Ecouter son corps
*Apprendre à connaitre son corps
*Connaître son corps et ses zones érogènes permet de savoir quelles parties de son corps seront les plus rapidement excitées par son partenaire.
Se faire caresser les parties du corps les plus sensibles permet l’arrivée plus rapide du désir.
Une zone érogène est très sensible aux caresses car elles contiennent de nombreux capteurs sensoriels.
Pincements, léchage, massages, chatouillements, câlins, baisers, soufflements participent aux caresses qui peuvent exciter ces zones particulièrement sensibles.
Les parties du corps les plus excitables varient selon chaque personne..
*Chez la femme Les seins :
- Ils sont très érogènes
- Les baisers des mamelons (tétons) provoquent une grande excitation
- Les caresses des seins entrainent un durcissement des mamelons très agréable pour la majorité des femmes
- La taille de la poitrine n’influe pas sur l’intensité du plaisir
Les aisselles : la peau des aisselles est douce et très sensible aux caresses
Les lèvres, le lobe des oreilles, le ventre, le nombril, les fesses, le creux du genou, les cuisses, les chevilles, les pieds et les orteils. Chatouiller la plante des pieds ou sucer les orteils peut provoquer beaucoup de plaisir
Le cou est une partie très sensible
Les cheveux
*Les fesses
**Chez l’homme
L’homme est très sensible aux stimulations sexuelles centrées sur les organes génitaux, autour de son pénis.
- Le sexe de l’homme demeure la zone la plus érogène
- Le gland est l’endroit le plus riche en capteurs sensoriels et donc le plus réactif au plaisir
- Les testicules et la tige du pénis, l’arrière des bourses et la zone autour de l’anus sont des zones très excitables
- Les lèvres sont des zones érogènes qui aiment être embrassées, léchées ou mordillées
- Le cou : baisers, suçons, morsures, notamment sur la nuque
- Le torse
- Les lobes d’oreille
- La face interne du haut des cuisses
- Le dos
- Les fesses, l’anus
- Les mamelons
- Les pieds : pincez le gros orteil, mordre, chaque orteil, l’un après l’autre
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**Les sens en ébullition…le toucher apparaît comme le sens le plus important
Le toucher apparaît comme le sens le plus important lors d’un rapport sexuel (87%), aussi bien pour les hommes que pour les femmes. La vue a aussi une certaine importance (39%), les hommes y étant deux fois plus sensibles (53%) que les femmes (27%)…selon un sondage réalisé par Ifop pour le laboratoire Lilly.
A l’inverse, l’odorat et l’ouïe jouent beaucoup plus pour les femmes que pour les hommes.
Le goût arrive loin derrière pour les deux sexes. La vue est un sens important pour l’homme parce qu’il a « une sexualité spatiale », d’où son appétence pour les tenues sexy, a expliqué le Dr Sylvain Mimoun, gynécologue-andrologue.
Les gestes qui éveillent le plus le désir sexuel sont les caresses sur le corps (97%) et le baiser langoureux (93%). Enfin la baisse du désir pour son partenaire apparaît à la fois comme « le plus grand tabou » dans le couple et le problème rencontré le plus fréquemment dans sa vie sexuelle.
L’amour n’a pas d’âge, le sexe non plus…
Plus de 8 Français sur 10 estiment qu’il n’y a pas d’âge à partir duquel on cesse définitivement de faire l’amour. .. selon ce sondage réalisé par Ifop pour le laboratoire Lilly.
Cette proportion tend à décroître avec l’âge: de 25% chez les moins de 25 ans, elle passe à 19% chez les 25 à 34 ans et à 16% chez les 35 à 49 ans avant de tomber à 9% chez les 50 à 64 ans. Elle remonte (20%) à partir de 65 ans. En moyenne, les personnes considérant qu’il y a un âge à partir duquel on cesse de faire l’amour situent ce moment autour de 73 ans.
Un résultat pas étonnant pour le Dr Mimoun, parce que « la baisse de désir est interprétée dans le couple comme une baisse d’amour ». L’Association pour le développement de l’information et de la recherche sur la sexualité (Adirs) lancera lundi à Lille une campagne d’information sur les troubles de la sexualité, en partenariat avec Lilly et et l’Association inter-hospitalo universitaire de sexologie.
Un camion avec à son bord une exposition sur les sens, mais aussi des conseillers de l’Adirs, traversera 7 villes de France (Lille, Paris, Nancy, Lyon, Marseille, Toulouse et Nantes) jusqu’au 31 octobre. (afp-15.10.2009.)
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les massages érotiques
Quand on aborde le thème de la sexualité, on se focalise trop souvent sur l’acte en lui-même, en oubliant qu’on peut entretenir et stimuler sa libido par le biais de bien d’autres pratiques. En effet, préliminaires, caresses, massages, sont autant d’éléments qui permettent de développer un terrain propice pour une sexualité pleinement épanouie. Le massage apparaît comme un premier pas vers la sexualité, et on choisit d’aller plus loin après en fonction de ses envies. Vous vous sentez un peu moins proche de votre partenaire, pris entre les enfants, la famille, le travail ? Normal, même avec votre emploi du temps bien chargé, les moments d’intimité et de repos s’amenuisent rapidement ! Et même si on a tous un super héros qui sommeille en nous, il y a un moment où il faut savoir dire stop et se poser un peu. Pourquoi ne pas s’offrir alors une petite pause massage avec votre moitié, histoire de redonner un peu de piquant à votre vie sexuelle?
Pourquoi le massage vous veut du bien ?
Premièrement, pratiquer le massage à la maison permet de bénéficier de ses bienfaits même si on ne dispose pas du même savoir-faire qu’un masseur professionnel. En effet, les sensations de relaxation, détente et bien être seront aussi présents que lors d’un soin en institut. Il permet de relâcher toutes les tensions du quotidien, la décontraction musculaire, diminuer le stress, … Et ça tombe bien, tendu, vous l’êtes. On dresse donc un nouvel ordre des priorités : se faire du bien : position n°1, se reposer : position n°2, ranger la maison de fond en combles : relégué à la fin de la liste.
Second argument en faveur du massage : le dialogue. En effet, toucher l’autre, c’est communiquer. Le massage vous permettra d’échanger avec votre partenaire : les endroits que vous aimez qu’il (ou elle) masse, la pression des doigts, vos envies, et de lui prouver que votre désir est toujours présent. C’est donc une stratégie redoutable si vous sentez que votre couple a un petit passage à vide, si vous avez cruellement manqué de moments à deux ces derniers temps, si vous avez envie de changer un peu vos habitudes, …L’important : rester toujours à l’écoute de son corps : chercher à savoir quelles sont les parties du corps qu’il aime que l’on manipule, le rythme qui lui convient, la force de la pression des doigts… Cela permet également de découvrir ou redécouvrir le corps de votre partenaire. Et la fois suivante, on se laisse chouchouter à son tour. Impatient ? N’attendez pas et inversez les rôles tout de suite pour doubler votre plaisir !
Une fois exposé à quel point le massage va vous rendre zen et attentionné, il est temps de s’intéresser au cœur du problème : plaisir et sensualité. Parce que si le massage en institut par exemple, se veut purement relaxant, quand on en à la maison, c’est tout autre chose. On passe aux choses sérieuses, pour le plus grand plaisir de votre moitié (et le votre). Le massage va vous donner un bon prétexte pour vous retrouver en tête à tête sensuel avec votre partenaire, et le détendre pleinement, bref vous mettez en place un terrain plus que favorable à des ébats hautement sensuels. Oui, car le massage est une forme de préliminaires : vous êtes relaxé, vous vous caressez, vos mains commencez à glisser petit à petit, votre imagination s’envole, vos sens sont déroutés… Il est temps de passer aux choses sérieuses…
Votre partenaire, le meilleur des masseurs
Ressenti et sensualité seront vos maîtres mots. Vous êtes dans le cocon de votre maison, dans un environnement où chacun de vous se sent bien. Encore plus important, vous avez une confiance entière en la personne qui vous masse. C’est ce sentiment qui rend le massage terriblement efficace et qui vous plonge dans un état de relaxation comme jamais. Laissez-vous prendre au jeu et faites monter la température !
De plus, même si on a affaire au meilleur des masseurs, se laisser faire par son partenaire est souvent une expérience bien plus forte et dont vous vous souviendrez longtemps. Non, le massage ne sera pas techniquement parfait, mais en même temps, est-ce bien important ? Dans votre chambre (ou toute pièce de votre choix), on oublie les gestes du masseur professionnel, et on se concentre uniquement sur ce qui est essentiel : plaisir, désir, sensations… Le but : rendre fou de désir votre moitié. Si vous êtes efficace, il ou elle n’aura plus le choix : impossible de vous résister. Vous risquez d’ailleurs d’écourter le massage pour vous tourner vers des activités tout aussi ludiques!
Des massages sans ambiguïté
Vous pouvez aussi bien vous servir du massage pour détendre votre partenaire après une dure journée, ou jouer la carte de la sensualité. C’est alors un massage en tant que préliminaire que vous ferez, pour stimuler l’autre et lui donner des idées pour la suite. Aujourd’hui, on se concentrera plus sur le massage comme point de départ de vos ébats sensuels, mais libre à vous d’adapter en fonctions de votre forme et vos envies ! Tentez alors les massages érotiques, qui proposent un massage sans équivoque : ils stimulent essentiellement les zones érogènes du corps. A vous ensuite de déterminer celles que votre partenaire apprécie le plus, pour lui donner un maximum de plaisir. Les mouvements se font langoureux, lents, sensuels, et si vous souhaitez augmenter cette sensation, l’utilisation d’huile de massage en grande quantité est fortement recommandée. Vos mains glisseront alors très facilement, quitte à se perdre un peu en route, lancé dans son élan. Car c’est ça le but après tout, se faire plaisir et donner libre cours à vos envies… Je vous conseille donc d’user et abuser du massage pour faire monter la température et profiter ensuite d’un partenaire tout émoustillé.
Pour le reste, nul doute que vous n’aurez besoin d’aucun conseil pour continuer. Et pour varier les plaisirs, vous pouvez opter pour différents types de massages : ayurvédique, balinais, Shiatsu, suédois, californien… Il y en a pour tous les goûts… Et si votre défi c’était de les essayer tous pour comparer et savoir lequel vous préférez ? D’ailleurs, n’hésitez pas à jeter un coup d’oeil à nos autres articles pour y trouver votre bonheur! **Sources internet
*vidéo: massage érotique,massage sensuelle
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*Le langage du corps…
Vous êtes-vous jamais demandé si vous pouviez deviner les émotions et sentiments d’autres personnes ? Savoir si l’on vous dit la vérité ou bien on vous ment. Il est possible d’avoir un accès direct à l’inconscient des personnes qui vous entourent. Et ceci avec beaucoup plus de fiabilité que la télépathie ou toute autre science paranormale. Vous n’avez pas besoin d’avoir un don quelconque. Il suffit d’appliquer la méthode basée sur les dernières recherches en psychologie sur la science comportementale, c’est tout. Avec la plupart des sciences psychiques ou développement personnel, il faut vraiment croire pour que l’effet se produise. Avec le langage du corps; il suffit juste de regarder l’autre. Vous n’avez pas besoin d’être psychologue. Juste un peu de mémoire pour vous souvenir de certains gestes et lire dans l’inconscient de votre entourage. Imaginez que vous ayez à la place de vos yeux, des rayons « X » qui verraient à travers l’âme humaine. Vous auriez un ascendant considérable sur votre entourage. Vous pourriez entre autres : Savoir si votre employeur ne vous fait pas de fausse promesse. Vous éviterez ainsi une perte de temps et d’argent dans une carrière sans issue. Devenir le meilleur vendeur de votre activité avec les félicitations de votre patron. Chercher un autre emploi et prétendre à une reconnaissance sociale qui fera l’admiration de votre entourage. Deviner si votre conjoint est vraiment sincère avec vous par un simple regard. Lire comme dans un livre ouvert les personnes du sexe opposé. Au lieu de vous faire manipuler vous-même, manipulez les recruteurs lors d’un entretien d’embauche. Connaître les véritables intentions de vos amis, de votre famille, de vos partenaires, de vos clients etc.. tout cela est possible et beaucoup plus…Le corps ne trompe jamais, il trahit !
Il vous permet d’identifier diverses émotions ou sentiments tels que :
* l’énervement
*la franchise
* la colère
* l’ennui
* le doute
* l’excitation Etc…Tout ceci, sans dire un mot, simplement en étant observateur.Vous pourrez ainsi influencer le subconscient des gens à votre avantage. Alors, utilisez votre corps pour vous exprimer, et ce sont les autres qui viendront vers vous par le magnétisme que vous dégagerez.
Pourquoi certaines personnes ont ce que l’on appelle du charisme, sans même ouvrir la bouche ? N’avez-vous jamais remarqué que les personnes qui « en imposent » uniquement par leur présence ont des postures et expressions qui inspirent confiance ?
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****Le corps dans l’écriture féminine arabe.
Sujet tabou dans la société arabe, le corps a été au centre du débat et le thème principal d’un colloque animé,(08 et 09 mai 2010), à la salle de conférence de l’hôtel Safir, Alger.
Organisé par l’association «Femmes en communication», ce colloque a soulevé maints questionnements liés à l’épanouissement de la femme en butte à l’étroitesse d’esprit de la majorité des hommes dans les sociétés arabes. La femme peut-elle écrire sur le corps sans pour autant être stigmatisée? Une question pertinente à laquelle les conférenciers ont tenté de répondre. «Au départ, la femme parle de son espace limité alors que l’homme se veut le porte-parole d’une communauté donnée», dira Alawia Sabah.
La résultante est cette confusion entre l’auteure et le personnage dans les romans écrits par des femmes. «La femme restera confinée dans ce genre de questionnements tant qu’elle reste emprisonnée dans un univers masculin qui autorise ou lui dicte ce qu’elle doit écrire», fait -elle remarquer. Il est évident pour l’écrivaine libanaise Alaouiya Soubh, qu’il existe une fine marge entre «l’insolence et l’audace dans l’écriture».
Ce qui importe pour la femme, selon elle, est d’élever le niveau de sa créativité. «Le corps n’est pas un objet. C’est la vie, une forme d’expression qui ressent et porte en lui tous les désirs tant qu’il est en vie. On ne peut cesser d’écrire sur le corps, tant il fait partie de notre vie et notre entourage», a souligné cette femme. Abordant en préambule sa conférence, Mme Sabah dira en effet, que le corps s’est transformé avec le temps, en une chose «enveloppée d’un discours idéologique, déshumanisée». Elle relève que «le corps féminin est dissimulé sous de nombreux voiles, car perçu comme une énigme non encore résolue par l’homme. La représentation des relations sexuelles en littérature est liée à une question de pouvoir, elle est rapportée telle imaginée par la plume masculine. Or, l’écriture ne se fait pas sans un souffle créatif libre. L’écriture féminine se doit d’être libérée de toute contrainte sociale et penser, non en termes de réaction, mais comme un droit légitime que lui confère son statut d’écrivain à part entière». Pour la Jordanienne Bassma Anssour, avocate et auteure, sa communication se basera sur plusieurs témoignages, néanmoins avec une seule conclusion, à savoir «l’emprisonnement du corps de la femme». D’emblée, Mme Ansour parle de la femme comme étant une entité de seconde catégorie dans l’imaginaire arabe. «Quand une femme accouche d’un garçon c’est la fête et la joie à la maison. Au contraire, quand c’est une fille, ceci peut conduire à sa répudiation.»
Et d’ ajouter: «Le garçon est vite habitué à faire ce qu’il veut et à prendre conscience de sa force alors que la fille est brimée dans ses désirs dès son jeune âge. Le garçon fait tous les sports qu’il veut, or on interdit à la fillette de grimper sur un arbre par crainte de perde sa virginité, si elle est amenée à tomber. La mère apprend très tôt à la fille à cacher son corps des regards de l’autre en lui inculquant la timidité. Elle est éduquée au mariage avant même d’atteindre une maturité suffisante.» Des clichés somme toute relatifs peut-on dire, mais qui sont pour Basma Ansour plus que vrais car dit-elle «la réalité est souvent pire que ça». C’est en tout cas la présentation de la femme, faite selon elle, dans les oeuvres de Naguib Mahfoud. Et de renchérir: «Dans la littérature, en Jordanie, la femme souffre énormément.» Et de faire remarquer: «Tant que la femme ne se réconcilie pas avec sa féminité, l’artiste arabe ne peut avancer sans qu’elle ne soit confrontée au feu des accusations de l’homme.» La femme dans le patrimoine amazigh a été, par ailleurs, le thème de la communication de l’universitaire Fadma Nedjaï de Tizi Ouzou. Celle-ci s’attachera au patrimoine pour évoquer le rapport de la femme avec son corps et le désir sexuel.
D’après une étude faite sur des femmes kabyles, 56% contre 31% ont affirmé qu’elles peuvent avouer à leur mari leur satisfaction au lit ou non, prouvant par là la liberté de ton chez la femme kabyle. D’autres, par contre, préfèrent exprimer leur désir par la suggestion. «L’avis des femmes est souvent noyé sous le poids des traditions et le silence de la tribu», autrement dit, basé sur les non-dits. Mme Nedjaï fera appel à des légendes issues du patrimoine pour évoquer la place du corps dans la société arabe et la liberté du langage du temps du Prophète (Qsssl). Présente lors de cette deuxième journée du colloque, Mme Nouara Saâdia Djaâfar, ministre déléguée chargée de la Famille et de la Condition féminine dira sa satisfaction pour cette initiative qui s’est caractérisée, dira-t-elle, «par un dialogue très franc».
Et de souligner: «Cela veut dire que le patrimoine commun qui existe entre ces femmes arabes nécessite plus de recherches et d’approfondissement. Il fut, en tout cas, très enrichissant. J’espère qu’il y aura d’autres initiatives de ce genre pour qu’on connaisse davantage notre patrimoine, surtout la jeunesse. C’est cela la démocratie, c’est d’être libre de s’exprimer dans toutes les formes de l’art. Il faut qu’on avance ensemble.» (L’Expression-10.05.2010.)
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**Quand l’esprit met le corps à distance…
Les illusions de sortie du corps sont des expériences de désincarnation étonnantes, plus fréquentes qu’on ne le croit. Des neurobiologistes commencent à comprendre les mécanismes cérébraux à l’origine de ce phénomène. Ils progressent ainsi dans l’étude de la « conscience de soi ». «J’ étais dans mon lit sur le point de m’endormir lorsque j’ai eu l’impression que je me trouvais au niveau du plafond en train de regarder vers le bas mon corps allongé sur le lit. J’étais très effrayé ; immédiatement après, j’ai senti que j’étais retourné dans le corps allongé sur mon lit. » Une telle illusion de sortie du corps (ou OBE pour « Out-of-Body Experience ») est une expérience corporelle extrême, déconcertante, plaisante ou effrayante selon le cas. Elle se caractérise par l’impression de percevoir le monde selon une position élevée et par l’illusion de voir une image de son propre corps à l’extérieur des limites physiques de celui-ci. Autrement dit par l’impression d’être désincarné.
Les illusions de sortie du corps ne sont pas si rares qu’on pourrait le penser. Selon plusieurs études anglo-saxonnes, de 5 % à 10 % de la population générale en fait l’expérience au moins une fois dans sa vie, et ce phénomène existe dans toutes les cultures. D’un côté, elles offrent une opportunité unique d’approcher les mécanismes cérébraux de la conscience de soi et de l’unité entre le corps et l’esprit. Mais, de l’autre, très peu de travaux ont porté jusqu’à présent sur lesdits mécanismes pour la bonne raison que ces expériences sont difficiles à observer : elles surviennent de façon imprévisible, pour une très courte durée, et rarement plus d’une fois au cours de la vie. Heureusement, en quelque sorte, pour les neuroscientifiques, les OBE ne se produisent pas que chez les sujets en bonne santé. Elles ont également été observées chez des personnes souffrant de troubles neurologiques ou psychiatriques : migraine, dépression, tumeur cérébrale, épilepsie du lobe temporal ou schizophrénie [1].
Et c’est ainsi, en observant certains patients au service de neurologie de l’hôpital universitaire de Genève, que nous avons pu émettre les premières hypothèses sur les mécanismes neurobiologiques sous-tendant ces étranges illusions. Deux mètres au-dessus du lit. En 2002, notre équipe a en effet déclenché sans le vouloir des illusions de sortie du corps chez une femme épileptique à la surface de son cortex cérébral au niveau d’une zone, la jonction temporo-pariétale (JTP)droite afin de localiser son foyer épileptique. Or en appliquant un léger courant électrique dans une région de cette zone, le gyrus angulaire, nous avons involontairement déclenché des OBE. La personne, qui était alors éveillée et consciente, fit effectivement l’expérience d’une désincarnation. Elle avait l’impression de se trouver deux mètres au-dessus de son lit, proche du plafond de la chambre, flottant dans les airs avec une certaine sensation de légèreté. Elle voyait en même temps son propre corps allongé sur son lit d’hôpital. Pendant cette expérience, la personne ne percevait donc plus le monde extérieur et l’image de son propre corps selon une perspective dite en première personne, c’est-à-dire centrée sur son corps physique, mais selon une perspective spatiale élevée et « désincarnée ». Par ailleurs, lorsqu’on a diminué l’intensité du courant électrique appliqué, la personne n’a plus éprouvé de sensations de désincarnation mais elle a ressenti encore de fortes illusions perceptives. Il s’agissait soit d’illusions vestibulaires* – sensations de chute libre, de flottement, de lévitation –, soit d’illusions visuo-somesthésiques* – sensation de déplacement ou de déformation visuelle des membres qui semblent raccourcir. Unité entre corps et esprit. Cette observation clinique nous a donc permis de découvrir que la jonction temporo-pariétale était impliquée dans les OBE [fig. 1]. Mais comment expliquer que la stimulation de cette seule zone perturbe un sentiment aussi fondamental que la conscience de l’unité spatiale entre le corps et l’esprit ? Pour tenter de répondre à cette question, nous avons émis l’hypothèse suivante : les OBE apparaissent lorsque les informations vestibulaires – celles qui nous permettent de connaître la position de notre corps par rapport à la gravité et de maintenir notre équilibre – ne sont pas intégrées de façon cohérente avec les informations visuelles et somesthésiques au niveau de la jonction temporo-pariétale [3]. En effet, les personnes ayant expérimenté une désincarnation ont souvent déclaré qu’elles avaient ressenti ces trois types d’illusions : visuelles, vestibulaires et somesthésiques.
Mais quel est au juste le rôle de la jonction temporo-pariétale ? Des études utilisant l’imagerie par résonance magnétique fonctionnelle montrent que cette zone est un carrefour impliqué dans de multiples expériences corporelles : son fonctionnement est crucial pour que nous reconnaissions que nous sommes les acteurs de nos propres mouvements, que nos segments corporels sont bien les nôtres et que notre corps en entier nous appartient [4]
. Ainsi, chez des patients souffrant de symptômes de dépersonnalisation – caractérisés par une perte du sens de la réalité –, le métabolisme mesuré au niveau de la JTP est anormalement bas [5]. Par ailleurs, c’est la principale région du cerveau traitant les informations vestibulaires* [6]. On le sait car, parallèlement à notre expérience de 2002, des neurologues ont aussi réussi à provoquer des illusions vestibulaires simples sans désincarnation (notamment des sensations de lévitation) en stimulant la JTP et les régions environ…
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**Poésie du vide par le corps
*LES SENTINELLES, PIÈCE CHORÉGRAPHIQUE DE NACÉRA BELAZA, À IBN ZEYDOUN
«Je ne raconte pas d’histoire, c’est toujours le vide qui m’intéresse, comment raconter une histoire à partir de rien, c’est ma démarche…», confie l’artiste.
On court tous derrière quelque chose, un être, un projet, un désir. On aspire, on espère et on rêve. Mais parfois l’envie est stoppée par on ne sait quel mystère. Nous sommes comme cloués au sol, ralentis dans notre élan, acculés dans une sorte d’inertie sans nom. Immobiles. On fait un pas en avant, puis on recule. Stress, marasme, et angoisse. L’énergie vitale s’accroit, le rythme prend une nouvelle tournure. On tourne en rond comme une aiguille d’une montre, à la recherche de sa route. Son chemin. Puis vient le geste. Balbutiement. Ebullition et enfin la délivrance. Foire des sentiments. Un trop-plein d’émotion. Qu’on soit plongés en nous-mêmes dans l’éternelle attente d’un vertige ou en contemplation devant un tableau, nous devenons des sentinelles, les sens en éveil, guettant les autres ou le changement. Distorsion du temps dans un espace qui se dilue ou se resserre sur nous-mêmes. L’attente, toujours l’attente. C’est ce que tend à traduire la pièce chorégraphique de la danseuse algérienne Nacéra Belaza, dans sa toute nouvelle création appelée Les Sentinelles (2010). En plus de sa fidèle soeur, Dalila, Nacéra a ajouté un danseur pour fixer davantage cette attente comme une réflexion machinale continue quasi obsessionnelle. «L’art, ce n’est pas la beauté. Pour moi, c’est d’être juste dans le tout (la lumière, le décor, la scène…).» Dans un décor dépouillé, les danseurs sont vêtus de leurs joggings habituels, une sorte de seconde peau grâce à laquelle ils ont répété des mois durant. Ce n’est pas une tenue de scène, mais qui le devient tout comme le vide qui entoure le spectacle et laisse entendre qu’il ne se passe rien, mais sous-tend la dramaturgie de la pièce chorégraphique. «Je ne raconte pas d’histoire, c’est toujours le vide qui m’intéresse, comment raconter une histoire à partir de rien, c’est ma démarche…», avoue l’artiste. Le spectacle laisse entendre, en ouverture, une musique d’abord en sourdine qui n’a de cesse de s’accroitre au sein de ce vide sidéral de la scène au milieu de laquelle est projeté un halo de lumière tremblotant. La multiplication du son (Nina Simone remixé) qui va crescendo, emplit la salle au fur et à mesure que le vide déstabilisant crée un sentiment de stress incommodant. Les silhouettes des trois danseurs apparaissent immobiles, comme paralysés et le resteront durant plusieurs minutes qui paraissent interminables. Les trois «sentinelles» avancent parfois le pas, parfois font machine arrière. Ils esquissent des gestes physiques désarticulés. «J’écris une pièce comme un poème en délivrant, non pas un seul, mais plusieurs messages», dit Nacéra Belaza, danseuse autodidacte, diplômée en lettres modernes. Ses influences? Étonnement éclectiques. «Mes influences, elles n’ont pas été particulièrement liées à l’univers de la danse, elles sont ailleurs étrangères à la matière que je traite, les autres arts sont pour moi autant de points de vue qui m’aident à définir et comprendre mon propre langage, celui du corps.» Le rôle de la musique est tout aussi crucial. Nacéra Belaza a choisi Nina Simone revu et remixé, et qu’elle accompagne dans chacune de ses pièces. «L’action principale est la musique, ce qu’elle trimbale, doit raisonner en nous. Le corps doit être une caisse de résonance.»
Pour Nacéra Belaza en effet, ce n’est pas ce que l’oeil voit, mais ce qu’il laisse comme trace qui s’anime..En gros, ce qu’elle veut exprimer est le passage de notre énergie intérieure vers l’extérieur, vers le monde et cette attente infinie qui nous habite, d’où cette lenteur qui peut s’accélérer, pour enfin redevenir calme et tempérée. «Un vide inattendu qui comble toutes nos attentes, voila ce qui pourrait être finalement mon propos, ce que j’ai poursuivi à travers toutes mes pièces, sculpter ce vide, lui donner corps, le rendre palpable, le partager et enfin le laisser se dissoudre dans l’espace infini de nos corps…», confie la danseuse Nacéra Belaza qui fait de la «poétique du vide» sa belle et sombre démarche artistique. Une démarche qui peut intriguer et dérouter plus d’un. Ce fut le cas, mercredi dernier, à la salle Ibn Zeydoun, où elle a présenté sa pièce Les Sentinelles sur initiative de l’Agence algérienne pour le rayonnement culturel. Avec la compagnie, Nacéra Belaza, la danseuse s’est déjà produite en Algérie avec plusieurs de ses spectacles notamment Le Cri (2008), Paris, Alger (2003). Nacéra Belaza qui avait découvert de réels potentiels chez nos jeunes Algériens aspire à poursuivre son travail de formatrice et d’apporter son savoir-faire.Un voeu pieux à saluer. Outre la compagnie d’Abou Legraâ Sofiane, installée récemment à Alger, il n’existe en effet aucune compagnie professionnelle solide, contemporaine à même d’apporter du nouveau et rehausser le niveau de la danse en Algérie. L’apport de Nacéra Belaza sera, dans ce cas, des plus bénéfiques. (L’Expression-17.04.2010.)
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*zones érogènes chez la femme
Une zone érogène (du grec eros et gen’es) est une partie du corps humain de grande sensibilité et qui, lorsqu’on la stimule, est susceptible de provoquer une excitation sexuelle. Selon les individus, cela peut concerner n’importe quelle partie du corps mais une majorité des hommes et des femmes ont des zones érogènes communes[1]. La peau est la plus commune mais il en existe bien d’autres : la prostate chez l’Homme et le clitoris chez la Femme sont, par exemple, deux zones érogènes.
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****J’ai découvert l’intelligence de mon corps
Après avoir été très cérébral, Samuel s’est progressivement ouvert à ses sensations. Il a ainsi trouvé une voie d’accès à lui-même, et aux autres. Récit de ce retour à la vie.
“Le monde autour de moi m’a toujours passionné, mais aussi trop fait souffrir, et pour ne pas me laisser toucher, je passais au filtre de mon mental chaque instant de ma vie. Je théorisais la souffrance pour la maintenir au loin, mon regard était ironique et désabusé. Ne rien attendre, pour ne jamais être déçu… Ce rapport distancié avec le monde a été remis en cause au contact d’un compagnon qui, intuitivement, écoutait ses ressentis. Il cuisinait ce que son corps lui réclamait, dormait dès que son organisme en avait besoin, savait dire ce qu’il pensait quand il le ressentait. Je découvris avec lui que les sensations pouvaient aussi guider la danse de la vie et, au fil des années, des lucarnes s’entrouvrirent dans ma conscience. Celles-ci sont devenues des portes que j’ai pu franchir ensuite grâce à la méditation vipassana. Cette technique m’a appris à observer mes sensations sans y réagir, et m’a donné accès à ce corps qui en sait parfois plus que ma tête ! Une conscience globale et très profonde s’est développée, où ont pu s’enraciner les enseignements d’autres “maîtres en ‘sensorialité’”.
Pour dépasser un blocage d’enfance, j’ai demandé à une artiste paysagiste de m’apprendre à dessiner. J’ai découvert que j’avais beaucoup vu, mais jamais regardé. À son contact, j’ai compris que le regard passe moins par l’œil que par le ressenti. Si, crayon en main, je cherche à reproduire ce fauteuil en le regardant comme un objet appelé fauteuil, en prenant méthodiquement les mesures, mon trait sera hésitant, malhabile. Si, au lieu de projeter mon savoir sur le papier, je m’efforce de ressentir les formes, mon trait sera juste et assuré. Pour y parvenir, je dois être tout entier présent à ma main, la laisser me guider en lâchant ce que je sais de la réalité. Quand je parviens à me tenir dans cette posture intérieure, mes yeux n’ont presque plus besoin de regarder la feuille et ma main agit avec une justesse étonnante. C’est ma respiration qui me donne le “la” : tout s’articule autour de la présence à ce souffle qui entre et sort; si je le sens devenir court, je sais que je dois revenir à ma main pour la laisser percevoir le mouvement.”
“Autre rencontre décisive sur ce chemin : celle d’une spécialiste du parfum et de l’odorat. Avec elle, j’ai compris que mon nez me transmettait une quantité d’informations sensorielles sur l’instant présent, car, pour sentir une odeur, je dois être attentif aux sensations produites en moi. À l’instant où je sens une odeur, je dois être cet observateur attentif à ce qui se joue à l’intérieur. En même temps que l’acuité olfactive, j’ai senti l’intuition se développer en moi, comme si mieux sentir les odeurs du monde m’avait permis de mieux ressentir le monde, et ceux qui l’habitent.
Ces rencontres m’ont appris que les objets perçus par les sens comptent moins que les sensations générées en moi, auxquelles je maintiens la porte ouverte en méditant, matin et soir. Or les sensations, incroyables outils d’éveil de la conscience, m’ont révélé que j’étais habité par la peur de l’autre. La rencontre a toujours été le principal moteur de ma vie, et j’étais très habile à donner le change pour paraître sûr de moi, y compris à mes propres yeux. Mais une peur sourde et viscérale m’envahissait à chaque nouvelle rencontre, celle d’être jugé, rejeté, mal aimé… Après avoir longtemps cherché à paraître, la conscience de mes sensations m’autorise enfin à être. Mon rapport aux autres en est devenu apaisé, dépouillé de l’enjeu d’autrefois. Passer de la compréhension du monde à sa perception me maintient dans le courant de la vie et me donne accès à la richesse cachée de l’ordinaire. L’instant présent, tel un prisme à mille facettes, est devenu d’une profondeur extraordinaire. Comme si mes sensations avaient le pouvoir d’ouvrir la porte du merveilleux.” (source:Psychologie.com)
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**comment vous épanouir sexuellement ?
Vous aimeriez trouver « toute » votre sensualité pour être plus à l’aise avec la sexualité. Vous aimeriez vous épanouir et l’épanouir davantage ?
Comment vous révéler « femme féminine et sensuelle ». Comment mieux comprendre son corps à lui pour éveiller tous ses désirs ? Enfin, comment communiquer avec votre partenaire sur ces sujets pour renforcer vos désirs et vos plaisirs ? Toutes nos clés pour faire l’amour en s’épanouissant.
**chez les ados….Ce sont des endroits particuliers du corps qui peuvent allumer le désir, stimuler l’excitation, voire entraîner l’orgasme.Ces zones sont bien entendu différentes chez le garçon et chez la fille.Chez la fille
- Le clitoris bien entendu, soit au cours de la masturbation, soit par sciage (la femme croise les jambes et serre les cuisses).
- Le vagin : c’est le fameux Point G qui est une zone précise de la paroi antérieure du vagin accessible par la pénétration.
- L’anus, soit par caresses, anulingus ou sodomie.
- Les seins bien entendu.
- La stimulation de certaines zones érogènes (anus, seins) peut déclencher un orgasme en dehors de toute pénétration.
Chez le garçon
- La verge est pratiquement la seule zone érogène dont la stimulation permet d’aboutir à un orgasme.
- L’anus peut, chez certains hommes, être une zone déclenchant l’orgasme grâce à la pénétration d’un doigt ou d’un objet.
- Il en est de même pour les seins, bien que cela soit beaucoup plus rare.
Les zones érogènes sont beaucoup plus limitées pour le garçon que pour la fille.
**Pour aller plus loin
**Les pratiques sexuelles….Le problème que se posent beaucoup d’ados est bien entendu de savoir lesquelles sont normales et lesquelles ne le sont pas.Cette question est impossible à répondre car dans ce jugement il y aurait des critères, moraux et religieux en plus des critères médicaux.
Médicalement, certaines pratiques comme la sodomie ou la zoophilie présentent des risques de contamination plus importantes que la fellation par exemple. De même l’homosexualité masculine depuis l’arrivée du sida est une pratique à risque si elle se fait sans préservatifs. D’autres en revanche comme la masturbation ne présentent (à quelques réserves près) aucun danger.
- Sur le plan moral, tout cela dépend beaucoup de la société. La fellation par exemple est une pratique courante dont on parle librement. Il y a 20 ans ce n’était pas le cas et considéré comme une pratique dont on ne parlait pas facilement.
- Sur le plan religieux enfin, c’est du domaine personnel et dépend des convictions et des tabous de chacun.
Alors de quel côté se placer ? Du point de vue moral (pratiques les plus courantes) ou médical (pratiques les plus dangereuses) ?
** Qu’est ce que le coaching amoureux ?
C’est pour qui ?
Pour celles et ceux qui ne veulent pas commencer une psychotérapie, ou qui veulent des résultats rapides et n’ont pas envie de s’engager sur une longue durée.
Comment ça se passe ?
L’accompagnement se fait sur mersure. En général la personne rencontre son coach deux à quatre fois par mois pendant une heure, sur six mois. Les tête-à-tête ont lieu dans un bureau ou dans des lieux cosys tranquilles.
Quelle différence avec la psychotérapie ?
Un bon coach n’est pas un psy mais il doit avoir des qualités relationnelles pour saisir l’autre. Le coaching se rapporte des théories cognitives et comportementales. Un coach fait réfléchir aux bons comportements : quelle attitude adopter pour rendre une rencontre possible … Il prodigue des conseils et donne les outils pour agir et perfectionner une relation. Un psychotérapeute ou un psychanalyste, eux, vont fouiller dans le passé pour expliquer les échecs de comportements amoureux et amener à des prises de conscience qui vont ensuite permettre au patient d’agir, mais sans jamais lui donner de conseil.
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