L’Algérie et les délires de certains
**L’Algérie et les délires de certains « frères » arabes
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*Hostilité saoudienne contre l’Algérie
*Riyad-mercredi 20 mai 2015***Après avoir empêché le passage d’un avion algérien en partance pour le Yémen, l’Arabie Saoudite récidive dans ses attaques contre l’Algérie. L’Arabie saoudite a mis l’Algérie sur sa liste noire des pays à surveiller de près, en ce qui concerne le respect des règles traitant de la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme. Le ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, a réagi jeudi, à ces accusations. Il s’agit d’ « une tempête dans un verre d’eau sans fondement aucun », a déclaré Ramtane Lamamra. Cet épisode de « liste noire » n’est pas le premier du genre dans l’histoire des relations entre les deux pays « frères ». En avril dernier, les autorités saoudiennes ont empêché un avion d’Air Algérie de se rendre au Yémen pour rapatrier des ressortissants algériens. L’Algérie avait refusé de prendre part aux frappes aériennes menées par l’Arabie Saoudite contre le Yémen, pays pauvre et affaibli par la guerre civile. L’Arabie Saoudite n’a visiblement pas pardonné à l’Algérie son autonomie de décision à l’intérieur de la Ligue arabe.*médias
****Le récit précis fait à El Watan par le pilote de l’avion a poussé le ministère algérien des Affaires étrangères à démentir l’existence de «toute crise» avec l’Arabie Saoudite. Mais les faits semblent prouver le contraire. Et si une rivalité a toujours existé entre les deux pays depuis plusieurs années déjà, le refus de l’Algérie de participer à la coalition arabe qui a attaqué les milices houthies au Yémen a fini par exacerber les tensions entre Riyad et Alger.
L’Arabie Saoudite n’a visiblement pas pardonné à l’Algérie son autonomie de décision à l’intérieur de la Ligue arabe.Car en dehors de ces luttes politiques, l’Arabie Saoudite est loin d’être un exemple dans la lutte contre le terrorisme. Pis, le pays du roi Selmane est même pointé du doigt par plusieurs observateurs internationaux qui l’accusent de financer directement le terrorisme. Une accusation formulée récemment par le représentant de la Syrie aux Nations unies : El Djaâfari a carrément indiqué que Riyad «finance et fait la promotion du terrorisme». Preuve en est que les premiers responsables des groupes terroristes, notamment Al Qaîda, sont d’origine saoudienne. Face à cela, l’Algérie n’a jamais réagi publiquement. Elle a toujours épargné l’Arabie Saoudite.*Ali Boukhlef-El Watan-mercredi 20 mai 2015
***C’est le monde à l’envers. Voilà un pays qui soutient, finance et arme l’internationale terroriste dans le monde entier, qui veut donner des leçons à l’Algérie qui a souffert de ce phénomène comme aucun pays dans le monde. Jusqu’à preuve du contraire, le 11 septembre ce sont bien 15 pirates saoudiens qui ont jeté leurs avions sur les tours jumelles, Ben Laden le chef terroriste est bien un saoudien, la guerre Iran-Irak de 1980-1988 qui a fait des millions de morts a été déclenchée sur ordre des saoudiens, Nosra et Daech, les deux organisations criminelles, ce sont bien des créations saoudiennes, la Syrie saccagée et démembrée par des hordes terroristes soutenues de toutes leurs forces par les saoudiens, à leur têtes se trouvent également des chefs saoudiens, l’Irak qui a été à deux reprises en 1991 et en 2003 envahi à partir du territoire saoudien qui a supporté le financement de cette sale guerre, la Libye détruite et son président assassiné, c’est encore le royaume wahhabite, le Yémen écrasé par les bombes à fragmentation du va-t-en-guerre le roi Salmane ben Abdel Aziz al-Saoud, c’est encore une fois les saoudiens et la liste est loin d’être exhaustive tant les méfaits de la secte wahhabite sont innombrables. Voila pourquoi le ministère algérien des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra a réagi aujourd’hui en qualifiant ces accusations de « tempête dans un verre d’eau sans fondement aucun » et que ce dossier « figure en tête des engagements internationaux de l’Algérie. Il n’est pas de nature à être traité à un niveau bilatéral avec aucun pays arabe ou autre » dans une allusion à l’Arabie saoudite.
Le refus de l’Algérie de rejoindre la coalition arabe pour agresser le Yémen est le principal motif de cette hostilité en sus du soutien sans faille au Maroc en déversant sur le royaume voisin des milliards de dollars afin de lui permettre d’acheter des armes et des avions américains tentant de lui donner la suprématie militaire sur l’Algérie.
Que ce roi issu de la secte wahhabite, originaire comme les Saoud du Najd, région maudite par le prophète Mohamed (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) sache que l’Algérie n’est ni la Syrie ni l’Irak et encore moins le pauvre Yémen et que les algériens ne sont ni les valets des américains ni ceux d’Israël.*Par Khidr Ali | 21/05/2015 |algerie1.com/
***Le culot du régime saoudien dépasse l’entendement. Selon le journal saoudien Makkak, les autorités de Riyad ont émis une recommandation mettant en garde «les personnes physiques ou morales dans les pays qui présentent une faiblesse dans leur dispositif en n’appliquant pas les recommandations du Groupe d’action financière (GAFI) contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme».
Sur cette liste figurent des pays comme la Syrie, le Yémen, le Pakistan et, grande surprise, l’Algérie.
Passons pour le GAFI. Notre pays, à l’instar de tous les pays arabes sans exception, et comme l’Arabie Saoudite surtout, est gangrené par la corruption et mérite, par conséquent, d’être surveillé de très près. Mais là où le bât blesse, c’est lorsque les wahhabites nous fichent parmi les pays finançant le terrorisme. C’est le comble de l’hypocrisie et de la malhonnêteté.
Nul n’ignore que le royaume est le principal bailleur de fonds du terrorisme islamiste à travers le monde. A ce titre, il est l’un des principaux responsables des destructions et des morts qui ont endeuillé l’Algérie durant la décennie 1990. En 1992, après l’invasion du Koweït par l’Irak de Saddam Hussein, le ministre saoudien de la Défense avait annoncé la cessation de l’aide au FIS parce que ce dernier avait apporté son soutien au dictateur irakien. Mais l’aide au terrorisme s’était poursuivie à travers des «ONG» saoudiennes sans que le gouvernement de Riyad fasse le moindre geste pour mettre fin à leurs activités criminelles.
El Watan avait publié à l’époque la copie d’un chèque saoudien d’un million de dollars adressé à un avocat algérien établi en France, du nom de Simozrag, pour le compte des islamistes algériens.
Les preuves du soutien de l’Arabie Saoudite au terrorisme islamiste s’accumulent au fil du temps. Nous apprenons que les fondateurs de Boko Haram au Nigeria, d’Ançar Eddine au Mali, des shebab somaliens, par exemple, ont tous reçu une formation théologique en Arabie Saoudite d’où ils sont sortis avec des idées subversives. C’est dans la nature même du régime saoudien de former des terroristes. Le Saoudien, dès l’école, apprend l’intolérance et le fanatisme. De ce fait, il a une vision erronée du monde. Il faut se rappeler que lors des attentats aux Etats-Unis, sur les 21 terroristes, 17 étaient des Saoudiens. Récemment encore, un «savant» saoudien expliquait sur une chaîne de télévision que la terre est… plate ! C’est dire que le peuple est maintenu volontairement dans l’obscurantisme pour que ses dirigeants utilisent les richesses nationales à leur guise et sans rendre compte de leur gestion.
Et en lançant des accusations farfelues contre l’Algérie, ils espèrent sans doute se donner une virginité et faire oublier leurs accointances avec la violence islamiste.
Il est vrai aussi qu’ils profitent de la situation de l’Algérie, marquée par une absence de pouvoir et une déliquescence de l’Etat, pour déverser leurs mensonges. Ils pensent que les patriotes algériens qui voudront leur répondre seront empêchés de le faire.*Tayeb Belghiche–El Watan–jeudi 21 mai 2015
*Cheikh Imran Hosein et le triangle de la Fin des Temps
**Sham, Yémen et Najd
**voir et écouter la vidéo: le triangle de la Fin des Temps
*cliquer ici: Le nouveau désordre mondial
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*L’action positive de l’Algérie sur la scène internationale, dérange les voisins marocains
L’agence de presse officielle marocaine Maghreb Arab Press (Map) a annoncé une nouvelle campagne à laquelle ont été conviés tous les médias du royaume.
Les performances de la diplomatie algérienne font de l’ombre au Maroc. Le succès vers lequel se dirigent les pourparlers de paix inter-maliens menés de main de maître par son ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, ont contrarié notre voisin de l’Ouest au même titre de l’initiative algérienne de convoquer la tenue d’une Assemblée générale de l’Organisation des Nations unies dans le cadre de l’agression israélienne contre la Bande de Ghaza pour arrêter le massacre des Palestiniens. Une action soutenue par de nombreuses capitales à travers le monde.
Pendant ce temps-là le pouvoir marocain n’a pas trouvé mieux que de faire ressortir sa vieille rengaine: la fantomatique menace de son intégrité territoriale à travers le conflit du Sahara occidental.
Cette paranoïa qui s’est emparée du Makhzen a atteint son point culminant au moment le plus fort de l’agression israélienne contre le peuple palestinien.
Les médias marocains n’ont pas trouvé mieux que de colporter la folle rumeur selon laquelle l’Algérie approvisionnerait l’Etat israélien en gaz!!! Sans avoir peur de se ridiculiser. Imputant au passage les difficultés économiques de leur pays à la fermeture de la frontière terrestre avec l’Algérie. Comme ils ont surfé sur la tenue de l’université d’été des cadres du Front Polisario, qui a lieu à Boumerdès à 50 km à l’est d’Alger pour y voir une provocation contre leur pays. Quant à la désignation d’un envoyé spécial pour le Sahara occidental par L’Union africaine, elle a tout simplement donné un aperçu du degré d’altération atteint par les responsables marocains. «L’Algérie utilise tous les moyens financiers et logistiques pour contrecarrer les efforts du Maroc visant à trouver une résolution» à cette question, avait accusé le ministre marocain des Affaires étrangères en s’adressant
aux membres de deux Commissions parlementaires.
«La dernière chose a été (la désignation de) cet envoyé spécial de l’Union africaine. (…) Quand on voit les tentatives du régime algérien pour contrer nos efforts, nous constatons que les méthodes utilisées sont vraiment minables» avait ajouté Salaheddine Mezouar. Le meilleur reste sans aucun doute à venir.
L’agence de presse officielle marocaine Maghreb Arab Press (Map) a annoncé une nouvelle campagne à laquelle ont été conviés tous les médias du royaume.*L’Expression-Samedi 09 Aout 2014
*Un réflexe maladif qui se propage comme la fièvre aphteuse et pourrit le sommet de l’Etat marocain.
Dans une interview accordée à la chaîne de télévision arabe Al Hurra financée par les Etats-Unis, le chef du gouvernement marocain a déclaré que l’Algérie n’aurait existé qu’en tant que province ottomane ou département français.
Dénier à l’Algérie son histoire puis la supplier de lui ouvrir sa frontière ne dérange en rien l’islamiste Abdellilah Benkirane. Chez notre voisin de l’Ouest, le ridicule ne tue pas.
Un réflexe maladif qui se propage comme la fièvre aphteuse. Il pourrit le sommet de l’Etat marocain. Démonstration.
«Le Maroc qui existe depuis 12 siècles, en totale indépendance des empires orientaux, abbasside et ottoman, a développé son identité propre, au contraire de l’Algérie qui n’a jamais existé qu’en tant que province ottomane ou département français», a déclaré le chef du gouvernement marocain dans une interview, publiée hier, accordée à la chaîne de télévision arabe Al Hurra financée par les Etats-Unis.
Actuellement, «nous ne demandons rien à l’Algérie, sauf une chose, revenir à la raison et agir selon la logique de bon voisinage et de fraternité entre peuples de même religion et de même langue, si les Algériens réussissent à faire cela, ils pourraient eux-mêmes, ouvrir la frontière avec le Maroc», ajoute Abdelilah Benkirane qui reconnaît avoir en partage la même langue et la même religion avec l’Algérie. Une scorie que le secrétaire général du Parti de la justice et du développement a, par contre, en partage avec l’idéologie islamiste révisionniste qui nie le fonds linguistique et les racines berbères communs qui unissent les peuples d’Afrique du Nord. Le chef de l’Exécutif marocain a fini par mettre les deux pieds dans le bourbier qu’il s’est ingénié à entretenir. La question sahraouie l’a inévitablement installé au milieu du gué. Benkirane qui en a fait le lien avec la sortie peu glorieuse du Maroc de l’ex-OUA (Organisation de l’Unité africaine) rebaptisée Union africaine, UA, s’est noyé. «Notre relation avec l’Afrique dépasse de loin les cadres classiques limités, elle est spirituelle et dure depuis toujours» a expliqué Benkirane, ajoutant que le retour du Royaume à l’UA n’est qu’une formalité non urgente qui se fera dès que l’erreur Polisario aura été effacée. La pirouette était difficile à exécuter. La démonstration est désopilante.
Le Maroc qui a perdu son africanité n’est pas près de la retrouver de sitôt. L’Union africaine vient de nommer un envoyé spécial pour le Sahara occidental.
Le chef du gouvernement marocain a omis de dire que son pays l’a très mal pris. «Le processus de recherche d’une solution politique définitive au différend régional au sujet du Sahara marocain est du ressort exclusif de l’ONU. L’UA n’a aucune base juridique ni fondement politique ou légitimité morale pour intervenir de quelque manière que ce soit dans ce dossier» avait indiqué, le 1er juillet, le ministère marocain des Affaires étrangères et de la Coopération dans un communiqué répercuté par une dépêche de l’agence de presse officielle marocaine, MAP.
«Le Royaume du Maroc, partie fondamentale et incontournable à ce différend régional, ne se sent aucunement concerné par cette décision unilatérale qu’il rejette totalement», avait souligné la même source. Des déclarations qui attestent que le Royaume n’est pas près de regagner le giron africain. L’interview de Benkirane n’aura finalement été qu’un chapelet de scories. Un tadjine de mauvais goût servi à des consommateurs qui connaissent la cuisine marocaine.*Par Mohamed TOUATI - Dimanche 10 Aout 2014 – L’Expression
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*Détournement avéré de notre patrimoine numido-romain au profit des voisins de l’ouest , au Grand Palais à Paris
*odieuse manipulation et falsification de l’histoire, par les responsables de l’exposition en collusion avec le Maroc!
*Je tiens à faire part d’une découverte qui me semble grave et qui concerne un détournement avéré de notre patrimoine numido-romain au profit des voisins de l’ouest et dans le mépris le plus total de l’authenticité de notre histoire.
Les faits remontent à une semaine, je m’étais rendue au Grand Palais à Paris, où se tient une exposition sur l’empereur romain Auguste. Cette exposition raconte le parcours et les réalisations de ce grand homme qui a su pacifier et unifier l’Empire y compris l’«Afrique», soit l’Algérie et la Tunisie. L’exposition se déroule sur deux étages : au 1er la vie d’Auguste neveu de César et ses faits de «guerre, au 2e étage, son empire et l’art et les techniques qu’il y a développés. C’est précisément au 2e étage que j’ai découvert avec surprise et désagrément, reproduits sous forme de carte géographique de grande dimension et d’un panneau explicatif portant le titre «Afrique», des représentations et écrits mensongers et usurpateurs de notre patrimoine national, un détournement honteux et d’une audace que je n’aurais jamais pu imaginer, et tout cela au profit de notre voisin de l’ouest. Sur cette carte de la Méditerranée, notre Numidie antique unifiée sous Massinissa, patriarche des rois Amazir, puis renommée plus tard sous César Maurétanie césarienne, dont le roi fut Juba II descendant du grand Massinissa (il est le fils de Juba I qui a été défait à Cirta par les Romains), et dont la capitale fut jadis Césarée aujourd’hui Cherchell, cette Algérie (Maurétanie césarienne) est représentée comme un grand désert à l’exception de la ville de Cherchell qui est notifiée sur la carte. Jusque-là rien d’étonnant, car il eut été stupéfiant de constater que les Français nous feraient de la publicité gratuite pour nos sites numido-romains (il faut savoir que l’Algérie possède le plus grand patrimoine romain après l’Italie). Sauf que le commissariat de l’exposition, qui fait apparemment dans l’anti-algérianisme primaire (ou dans le lobbyisme marocain ou les deux), a prévu quelques manipulations diaboliques pour, comble du scandale, nier l’existence de notre noble pays, le plus grand des royaumes berbères qui n’ait jamais existé.
Ainsi sur la carte et afin de ne pas citer l’Algérie qui est grisée (comme si la civilisation n’y existait pas), le nom Numidie est attribué à la Tunisie et une partie infime de l’Est algérien ! L’Histoire, la vraie, nous enseigne que la Numidie s’étendait des montagnes de l’Atlas tellien à l’est de nos frontières (soit la Tunisie amputée de Carthage et de quelques points d’entrée romains et carthaginois), jusqu’à la Moulouya à l’ouest que nous avons hélas perdue. C’est ainsi donc que sont affectées, dans un premier temps à la Tunisie, notre histoire et notre appellation. Je dis dans un premier temps, car le «meilleur» est à venir.
La seconde manipulation éhontée est intégrée dans un texte figurant sur le panneau descriptif «Afrique» : en effet, sur ce grand panneau traduit du français à l’anglais et probablement à l’italien ou à l’espagnol (je n’ai pas prêté attention aux autres langues), il est écrit à peu de choses près : la Numidie est sous le règne d’Auguste (ce qui est vrai dans l’absolu) tandis que la «Maurétanie» (tout court) entretient des rapports commerciaux avec l’empire… (la Maurétanie césarienne ou Numidie est historiquement romaine). Et au mot «Maurétanie» (tout court pour entretenir le flou) qui désigne donc l’Algérie, le commissariat d’exposition met le mot «Maroc» entre parenthèses, soit le territoire de l’Algérie…
J’ai été outrée et scandalisée, et j’ai dit haut et fort aux personnes qui se trouvaient là ce que je pensais de cette odieuse manipulation. Mais cela ne suffit pas, d’une part parce qu’il faut laver l’affront qui nous est fait et, d’autre part, parce que les centaines de milliers de visiteurs qui se bousculent chaque année dans ce lieu vont garder à jamais cette image frelatée de notre histoire, de notre identité, au profit de nos ennemis qui s’en voient, comble de notre torpeur, valorisés sur le dos de notre pays ! C’est pourquoi il y a lieu de mener une investigation sur le sujet en rencontrant les responsables de cet affront, soit l’équipe du commissariat d’exposition, afin d’obtenir des explications et d’exiger un correctif. Je souhaite qu’on dénonce avec force ce détournement éhonté de l’histoire au profit de notre ennemi qui n’y a aucunement participé. C’est à mon sens une atteinte grave et perfide à notre souveraineté même. Il faut frapper fort avant que ces actes ne se reproduisent à plus grande échelle, car j’ai déjà rencontré une manipulation de ce genre, mais elle était moins criante (lors de l’exposition «les étrusques» au musée Maillol). Il est urgent d’alerter également les autorités culturelles et diplomatiques de notre pays en concevant un article cinglant ou même en leur faisant parvenir mon écrit (l’exposition prend fin le 22 juillet prochain). En ce moment même, des archéologues français (une équipe d’archéologie préventive) interviennent à Alger-ville (place des Martyrs), sur le chantier du métro, et je trouve cela inquiétant étant donné ces manipulations et le parti pris de la France. Ainsi, rien ne nous garantit qu’ils ne commettent pas des vols ou des destructions au profit de qui on sait. Ils pourraient très bien préconiser à certains décideurs mal avisés de détruire le site et d’y faire passer le métro sous prétexte qu’ils auraient prélevé ce qu’il fallait. Il y a urgence ! Il faut demander une contre-expertise des Italiens et chasser les Français (qui n’ont pas d’histoire romaine et encore moins une expertise en la matière, car la Gaule romaine est une affabulation de toutes pièces). Des Français qui profitent sûrement de cette présence sur les lieux pour nous espionner et nous contrer. Il faut que leurs rapports soient vérifiés par une contre-expertise, car ils pourraient faire détruire un patrimoine unique qui montre que notre pays est riche de civilisations même si nous en avons perdu la mémoire notamment par le fait d’une école médiocre et destructrice ! Ainsi, des Algériens en nombre, travaillant au Grand Palais, n’y ont vu que du feu même s’ils ont lu ce texte usurpateur d’histoire et de souveraineté, ce dont je doute même, ils n’ont pas dû le comprendre tellement notre école a fabriqué des «zombies analphabètes» aux dires de certains commentateurs d’Algeriepatriotique.
J’espère que mon écrit est suffisamment clair et intelligible, et qu’il y aura une levée de boucliers pour confondre ces escrocs de la soi-disant culture et rendre à Massinissa, à Juba II et à leurs héritiers, le peuple algérien, ce qui leur revient.*Laetizia AER, patriote algérienne-algeriepatriotique.com- 30. MAI 2014
*Réactions d’internautes:
*Par abdel | 1. juin 2014 –depuis toujours le maroc et la tunisie sont valorisés en france et particulier dans les medias, par ailleurs en algerie, tout le mond sait que les nominations a des postes clés sont faits sur des criteres obscurs, pas etonnant donc, de trouver au sommet des gens incompétents!
*Oui vous avez bien fait d’alerter l’opibion sur cette escroquerie de la part de la France . Cependant comme on dit chez chez nous » A VAVA WETHNAGH , A MMI 3KALNAGH » Le mal vient de chez nous d’abord . La France est toujours dans son role de pays colonnisateur . C’est à nous de reconquerir notre identite notre culture et surtout notre histoire reelle et se donner les myens d’etre nous meme sans attendre rien des autres . Merci LAETIZIA
*Vous pensez que notre ambassade va faire quelque chose pour rétablir la vérité historique . Nos diplomates sont surtout occupé à assurer leur avenir et celui de leur enfants.
Il est regrettable que nos centres culturels ne font rien pour vulgariser l’histoire de notre pays à l’étranger . Les seules activités soit disant culturelles se limitent à la danse et à l’artisanat occultant les autres aspect de notre civilisation.
*Bonjour,
Avez-vous oublié le nombre de pièces rares volées et « égarées » lors de « l’année de l’Algérie en France » ??
Ne voyez-vous pas que chaque jour, à toutes les frontières, sortent des pièces de notre patrimoine ?
Ne savez-vous pas que le directeur d’un musée algérois, que la décence m’interdit de nommer, se glisse telle une couleuvre sous les ordres du clan mafieux et se conduit à l’intérieur et à l’extérieur du pays, selon les désirs de ce clan et selon ses intérêts personnels ou familiaux en bradant une partie de l’âme algérienne ?
Ne savez-vous pas que lors du séjour du théocrate wahhabite aux Invalides s’est déroulée une exposition sur les harkis durant plusieurs mois donc une partie importante de la cour de cette institution étaient recouverte de panneaux, mesurant 2m sur 1m, à la gloire des collaborateurs de l’armée coloniale ? Croyez-vous que Boumediene ou Zeroual auraient accepté de subir cet affront et de faire défiler une grande partie des responsables algériens devant les visages et les faits de ceux qui ont tué, violé et volé les maquisards, les femmes et les enfants algériens ? Quelle est la famille ou tribu comptant des révolutionnaires qui ne fut pas victime de leurs méfaits, il est vrai que toutes les régions et les familles d’Algérie n’ont pas payé le même prix pour libérer le pays. Travestir l’histoire ne dure que la période du pouvoir après les langues et les écrits sortiront.
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*L’Algérie et les délires de certains voisins
Le territoire connu aujourd’hui sous le nom de «Algérie» a-t-il jamais existé? C’est la question que l’on se pose, à écouter ou lire les propos ou les écrits de responsables politiques et/ou historiens de nos voisins de l’Ouest.
C’est le cas de le dire face aux appétits insatiables de voisins qui n’ont jamais pu s’accommoder d’un pays qui, réellement, dérange tant par une histoire spécifique, multiséculaire, par sa farouche résistance face aux avatars de l’histoire que des multiples occupations qui, en fait, ont façonné la géographie et l’histoire de l’Algérie au long des siècles.
Une Algérie dont les frontières ont à peine été modifiées par une présence étrangère qui s’est étalée sur des dizaines de siècles que l’on veut, ou l’on tente de réduire à un couloir entre les prétendus «mastodontes» marocain et tunisien. L’Algérie sans passé historique? Voilà une contrevérité qui, curieusement, persiste car, il faut bien l’admettre, ses dirigeants eux-mêmes semblaient avoir accrédité ce fait en faisant remonter l’existence de l’Etat algérien à l’Emir Abdelkader.
En nous inscrivant en faux contre cette assertion, ce n’est certes pas remettre en cause la figure historique qu’est l’Emir qui reste pour le peuple algérien une icône. Mais il convient de remettre les choses à l’endroit en reconnaissant que bien avant d’avoir embrassé l’Islam, il y a quinze siècles, l’Algérie a été un Etat, un royaume qui a connu maintes civilisations, dont les plus marquantes ont été les civilisations gétule et numide, nonobstant l’apport romain, byzantin, arabe, turc et même français. Autrement dit, les Amazigh (Berbères – Gétules et Numides) qui occupaient tout le territoire qui correspond à l’Algérie d’aujourd’hui, ont joué un rôle dans la civilisation méditerranéenne.
Pourquoi remonter jusqu’à la préhistoire, même à la protohistoire, pour dire la sécularité de ce pays, dont la dénomination «Algérie» est certes récente par rapport à la durée du temps mais sans incidence sur l’existence séculaire de ce pays et sur ses frontières quasi inamovibles depuis des millénaires, quel que soit l’envahisseur qui passa par ce territoire et le nom qu’on lui donna. Ainsi, les Gétules d’abord, les Numides (nom donné à ce territoire par les Grecs, qui veut dire «le pays des nomades»), ensuite, représentent ce qui est connu sous le nom de «Maghreb central» et correspondait au territoire de la République algérienne actuelle.
Pourquoi revenir sur un passé qui reste certes à mieux connaître et à mieux investir pour le plus grand profit des peuples du Grand Maghreb et particulièrement la jeunesse algérienne qui n’a pas suffisamment de repères historiques pour situer son pays dans l’historicité universelle? Cette absence de repères permet à d’aucuns de refaire la géographie et la carte politique de cette région du nord de l’Afrique à leur guise. Pourtant, les peuples du Maghreb ont en commun, durant des périodes plus ou moins longues, des histoires communes qui, d’une période à l’autre, se sont chevauchées, voire se sont fondues, avant que leurs territoires reprennent leur autonomie, les uns par rapport aux autres. Malgré donc les vicissitudes de l’histoire nous avons, au long des siècles, formé globalement un seul peuple, même si la politique nous a toujours partagés. Pourquoi donc ce long rappel? Une fois encore, nos voisins de l’Ouest et de l’Est s’amusent à refaire l’histoire à leur mesure et de fabuler sur des frontières que l’histoire ne leur a jamais accordées. Après «nos frères» marocains qui prétendaient refaire la carte de l’Ouest algérien, allant jusqu’à revendiquer la région d’Oran et du Sud-Ouest algérien, comme étant «territoires marocains», voilà donc «les frères» tunisiens qui, à leur tour, fabulent et étendent les frontières de la Tunisie jusqu’à…Béjaïa et sur tout le Constantinois jusqu’aux territoires du Sud. Rien que ça! Ne mentionnons même pas les revendications farfelues du guide libyen, Mouamar El Gueddafi sur la région de Djanet. Ignorons donc cette pantalonnade, et venons-en au fait. Dans ses mémoires «Habib Bourguiba: le bon grain et l’ivraie» parus récemment à Tunis, l’ancien ministre tunisien des Affaires étrangères, Béji Caïd Essebsi, rapporte un fait étrange, qui met en avant l’antienne d’une «Algérie tunisienne». Caïd Essebsi rapporte dans ses mémoires des propos qu’il eut avec le dirigeant libyen, Mouamar El Gueddafi. Celui-ci a lancé sous forme de boutade à son invité tunisien – qui fait état de ces propos dans ses mémoires – «Si l’Algérie avait envahi la Tunisie avant d’être occupée par les Français, vous auriez été aujourd’hui un seul et même pays», écrit Béji Caïd Essebsi qui, loin de prendre cette boutade pour ce qu’elle est, a eu cette insolite réplique: «L’Etat tunisien, lui dis-je, écrit Caïd Essebsi, était établi bien avant l’institution de l’Algérie, et il comprenait, avant et après l’invasion arabe, Béjaïa et tout le Constantinois du nord au sud jusqu’aux routes caravanières du Sahel. Plus à l’ouest, l’Etat marocain est lui aussi plus ancien que l’Algérie, avec une superficie plus vaste mais avec des frontières variables qui lui ont toujours valu des difficultés avec son voisin de l’Est» (c’est-à-dire l’Algérie). Fin de citation. Donc, aux dires de l’ancien diplomate tunisien, l’Algérie n’aurait pas, ou jamais, existé, puisque selon toute apparence, nos voisins de l’Est et de l’Ouest contestent cette existence en s’inventant des frontières qui n’auraient existé que dans leur esprit. Aussi, convoquons l’histoire et demandons-lui de témoigner.
Ouvrons le Larousse Dictionnaire encyclopédique (2008) et lisons! Algérie antique: «Peuplée par les Berbères, l’Algérie est dès la haute antiquité influencée par les brillantes civilisations des Phéniciens (à partir de la fin du IIe millénaire avant J.-C.) puis des Carthaginois (VIIe siècle-IIIe siècle avant J.-C.) qui établirent des comptoirs prospères sur ses côtes (…)». Maroc antique: «Aux IXe-VIIIe siècle avant J.-C., les Phéniciens créent des comptoirs sur le littoral qui, au VIe siècle, passent sous contrôle de Carthage (…)» Tunisie antique: «Vers 814 avant J.-C. les Phéniciens fondent Utique et Carthage. 146 avant J.-C. Carthage est détruite et la province romaine d’Afrique organisée (…)». Ce qui atteste de l’antériorité de l’Algérie par rapport à ses voisins de l’Est et de l’Ouest, pour ce qui est de l’ancienneté des trois territoires du Grand Maghreb.
A en croire les historiens antiques (grecques notamment), du Moyen Age et modernes, l’existence «historique» de l’Algérie ancienne est nettement plus affirmée, quel que soit le nom sous lequel ce territoire était connu, car il s’agissait bien de ce que les Arabes appellent le «Maghreb Central». Cette ancienneté de l’Algérie, précurseur de la protohistoire et de la préhistoire de la région maghrébine, est confirmée notamment par Ibn Khaldoun (Ibn Khaldoun, «Histoire des Berbères», Traduction du Baron de Slane, Tomes I, II, III et IV, Alger, 1852-1856) et le Professeur Émile Félix Gauthier «Les siècles obscurs du Maghreb», Paris, Payot 1927). Les tout premiers habitants de ce territoire central d’Afrique du Nord, étaient les Gétules, peuple nomade berbère concentré dans le Sud-Constantinois.
Le peuple gétule descend directement de la branche de la civilisation capsienne ayant émigré au Sahara vers 3000 av. J.-C. et «est certainement le peuple qui aura dominé de la façon la plus certaine l’Algérie durant les 1500 ans de son antiquité», nous disent les historiens qui parlent «d’Algérie» et non de la Tunisie ou du Maroc. C’est également le cas des Numides sans doute mieux connus, établis dans un territoire qui correspond exactement à l’Algérie d’aujourd’hui. L’histoire, qui est un agrégat de périodes, est précédée d’une protohistoire et d’une préhistoire. Les sites de Aïn El Hanach (wilaya de Sétif), considéré comme le plus ancien gisement archéologique d’Afrique du Nord, fait remonter la présence humaine dans ce territoire à près de 2 millions d’années avant notre ère. Et Sétif n’est pas en Tunisie.
Le site acheuléen de Tighennif («l’homme de Palikao» anciennement Ternifine, wilaya de Mascara) a également livré des vestiges dont l’âge est évalué entre 800.000 et 400.000 av. J.-C. Ces vestiges ont permis la définition de l’Atlanthrope, aujourd’hui considéré comme un Homo erectus. Cela établit clairement l’existence d’un territoire (l’Algérie) qui n’est ni la Tunisie ni le Maroc. Maintenant pour ce qui est de l’histoire proprement dite, l’ancien diplomate tunisien semble faire allusion à la dynastie hafside qui régna de 1229 à 1574 dont le territoire comprenait une partie de l’Est algérien, dont Béjaïa a été l’une des capitales, et une partie de la Tunisie comme de la Libye, jusqu’à Tripoli. M.Caïd Essebsi semble méconnaître ou feindre de méconnaître que l’histoire des dynasties maghrébines qui se chevauchaient est enchevêtrée, à l’image des Zianides et des Mérinides à l’ouest, les Almohades et les Almoravides qui régnèrent sur une partie ou l’ensemble du Grand Maghreb. Pour ce qui est des Hafsides, le calife Mohammed El Nasir parti à la reconquête de la partie Est du Maghreb, entra à Tunis en 1206 (in ‘Ibn Khaldoun, Histoire des Berbères). Il y reste un an pour rétablir l’autorité almohade sur l’ensemble du territoire puis, avant de repartir pour le Maroc, confia le gouvernement de la province à l’un de ses lieutenants, le cheikh Abû Mohammed Abd Al Wahid ben Abî Hafs. A la mort de ce dernier, son fils, Abû Zakariyâ Yahyâ, lui succéda en 1228. Un an après sa nomination, il se proclame indépendant du calife almohade et fonde la dynastie «Hafside» en 1229.
Le territoire sur lequel régnaient alors les Hafsides n’était pas la Tunisie, ni d’ailleurs l’Algérie. Cela a été le cas de toutes les dynasties maghrébines.
Nous ne donnerons pas de leçons d’histoire au distingué diplomate tunisien, mais il nous semble qu’il aurait dû savoir raison garder et faire la part des choses surtout lorsqu’on évoque des faits dans lesquels les peuples du Maghreb sont impliqués quand les dynasties du Maghreb ont souvent joué un rôle unificateur qui dépassait le partage artificiel que sont les frontières. Béji Caïd Essebsi a donc commis un brûlot qui ne rehausse en rien son mérite d’autant que son écrit a une connotation revancharde. Il faut noter toutefois que l’actuelle équipe dirigeante de la Tunisie est plus sensée et est exempte de ces rodomontades dont fait montre l’ancien ministre des Affaires étrangères de Bourguiba, survivance d’une époque révolue, dont fait partie Caïd Essebsi, condamnée aux oubliettes de l’histoire. Nous avons, en revanche, toutes les raisons de nous féliciter de la sincérité et de la largeur de vue du président Ben Ali. Ce qui ne semble pas être le cas à l’ouest de nos frontières où l’on continue de délirer sur le «Grand Maroc». En effet, pas plus tard que mercredi, un «comité marocain» appelant à la «restitution» des régions «marocaines situées en territoire algérien» a adressé une lettre de «protestation» au SG du parti Istiqlal, et Premier ministre, Abbas El Fassi, pour lui exprimer ses «contestations» suite aux déclarations de l´ex-ministre des Communications, Mohamed Arbi Massari, où ce dernier a relevé que la question des frontières Est du Maroc placées aujourd´hui sous contrôle algérien, a été tranchée depuis une longue période quand les défunts Hassan II et Houari Boumediene ont co-signé une convention frontalière, publiée alors dans le Journal officiel marocain (c.f. Il s’agit du traité d’Ifrane de 1972 qui fixe les frontières entre l’Algérie et le Maroc, avalisé le 17 mai 1973 par le Parlement algérien et le 28 mai 1992 par le Parlement marocain).
Selon toute évidence, l´ancien ministre marocain des Communications est aujourd´hui l´une des rares personnes sensées dans un pays qui a perdu le sens de la mesure qui croit sérieusement que l´Algérie va céder ses territoires nationaux dont chaque mètre a été arrosé du sang des martyrs. Encore une affabulation de Marocains en mal d´expansionnisme qui rêvent éveillés. Il n’y a en fait que l’Algérie qui n’a jamais remis en cause les frontières de ses voisins, qu’ils soient au sud, à l’est et à l’ouest de cette grande région qu’est l’Afrique du Nord. Laissons l’histoire aux historiens et occupons-nous du présent.(L’Expression.01.08.09.)
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