La solitude, une fatalité ?
**Un jeune sur cinq souffre de solitude
Près d’un jeune âgé de 18 à 35 ans s’est déjà senti isolé, selon un sondage de la Société de Saint-Vincent-de-Paul publié ce mardi par le journal La Croix.
La solitude n’a pas d’âge. Au-delà des chiffres sur le délaissement des personnes âgées, une enquête sur les 18-35 ans de la Société de Saint-Vincent de Paul, réalisée avec Mediaprism, dévoile que l’isolement peut aussi avoir des traits juvéniles. L’association, qui a décroché la grande cause nationale en 2011, vient de lancer sa nouvelle campagne nationale de lutte contre la solitude.
Près d’un jeune sur deux (45%) a déjà ressenti la solitude, ne serait-ce qu’occasionnellement, selon ce sondage sorti aujourd’hui dans La Croix . Posture romantique post-adolescente ou véritable sentiment de retranchement? Quatre jeunes sur dix confessent subir la solitude et plutôt que la rechercher. Outre un comportement solitaire, les 18-35 ans donnent trois grandes raisons majeures à la naissance de cette sensation: le manque d’argent (35%), les difficultés relationnelles avec autrui (31%) et le manque de temps (27%). En première ligne, les femmes (58%) et les Franciliens (29%) se plaignent d’être souvent seuls.
Difficultés matérielles et affectives
Les inactifs se disent aussi plus touchés. «Cette population est prise dans un véritable engrenage: inactivité, synonyme de faible pouvoir d’achat, de moral en berne contribuent à ce sentiment d’isolement», souligne l’enquête de la Société de Saint-Vincent-de-Paul. «Les jeunes qui viennent nous voir connaissent de grandes difficultés matérielles et affectives», confirme Alain David, bénévole pour la Société de Saint-Vincent-de-Paul. Le pôle social de Vannes, où il travaille, reçoit tous les jours une petite quarantaine de personnes. Les trois quarts de ceux qui frappent à la porte de l’association ont selon lui moins de 30 ans.
«Une grande partie de ces jeunes sont en marge de la société. Ils ont eu une enfance difficile, connaissent des problèmes de drogue, d’alcool. Mais nous voyons aussi des jeunes des classes moyennes qui ont coupé les liens avec leurs parents. La plupart sont en rupture avec leur famille, raconte Alain David. Ils n’ont pas de relations amoureuses ni d’amitiés constructives.» Pour les 18-35 ans esseulés, «trouver l’âme sœur» et «améliorer le pouvoir d’achat» apparaissent comme les meilleurs antidotes à cette sensation de délaissement. Dans une société toujours plus connectée, les liens virtuels ne les aident pas à sortir de leur désert affectif. Sur la Toile, l’amitié reste théorique pour les sondés qui déclarent avoir en moyenne 178 amis virtuels sur les réseaux sociaux contre seulement 7 «vrais» amis. Les jeunes souffrant de solitude disent pour leur part compter leurs amis sur les doigts d’une main et passent plus de temps que les autres en ligne. «98 % surfent tous les jours sur la Toile tout en ayant encore plus conscience qu’Internet favorise l’isolement (64%)», relève l’étude de Mediaprism. (Le Figaro-05.06.2012.)
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Le fléau de la solitude s’empare des Français
Selon une étude de la Fondation de France, la famille ne joue plus son rôle de soupape de sécurité et le travail ne favorise pas forcément des relations humaines de qualité. Conséquence : l’isolement est le lot quotidien de 4 millions de Français.
«Famille, je vous hais». Si André Gide aimait clamer son désamour de la famille, c’est pourtant l’étiolement de cette dernière qui reste aujourd’hui le principal facteur d’isolement. Parmi les 4 millions de Français déclarant se sentir seuls, 56% imputent leur mal-être à une rupture familiale, selon une étude de la Fondation de France dévoilée jeudi par Le Parisien. Le facteur famille a la particularité de transcender les âges : perte du conjoint pour les plus âgés et rupture sentimentale voire divorce pour les plus jeunes. Parfois, nul besoin d’accident de parcours pour qu’une personne brise les liens avec sa famille : un tiers des Français estiment que leurs relations familiales se résument à quelques rencontres annuelles. Complexes à cerner, les «nouvelles solitudes» – selon la formule de la psychiatre Marie-France Hirigoyen, prennent une forme pour le moins paradoxale. Paradoxe tout d’abord d’une «société de l’hypercommunication, qui nous abreuve de messages d’informations mais où le mode de communication virtuel prend le pas sur les échanges intimes», explique-t-elle. Paradoxe ensuite du monde du travail : la perte de l’emploi ou la mise en retraite anticipée subie sont vécues comme «une mise de côté pour les quinquagénaires», poursuit la psychiatre. Selon elle, les hommes dans cette situation ne sont pas rares à opter pour une stratégie d’évitement : «Ils ne voient plus leurs voisins ni leurs amis afin de ne pas leur révéler leur inactivité.»
«Les femmes sont de plus en plus exigeantes»
En contrepartie, l’univers professionnel est loin d’être un brise-glace : 20% des personnes interrogées n’ont pas de relations sociales avec leurs collègues. En cause : la pression psychologique exercée sur les travailleurs. Alors que «le collègue devient facilement un rival», la généralisation des open spaces n’a pas amélioré la donne. Comble de l’ironie, c’est dans «cet espace ouvert censé inviter à l’échange qu’il ne faut pas parler pour ne pas gêner et que l’on communique par l’Intranet ou par messages en allant à l’essentiel. Le temps des palabres est révolu», résume la spécialiste. Paradoxe enfin du rapport au célibat. Si les femmes sont plus nombreuses à demander le divorce, elles constituent aussi le plus gros bataillon de solitaires. 40% des femmes de 35-49 ans souffriraient d’isolement, contre 28% des hommes du même âge, selon un sondage TNS Sofres réalisé pour le journal La Croix. «Les femmes sont de plus en plus exigeantes, confirme Marie-France Hirigoyen. Elles veulent un compagnon, mais ne veulent pas forcément vivre le quotidien du couple.» Leur profil-type ? Celui de la citadine active qu’Alain Souchon avait déjà croqué dans sa chanson «Ultramoderne solitude», où se rendre «boulevard Haussmann à cinq heures» suffit à s’en faire une idée.
Un tiers des moins de 25 ans touchés
Peut-être une conséquence de la crise, le sentiment de solitude progresse selon 78% des Français. Mais leur vision des personnes concernées est erronée : pour 9 personnes sur 10, l’isolement serait d’abord le lot des personnes âgées. Mais les statistiques laissent entrevoir des résultats contraires. Un tiers des moins de 25 ans se disent touchés par la solitude, contre 28% des seniors. La solitude, une fatalité ? «Très souvent, les patients que je reçois se comportent de manière passive», concède la psychiatre. Pour inverser la tendance, elle a un credo : s’occuper des autres. «Ils se plaignent que l’on n’aille pas vers eux mais ils ne vont pas vers les autres», observe-t-elle.
Aller vers les autres, c’est ce que proposent de nombreuses associations, à l’instar de Voisins solidaires, dont la vocation est d’impliquer les habitants dans leur vie de quartier. L’étude de la Fondation de France rappelle que 12% des sondés n’ont aucun contact avec leurs voisins. Plus innovante, la colocation entre seniors, développée en France à travers une initiative au nom branché Cocon3s – sous l’impulsion d’une association basée dans le Gard. L’idée vient des pays du nord de l’Europe et connaît un succès durable en Allemagne. De la solitude naîtront peut-être des Auberges espagnoles d’âmes lasses d’être esseulées. (Le Figaro-02.07.2010.)
**Près de 5 millions de personnes souffriraient d’isolement en France!
Le constat est inquiétant : en France, 4,8 millions de personnes souffriraient d’isolement, soit 20% de plus qu’il y a deux ans. L’étude réalisée par l’institut TMO Régions auprès de 2200 personnes en partenariat avec France Info inquiète la Fondation de France. Toutes les catégories de personnes sont touchées par cette progression fulgurante. Chez les plus de 75 ans, la solitude a progressé et notamment chez les plus démunis. Mais l’isolement ne touche pas que les personnes âgées comme le prouve l’augmentation du pourcentage des 30-39 ans affirmant souffrir de solitude qui est passé de 3% en 2010 à 9%. En outre, la Fondation met en avant le fait que les jeunes qui quittent leur région pour poursuivre des études ou trouver un emploi ne s’intègrent pas mieux socialement. Alors que le travail a été longtemps un facteur d’intégration, cette période est révolue. Ainsi, 27 % de ceux qui travaillent indiquent n’avoir que des relations strictement professionnelles avec leurs collègues. L’étude relève également la fragilité travailleurs indépendants et des salariés gagnant moins de 1 000 euros par mois, qui cumulent précarité, temps partiel et horaires décalés selon Le Monde. (ParisDépêches-25.06.2012.)
**Vivre seul rend les célibataires excentriques
Vivre au singulier a bien des avantages. Mais cela risque aussi de favoriser vos petites manies, vos excentricités et ainsi de limiter vos chances de mettre fin à la solitude. A moins que vous ne préfériez renoncer à toute vie en couple. Mais cette attitude-là n’est pas non plus sans risques… UN ARTICLE DU NEW YORK TIMES.
*La solitude, un temps de préparation au renouveau ?
Décidés à comprendre enfin leur situation, et désireux d’en changer, certains célibataires rejoignent des groupes de parole pour faire un bilan de leurs relations affectives.
«Pourquoi?» S’il y a bien une question qui hante les personnes seules et qui en ont assez de l’être, c’est bien celle-là. Ainsi, Hélène, auteur-rewriter dans l’édition âgée de 59 ans, considère que cette interrogation lancinante commençait à rendre sa vie «irrespirable». «Je me demandais: pourquoi n’ai-je pas été mère de famille? Quel a été le grain de sable qui m’a fait dérailler? Était-ce mon destin?» Une relation amoureuse «en pointillé» pendant plus de 9 ans, l’incapacité à vivre à deux car «cet homme avait une autre liaison», un statut de travailleur «indépendant»… Autant de faits qui ont amené un jour Hélène à réaliser que «la solitude avait pris toute la place dans sa vie et était devenue assourdissante».
Une affichette d’atelier ramassée dans un lieu associatif, un premier stage d’une matinée, puis un parcours en huit rencontres dans un groupe de parole pour personnes seules décidées à «en faire quelque chose» ont aidé Hélène à se déculpabiliser, notamment en écoutant d’autres dans le même cas, et qui parfois vivaient leur célibat avec moins de sérénité qu’elle. «Aujourd’hui, je me sens normale et j’ai comme retrouvé une place dans le monde», affirme-t-elle.
«Connaissance de soi»
Actuellement, ces groupes dédiés aux solitaires se multiplient. Tout comme les demandes de prise en charge de ceux-ci chez les psychanalystes et psychothérapeutes. Rien d’étonnant à cela. Le dernier recensement de 2007 évaluait déjà à plus de 8 millions le nombre de Français résidant seuls (dont plus de 5 millions de femmes), notant une augmentation de la population «solo» qui est passée de 6 à 14 % en cinquante ans! Il s’agit là bien sûr d’une véritable évolution sociale, et aux États-Unis, où les «singletons» sont plus de trente millions, un sociologue comme Eric Klinenberg, de l’université de New York, parle d’un «essor extraordinaire» et étudie cet «attrait surprenant pour la vie en solo».
Cependant, comme pour Hélène, cette solitude ne plaît pas forcément à tous ceux qu’elle touche. C’est alors que les groupes de parole s’avèrent d’une grande aide. Persuadée qu’«une meilleure connaissance de soi pourra permettre des rencontres affectives différentes», la psychothérapeute et coach Géraldyne Prévot-Gigan, auteur de 50 exercices pour sortir du célibat (Ed. Eyrolles) voit le parcours de trois heures tous les quinze jours qu’elle propose à ces femmes – elle voulait au départ créer des groupes mixtes, mais seules des femmes se sont présentées! – comme l’«apprentissage d’une posture intérieure à construire face à cette solitude».
Rien à voir donc avec des clubs de rencontres pour célibataires ou autres Cafés de l’amour où l’on cherche d’abord à se tourner vers «l’extérieur». Même souci de se démarquer de ces lieux pour la psychologue et psychanalyste Lætitia Veyron, qui anime un parcours en huit séances thématiques où, affirme-t-elle, «ce sont le culturel et le symbolique qui font travailler sur soi». C’est là un point commun essentiel à ces groupes: ils transforment le célibat en un temps de «retraite choisie» pour s’occuper vraiment de soi. Lætitia Veyron relève d’ailleurs que tout au long du processus, les participantes ne cessent de tirer ce fil de contradiction entre une solitude mortifère (l’isolement) et la solitude qui, fructueuse, est elle absolument nécessaire dans toute relation.
Un travail de «nettoyage»
Autre point commun: proposer aux solitaires dans un premier temps – et c’est une métaphore, bien sûr – de «déposer leurs valises pleines d’objets ramenés de différents voyages et d’en faire le tri pour se débarrasser de ceux dont ils ne veulent plus», explique Géraldyne Prévot-Gigan. Deuils, séparations, regrets qui hantent encore la personne… Autant de liens avec le passé qui empêchent de construire un nouvel avenir, et qu’il faut donc oser regarder avant de les lâcher.
«Il est important, notamment, de revenir sur ces séparations auxquelles on reste accroché», estime Lætitia Veyron, tandis que Géraldine Prévot-Gigant insiste sur la nécessité de refaire le récit de son «premier, puis dernier amour». Au cours de ce travail de «nettoyage», Hélène a réalisé que sa manière d’aimer l’avait en quelque sorte flouée: «Je faisais toujours passer les intérêts de l’autre avant les miens, et je m’étais trompée.»
Parvenir à connaître ses besoins et à surtout apprendre à les exprimer à l’autre est le deuxième pan du processus. Enfin, une réflexion sur la solitude comme porteuse de créativité semble indispensable à Lætitia Veyron: «Nous sommes seules pour différentes raisons, mais nous pouvons toujours déployer des actions», observe la psychologue. C’est alors que le/la célibataire peut se tourner vers le monde, offrir sa contribution (action humanitaire, écriture…). En passant par le lien social, en le cultivant, elle a alors toutes les chances d’y dénicher, mais indirectement, le lien amoureux.
* Vivre seul rend les célibataires excentriques
(Saverio Tomasella, psychanalyste, vient de publier Les Amours impossibles(Éditions Eyrolles).
LE FIGARO – L’envie de sortir de sa solitude est-elle aujourd’hui un motif de consultation?
Saverio TOMASELLA – Oui, je constate qu’environ un tiers des adultes que je reçois viennent avec cette problématique d’une solitude amoureuse qui s’est installée et les fait souffrir. Celle-ci n’est pas à proprement dit un symptôme, comme les conflits familiaux ou les échecs à répétition, mais elle représente une vraie question. J’observe aussi que ceux et celles qui arrivent avec cette question comme demande ont déjà commencé le travail sur eux-mêmes. Et même si elle n’a pas justifié l’envie d’entrer en analyse, la solitude reste de toute façon un thème nécessairement évoqué durant la cure. Parce qu’à travers cette épreuve chacun est amené à s’interroger sur ses sentiments de vide existentiel, sa mort et les enjeux de sa présence au monde.
Concernant la vie amoureuse, que peut apporter la solitude?
Elle s’impose souvent dans le parcours d’une vie. Et, en dehors des amours à 20 ans, qui sont spontanées, irréfléchies, les relations amoureuses qui suivent ont tout à gagner d’un temps en solo de chacun des partenaires. Pourquoi? À un moment, il faut s’être retrouvé face à soi-même, car ce passage par la solitude est le seul moyen de savoir qui l’on est et d’apprendre à mieux se connaître. Il permet aussi de lâcher un certain nombre de clichés et croyances qui empêchent de rencontrer l’autre. Ainsi chez ceux qui ont reçu de fortes injonctions parentales («tu ne fréquenteras pas un juif, ou catholique, ou musulman…») ou qui ont des idées reçues enfermantes («je ne peux supporter qu’un homme soit poilu»/«qu’une femme soit maigre»), le temps vacant laissé à soi-même peut aider à changer ce schéma directeur et souvent répétitif.
Selon vous, de quoi souffrent réellement ceux et celles qui s’y installent pendant de longues périodes?
Souvent, ils se sont enfermés dans leur propre routine pour supporter l’angoisse et, du coup, ils ont construit leur propre muraille. Ils sont le plus souvent guidés par une peur inconsciente de déplaire, de ne pas être désirable ou d’être abandonné… Alors ils préfèrent s’écarter dès qu’une relation pourrait commencer. Le signal qu’il faut consulter et se faire aider pour sortir de tels comportements, c’est quand on se rend compte que la situation se répète et que rien, ni un voyage ni aucun projet, ne pourrait venir bousculer le quotidien de sa vie.
Quels sont ceux à qui profite le plus une période assez longue en solo?
Sans aucun doute les personnalités dépendantes, celles qui éprouvent un irrépressible besoin d’avoir une relation amoureuse comme une béquille ou une drogue. Parce que, quand ces «addicts» quittent une histoire, ils veulent se lancer avec frénésie dans une nouvelle relation. Mais le papillonnage biaise tout, il empêche de se retrouver face à soi-même et donc de trouver ses propres solutions. J’observe d’ailleurs que c’est quand il n’y a même plus de revendication de rencontrer quelqu’un, quand cette crispation cède, qu’alors une vraie rencontre nouvelle, inattendue, peut arriver. (Figaro.Santé-31.08.2012.)
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Des hommes à « adopter » en vitrine
« Adopte un mec » a ouvert une vraie boutique où les femmes peuvent regarder des hommes dans des boîtes en plastique, telles des poupées. « L’Aventurier », « Le Geek », « Le Barbu »… Ils sont nombreux à être en vitrine, exposés au regard inquisiteur des passants mais aussi, et surtout, à celui des femmes célibataires.La boutique éphémère de la rue des Halles devrait ouvrir à Bruxelles le 6 novembre et présenter des hommes en vitrine…
En France, la boutique ouverte depuis mercredi au public suscite, évidemment, une avalanche de réactions. D’aucuns jugent ça humiliant, pour un être humain, de devenir un « objet ». Mais la majeure partie des réactions est positive. Voir un homme dans une boîte, c’est « amusant ». Pour une femme, ça peut être « dégradant. » Les associations féministes monteraient rapidement au créneau si une telle chose devait arriver…
Olivier, l’une des poupées à avoir pris place dans une boîte à la soirée d’ouverture explique au journaliste de Libération qu’il vit ça très bien. « C’est sûr que c’est bizarre. Mais en même temps, c’est le concept du site qui est juste appliqué en vrai. C’est histoire de rigoler. Franchement, je trouve que c’est plus marrant qu’humiliant. »
Il rejoint le point de vue du directeur marketing Thomas Pawlowski. Il souhaite éviter toute polémique en jouant la carte de l’humour. « Nous, nous sommes un peu fous. L’idée c’est que cela soit vraiment bon enfant, amusant », indique-t-il à Libération. Et pas question de choisir des hommes beaux uniquement. « Nous avons tous les physiques, vraiment, et tous les inscrits pourront venir passer un moment dans une boîte si elle est libre », ajoute-t-il.* 7s7-13.09.2012.
**Vidéo: Paris : des hommes en vitrines pour les filles
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Le top 10 des plus beaux hommes à adopter
Le site AdopteUnMec.com réalise à l’aide d’un sondage un classement des plus beaux hommes.
Les classements des plus jolies femmes sont nombreux sur le net. Le site AdopteUnMec.com a donc réalisé un top 100 des plus beaux hommes à adopter.
Avec l’aide d’un sondage et de 37 000 participantes de différentes catégories, le site de rencontre a établi un top 100 des hommes les plus appréciés des femmes. Acteurs, sportifs ou bloggeurs ; il y en a pour tous les goûts.
Les préférés sont de différentes nationalités. On trouve en première position le comédien Guillaume Canet qui continue encore et toujours de faire vibrer le coeur des femmes ou encore le chanteur M. Pokora qui sait aussi bien séduire en bad boy qu’en gentil garçon. Certaines figures du classement sont des indétrônables, tel que l’acteur Johnny Depp qui rafle la huitième place.
Mais le physique ravageur n’est pas le principal atout de ces adoptés de rêve. L’humoriste Alexandre Astier, connu sous les trait du Roi Arthur dans Kamelott, prend la neuvième place grâce à son humour et son esprit.*GentSide-Publié le 25 avril 2012
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