbrent la Journée Mondiale de la Santé. Des manifestations de sensibilisation sont organisées dans le monde entier, visant à mieux informer les opinions publiques à propos de la morbidité, la mortalité et la souffrance. Notre capital inaliénable le plus précieux est notre santé. Mais le constat mondial est alarmant : les pays en voie de développement ne bénéficient toujours pas des conditions de vie nécessaires au maintien d’une bonne santé. Les infrastructures sont déficientes et l’accès aux médicaments difficile, sans parler des trafics de médicaments frelatés…Dans les pays dits développés, l’égalité devant la santé n’est pas non plus de mise. Si une majorité des citoyens de ces pays bénéficient d’infrastructures de santé performantes et accessibles, d’autres sont obligés de renoncer à certains soins, faute de pouvoir payer la mutuelle qui prendra en charge leurs dépenses.

***Journée mondiale de la santé est célébrée le dimanche 07 Avril 2019. La Journée mondiale de la santé est une journée internationale consacrée à la promotion de la santé. La santé est un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité. Cette définition est celle du préambule de 1946 à la Constitution de l’organisation mondiale de la santé (OMS). Cette définition de l’OMS n’a pas été modifiée depuis 1946. Elle implique que tous les besoins fondamentaux de la personne soient satisfaits, qu’ils soient affectifs, sanitaires, nutritionnels, sociaux ou culturels et du stade de l’embryon, voire des gamètes à celui de la personne âgée.

Le diabète a été consacré le thème de sensibilisation pour l’année 2016. Le diabète est une maladie chronique qui apparaît lorsque le pancréas ne produit pas suffisamment d’insuline ou que l’organisme n’utilise pas correctement celle qu’il produit. L’insuline, hormone qui régule la glycémie, nous donne l’énergie dont nous avons besoin pour vivre. S’il ne peut entrer dans les cellules pour être transformé en énergie, le sucre se concentre dans le sang à des niveaux dangereux.Il y a deux types principaux de diabète. Les personnes atteintes d’un diabète de type 1 ont en général un organisme qui ne produit pas d’insuline, ce qui les oblige à recourir à des injections pour survivre. Les personnes souffrant d’un diabète de type 2 – 90% des cas – ont un organisme qui produit de l’insuline mais en quantité insuffisante, ou qui l’utilise à mauvais escient.

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Couverture-santé universelle

C’est le premier objectif de l’OMS. Pour l’atteindre, il est essentiel que chacun puisse obtenir les soins dont il a besoin, quand ils lui sont nécessaires et au cœur de la communauté. Des pays dans toutes les régions du monde progressent en ce sens.

Mais des millions de personnes n’ont toujours pas accès aux soins de santé. D’autres encore, par millions, sont forcées de choisir entre les soins et d’autres dépenses quotidiennes comme l’alimentation, les vêtements ou même un logement. C’est la raison pour laquelle la couverture-santé universelle est cette année au cœur de la Journée mondiale de la santé organisée par l’OMS, le 7 avril 2019.

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Semaine mondiale de la vaccination – 24-30 avril 2019

La Semaine mondiale de la vaccination – célébrée la dernière semaine d’avril – vise à mettre l’accent sur la nécessité d’agir collectivement pour que chacun soit protégé des maladies à prévention vaccinale. Le thème de cette année – «Protégés ensemble, #LesVaccinsCaMarche– a pour but d’encourager les gens à tous les niveaux, des donateurs au grand public à poursuivre leurs efforts afin d’accroître la couverture vaccinale pour le bien de tous.

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*Des médecins algériens établis à l’étranger appelés à la rescousse.

Austérité oblige, les centres hospitalo-universitaires se doivent de s’adapter à la dure réalité de la crise. Pour réduire les effets de celle-ci, les médecins algériens établis à l’étranger sont appelés à la rescousse.

Le Pr Habib Ben Ameur, cardiologue de renommé international vivant en France, en fait partie. Ce denier est intervenu, samedi, à l’hôpital de Beni Messous (Alger). Neuf personnes gravement malades, ont bénéficié de sont expertise et ont été reçus sur sa table d’opération.

Pour le Pr Krim, Chef de service cardiologie de Hôpital, cette mission permet le transfert du savoir-faire et l’économie de sommes considérables d’argent, sachant pertinemment que le traitement d’une lésion complexe, coûte au moins 6 000 euros par patient.

Le CHU de Beni Messous a, selon son directeur général, Hachemi Chaouch, tracé un programme pluridisciplinaire pour répondre aux demandes des spécialités qui ont besoin «d’interventionnel», à l’instar de la radiologie, de l’ophtalmologie et de la chirurgie de la transplantation, qui bénéficieront à l’avenir de ce type de programme.*algerie-focus./ 03 avril 2016

*****Une équipe composée de 2 chirurgiens coachés par un expert européen, le Professeur Andhras Hozmec de l’EHU  Henri Mondor (Paris) a procédé, avant-hier, à une intervention chirurgicale sur 3 patients âgés de 40 ans par voie minipéritanée.

Une nouvelle technique la première du genre en Algérie qui  consiste, selon le Professeur Yousfi Mostafa Jamal, chef de service d’urologie à l’EHU d’Oran à accéder par voie percutanée sous contrôle radiologique aux reins et aux calculs «qu’on pulvérisera ou fragmentera avec le laser». Une intervention qui dure 90 minutes et qui, grâce à une équipe de jeunes techniciens de l’EHU, était en train de se projeter devant une assistance composée d’urologues venus d’Alger, Annaba, El Bayadh et Oran. Une intervention qui, comme l’a souligné, notre interlocuteur est très pointilleuse et qui a pour avantage de ne pas pratiquer d’incision sur le corps du malade en introduisant simplement des instruments miniatures optiques qui transmettent l’image par la fibre laser qui va procéder à la fragmentation des calculs. Cette technique a pour autre avantage de permettre au patient de quitter l’établissement dans les 48 heures qui suivent son admission. L’EHU est victime affirme ce responsable de sa notoriété.

«On ne s’attendait pas à un tel engouement de la part des patients. La parfaite illustration est la longue liste d’attente qui voit des patients inscrits depuis avril 2015 non encore opérés». Un retard qui peut engendrer des risques de complications, voire même d’infections des reins, d’ou la nécessité de prévoir de nouvelles salles ainsi qu’un personnel spécialisé. Pour information le Professeur Andhras qui a assisté les chirurgiens algériens est originaire d’Hongrie et a poursuivi ses études primaires, secondaires ainsi qu’une de médecine en Algérie. *Hadj Sahraoui /   el watan / mercredi 06 avril 2016

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* La peau humaine abrite un écosystème bactérien riche et varié ….

 la santé de la peau, une des premières lignes de défense contre les infections et les blessures

La peau humaine abrite un écosystème bactérien  étonnamment riche et diversifié, indiquent les travaux de chercheurs américains  publiés jeudi, qui espèrent que ces résultats permettront d’établir de nouvelles  approches pour traiter les maladies de l’épiderme.

 Selon ces études, la santé de la peau, une des premières lignes de défense  contre les infections et les blessures, dépend d’un équilibre délicat entre  les cellules qui la constituent et les millions de bactéries et autres microbes  vivant à sa surface, expliquent ces chercheurs.   Pour mieux comprendre cet équilibre, les Instituts nationaux américains  de la santé (NIH) ont exploré le « microbiome » (ensemble des génomes des bactéries)  de l’épiderme humain en séquencant l’ADN de tous les micro-organismes y ayant  établi résidence, découvrant une diversité jusqu’alors insoupçonnée.    Pour mener à bien leurs travaux, les chercheurs des NIH ont prélevé  des échantillons de peau en 20 endroits différents du corps chez 10 volontaires  en bonne santé.     L’étude révèle que chez les individus, en tout cas ceux en bonne santé,  la diversité bactérienne change d’abord en fonction de l’endroit du corps où  se trouvent les bactéries.   « Notre travail a jeté des bases essentielles pour les chercheurs qui  essaient de développer tout au moins de nouvelles et de meilleures stratégies  pour traiter et prévenir des maladies de peau », souligne la Dr Julia Segre,  de l’Institut national de recherche sur le génome humain (NHGRI), un organisme  dépendant des NIH.     Nous espérons que cette avancée va accélérer les efforts pour comprendre  la complexité des facteurs génétiques et environnementaux responsables de l’eczéma,  du psoriasis, de l’acné, de la résistance microbienne aux antibiotiques et de  nombreuses autres affections de l’épiderme », ajoute-t-elle.(10.06.09.)

***La lavande: un remède naturel

Lavande

 cliquer ici: Produits de santé naturels

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à la suite de la propagation de la poliomyélite dans plusieurs pays

L’Organisation mondiale de la santé décrète un état « d’urgence de santé publique de portée globale » 

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L’Organisation mondiale de la santé a décrété lundi un état « d’urgence de santé publique de portée globale » à la suite de la propagation de la poliomyélite dans plusieurs pays, selon un communiqué.

L’OMS avait tenu la semaine dernière une réunion d’urgence sur la poliomyélite après la découverte, depuis janvier, de cas importés en Afghanistan, en Irak et en Guinée équatoriale. « La décision pour estimer que les conditions étaient réunies pour un état d’urgence a été unanime », selon l’OMS. « Si elle n’est pas contrôlée, la situation pourrait mettre en échec l’éradication globale d’une des maladies les plus graves que l’on puisse empêcher par la vaccination », souligne le communiqué. L’OMS estime que le risque le plus grand d’exportation de la poliomyélite concerne le Pakistan, le Cameroun et la Syrie, et demande aux autorités locales d’agir avec des campagnes de vaccination pour ceux qui doivent voyager et maintenir ce dispositif au moins six mois après qu’on a constaté qu’il n’y avait pas de nouveaux cas d’exportation de la maladie. Les pays où la maladie est constatée, concernés par cet état d’urgence, sont l’Afghanistan, la Guinée Equatoriale, l’Ethiopie, l’Irak, Israël, la Somalie et le Nigeria. La poliomyélite est une maladie très contagieuse qui frappe surtout les enfants de moins de cinq ans. Elle peut provoquer la paralysie en quelques heures et être fatale dans certains cas. Le nombre des cas de poliomyélite a baissé de plus de 99% depuis 1988, passant de 350.000 à 406 cas notifiés en 2013. Cette baisse résulte de l’effort mondial pour éradiquer cette maladie, selon l’OMS. En 2014, il ne reste plus que trois pays où la maladie est dite endémique, l’Afghanistan, le Nigeria et le Pakistan, alors qu’ils étaient plus de 125 en 1988. « Toutefois, la poliomyélite continue de se propager à l’échelle internationale depuis les pays endémiques et les pays réinfectés », souligne l’OMS. Entre janvier et avril, habituellement saison basse de transmission de la poliomyélite, trois nouvelles manifestations de cas importés de poliomyélite ont été détectées : en Asie (du Pakistan vers l’Afghanistan), au Moyen-Orient (de Syrie vers l’Irak) et en Afrique centrale (du Cameroun vers la Guinée Equatoriale », explique l’organisation. *Source: Belga-05/05/2014

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*Ginseng Sibérien appelée aussi « plante secrète des russes ».

Ginseng Sibérien

L’eleutherocoque, abondante en Sibérie est aussi appelée « plante secrète des russes ». Sa racine renferme des eleutherosides auxquels elle doit toutes ses propriétés. Elle est adaptogène, et agit sur l’organisme en favorisant son adaptation harmonieuse à toutes les situations. Sa racine facilite l’effort physique, augmente la capacité de resistance et améliore la récuperation après l’effort. Le ginseng siberien est vitalisant : c’est un excellent tonique masculin, d’ailleur utilise par les athlètes et les cosmonautes russes. Son effet stimulant et vitalisant s’explique par un contrôle hormonal sur les organes concernés, par l’intermediaire de l’hypophyse et de l’hypothalamus.

Ce produit facilite la concentration intellectuelle et permet de luter contre l’anémie et l’artériosclerose. Le renforcement de la résistance de l’organisme sera constant et soutenu dans le temps.

C’est l’allié de choix de tout les traitements homéopathiques, puisqu’il stimule les réactions immunitaires sans se substituer a elle. *LaboSanté.com

eleutherocoque

Éleuthérocoque ou Ginseng sibérien (Eleutherococcus senticosus)

Cette plante originaire d’Asie est un cousin éloigné du panax ginseng dont elle partage certaines propriétés tout en ayant sa propre spécificité. La racine de l’éleuthérocoque est riche en polysaccharides, des hétéroglycanes (éleuthérosides).

Propriétés :

La plante possède un effet stimulant sur le système nerveux central, sur les glandes surrénales et séminales. C’est une plante dite adaptogène, c’est-à-dire particulièrement efficace pour lutter contre les effets du stress.
Elle est également efficace dans le traitement des états de grande fatigue. Elle possède des propriétés antivirales et immunostimulantes. Elle est également hypoglycémiante.
Des recherches de laboratoire sur des larves, effectuées aux Pays-Bas, ont démontré la capacité de l’éleuthérocoque à protéger contre les chocs thermiques et la toxicité de certains métaux lourds tels que le cuivre et le cadmium.

L’éleuthérocoque est utile dans les cas de :

  • Stress
  • Températures extrêmes
  • Grande fatigue
  • Affections infectieuses, particulièrement virales
  • Hypotension
  • Irrégularité des menstruations

Utilisation :
On utilise la racine en extrait sec sous forme de gélules ou comprimés, en extrait liquide sous forme d’ampoules buvables ou en teinture-mère.

Mode d’emploi :

Gélules et comprimés à 50 mg d’extrait sec (jusqu’à 6 comprimés par jour)
Ampoules buvables, 1 à 2 ampoules par jour ou tel qu’indiqué par le fabricant.
Teinture-mère : 50 gouttes par jour ou tel qu’indiqué par le fabricant.

*source: Masanténaturelle.com

**Ginseng sibérien retiré en Chine après 3 morts

La Chine a ordonné la cessation des ventes et de l’utilisation des injections à base d’herbe ciwujia (ginseng sibérien) après la mort de trois personnes en raison d’une contamination bactérienne.
Les injections de ginseng sibérien sont souvent utilisées pour traiter les thromboses dues à une faiblesse du foie ou des reins, les maladies d’insuffisance coronarienne, la fatigue nerveuse et les problèmes de ménopause.
Les injections concernées provenaient de deux lots produits en décembre dernier par la compagnie pharmaceutique Wandashan dans la province du  Heilongjiang. Ces lots comprenaient 47.930 bouteilles écoulées auprès de 53 pharmacies et 92 hôpitaux selon la l’Administration d’Etat de  Surveillance et de Contrôle des Aliments et des Médicaments  (SFDA).
Déjà 43.383 injections ont été utilisées. Six personnes de la province du Yunnan (sud-ouest) ont souffert d’effets secondaires très graves. Trois sont mortes. Les autres sont sous observation, dans un état stationnaire.
Deux espèces de ginseng constituent la majeure partie de la production et du commerce mondiaux : le ginseng asiatique (Panax ginseng) et le ginseng nord-américain (Panax quinquefolius). Les ginsengs brésilien, sibérien et chinois n’appartiennent pas au même genre botanique Panax et ne présentent pas, de ce fait, les mêmes propriétés.
*le 24 octobre 2008- PsychoMédia avec sources:Xinhuan
Agriculture et agroalimentaire Canada-

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*SANTE – Mieux vaut prévenir que guérir

*les Français ne s’occupent pas aussi bien de leur santé qu’ils ne le croient

Mieux vaut prévenir que guérir dit l’adage, mais les Français interrogés par IFOP, dans leur majorité, s’ils se soucient de leur santé, ne la maîtrisent pas pour autant…

Impressions contre réalité, perception contre pragmatisme, physiologique contre perçue. La santé est source de nombreux antagonismes chez les Français. «Il y a une différence entre la meilleure espérance de vie des Français, 83 ans, et la vieillesse sans incapacité, c’est-à-dire en bonne, santé, à 74 ans», analyse le Dr Edouard Bidou, directeur du développement et de l’innovation du groupe Prévoir.

Un suivi de sa santé en surface

Aujourd’hui, 91% des Français ont le sentiment d’être en bonne santé, selon une enquête IFOP pour le groupe de prévoyance Prévoir. Ils ont toutefois conscience que ce ne sera pas le cas dans leurs dernières années de vie. Les Français veulent rester maitres de leur forme physique, explique l’étude, «mais anticipent une fin de vie difficile». Preuve de sagesse sûrement, l’optimisme se restaure en vieillissant. Si 95% des Français sont convaincus d’accorder de l’importance à leur état de santé, leur suivi de santé est en réalité très faible. En effet, une personne sur deux (54%) s’auto-diagnostique, plutôt que de se rendre chez un professionnel et 20% des Français ne réagissent pas immédiatement aux premiers symptômes. Ils préfèrent attendre ou ignorer. «L’auto estimation n’est pas toujours mauvaise, tempère Edouard Bidou, en particulier chez les femmes en milieu rural». Par ailleurs, 24% des Français n’ont jamais calculé leur indice de masse corporelle (IMC) et seuls 41% des Français ont fait un dépistage (cancer, hépatite) au cours des six derniers mois.

Des divergences d’ordre sociétal dans la gestion du capital-santé

Les Français, à 81%, considèrent comme solide leur capital santé et pensent même à 85% pouvoir l’améliorer. Toutefois, «les clivages entre Français se font ressentir en fonction de l’âge, de la CSP, du niveau de diplôme et de la vie en zone rurale ou urbaine», constate l’IFOP.

Ainsi les ouvriers et catégories populaires s’occupent moins de leur santé, qu’ils considèrent comme moins bonne que celles des cadres, car ils sont moins bien informés.

Dans l’ensemble, ils ont conscience de la bonne attitude à avoir pour préserver leur santé: limitation de la consommation de tabac, d’alcool, nourriture équilibrée. Toutefois, là aussi, entre la prise de conscience et le passage à l’acte, l’écart est important. Le Dr Bidou conseille aux Français de se laisser aider à utiliser et interpréter les indicateurs de santé. (20Minutes-29.06.2012.)

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La pression grandit sur les pesticides, impliqués dans des maladies graves

(AFP-14.06.2013) – Les pesticides sont de nouveau pointés du doigt dans une vaste expertise de l’Inserm établissant un lien avec plusieurs maladies graves comme des cancers, qui pourrait relancer le débat sur leur autorisation de commercialisation.
Cancer de la prostate et autres (lymphomes non hodgkiniens, myélomes multiples), maladie de Parkinson : pour ces pathologies, l’Inserm avance une « présomption forte » de lien avec l’usage de pesticides chez les professionnels qui les manipulent (agriculteurs ou fabricants).
Des problèmes de fertilité sont également mis en avant chez les professionnels.
Le reste de la population n’est pas épargnée, via l’alimentation ou l’exposition au domicile, notamment les femmes enceintes, avec un risque accru pour leurs enfants de développer une leucémie, une tumeur cérébrale ou une malformation génitale.
L’Inserm, qui a passé en revue la littérature scientifique existante, recommande « d’améliorer les connaissances sur l’exposition des populations ».
Malgré le lancement en 2008 du plan Ecophyto, la France reste le premier consommateur de pesticides (herbicides, fongicides et insecticides) en Europe.
Ecophyto vise une réduction par deux de l’usage de ces produits d’ici 2018, mais en 2011 leur consommation a augmenté de 2,5% dans l’Hexagone.
Plus de 90% des ces produits sont utilisés dans l’agriculture, le reste par les collectivités et les jardiniers amateurs.
Vendredi, les trois ministres de la Santé, de l’Agriculture et de l’Ecologie ont réagi prudemment en indiquant avoir saisi l’Anses (agence de sécurité sanitaire) pour évaluer « l’impact de ces nouvelles données sur les autorisations nationales existantes ».
Au niveau européen, ils transmettront « ces nouveaux éléments » en vue de la réévaluation des substances actives autorisées au niveau communautaire ».

« Un règlement européen, qui se met actuellement en place, va nous obliger à revoir toutes les molécules, comme par le passé », fait remarquer Jean-Charles Bocquet, le directeur général de l’Union des industries de la protection des plantes (UIPP, fabricants).
« La science évolue » et « il est important de faire évoluer les autorisations lorsque cela est nécessaire », reconnaît le représentant des professionnels pour qui le rapport de l’Inserm ne contient pas « de révélations nouvelles de nature dramatique ».
« Pas toujours utilisés comme il faut »
« Les molécules les plus souvent citées sont des molécules anciennes, qui ont déjà disparu du marché », avance-t-il, précisant que « sur les 1.000 molécules présentes au début des années 80, il en reste 250″.
Tout en étant interdites, certaines substances très persistantes comme le DDT ou le chrlordécone, continuent d’être détectées dans la nature.
« Pour les molécules encore sur le marché, les conditions d’emploi ont été réduites, les formulations ont été changées, si bien que les risques annoncés existent mais sont gérés », assure-t-il.
L’UIPP reconnaît toutefois que des progrès doivent être faits sur les conditions d’utilisation. « Historiquement des produits apportaient des solutions un peu miraculeuses, on ne les a pas toujours recommandés comme il fallait et les agriculteurs ne les ont pas toujours utilisés comme il faut », selon M. Bocquet.
Un rapport parlementaire d’octobre 2012 (« Pesticides: vers le risque zéro ») affirmait que les dangers et risques des pesticides pour la santé étaient « sous-évalués » et que les protections n’étaient « pas à la hauteur des dangers ».
Mais selon Paul François, céréalier dans les Charentes et président de Phyto-victimes, « les recommandations d’utilisation sont inapplicables, sauf à travailler en tenue de cosmonaute, et les fabricants le savent ».
Phyto-victimes estime qu’après « les lanceurs d’alertes, la mission parlementaire, la pétition des médecins du Limousin, l’expertise de l’Inserm met clairement en évidence le lien entre des pesticides et certaines pathologies ».
L’association demande que soient déclarées maladies professionnelles du régime agricole toutes les pathologies listées dans cette publication. « Il faut sortir du déni », estime Paul François.
Pour Génération Futures, « cette publication sans appel qui montre la réalité du danger des pesticides doit conduire à une action publique plus forte et rapide » pour réduire leur usage. L’ONG plaide elle pour interdire l’usage des pesticides par les collectivités – certaines l’ont déjà fait – et les particuliers.*AFP-14.06.2013.

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La teinte de l’urine peut être une mine d’informations sur notre état de santé.

«Dis-moi de quelle couleur est ton urine et je te dirai comment tu vas». C’est en substance ce que permet de déterminer un code couleur de neuf teintes qui passe le pipi à la loupe. Si on n’y prête pas vraiment attention, la couleur de l’urine est pourtant un indicateur de ce qui se passe dans le corps.

Incolore comme de l’eau

Tout le monde le sait, plus l’urine est claire, mieux c’est. Mais quand le pipi est transparent et incolore, c’est que l’on boit trop d’eau, avec le risque de sursolliciter les reins, ou que l’on ingère trop de diurétiques, comme le café, qui force l’organisme à éliminer. Il suffit de réduire un peu sa consommation pour retrouver une coloration normale de l’urine.

Jaune clair

Tout va bien, rien à signaler. Votre niveau d’hydratation est bon et la couleur de votre urine n’indique pas de problème de santé particulier.

Jaune foncé

Là aussi, pas de problème, mais il faut quand même augmenter sa consommation d’eau. Idéalement, il faut boire en moyenne 1,5 litre d’eau chaque jour. C’est aussi la couleur naturelle du pipi du matin, plus foncé après une nuit de sommeil, où les reins sont au repos.

Ambre ou miel

Lorsque l’urine prend une couleur ambrée, c’est le signe que votre corps n’est pas assez hydraté. Une seule chose à faire: boire de l’eau, de l’eau et encore de l’eau!

Brune

Ceux qui se gavent de rhubarbe ou de fèves peuvent se rassurer si la couleur de leur urine prend une teinte proche de la bière irlandaise. Certains médicaments comme les laxatifs oraux peuvent aussi donner cette teinte foncée au pipi. Mais le plus souvent, cela démontre une déshydratation et dans certains cas, c’est un indice d’un problème de foie ou de rein. Si boire beaucoup d’eau ne résout pas le problème, il faut consulter.

Rose ou rougeâtre

Si vous avez mangé de la rhubarbe, des mûres ou de la betterave, pas de panique, c’est normal. Sinon, cela révèle peut-être la présence de sang dans l’urine, signe d’une infection urinaire (de type cystite) ou d’un problème de rein ou de prostate. Dans le doute, on n’attend pas et on file consulter son médecin.

Orange

Ce n’est pas bon, votre consommation d’eau est insuffisante et le plus souvent, cette teinte est le marqueur d’une déshydratation. Elle peut aussi être le signe d’une maladie du foie ou des voies biliaires.

Bleue ou verte

Ce n’est pas la couleur naturelle de l’urine, mais ce n’est a priori pas inquiétant. Ce phénomène peut arriver si on consomme des aliments chargés de colorants alimentaires. Manger des asperges peut aussi donner une légère coloration verte à l’urine. Et si vous vous êtes déjà demandé pourquoi votre urine sent si mauvais à chaque fois que vous en croquez, c’est à cause de certains acides aminés présents dans les asperges et qui, en se dégradant durant la digestion, donne ce «parfum» si caractéristique au pipi.

L’urine bleue, elle, peut être le symptôme du syndrome de Drummond. Mais cette maladie est rarissime.

Moussante ou pétillante

Le pipi, ce n’est pas censé faire des bulles, mais il peut arriver que l’urine mousse ou pétille. Un régime hyperprotéiné peut en être la cause. Un problème rénal aussi. Là encore, dans le doute, on demande un avis médical.*Par Anissa Boumédiène-20minutes.fr/mercredi 04 mars 2015

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